En rentrant de mon week-end, je n’ai qu’un souhait : revoir Philippe. Je compose fébrilement son numéro et je laisse un message sur son répondeur. Lorsqu’il me rappelle, c’est pour me dire qu’il est très occupé pour le moment. Je prends mon mal en patience. Le temps paraît très long.
Quelques jours plus tard, Philippe me rappelle à nouveau ; il m’annonce qu’il est maintenant agent artistique et que sa secrétaire est malade. Si je pouvais la remplacer quelques jours, ça le dépannerait.
J’ignore totalement quel est le travail d’une secrétaire à part répondre au téléphone, gérer l’agenda et taper quelques lettres.
Je commence le lundi suivant. Philippe me fait un long exposé :
-Nous avons pour clients des acteurs, des chanteurs. Nous sommes contactés par des producteurs et des réalisateurs qui nous proposent des rôles. Tu devras mettre à jour les fiches des clients au fur et à mesure.
Bref, il n’y a rien de passionnant.
En fait, j’espérais autre chose. Je pensais que Philippe avait trouvé ce prétexte pour m’avoir à sa disposition toute la journée. Hélas ! nos relations restent purement professionnelles. Le soir venu, il rentre chez lui et je ne sais pas qui l’attend à la maison : un homme ? une femme ? ça reste une énigme.
Après un mois de boulot, Philippe me convoque :
-J’ai un service à te demander : je voudrais que tu t’habille en femme, cela ferait plaisir à mon client.
Je suis surpris mais ça m’amuse. Je ne l’ai jamais fait : il y a un début à tout ! Philippe me fournit le matériel : une perruque blonde, une jupe, un soutien-gorge rembourré. Il m’aide à m’épiler les sourcils, à me maquiller.
Quand je me regarde dans le miroir, l’illusion est parfaite ! J’ai devant moi mon double féminin.
J’accueille le visiteur : c’est un acteur connu. Je l’introduis dans le bureau de Philippe et il me dit :
-Merci, mademoiselle.
Il a vraiment cru que j’étais une femme ! Je n’en reviens pas ! Je luis sers le café en le frôlant. Il me fait un petit sourire. Il ne se doute de rien.
A chaque fois que cet acteur vient, je m’habille en femme spécialement pour lui. Je sais qu’une négociation est en cours. Philippe veut le convaincre de signer pour un rôle.
La discussion n’aboutissant pas, il finit par dire à son client :
-Si tu signes, tu auras un petit cadeau.
Je sais déjà que le cadeau, c’est moi ! Je remplace sa secrétaire et je suppose que c’est elle qui s’y colle quand les clients sont hésitants. Le client accepte le marché et Philippe lui dit :
-Ma secrétaire est à ton entière disposition.
Je l’entends alors me dire :
-Peux-tu me faire une petite gâterie ?
Il n’est pas très sexy mais que ne ferais-je pas pour aider Philippe !
L’acteur commence à baisser son pantalon. Je dois m’approcher de lui pour voir la petite crevette qui pendouille entre ses jambes. Je la lèche et elle ne réagit pas. Je la décalotte puis je lèche le gland en passant la langue tout autour. Enfin, sa nouille commence à s’agiter. Je la prends entre mes lèvres et je l’avale entièrement. Il a l’air d’aimer cela.
Je le suce de bas en haut ; puis de haut en bas. Et je recommence : de bas en haut et de haut en bas.
Ca finit par produire son effet : il a l’air de prendre du plaisir. Je m’arrête quelques secondes. Puis je recommence de plus belle. Je dose mes effets en guettant sa réaction.
Sans prévenir, il me lâche son jus dans le fond de la gorge. J’avale tout car je ne veux pas lui gâcher la fête. Philippe n’aurait pas aimé que je recrache d’un air dégoûté. L’acteur a l’air content et me remercie pour ma contribution. Il remonte son pantalon et il prend congé.
Philippe me regarde d’un air satisfait.
-Tu as bien bossé ! Tu auras ta récompense. Remets-toi en garçon et on y va !
Je retire mon déguisement et mon maquillage.
Philippe me conduit à l’autre bout de la ville : nous arrivons devant une boîte de nuit. Dès l’entrée, on nous demande de nous déshabiller : à l’intérieur, tout le monde est nu comme un ver, avec juste un bracelet au poignet.
Je regarde autour de moi, interloqué. Il n’y a que des hommes ! Je n’ai jamais vu autant de nus masculins de ma vie. Et tous ces hommes dansent au son de la musique.
Certains se frottent les uns sur les autres.
Après un round d’observation je me décide à faire comme eux. Il semble que la règle est de se frotter au maximum de monde en un minimum de temps.
Alors je frotte mon sexe contre un autre jeune homme. Puis d’un autre. Et ainsi de suite. J’aime tellement ça que je pourrais continuer pendant des heures.
Puis c’est l’heure du tirage au sort de la tombola. Mon numéro est inscrit sur mon bracelet : j’ai gagné une entrée au carré VIP.
Il n’y a que des célébrités. Je discute longuement avec un chanteur connu. Puis je m’assied à côté d’un animateur de télévision. Je lui dis que je regarde toujours son émission. Je le trouve très mignon, très musclé. Lui aussi a l’air d’aimer ma compagnie. Il me raconte quelques anecdotes quand soudain je vois que ça remue entre ses cuisses ! Il a un début d’érection mais il continue à bavarder comme si de rien n’était. J’essaie de le regarder dans les yeux mais je n’y arrive pas : je m’aperçois qu’il bande comme un âne ! Son braquemart est d’un calibre peu commun !
Je n’arrive pas à résister à l’invitation qu’il me donne malgré lui : je me mets à genou et je lui lèche le gland.
Il ne dit rien mais je vois qu’il a l’air d’apprécier mon initiative. Ma langue fait son chemin le long de la hampe. Plus je lèche, plus il gémit. Alors je le mordille : ses gémissements trahissent le fait qu’il y prend du plaisir.
Dans le même temps, je prends ses roubignoles dans ma main et je les compresse à intervalles réguliers. Il aime ça !
Je fais des pauses pour lui laisser plus de temps. Puis je reprends de plus belle. Je lèche le pourtour de son gland, ce qui fait monter son plaisir encore plus. Il va bientôt cracher la purée : je m’écarte mais pas suffisamment car je la prends en pleine poire.
Je suis dans le brouillard mais je distingue encore mon partenaire : il me dit quelques mots pour exprimer sa gratitude. Je lui dis que j’aimerais le revoir et il promet de me contacter. Je le quitte avec tristesse. Je retourne danser avec les gens "ordinaires".
Lorsque la soirée se termine, je rentre chez moi. J’essaie de dormir mais je repense à tout ce qui s’est passé et ça me fait bander. Je crois que pour arriver à trouver le sommeil, je vais devoir employer les grands moyens : je vais sous la douche et je m’astique le manche sans y prendre du plaisir, juste pour calmer mon excitation. Je laisse encore passer quelques minutes avant de me remettre au lit. Finalement je m’endors en espérant que les journées suivantes seront aussi agréables !
