Bonjour ou bonsoir! Je vous présente ma toute première histoire inspirée d’une oeuvre littéraire à succès qui me tient beaucoup à coeur, la saga l’héritage ou Eragon si vous préférez.

C’est la première fois que j’écris une histoire alors s’il vous plaît ne soyez pas trop sévère.

Pour ceux qui auraient suivi la saga mon histoire se déroule durant l’avant-dernier tome, durant l’histoire il y aura aussi un petit clin d’oeil à une autre saga littéraire à succès.

Pour ceux qui n’ont pas suivi la saga alors peut-être que cette histoire vous donnera l’envie de lire les romans ou même de voir le film qui sais, si vous êtes-vous aussi des amoureux des dragons.

Si jamais mon histoire dépasse les +20 pts alors peut-être que je donnerai suite à cette histoire.

Je vous souhaite une très bonne lecture!

Eragon et Saphira survolèrent la magnifique cité de tronjheim a l’intérieure de farthen dur, un volcan endormi.

Tous les deux revenaient d’une petite séance de bain à l’intérieur même de farthen dur pour se laver ensemble dans de l’eau minérale. En volant au-dessus de de la grande pyramide ovale blanche, tout deux vont s’arrêté à son sommet car c’est ici qu’ils ont leur quartier.

Saphira se posa délicatement ses quatre pattes au-dessus de l’étoile de saphir, un gigantesque cristal rouge rosé qu’elle avait détruites 1 an auparavant est il y a quelques jours de cela grâce à la magie, la restaurée.

Eragon n’avait pas pris ses vêtements en partant pour le bain. Il avait seulement pris des serviettes juste de quoi s’essuyer et de se protéger du vent en vol sur la selle de Saphira.

Du sommet de tronjheim, il n’y avait que lui et Saphira qui habitait au sommet. Personne n’oserait les déranger sauf en cas de situation d’extrême urgence, les gens habitant à l’extérieur pouvaient les prévenir grâce à des signaux de morse.

– aaahh… Maintenant je n’ai plus qu’une seule envie c’est de bronzée déclara Eragon, pas toi?

— oh que si… répondit Saphira, Demain j’ai bien peur qu’on ne doive reprendre la route alors autant en profiter maintenant comme il y a toujours du beau temps ici.

— ah oui la route, m’en parle pas.

Dès demain Eragon et Saphira vont devoir quitter farthen dur pour se rendre à ellesméra pour retrouver leurs maîtres Oromis et Glaedr pour achever leur formation de dragons et dragonnier et aussi pour avoir des réponses à leurs questions mais aujourd’hui, Eragon n’a pas envie de penser au travail qu’il attend.

Il libéra Saphira de sa selle pour qu’elle puisse s’épanouir à son bronzage. Puis elle se couche sur le sol et déplia ses ailes pour que tout son corps côtés dos puisse profiter de ce soleil ardent.

Quant à Eragon grâce à l’aide de la magie il réussit à transformer le sol en une sorte de chaises en pierre adaptée à son confort. il mit une de ces serviettes sur la chaise avant de s’asseoir. Les dernières gouttes s’évaporeront avec le bronzage.

Les minutes passèrent et Eragon se sentit déjà bien chaud. il finit par ouvrir un peu plus sa serviette, il est à présent torse nu. Malgré qu’il passe de bons moments tous les deux bien au chaud, Eragon ne peut pas s’empêcher de repenser quelquefois au passé. lui et Saphira se croisèrent régulièrement du regard, il leur arrive des fois d’être hypnotisé l’un vers l’autre.

Leurs liens sont si forts, au-delà même du lien magique qui les unit, qu’ils ont déjà risqué leur vie à maintes reprises pour l’autre.

La fois où Eragon a eu le plus peur pour Saphira c’est lorsqu’ils ont livré leur première bataille dans les plaines brûlantes. C’est ce jour là où Murtagh lui a appris qu’il était son frère et que le roi Galbatorix s’intéressait davantage à Saphira qu’à lui-même du fait qu’elle est la dernière dragonne en vie dans ce pays.

Le roi veut se servir d’elle pour deux choses, la première, avec Eragon une fois qu’il a prêté serment de force, faire régner l’ordre et exterminer les derniers forme de résistance. La deuxième pour lequel Eragon était le plus dégoûté, était de se servir d’elle comme putin pour le Dragon du roi, Shurikan, Thorn le Dragon de Murtagh et le dernier dragon qui n’a toujours pas éclos et qui se trouvent encore entre les griffes du roi.

Selon le roi ses accouplements forcés entre les trois male permettraient d’engendrer des centaines d’oeufs de dragons par dragons male différents. Le mélange des sangs pourrait selon l’hypothèse du roi sauvé la race des dragons de l’extermination et permettrait à ce dernier de reconstruire la confrérie des dragonniers à son image.

Saphira en mère porteuse d’une nouvelle génération soumis et d’un héritage bafoué par la folie d’un seul homme.

Ce jour là ce scénario cauchemardesque a bien failli devenir une réalité si Eragon ne s’était pas battu avec acharnement par la force des mots en la défendant. Finalement Murtagh lors à laisser une chance de s’en sortir, une chance comme celle-ci ne se reproduira plus jamais.

Saphira savait très bien à quoi pensait Eragon. Le lien magique leur permettait de connaître leur pensée. Il pouvait savoir également s’ils était heureux ou triste et pouvait même ressentir les émotions de l’autre. Elle le réconforta.

— je t’aime Eragon.

Une vague d’émotion le submergea. il transmit ce qu’il vient de ressentir à Saphira en signe de remerciement avant de lui renvoyer le message.

— je t’aime Saphira.

C’est alors que d’autres souvenirs lui vint à l’esprit. Celle de leurs premières expériences d’amour raté, tous les deux avaient déjà essayé avec des personnes chères à leur coeur, Eragon pour Arya et Saphira pour Glaedr.

Eragon avait fait deux tentatives pour courtiser Arya, la première fois fut un accident involontaire, c’était un jour ou Eragon apprenait à dessiner avec l’aide de la magie sans utiliser ni pinceaux ni crayons. Rien lui vint l’esprit alors qu’il avait déjà activé sa magie, Arya venait lui rendre visite et en la voyant, une vague d’émotion chaleureuse l’avait envahi et la magie avait répercuté ses émotions sur le tableau vierge. Eragon ne pouvait plus annuler la magie, Arya a fini par voir son oeuvre. choqué elle laissa tomber le tableau de son portrait et s’en alla au pas de course. Le portrait représenté Arya sous une apparence plus exotique qu’à l’ordinaire, une apparence de séductrice.

Dans l’après-midi, Eragon fini par la retrouver et à lui faire ses excuses qu’elle accepta. La deuxième fois s’est déroulée Quelques jours plus tard lors d’une soirée de festivités, Eragon avait vu Arya quitté sa table pour se mettre en retrait de la foule festive. Eragon l’avait suivi jusqu’à un marécage. C’était le plus beau marécage q’eragon n’avait jamais vu. Pas de mauvaises odeurs, une eau pure et fraîche sans algues, sans crapaud ni insecte.

L’endroit idéal à Eragon pour lui révéler ses sentiments.

mais Arya avait mis une fois de plus les points sur les i, leurs relations ne pouvaient se limiter qu’à l’amitié. Puis elle s’en alla et Saphira a rejoint Eragon pour apaiser ses souffrances d’amour.

Saphira quant à elle avait une expérience tout différente. Lorsqu’elle est arrivée à ellesméra, elle pensait être le seule dragon vivant au monde à l’exception du dragon du roi. Sa joie fut telle lorsqu’elle a rencontré Glaedr qu’elle pensait avoir le privilège de connaître l’amour et d’avoir des héritiers loin des l’influences du roi.

Mais Glaedr avec Oromis, étaient les maîtres et eux les apprentis. Glaedr faisait preuve d’impassibilité aux deux élèves car sa priorité était de les former au mieux pour que Saphira et Eragon puis être prêt à affronter les sombres événements à venir, mais Saphira voulait que Glaedr soit mieux q’un maître d’école, alors un jour elle lui a mordu la queue pour inciter le maître à l’accouplement.

Ce geste a failli tourner au bain de sang et Eragon comme Oromis qui était le dragonnier de Glaedr, avait ressenti les effets de la bagarre. Eragon est partis immédiatement pour la réconforter, elle avait connu les tristes douleurs de l’amour avant lui.

— Hé! Eragon!

Il s’extirpa partiellement de ses pensées pour écouter ce qu’elle avait à dire, a entendre sa voix, elle semblait être amusée par quelque chose.

— tu t’es fait une grosse bosse on dirait?

Eragon n’a rien compris de ce qu’elle venait de dire, il chercha la soi-disant grosse bosse et la vérité se fait d’elle-même lorsqu’il fini par regarder au niveau de son bassin. Sous l’effet de la chaleur et des tendres mots de Saphira, son pénis, en dessous de sa serviette, avait grandi et durci, autrement dit, il bandait.

Eragon se sentit rougir et Saphira l’observa avec un air à la fois amusée et curieuse.

— mais pourquoi je bande comme ça!

Saphira avait replié ses ailes et Eragon observa tout son flan gauche de la tête jusqu’à la queue. Ça queue raflait lentement le sol et Eragon savait que les Dragons détiennent des comportements similaires à ceux des chiens, à savoir qu’il remue la queue à chaque fois qu’ils sont contents ou quand ils sont en état d’excitation.

C’est alors qu’il comprit, les liens qui les unit n’ont à présent aucune frontière, chacun fantasmait sur l’autre, Saphira semblait elle aussi avoir essayé de cacher ses pulsions mais à présent, ce n’était plus nécessaire. Ils étaient en mal d’amour tous les deux, ils avaient échoué avec les partenaires qu’ils avaient espérés.

En prenant un léger sourire, Eragon se leva. Il fit quelques pas sans se diriger directement vers Saphira, il bandait toujours mais ça aussi ça n’avait plus aucune importance, il fit tomber la dernière serviette qu’il le recouvrait, il est à présent tout nu.

Les respirations de saphira se font plus fortes, tous les deux pouvaient sentir le coeur de l’autre battre plus fort que d’habitude. Il finit par s’arrêter face à elle, Saphira se leva à son tour sur ses quatre pattes et marcha en sa direction.

Ils savait à quoi s’attendre et ils avaient accepté mutuellement. mais Eragon préféra le confirmer de haute voix.

— saphira… Je t’aime. Je t’aime tout autant que j’aime arya. Mais elle n’a pas ouvert son coeur, tout comme je sais que glaedr n’a pas ouvert le sien pour toI. puisque nous n’y arrivons pas avec eux, alors pourquoi pas nous entraider puisque nous nous aimons tout autant.

— eragon. aussi folle que cette situation puisse paraître, je suis d’accord avec toi. La guerre ne nous laissera peut-être jamais l’occasion de recommencer et je tiens à connaître les plaisirs du plaisir avant de mourir.

— alors c’est d’accord!?

— mais bien sûr!, Qui tente rien n’a rien!

Eragon laissa éclater sa joie dans son esprit. Il fonça sur elle, essayant d’entourer sa tête de ses bras puis l’embrassa sur ses lèvres.

— Mmmmm……….

Après quelques secondes, il s’aperçut que quelque chose le gênait en l’embrassant. Saphira sorti sa langue pour le lécher, au premier coup de langue il fut déjà mouillé du nombril jusqu’à la tête.

Au deuxième coup de langue, il recula. Il comprit que leurs rapports avaient un gros problème, celle de leurs taille. Saphira était trop grande pour lui, depuis sa naissance elle n’a jamais cessé de grandir à vue d’oeil, aujourd’hui même si sa croissance a fortement diminué, elle a tout de même atteint la taille de la maison de Garrow l’oncle d’eragon.

— même la nature nous empêche de savourer nos plaisirs, s’indigna Eragon.

Ils étaient tous les deux déçus.

— c’est bien la première fois que je regrette d’être aussi grande.

Eragon tourna le dos à Saphira. Il mettait ses mains au niveau de son bassin, la tête penchée vers le sol, son pénis redevenait mout est rétrécissait, les pulsions commençaient à l’abandonner, il réfléchissait.

— il doit y avoir un moyen bordel!

Saphira elle aussi avait la tête baissée avec le regard à la fois pensif et abattu. Mais une réaction inattendue d’eragon va la faire sursauter.

— j’ai une idée!!!

Il se retourna de nouveaux fasse à Saphira.

— tu te souviens que je t’ai parlé de ce jeune sorcier à lunettes que j’ai croisées en revenant au surda à pied.

— Harry Potter?

— oui! Il connaissait des sorts qui ne sont pas en ancien langage. Tu as vu par toi-même ce que j’ai essayé de la plupar de ses sort et ça a marché! Et je crois que j’en connais un qui pourrait régler notre problème.

— a oui lequel?

— un sortilège de rétrécissement.

— Bien! Mais je te conseille de l’essayer sur un objet avant de le tester sur moi.

Eragon finit par trouver un gros caillou non loin de là, il tendit la main en sa direction et invoqua le sortilège.

— REDUCTO!

Il y eu un grand boum et en 2 secondes le gros caillou était devenu plus petits.

— ça a marché!!!

À présent c’était au tour de Saphira, Eragon se mit face à elle et invoqua de nouveau le sortilège.

— REDUCTO!

Il y eut un grand boum et Saphira était devenu elle aussi plus petite qu’à sa taille habituelle. Elle avait à présent la taille d’un poney, elle avait la taille parfaite.

Problème résolu, ils vont enfin pouvoir commencer ce qu’ils ont entrepris. Chacun se dirigeant vers l’autre ils se prirent dans leurs bras avant de s’embrasser de nouveaux. Leur baiser était mieux adapté à présent.

— Mmmmmm

avec leurs esprits, chacun n’arrêtait pas de bombarder l’autre de " je t’aime" leurs langues se percutèrent et se frottèrent mélangeant leur salive.

Puis Eragon s’attaqua à son cou. Étant donné qu’elle avait un long cou, il avait l’embarras du choix pour l’embrasser. Lorsqu’il s’y appliqua il sentit le cou de Saphira vibrer,elle ronronnait. Quelques minutes passèrent et Saphira finit par déclarer.

— est maintenant les préliminaires!

— D’où tu connais ce terme!?

— Je l’ai trouvé dans ton esprit.

— Tricheuse.

Saphira se recula un peu et après s’être embrassé une dernière fois sur la bouche, baissa sa tête pour arriver au niveau du pénis d’eragon. À l’approche de sa tête, Eragon sentit son pénis plus dur que jamais. Il le prix de sa main droite est sorti le gland de son prépuce.

Saphira commença à renifler le bout du gland puis elle ouvrit la bouche, prenant bien soin de garder ses dents pointues sous ses lèvres pour éviter de le blesser, en sorti sa langue pour lécher son pénis avant de le mettre dans sa bouche.

Eragon découvrit les plaisirs de la fellation. Pendant que Saphira continue de le sucer en faisant des va et vient avec sa tête pour le stimuler, il posa ses mains sur la tête de saphira pour la caresser.

— ohhh…ohhhhh…ohh saphira!…

Elle sortir sa langue pour lécher ses testicules. La fellation était si intense q’eragon fini par dire à Saphira que si ça continuait, il finirait par éjaculer dans sa bouche, mettant fin à leur expérience plus tôt que prévu.

Elle finit par ouvrir la bouche pour laisser sortir son pénis, la fellation terminée, Eragon voyait que son pénis était tout mouillé par la salive de saphira.

— maintenant à mon tour!

Elle se retourna, faisant dos à Eragon. elle écarta un peu ses pattes arrière et leva sa queue vers le ciel pour lui montrer tous son derrière. Il n’en croyait pas ses yeux.

Les derrières de dragons sont similaires à ceux des êtres humains, si on ne prend pas en compte la queue et les écailles. Dans le cas de Saphira, il aurait pu croire qu’on avait dessiné des écailles bleues sur les fesses d’une jolie fille de son âge et qui se serait mis à 4 pattes comme pour ressenblés à une dragonne.

sur et à proximité de son vagin, les écailles sont plus petites et de la mème couleurs bleue que celle de son ventre. Eragon s’avança et se mit à genoux, il tendit ses mains pour caresser les fesses de Saphira et la partie de la queue proche de l’anus.

Saphira s’assis sur ses pattes avant et posa sa tête sur le sol. Montrant ses fesses vers le ciel, elle améliorait le champ de vision d’eragon sur ses parties intimes.

Il finit par caresser la partie des grandes lèvres du vagin, elle avait commencé à ronronner de nouveaux, puis il passa ses doigts à l’intérieur de son vagin pour la masturber.

Ensuite Eragon approcha sa tête des fesses de Saphira, il posa délicatement ses lèvres pour embrasser son vagin et c’est ainsi qu’il entama le cunnilingus.

Il lui fit 2 3 bisous supplémentaires avant de sortir sa langue pour la lécher comme un vrai cunnilingus. Il garda ses mains sur les fesses de Saphira pour continué à la masser tout en léchant son vagin qui désormais est plus ouvert, laissant apparaître le clitoris.

Il avait à présent la tête carrément collée sur ses fesses. Il adorait ça autant que Saphira elle-même qui avait tourné la tête sur sa gauche pour voir ce qui se passait derrière elle, augmentant encore plus ses pulsions.

En ouvrant les yeux, Eragon ne voyait plus que les fesses de Saphira et son anus. Il décida de s’en occuper, abandonnant le cunnilingus pour l’anulingus.

Elle se mit à ronronner plus fort, il semblerait qu’elle apprécie tout autant l’anulingus. Pour Eragon il se sentit tout à coup gêné de le faire même si ça ne lui a pas forcément desplu, il recommença à faire le cunnilingus.

Toujours en état d’excitation par la stimulation q’eragon lui profère, Saphira est un peu déçu qu’il n’est pas continué plus longtemps l’anulingus. Il retira sa tête des fesses de Saphira, se redressa et déclare.

— bon… Maintenant ça te dit qu’on passe à l’étape supérieure!?

— mmmm…pourquoi pas!

Elle s’allongea sur le sol et se retourna, elle s’était mis sur le dos, elle avait ses pattes avant repliée comme les pattes avant des chiens lorsqu’ils sont retournés et leva un peu ses pattes arrière vers le ciel.

— Qu’est-ce que tu fais?

— j’aimerais qu’on commence en missionnaire, cela te tente-t-il?

— Tu as encore fouillé dans mon esprit?

— non! même les Dragons ont le droit d’avoir des positions sexuelles.

Il se mit à rire.

— menteuse…menteuse et coquines va!

Il s’approcha d’elle, tenant son pénis de sa main droite, il le rapprocha délicatement du vagin de Saphira jusqu’à ce que le bout du gland atteigne les petites lèvres vaginale, effectuant ainsi le premier contact entre les deux sexes.

Tenant toujours son pénis dans sa main, il préféra ne pas la pénétrer tout de suite, il préféra jouer avec son pénis en tapant en douceur sur l’entrée vaginale. Il la stimulait en même temps que lui-même. Saphira se mit à ronronner de nouveaux, ils adoraient tous les deux ce moment de préparation à la pénétration, très excitante.

Puis ils se préparèrent pour la position du missionnaire, une fois prêt, Eragon reprit son pénis de sa main gauche cette fois-ci et commença à la pénétrer délicatement. C’est ainsi qu’ils eurent leur premier rapport sexuel.

La sensation de douces pressions chaleureuses qu’il avait ressenties lors de la fellation se fit moins intense mais tout aussi agréable. tous les deux étaient en extase. Ils marquèrent une pause, Eragon se laissa tomber sur le ventre de Saphira, abandonnant la position du missionnaire, puis il recommença à refaire des va-et-vient lent pour reprendre progressivement.

Il mit ses mains sur les côtes de Saphira pour la caresser, elle redressa sa tête pour le regarder et entoura le cou d’eragon de ses pattes avant pour le tenir et le caresser aussi. Son long cou lui permet d’atteindre la tête d’eragon. Elle lui lécha le front et Eragon redressa sa tête à son tour pour la regarder droit dans les yeux et s’embrassèrent sur la bouche tout en continuant de faire des va-et-vient avec leur sexes.

Les va-et-vient se font à deux rythmes réguliers car chaque fois que les va-et-vient sont rapides, Eragon a toujours la mauvaise impression qu’il allait éjaculer.

Au bout de plusieurs minutes ils décidèrent de changer de position. Eragon se redressa et enleva son pénis du vagin. Saphira se remit sur le ventre et se releva sur ses quatre pattes. Elle garda cependant ses pattes arrière bien écartées, l’expérience était loin d’être finie.

Eragon se rapprocha à nouveau de Saphira, il prit la queue de Saphira de sa main droite pendant qu’avec sa main gauche qui tenait son pénis, la repénétra.

Les va-et-vient reprirent de plus belle mais cette fois-ci en position de la levrette.

Eragon mis ses deux mains sur les fesses de Saphira pour accentuer les mouvements de va-et-vient. Saphira s’est de nouveaux assis sur ses pattes avant et posa sa tête sur le sol dans la même position que lorsque q’eragon lui avait fait le cunnilingus. Elle ne ronronnait plus, remplacés par des petits rugissements rauques. Elle était en train de jouir.

— Rrrruuu….Rrrruuuu….Rrruuaaaa!

Eragon lui aussi est sur le point de jouir. Mais il se demanda s’il fallait continuer l’expérience, alors il demanda à Saphira.

— tu veux que je m’arrête un peu pour… continuer plus longtemps ou…

Elles le coupa dans sa phrase.

— non!… eragon… Continue !!… N’hésite pas à laisser… tout en moi!

Il s’exécuta. Les va-et-vient sont de plus en plus rapides et Saphira émis un rugissement plus fort que les précédentes.

— RruuaaaaAA!!!

Des petites flammes sortaient de sa bouche, elle venait de jouir, Eragon senti sur ses genoux et ses testicules un liquide qui sortait du vagin, elle venait d’éjaculer.

Eragon n’en revenait pas que même les femmes ou les femelles pouvaient-elles aussi avoir des éjaculations, mais au bout de deux secondes il oublia ce détail pour se concentrer sur son éjaculation. Il observa son sexe dans celui de Saphira pour accentuer ses pulsions, puis il leva la tête vers le ciel, les yeux fermés, tout son corps était concentré sur son pénis.

— ooohh…ooohhh…oooaah!

Il jouit à son tour. À l’intérieur de Saphira, son pénis y déposa du sperme en bonne quantité, il venait d’éjaculer à son tour.

L’expérience touchait à sa fin. Tous les deux étaient à présent exténué. Eragon serra la queue de Saphira avec ses bras. Puis il les relâcha et retirera à contrecoeur son pénis du vagin. Du sperme tomba du vagin mais il ne prêtait plus attention.

Eragon s’allongea sur le sol pour se reposer, les yeux fixant le ciel bleu. C’est alors qu’il se dit pour lui-même.

— même si je ne l’ai pas fait avec une vraie femme, me voilà un homme maintenant.

Saphira le rejoint, elle se mit au-dessus de lui puis elle s’allongea délicatement sur le ventre d’eragon. Il prit saphira dans ses bras pour bien se serrer l’un contre l’autre. Eragon lui sourit et s’embrassèrent de nouveaux.

— je t’aime.

— je t’aime moi aussi.

Tous les deux voulaient que ça dure des heures, Ils s’embrassèrent pendant plusieurs minutes, ils marquèrent quelquefois des pauses pour se regarder droit dans les yeux.

— je crois que c’est la meilleure chose qui me soit arrivée dans ma vie, on essaiera de retenter cela une prochaine fois?

— bien sûr! on essaiera d’autre position la prochaine fois.

— évidemment.

Ils se caressèrent, Puis il dirigea ses mains pour masser de nouveau les fesses de Saphira et avec un des doigts de sa main droite il lui chatouilla l’anus.

— je croyais que tu n’aimais pas mon cul?

— mais j’aime ton cul… Avec les doigts ça va mais c’est avec ma langue que ça pose problème.

— coquin va! Je suis sûr que si je te léchai le cul, tu y trouverais ton compte et tu comprendrais pourquoi j’ai aimé ça.

— j’ai bien peur que mon cul soit moins alléchant que le tien.

— ce n’est pas un problème.

Il se mit à rire.

— bon d’accord, la prochaine fois j’essaierai de faire un effort mais d’abord tu devras commencer, tu la dis tu assumes.

— d’accord.

Pendant les minutes qui suivent il y régnait un paisible silence. Ils se fixèrent des yeux où s’embrassèrent comme bon leur semble. puis Eragon vient de penser à quelque chose qu’il embarrassait, Saphira s’en est rendu compte.

— je te vois tout d’un coup préoccuper eragon, qu’est-ce qu’il y a?

— oh rien…. Mais imagine que quelqu’un découvre ce que nous avons fait, les gens pourraient très mal le prendre. Je vois déjà les gens qui m’appelleront par mon nouveau titre, eragon le bestial tueur d’ombre.

— eragon! J’ai peut-être un physique animal mais mon intelligence dépasse ceux de l’homme, J’ai accepté de faire l’amour avec toi, j’ai accepté de m’accoupler avec toi parce que je t’aime et parce que tu m’aimes, notre amour est plus fort que tous les liens qui nous unit et je crirais haut et fort mon amour pour toi s’il le faut. Nous avons accepté mutuellement et en toute responsabilité.

— ça voudrait dire que notre amour….

— est purement et simplement légal à toute loi est peu importe ce qu’en pensent les autres, notre amour ne regarde que nous.

Le coeur d’eragon se mit à battre plus fort sur les paroles de Saphira.

— je suis heureux que tu mets choisi comme dragonnier saphira, je t’aime… Je t’aime énormément.

— oh! eragon, je t’aime moi aussi.

Ils se serrèrent plus fort l’un contre l’autre, Saphira laissa reposer sa tête sur le sol et Eragon embrassa son long cou.

— il y a encore une dernière chose… Si… Si jamais ça marche… Entre moi et arya… Surtout ne croit pas que mes sentiments changeront à ton égard. Je vous aime toutes les deux.

— ne t’en fais pas, je ne serais pas jalouse mais si jamais ça marche comme tu dis, il va falloir quand même lui dire la vérité pour toi et moi.

— je sais mais crois-tu qu’elle acceptera?

— je n’en sais rien je ne suis pas arya, il se peut qu’elle soit choquée au début mais elle en tirera une conclusion évidente, elle te connaît bien plus que tu ne le crois eragon.

Tous les deux s’offrirent un moment de silence. Saphira se posa sur le côté gauche d’eragon afin que tous les deux puis se blottirent l’un contre l’autre sur le sol, ils auront probablement l’occasion de pouvoir recommencer une fois qu’ils auront terminé leur long voyage en direction d’ellesméra.

Pour l’heure, Eragon et Saphira commencèrent à s’endormir l’un contre l’autre espérant pouvoir rêver de revivre cette expérience pour laquelle ils avaient pris tant de plaisir.

    FIN DU PREMIER CHAPITRE

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