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Warda et Julie, salopes du lycée – Chapitre 3




CHAPITRE III

RAPPORT DE FORCE INVERSE

Le lendemain, jarrive au lycée de bonne heure et de bonne humeur, pouvant à peine tenir en place à la simple pensée de ce que je vais accomplir à midi. Je me change dans les toilettes des filles en arrivant, échangeant les vêtements « bien élevée » que javais sur moi en partant avec les sexy que jai emporté dans mon sac, comme chaque matin. Short laissant voir les trois quarts de mes cuisses, tee-shirt trop court laissant apparaitre le bas de mon ventre, et surtout trop serré, moulant mes gros seins avec sensualité mais sans douleur. Warda arrive juste avant le début du premier cours, manquant de peu de faire signer son dixième retard du trimestre.

Cours de bio en premier, pas intéressant, pas excitant comme il lest parfois Jen profite pour rattraper un peu de mon sommeil manqué cette nuit.

La récréation du matin arrive. Je reste dans la foule, empêchant ma chère Warda de me coincer à lécart pour me faire parler ou pour me distraire. Je veux être en forme.

Le deuxième créneau du matin arrive. Deux heures de physiques cette fois. Je hais le vendredi, nous navons que des matières scientifiques. Pour nous qui sommes en filière littéraire, cest un comble. Mais il finit néanmoins par se terminer. Alors que je me baisse pour rentrer mon livre dans mon sac, elle saccroupit également pour minterroger :

— Tu comptes me faire attendre longtemps ? Tu comptes faire quoi aujourdhui à la fin ?

— Pas le temps de texpliquer, je suis pressée Va manger sans moi, on se retrouve dans une heure en face du prochain cours. Je te raconterai, promis !

Elle a envie dinsister, je le sens, mais elle sait que je ne lui ai pas mentis quand je lui ai dit que jétais pressée, ni pour ma promesse de lui raconter. Elle me laisse donc partir, me laissant juste le temps de courir jusquà une autre salle dun autre étage. Celle que nous avions quitté hier soir.

Monsieur Ferrand sors de sa salle, les derniers élèves étant sortis et se précipitant déjà vers les sorties les plus proches. Alors quil ferme la porte, je me précipite sur lui, tentant de ne pas haleter davoir couru :

— Monsieur Ferrand ! Monsieur Ferrand ! Je peux vous parler un instant ?

Il se tourne vers moi, mimant navoir aucune réaction. Il sort la clé de sa poche avant de demander :

— Bien sûr Julie. Je suis devant toi Que me veux-tu ?

— Ne fermez pas la porte sil vous plait. Jaimerais vous parler en privé.

Il hésite un moment, mais insère finalement la clé dans la serrure pour tourner le verrou.

— Tu nas nul sujet à cacher Julie Dautant que nous sommes seuls dans ce couloir, alors que voudrait-tu que j

— La ferme !

Je viens de le couper en haussant le ton, cette confiance en moi me surprend moi-même. Lui aussi est stupéfait visiblement : il sest figé sur place, la clé encore dans la serrure, me dévisageant maintenant avec incrédulité.

— Vous savez très bien pourquoi je suis là ! Vous savez très bien que Warda ma tout dit ! Alors ouvrez la porte, laissez-nous entrer, refermez la derrière nous et écoutez-moi !

Un long moment de silence pesant sécoule dans ce couloir, durant lequel aucun de nous ne cesse de fixer lautre. Un bruit de verrou qui souvre me fait comprendre quil cède, laissant la porte souvrir. Difficile de dire ce qui la convaincu : as-t-il anticipé la menace que jétais sur le point de formuler, était-il simplement facile à soumettre en haussant le ton, ou encore vient-il dêtre convaincu par les deux tétons pointant à travers mon chemisier sous leffet de lexcitation que je retiens depuis hier soir ? Cest un mystère et ça le restera surement à jamais.

Il ferme la porte à clé derrière nous. Lorsquil se retourne, il me voit au milieu de la salle, assise sur une table, bras derrière moi, le buste légèrement incliné vers larrière pour mieux faire ressortir ma poitrine. Il se décide le premier à briser le silence :

— De quoi veux-tu parler ?

— De vous monsieur. De vous et de votre conduite absolument scan-da-leuse envers mon amie.

Je savoure la situation. Je parle dune voix méprisante à mon prof de français, que jai trouvé sexy dès le début de lannée dernière. Il voit bien dans ma voix que jexagère mon ton, mais ignore encore dans quel but. Je ne le laisse pas réfléchir en poursuivant dune voix hautaine :

— Vous avez honteusement profité dune situation désavantageuse en sa faveur pour abuser delle et de son corps. Cest dun Répugnant

Il me répond dans un demi-sourire sadique :

— Elle avait lair plutôt consentante pourtant. Et ne fais pas semblant de ne pas le savoir. Si elle ta tout raconté, nous savons tous deux quelle a aimé ça.

— Oh, je veux bien vous croire Mais une autre personne sera difficile à convaincre.

— Que veux-tu dire ?

— Pour un prof, vous manquez de jugeote.

Javais soupiré exagérément cette dernière phrase. Je quitte ma table et en me mettant debout face à lui, plantant mon regard dans le sien, Je sors mon portable, lui montrant mes photos récemment acquises. Il comprend enfin mes pensées, cessant de sourire sur le coup.

— Elle Elle semble sourire sur ces photos Hésite-t-il pour se défendre.

— Moui, sans doute parce que vous lavez obligée. Vous savez, coucher avec une élève, même consentante, ne vous ferait que perdre votre droit denseigner avec un bon avocat. Mais humilier sexuellement une élève contre son gré, mineure qui plus est

Je laisse ma phrase en suspens.

Bien que faisant tout mon possible pour le cacher, je jubile intérieurement. Je peux actuellement faire de mon professeur de français professeur principal de la classe avec ça – tout ce que je veux. Et je sais précisément ce que je vais attendre de lui.

— Quest-ce que tu veux ? Me demande-t-il enfin, conscient que le rapport de force est inversé.

Je mapproche alors de lui, avançant doucement, gardant mes jambes raides, et marrête lorsque mon visage est à quelques centimètres seulement du sien.

— Vous.

Il recule un peu, surpris par mes exigences. Après un nouveau bref instant de silence, il ricane un moment :

— Tout ce cirque alors que tu étais tout simplement jalouse ? Tu navais pas besoin de tout ça, me demander gentiment maurait suffi. Bon, eh bien comme avec elle alors A genoux.

— Parce que jai la tête de quelquun qui va avaler votre teub peut-être ?

Il se fige à nouveau, comprenant quil est tombé sur un os.

— Cest moi qui décide comment vous allez vous servir de votre engin. Et pour commencer, jaimerais le voir. Enlevez vos vêtements. Jentends bien tous vos vêtements.

Je retourne me rassoir à quelques mètres, contant bien profiter pleinement du spectacle. Mon professeur me lance un regard noir, puis lève une jambe pour y retirer sa chaussure et sa chaussette, puis lautre. Je tourne la tête pour vérifier que les stores sont bien baissés : ils le sont. Il retire sans sensualité ni hésitation sa veste et sa chemise, révélant son torse. Ne restent que son jean et ce quil y a dessous.

— Attendez Avant de le retirer, videz vos poches sur une table. Et ensuite montrez-moi ce qui est, jen suis sûr, dressé en ma direction.

Il sexécute, posant sur une table à côté de moi son portable et son portefeuille. Le voir ainsi obéir au moindre de mes ordres me procure presque la même satisfaction que lorsque jentends Warda jouir. Il retire ensuite son pantalon, laissant apparaitre une épaisse bosse sur son caleçon, qui me confirme les dires de Warda au sujet de la taille du matériel. Jen ai une preuve encore plus fiable lorsquil retire son dernier vêtement, laissant apparaitre un sexe long et droit, pointant mon corps comme si il souhaitait sy rendre de lui-même.

— Ouh Vous bandez sur chacune de vos élèves on dirait

— Seulement sur les chaudasses.

Il tentait de se détendre, mais il ne souriait plus, détestant visiblement dêtre celui qui reçoit les ordres. Malgré tout, il ne peut contrôler son regard, qui se balade sur mes seins moulés.

— Quoi, ça vous intéresse tant que ça ? Vous nêtes vraiment quun pervers

Je dis ça presque comme un compliment, et à voir lexpression de son visage, il a dut le prendre comme tel.

— Bon Il est temps de vous montrer ce que vous convoitez tant.

Je me repose au sol. Il sattend à ce que je soulève mon haut, mais au lieu de cela, je me retourne, et mincline pour étaler mon torse sur la table, croisant les bras devant moi pour poser ma tête dessus. Mes jambes toujours à la verticale, mon corps forme un angle droit au niveau de mes fesses, dévoilant leurs courbures à travers mon short moulant, présentées comme une offrande à quiconque les verrait.

— Allez Quattendez-vous Baissez-moi ce short

Nayant plus aucune vue sur la situation, je laisse mes oreilles et ma peau me décrire la suite. Premièrement, je sens ses doigts qui agrippent les bords de mon bas et qui tentent de sintroduire à lintérieur. Serré comme il est, ce nest pas une tâche facile, mais il y parvient tout de même, agrippant dun seul coup mon short et mon string dissimulé dessous. Il les tires vers le bas, les faisant glisser le long de mes jambes, et laissant lair rafraichi de la salle me faire frissonner les fesses et le sexe. Lorsquil atteint mes pieds avec ses jambes, je lève lune puis lautre pour le laisser faire passer mes vêtements, que je lentends poser à côté de moi, sur les siens.

Ne faisant aucun mouvement, confortablement installée la tête sur mes bras, jattends ses actions avec impatience. Je sens un premier contact sur ma vulve qui me fait frémir. Je reconnais du simple toucher ce qui vient de meffleurer : une paire de doigts.

— Sans préliminaire. Jai suffisamment attendu comme ça. De toutes façons, je suis déjà trempée.

Il retire ses doigts, et agrippe mes hanches avec ses mains pour se caler. Et fort avec ça, la pression de ses doigts sur mes reins est presque douloureuse. Je sens un gland se poser contre mes lèvres vaginales, sarrêtant aux portes de mon corps.

— Vous attendez quoi encore ? Baisez-moi !

— Jai un doute Tu tes comportée comme un sac à foutre avec les étudiants Mais tu ne mas même pas proposée une capote.

Il était vrai que dans lexcitation, jétais venu sans rien cette fois-ci. Mais dordinaire, Warda et moi prenons notre sécurité bien plus au sérieux bien que je finisse souvent par retirer la capote pour avaler –

— Jai oublié cette fois, mais dhabitude je suis protégée, pas de problème. Jajoute avec un sourire : vous nétiez pas aussi prudent avec Warda !

— Jai quand même un doute

Mon impatience poussée à bout, je hausse le ton, toujours sans me retourner :

— Vous comptez vous priver de moi pour un détail que vous aviez carrément zappé avec Warda ? Vous avez mon OUUUH

Il était rentré dun coup, tirant mon corps vers lui avec ses mains en même temps que le sien sétait lancé en avant. Sa verge, aidée par ma cyprine qui coulait depuis le début, était rentré aux trois quarts dun seul mouvement.

Elle se met à remuer, faisant des aller-retours dans mon intimité, lentement mais profondément. Je ferme les yeux, savourant chaque seconde de cet instant : monsieur Ferrand me baise, parce que je lui en ai donné lordre. Le plaisir de sa soumission accentue celui de la pénétration. Lui par contre nhésite pas à commenter son action :

— Ta chatte est sacrément large pour ton âge, Julie Tu dois être une vraie salope !

— Oh ouiii Je suis une salope Une jeune salope

Ma voix est montée en fréquence, on pourrait croire entendre une enfant à présent. Mais je suis pleinement heureuse en linstant. Un homme qui me plait est en mon pouvoir, et il me traite de salope. A part la présence de lélue de mon cur, que pourrais-je demander de plus ?

Il cesse son mouvement, rapprochant ses mains de lui pour magripper directement le bord des fesses. Il se retire alors complétement, aboyant dun ton grave :

— Voilà pour toi, salope !

Et il rerentre brutalement dans mon sexe, me faisant pousser un soupir de plaisir. Il recommence son mouvement, mais en plus ample, ressortant et repénétrant mon sexe à chaque va-et-vient, marrachant un petit « ouh » de bonheur par la même occasion à chaque entrée.

— Ouh Cest bon Ouh Jadore Ouh Votre queue Ouh Longue Ouh Et dure Ouh Comme je Ouh Les aimes Ouh Vous avez AIIIE !!!

Le hurlement de douleur que je viens de pousser a dû être entendu dans tout létage. Mais jai une bonne raison : volontairement ou non, il vient de changer de destination pour rentrer directement entre mes fesses.

— Vous êtes malade ? Sortez de là !

Ignorant ma demande, il ne bouge plus, laissant les parois de mon colon se contracter sur sa verge.

— Allez Ne me dis pas quune salope comme toi est vierge du cul

— Cest pas la question, jai dit sortez de moi ! Où je hurle « au viol » !

Il a bien sûr raison, je ne suis pas vierge du cul. Néanmoins, jamais je nai accueilli un quelconque sexe à lintérieur sans une couche de vaseline au préalable. Cette rentrée violente et sèche ne me provoquait que douleur plutôt que plaisir.

A contrecur, je le sens bien, il se retire, faisant racler douloureusement sa verge contre lintérieur de mes fesses. Il finit par sortir, me laissant une douloureuse brulure. Toujours sans me retourner ni le voir, je lui ordonne dune voix tremblante :

— Plus jamais Sans ma permission.

— Sil te plait Julie Tu ne peux pas me demander de te prendre en levrette, avec ton cul sous les yeux, sans mautoriser dy entrer, cest trop cruel

— Je suis cruelle ! Faites avec !

Cette dernière phrase métonne de moi. Je me mets à jouer les dominatrices à présent. Jamais je ne métais montrée aussi provocatrice dans mes paroles, que ce soit avec un homme ou avec Warda. Je tente de madoucir, souhaitant quand même quil y prenne du plaisir, avant de me rattraper :

— Si vous voulez me sodomiser Lubrifiez un peu le passage avant.

Il mécoute, passant deux doigts sur ma vulve pour y récupérer ma cyprine, avant de les enfoncer dans mon anus, dabord me griffant légèrement, puis glissant plus facilement, aidée par le précieux liquide. Il en étale à plusieurs reprises, insérant à présent trois doigts, au plus profond quil peut, pour en étaler sur la plus grande longueur possible. Suite à quoi, il reprend mes fesses en main, et pose délicatement son gland contre ma rose anale.

— Prête à te faire sodomisée, salope ?

— Ouiii

Jallie le geste à la parole en me cambrant un peu plus pour lui laisser libre disposition de ce quil a en main. La réaction ne tarde pas : il me pénètre, cette fois lentement, progressant méticuleusement le long de mon intestin. Je couine faiblement lorsque le bout de sa verge est entré, sa bourse buttant contre ma vulve.

— Tes ptet pas vierge du cul Mais ça reste excellent Contrairement à ta chatte, cest encore bien serré.

Il pressa mes fesses entre ses mains, accentuant encore son plaisir, et se mis à remuer à nouveau. Je sentis de façon beaucoup plus intense sa présence dans mon corps, ayant cette fois une partie importante de douleur, mais une sensation de plaisir beaucoup plus intense.

— Désolé Julie Jessaie dy aller doucement Mais cest trop bon !

Il accélère, me forçant à respirer à un rythme beaucoup plus soutenu. Je tente de faire coïncider mes inspirations et mes expirations avec ses entrées et sorties. Je lentends pousser des grognements, il apprécie cette position au moins autant que moi.

Soudain, jentends mon portable faire une courte mélodie pour me prévenir dun SMS. Jignore complétement cette information, mais pas celui qui mène actuellement la danse. Il arrête aussitôt le mouvement, callant son sexe au fond de mon corps, et lâche mes fesses, posant lune de ses mains sur le bas de mon dos tandis que lautre se mit à fouiller mon short posé à côté à la recherche de mon portable. Du moins cest ce que je suppose daprès ce que jentends : je peux difficilement me retourner dans cette position.

— Quest-ce que vous foutez ? Occupez-vous plutôt de moi !

Sans un mot, il prit finalement mon téléphone, et le posa devant moi. Sappuyant alors de sa main sur mon dos, et gardant lautre hors de mon corps, il reprit son mouvement en mordonnant :

— Regarde qui ta envoyé un message Et répond-lui. Tout en te faisant péter le cul. Aller !

Le fait de lui obéir ne me plait pas trop, mais cette idée mexcite plutôt bien. Je tente donc de regarder le corps et lémetteur du message, malgré les balancements forcés de mon corps liés aux secousses des coups de reins de mon amant. Il sagit de ma chère et tendre Warda, qui visiblement sinquiète pour moi :

« On a entendu un genre de hurlement à la cantine. Je ne sais pas doù ça venait, mais il ma semblé reconnaitre ta voix Tu vas bien ? »

La cantine étant juste en dessous de nous, mon cri de tout à lheure a du couvrir le brouhaha habituel qui y régnait. Souriante, et stimulée par ma sodomie encore continue, je décide de lui révéler mon plan à présent, elle ne pouvait plus y faire grand-chose :

« En ttrain,, del me fare encuuler par tton chéride prpof ! »

Mes mains tremblantes et mon corps secoué par mon professeur, qui semble bien déterminé à ne pas ralentir, ne mont pas aidée à taper mon message correctement. Toutefois, sa réponse est presque immédiate :

« SALOPE ! XD »

Je lâche mon portable et pose à nouveau ma tête sur mes bras croisés, cambrant au maximum, laissant mon fessier recevoir toute la violence qui lui est offerte. Le rythme de mon partenaire est régulier, signe quil semble ne pas être prêt de jouir. Il veut probablement profiter au maximum de la situation. Je ne lui en veux pas, bien au contraire, même si je sais que jaurais du mal à sortir de la salle à cause de la douleur.

Tandis que je me demande ce quil fait de sa main libre, il décide soudainement de donner plus dampleur à son mouvement, ne laissant que son gland en moi lorsquil recule, et claquant ses reins sur mon derrière lorsquil avance. Je me surprends à pousser de petits gémissements à chaque coup de butoir, adorant le bruit et la sensation des claquements sur mes fesses.

Une, peut-être deux minutes sécoulent tandis quil profite au maximum de mon jeune corps. Je suis mêlée entre la douleur et le plaisir, domination et soumission. Il fait ça parce que je lai ordonné, mais il décide lui-même comment prendre son pied avec moi.

Les seuls bruits que jentends sont mes propres petits cris étouffés et les claquements sur mes fesses. Mais lui, je ne lentends ni gémir ni soupirer Ce qui en devient presque vexant. Jétais sur le point de me retourner lorsquil me demande dun ton dominant :

— Taime ça, te faire défoncer le cul, hein salope ?

— Oh oui Défoncez-moi

— Espèce de salope !

— Oui Je suis une salooooope !

Javais presque crié ce dernier mot. Tout en tentant de retenir mon excitation, je parviens à tourner mon buste et ma tête, afin de regarder enfin dernière moi, et je comprends ce quil faisait depuis tout ce temps avec sa main libre : à laide de son propre téléphone, il était en train de filmer en gros plan son sexe pénétrant mes fesses. Voyant que je viens de me retourner, il redresse son téléphone vers ma direction, visant cette fois mon visage.

— Dis à quel point tu aimes ça !

Je souris inconsciemment vers son téléphone quand je lui réponds :

— Jadore me faire laminer le cul Votre bite est si bonne Oh cest bon Bon Plus vite, plus vite !

Il accepte silencieusement mon appel, ramenant lobjectif de sa caméra sur mes fesses et accélère le mouvement. Je me retourne à nouveau, mappuyant de mes deux mains sur la table pour me stabiliser. Dans un état euphorique, je réalise que jai de la chance dêtre une salope : un mec dépourvu de la moindre douceur est en train de me limer lanus avec brutalité, et pourtant jadore ça.

Soudain, alors quil a les flancs collés à mes fesses, il se fige. Je mattends à sentir son plaisir se déverser profondément en moi, mais au lieu de ça, jentends :

— Julie Je suis à bout Où veux-tu que je jouisse ? Dans ton cul ?

— Non, surtout pas ! Sortez !

Il obéit, rompant le lien dun geste vif, non sans produire un bruit de ventouse en sortant. Je me retourne et me pose rapidement sur le sol, puis me met à genoux pour être face à sa queue, que je prends dune main pour la placer vigoureusement dans ma bouche. Sensuit alors une rapide et active fellation, qui fait monter ses grognements. Peu avant de jouir, il me demande en fixant mon haut :

— Enlève ton tee-shirt Laisse-moi jouir sur tes seins Sil te plait !

Je retire alors sa queue de ma bouche, continuant de lastiquer dune main, pour lui répondre :

— La ferme ! Jai décidé que vous jouirez dans ma bouche, et je vais tout avaler, que ça vous plaise ou non !

Sentant quil était sur le point de craquer, je replonge sa verge, et sens affluer son premier jet de plaisir sur ma langue. Javale dune traite, gardant toujours la source entre mes joues, fermant les yeux pour mieux goûter lextase de laction. Un deuxième jet suit bientôt le premier, je lavale de même, ignorant toujours pourquoi boire de la semence masculine ma toujours fait un tel effet. Dautres soupçons de sperme sensuivent, que jengloutis au fur et à mesure de leurs venues. Je continue même à déglutir alors que son orgasme est fini, par instinct.

Je retire enfin ma tête de lui, pour lâcher ce que je tenais en main, lever les yeux et lui sourire, voyant par la même occasion quil avait continué de filmer toute la scène.

Alors que la tension commence seulement à diminuer, je réalise quelque chose que javais à peine envisagé jusqualors : je suis à présent en possession dune vive douleur aux fesses. Après sêtre faite pilonnée comme je viens de le faire, il ny en aurait aucune honte, mais je ne veux pas donner la satisfaction à ce type de mavoir fait mal. Je me relève donc sans gestes crispés, ramassant mon short et le remettant en tentant dêtre la plus inexpressive possible. Mon but est bien sûr de tout faire pour le vexer, ce qui semble être réussi, car il me demande dun air outré :

— Cest tout ? Pas de remerciements, rien ?

— Des remerciements ? Pour avoir fait ce que je vous avais ordonné ? Pfah !

Je remets mon portable dans ma poche dun air nonchalant. Mon regard sattarde un peu sur le sien. Je finis par décider de conclure ce rendez-vous :

— Bon, maintenant mettons les choses au clair pour la suite. La vidéo que vous avez prise de moi, tout comme les photos de Warda, branlez-vous dessus autant que vous voulez, mais si qui que ce soit les voit, vous savez ce qui vous attend.

Il fait mine découter en remettant ses habits.

— Ensuite, à partir de maintenant, considérez le rapport de force comme inversé. Si je vous ordonne quoi que ce soit, peu importe où que vous soyez ou ce que vous étiez en train de faire, vous devrez obéir. Dailleurs donnez-moi votre numéro, je veux pouvoir vous contacter nimporte quand.

Il sexécute, non sans pousser un grognement de mécontentement.

— Quant à Warda Quoique vous lui ordonniez désormais, elle aura le choix. Un non cest un non, vu ? En fait on va faire plus simple : toutes les règles qui sappliquent à moi sappliquent à elle, vous êtes lobjet de ses désirs, pas linverse.

Il acquiesce en silence, me maudissant du regard. Il naime pas être mon soumis ? Tant mieux, ça nen sera que plus plaisant pour moi.

— Je vous laisse. Passez un bon week-end. Ah, et noubliez pas de menvoyer cette vidéo par mail. En faisant une pièce jointe à Warda, bien sûr.

« Bien fait » me dis-je en sortant de la salle, « ça tapprendra à nous fliquer en demandant nos emails à nos parents chaque année. »

Je traverse le couloir maintenant vide depuis longtemps pour rejoindre lentrée du CDI. Je mattends à y voir celle que jai si souvent attendue ici, à notre point de rendez-vous. Et elle est là, assise par terre, visiblement anxieuse ; équipée de son habituel sac à main, dont je connais la contenance par cur : ses livres de la journée, un nécessaire de maquillage, quelques préservatifs, une brosse à cheveux, ses pilules, son portable et un petit jouet pour lorsquelle sennuie sans moi.

Elle se relève lorsquelle maperçoit, courant alors dans ma direction. Je lattrape dans mes bras, serrant sa poitrine contre la mienne si fort et si haute que ses pieds décollent du sol. Elle plonge son visage contre le mien, moffrant un baiser passionné, comme si elle ne mavait plus vu depuis plusieurs mois.

Après quelques secondes de bonheur, je relâche un peu mon étreinte, la laissant retoucher terre, afin de la laisser me susurrer à loreille :

— Lorsque je tai entendu crier, jai eu peur pour toi Alors ton cirque depuis hier cétait ça ? Tu voulais te faire baiser par un prof, petite salope ?

Elle me chuchote ça dun ton affectueux. Dans un demi-sourire, je lui réponds :

— Dune, je ne suis pas petite Et ensuite, je reviens avec une bonne et une mauvaise nouvelle.

Elle reprend une mine inquiète lorsquelle me demande :

— La mauvaise ?

— mon cul vient dêtre victime dun pilonnage dont il va se souvenir pendant au moins tout le week-end Donc je dois te demander de le traiter avec douceur jusquà ce quil soit rétabli.

— Jy survivrai. Et tu nas lair de rien regretter, à voir la tête radieuse que tu fais en lannonçant. Et la bonne ?

— Jai passé un arrangement avec ton chéri de prof. Il ne pourra plus rien exiger de toi. En revanche, nous pouvons toute deux faire ce que nous voulons de lui.

Elle se fige un moment, pesant ce que je viens de lui annoncer. Elle semble dubitative. Jen aurais surement été de même à sa place. Jentends une courte mélodie émaner de sa poche, elle y plonge sa main pour en ressortir son portable.

— Tiens, le monde est petit Cest justement lui qui vient de menvoyer un mail « Le cul de Julie prend cher » ? Quest-ce que ça veut dire ?

Devinant ce quil sagit, je serre les poings en laissant un sentiment de victoire menvahir, à la simple pensée quil a obéit à un ordre que javais moi-même déjà oublié.

— Je crois que ça veut dire quon devrait aller toutes les deux dans les toilettes pour regarder la vidéo en pièce jointe Tu vas adorer.

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