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Top Model – Chapitre 5




9-

Le repas était un simple buffet livré par un traiteur réputé. Puis nous revînmes au salon pour le café. Puis le pousse-café que je refusais, n’ayant pas l’habitude de boire de l’alcool.

Helena avait un accent chantant. Parfois, j’avais du mal à comprendre ce qu’elle disait tant son débit était rapide. Max me confia qu’Helena était brésilienne. Ceci expliquait cela. Brésil, Rio, samba. Mon esprit s’échappa.

Diamond s’absenta un instant et revint le maquillage retouché, surtout au niveau de la bouche. Helena et moi discutions de mes goûts en matière de vêtements. Si je n’avais aucun souci pour dessiner toute une collection, j’étais incapable de savoir ce que j’aimais et surtout comment j’aimerai m’habiller au quotidien. Car c’était bien là le problème. J’allais devoir changer d’état d’esprit et apprendre à penser en fille et non plus en garçon.

— Les filles, je vous laisse papoter. Pour moi, c’est la pause cigare.

Je ne comprenais rien à ce qu’il disait. Max se leva et Diamond s’agenouilla devant lui. Elle baissa son pantalon et prit son sexe entre ses doigts.

J’ouvris des yeux comme des soucoupes.

Très vite, Max banda, un sexe plutôt court mais épais. Diamond ouvrit grand sa bouche et avala le sexe dans son intégralité. Elle ferma ses lèvres, et tout doucement, elle recula la tête. Le rouge à lèvre s’étala sur le sexe de Max. elle recommença plusieurs fois, peignant d’un rouge vif le membre du styliste.

— J’adore quand elle fait ça, me confia Helena.

— Mais qu’est-ce que je fous ici, murmuré-je.

— Je crois que ça fait partie de ta formation, dit Helena à voix basse. Tu vas mettre les pieds dans un milieu assez spécial et tu devras t’attendre à tout.

— Mais je ne vais pas coucher avec n’importe qui ?

— Il y a une règle que tu dois connaitre absolument, valable partout où il y a du commerce, et encore plus dans le milieu de la mode : le client est roi. Surtout quand il est très riche.

Je n’avais pas signé pour ça ! On m’avait menti, ou du moins, pas tout dit.

Diamond s’activait sur la queue de son patron.

— Tu fais quoi dans la vie ? demandé-je à Helena.

— Je suis dans les affaires, …. les relations humaines, si on veut.

— Je vois, mentis-je.

Diamond cessa et se tourna, offrant sa croupe à son amant. Il l’embrocha d’un coup de rein.

— Ça ne te dérange pas d’être la seule femme ici ?

Helena me regarda bizarrement.

— Max, dis-moi, tu l’as trouvé où ? Dans un couvent ? Ou elle sort de quinze ans de coma ?

L’intéressé éclata de rire, et continua de sodomiser son assistant. Helena prit ma main, une saisie ferme et puissante et l’amena sous sa jupe. Je caressai sa cuisse gainées de nylon jusqu’à la lisière des bas, puis atteignit la dentelle de sa culotte. Et Ô stupeur, celle-ci cachait une verge d’un gabarit fort honorable.

— Tu es …

— Oui ! Tu ne t’en étais pas rendu compte ?

— Non, j’avoue. Et je n’avais même pas imaginé que tu pouvais être un …

— Transsexuel, n’aies pas peur des mots. Tu as déjà sucé une bite ?

— Non, mentis-je une deuxième fois.

— Tu veux gouter ?

— Je … Je ne sais pas.

— Essaye. Ce n’est pas aussi sale qu’on pourrait le croire, pas plus que de lécher le minou d’une fille.

— Oui, dit Max. Tu devrais essayer. Ça ne te coute rien, à part un peu d’amour propre.

Helena remonta sa jupe sur ses hanches, et libéra son sexe de la dentelle qui l’emprisonnait. Elle reprit ma main et la posa sur son membre.

— Rassure-moi, tu te branles quand même de temps en temps ?

— Oui, dis-je rouge comme une pivoine.

— Et bien fait comme si tu te branlais.

J’étais invité, mon patron voulait faire de moi le mannequin de la marque, il avait investi des sommes folles et surtout augmenté plus que substantiellement mon salaire. Je ne pouvais décemment pas refuser la demande qui m’était faite. Je mis un mouchoir sur mon amour propre et branlai la brésilienne.

Elle soupirait d’aise, signe que je travaillais bien. Elle posa sa main sur ma tête et la poussa vers son sexe. Ma première réaction fut de résister avant de me décontracter. Son gland imposant occupa ma bouche et je me contentais de le lécher et le sucer, comme on suçait une boule de glace sur son cornet.

— Elle apprend vite, commenta Helena.

— Parfait ! dit Max. Tu es prête pour prendre ma place ?

— Je viens.

Elle bougea doucement et je m’écartai. Et à son tour, elle encula Damien, ou plutôt Diamond, d’un coup de rein puissant.

— Approche, dit Max. Mets-toi devant ma lopette. A genou.

J’obéis. Diamond goba mon sexe avec une gourmandise non feinte. Tout en se faisant copieusement ramoner l’arrière-train, elle me suçait, je dois l’avouer, divinement.

— Je … Arrête ! Je vais …

Trop tard ! Ma semence jaillit, remplissant sa bouche. Mais Diamond ne s’en offusqua pas et avala mon sperme, léchant jusqu’à la dernière goutte. Helene accéléra elle aussi la cadence. Max se branlait regardant le tableau. Soudain, la transsexuelle se retira, Diamond se retourna et ouvrit grand la bouche, attendant le jus d’homme. Max s’astiquait de plus en plus frénétiquement et enfin, se joignit à son amie.

Tous les deux éjaculèrent abondamment, maculant le visage du travesti de sperme gluant. Diamond avala ce qu’elle avait dans la bouche et cueillit du bout du doigt ce qui trainait sur ses joues.

— Ma chérie, tu es toujours aussi salope ! dit Max, les yeux brillants.

— Oui mon Maitre. Votre plaisir est mon plaisir.

De toute évidence, leur relation allait au-delà que la simple relation de couple et encore plus de la simple relation patron employé.

Max tapa dans ses mains.

— Il est tard et la journée de demain va être longue pour certaines. Il est temps d’aller se coucher.

Précédée par Helena, Diamond, dont le maquillage n’avait pas résisté à la douche de sperme, m’accompagna jusqu’à ma chambre.

— Je t’avoue que je n’ai pas eu le temps de préparer une chambre pour toi. Est-ce que cela te dérange de partager celle d’Helena ?

Elle me regarda avec un grand sourire, presque carnassier.

— Euh, non dis-je.

Helena se déshabilla et passa dans la salle de bains attenante pour se brosser les dents. Puis vint se coucher totalement nue. Je me sentais ridicule dans mon pyjama et je le retirai. Je m’allongeai à mon tour sur le bord du lit, à distance de ma nouvelle amie.

— Ne sois pas si timide. Je bouge un peu la nuit, et il y a des risque pour que je vienne contre toi tu sais.

Elle se tourna vers moi et me fit une bise sur le coin des lèvres.

— Bonne nuit ma belle. A demain.

— Tu dors ? demanda Helena un peu plus tard.

— Non.

Et comment dormir quand on entendait, venant de la chambre mitoyenne, des coups qui semblaient être des coups de fouets.

— Tu veux venir contre moi ?

J’hésitai un instant puis je me collai à la transsexuelle. Cela me rappela les visites nocturnes de Marion.

Sa peau était douce. Elle prit mon bras et le posa sur son ventre. Sous ses seins. Elle soupira.

— Caresse-moi, demanda-t-elle gentiment.

Sa douceur, son parfum, ses formes me firent oublier qu’à la base Helena était un garçon. Ma main courut sur son ventre légèrement grassouillet, je jouai avec ses seins dont le devinait la prothèse sous la peau. Ma revint sur son ventre et toucha son sexe tendu. Je serrai mes doigts autour et le masturbait doucement. Helena haletait. A son tour elle prit mon sexe tendu et me masturba.

— Attends, dit-elle

Elle alluma la lumière, fit un demi-tour sur le lit, mettant sa queue devant mon visage. Elle me suça et je me sentis obligé d’en faire autant. A côté, Diamond criait sous les coups de cravache.

Sans être naturel, sucer une queue devint agréable. Je caressai ses boules.

— Prends-moi, dit-elle.

— Je …

— Chut ! Arrête de te poser des questions and just do it.

Elle se mit sur le dos, releva ses jambes sur ses seins. Son trou était ouvert, prêt à me recevoir.

— Allez, entre.

— On ne met pas de capote ?

— Non, je suis clean. Tu peux me faire confiance.

Ma petite queue se fraya un chemin à travers les sphincters. Je n’avais jamais sodomisé personne. Et c’était très bon. Bien plus que de l’être.

— Tu vois, c’est pas compliqué !

Je m’activai en elle. Helena me donnait des consignes, plus vite, plus profond…

— Je vais jouir, dis-je

— Vas-y ! Crache ton foutre dans mon cul !

Ce que je fis. Plusieurs jets abondant. Diamond ne m’avait pas tout pris.

— Ce n’était pas la peine de faire tout ce cirque. Et tu te débrouilles plutôt bien.

Elle me roula une pelle torride, avec la langue bien au fond de mon palais. Sa peau contre ma peau, ses seins contre les miens me redonnèrent de la vigueur.

— On ne t’arrête plus ! plaisanta Helena. Mais il est vraiment tard. On recommencera, c’est promis.

Je me lovais contre elle, mon sexe dressé, ma main caressant distraitement sa queue molle.

Je m’endormis enfin, un peu plus rassuré sur mon avenir.

10-

Les trois jours qui suivirent furent effectivement pénible. Si le premier jour je fis mes emplettes en garçon, dès le deuxième, Helena exigea que je devienne fille. Et arpenter le trottoir avec huit centimètres de talon était épuisant. Pourtant ce n’était rien à côté de ceux d’Helena.

Nous avions commencé par les boutiques de dessous, puis de chaussures. On passa chez moi déposer une partie de mes achats puis on rentra chez Max.

Le lendemain, il s’agit de trouver tout un lot de tenues pour tous les jours et enfin le dernier jour, des tenues beaucoup plus habillées, des tenues dignes d’un rendez-vous avec une cliente distinguée.

Au final, c’était Helena qui gérait la carte bleue. Et c’était très bien comme ça.

Je n’avais pas le temps de me poser des questions sur ma nouvelle apparence de fille. La séance de maquillage matinale, bien qu’encore timide, devint plus assurée. J’en oubliai aussi mes talons hauts. Sauf quand il fallait courir.

Je passai mes nuits avec Helena et nous faisions l’amour tous les soirs avant de nous endormir. Si on se suçait mutuellement, et j’appréciai de plus en plus l’exercice, il n’était pas encore question pour moi de recevoir l’énorme membre d’Helena entre mes reins. Pas plus que de gouter à sa semence.

Je me rappelais aussi l’histoire de Nicolas et sa passion pour Perrine. Je le rejoignais sur un point : faire l’amour avec une transsexuel était la meilleure solution pour dériver vers l’homosexualité, sinon la bisexualité.

— J’ai bien réfléchit, dit Max ce vendredi soir. Helena m’a parlé de ton mini studio. Vraiment pas grand et loin de tout. Aussi, si tu es d’accord, ma maison est assez grande pour t’accueillir. Et ça aura l’avantage de t’avoir sous la main quand j’aurai besoin de toi.

Je n’étais pas très chaud pour partager la vie de Max Duchamps. Je le supportais déjà au bureau, ce n’était pas pour vivre avec lui le soir et les week-ends.

— Je vois que ça ne t’emballe pas. Je comprends. M’avoir dans les pattes vingt-quatre heures sur vingt-quatre, c’est pas top. Bon, on va trouver une autre solution. Sinon, ces journées shopping ?

— Epuisante, dis-je. Mais je remercie Helena pour sa patience et sa gentillesse.

— Tu me remercieras tout à l’heure, dit-elle avec un clin d’il plein de sous-entendus.

— Tu n’es pas encore changée ? gronda Max à l’encontre de Damien.

Une heure plus tard, Diamond fit son entrée dans le salon, toujours aussi maquillée, corseté et perchées sur des talons d’une hauteur indécente.

Comme lors de ma première visite, la soirée se termina en partouze et cette fois, j’eus l’honneur de baiser Diamond, tandis que Max titillait mon petit trou. Mais cela n’alla pas plus loin.

Comme promis, je remerciai Helena, la gratifiant d’une fellation jusqu’à sa jouissance, ce qui prit un temps certain. Et je me sentis de faire un peu plus et je tentai de gouter sa semence. Le premier jet me donna un haut-le-cur et je m’écartai vivement. Son sperme s’étala sur mon visage qu’Helena lécha avidement avant de me faire partager ma propre semence dans un baiser passionné.

— Je suis fière de toi. Tu as essayé. C’est parfait.

— Mais j’ai pas réussi, me lamenté-je.

— Parce que tu crois que je l’ai fait du premier coup ?

— Oh, dis-je étonné

— Et oui, on ne devient pas une bête de sexe du jour au lendemain. Dis-moi mon chou, tu n’as toujours pas envie d’essayer la sodomie ?

— J’ai peur d’avoir mal. Tu es plutôt … généreuse de ce côté-là.

— Déjà, tu ne dis pas non. C’est un bon point. Mais mal ou pas, c’est juste une question de préparation. On essaye ?

Je ne pouvais pas vraiment refuser.

Elle se leva, fouilla dans on armoire et revint avec plusieurs sextoys.

— On va y aller tout en douceur.

Une fois mon petit trou nettoyé, Helena me plaça sur le ventre sur une pile d’oreiller. Mon cul regardait le plafond. Elle joua du plus petit vibro. Il entra sans trop de problème. Les vibrations me laissèrent dans l’expectative.

Petit à petit, elle augmenta le diamètre des olisbos. Tant et si bien que mon orifice, bien que défloré, s’était bien dilaté.

— Toujours d’accord ? demanda-t-elle.

— Oui.

Elle me donna sa queue à sucer, ce que je fis sans discuter. Puis elle revint derrière moi, prit mes hanches dans ses mains et je sentis son gland se poser sur ma rondelle. Avec douceur et par à-coup, son sexe entra en moi. Il me semblait qu’on me déchirait le cul. Mais la douleur s’estompa rapidement. Elle ressortir tout aussi lentement, me lécha l’illet, cracha dedans et revint en moi. La pénétration fut plus facile.

— Ça va ?

— Oui, continue, m’entendis-je dire.

Elle affermit sa saisie et me fit l’amour, toujours en douceur. Je ne pouvais que sentir son membre épais et long glisser sur mon conduit. Faire l’amour avec Helena effaça ma coucherie avec Nicolas, qui même s’il avait été doux, restait en dessous de mon amante.

Ce soir, je me considérais comme vraiment défloré. Peut-être parce que je l’avais voulu, de mon plein gré, et non pas imposé suite à un pari stupide.

J’avais enculé Helena et Diamond, Helena m’avait initié au plaisir anal. Est-ce que j’aimais ça ? L’image de Marion et nos chevauchées nocturnes emplirent mon esprit. Y avait-il eu une différence ? Oui et non. Oui parce que j’avais couché avec des personnes différentes. Et non car au final, j’avais pris mon pied.

Helena s’activait toujours en moi. Elle haletait sous l’effort, imperceptiblement, elle accéléra la cadence. Ce qui n’était pas pour me déplaire.

— Prends-moi comme une femme, dis-je.

Elle se retira, m’aida à me mettre en position, mes genoux sur ma poitrine. Elle s’allongea sur moi et m’embrassa à pleine bouche tandis que sa queue cherchait l’entrée de la grotte. Elle s’y engouffra. Je basculai ma tête en arrière de bonheur.

Elle se fit plus violente. Je saisis mon sexe et le branlait en rythme avec elle.

Ma main s’agitait frénétiquement et j’éjaculai enfin, maculant mon ventre et mon torse. Helena s’arrêta, sortit complètement, entra d’un coup de rein. Plusieurs fois. Je gémissais, couinais presque. Elle reprit la cadence rapide, scandant des « oui, oh oui » à chaque coup de rein. Puis elle planta sa queue au fond de mon antre et jouis à son tour. Je sentis le jus chaud se répandre. C’était divin. Différent d’avec Marion mais tout aussi divin.

— Alors ça t’a plu ? demanda Helena.

— Oui, beaucoup. Avec toi c’était bien.

Je me mordis la lèvre après ce lapsus révélateur.

— Avec moi ? Ça veut dire qu’il y en a eu un autre ?

— Oui, avoué-je penaud.

Et je lui racontai ma première fois avec Nicolas.

— En effet, je comprends mieux maintenant. N’empêche que ce mensonge ne peut rester impuni, même si tu as des circonstances atténuantes.

— Je comprends. Et je m’en excuse. Mais…

— Pas de mais ! Tu seras punie !

J’eus du mal à m’endormir. D’abord parce que mon cul me brulait un peu et ensuite parce que je stressais à l’idée de ma punition.

Au petit matin je décidai de réveiller mon amante par une gâterie. Cette fois, elle bloqua ma tête au moment de son éjaculation et j’eus beaucoup de mal à ne pas vomir.

— C’était très agréable me dit-elle après un baiser. Mais tu n’échapperas pas à ta punition.

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