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De réelles pensées – Chapitre 2




(High for this -> The weeknd, chanson recommandée si vous voulez une ambiance érotique totale ;)

Enfin sortie du bus. Il était temps. J’habite en hauteur, à quelques minutes de la ville, mais tout de même en hauteur, une sorte de petit village chaleureux et sympathique où tout le monde se connaît et s’invite à une tournée dans les petits bistrots sur la place principale. Je rentre chez moi, repense vite fait à mes précédents songes et cours à la douche. Les douches brûlantes me tueront un jour, mais d’une mort si agréable. Ce soir, ma mère m’a proposé de me rendre dans l’un de ces bistrots de la place le "Belgium Fadi", un coin sympathique où les burgers vous font saliver pendant 5 jours. Je me prépare donc et me couvre de ma robe à fleurs bordeaux, osant même y ajouter de petites chaussures à talon (pas très haute).

Suivant ma mère comme une ombre, après 1 heure de préparation, nous arrivons au lieu-dit. Je remarque beaucoup de connaissances, mais en particulier cet homme, cet homme qui m’a connue encore jeune enfant, et qui m’a vue me développer au fil de ces 4 ans : Gabriel.

Celui-ci est un bon ami à mon grand cousin, il doit avoir 33 ans, mais il fait tout de même jeune malgré l’apparition de quelques cheveux blancs. En écho à mon professeur d’EPS, Gabriel est un homme qui dégage le sexe et la confiance en soi. De nombreuses fois, j’ai pu apercevoir son côté prédateur se manifester par des regards ou des mots. Comme cette fois où je dessinais des femmes nues et que je l’ai surpris me regardant le rouge aux oreilles, eh oui, Gabi, Béa a bien grandi, tu sais… La fois la plus mémorable est quand je l’ai soupçonné d’avoir bandé face à ma robe au décolleté plongeant et à l’absence de soutif, il m’avait longuement complimenté puis, quand je me suis penchée sur lui, il a fini sa bière d’une traite et est parti silencieux.

Je suis coupée de mes souvenirs par Rémi, un ami à ma mère qui m’interpelle :

Bah ! dis donc Béa, tu t’embellis de jour en jour, dis-moi, si j’avais 18 ans de moins, je t’aurais fait la cour ! dit-il sur un ton flatteur et amusé.

Merci beaucoup, c’est gentil (mon regard vacille vers Gabriel qui me fixe du regard, je le vois ouvrir et fermer la bouche, sûrement à la recherche de mots), nous mangeons avec vous ce soir ?

Oui, j’ai convié ta mère pour goûter le plat du jour avec Gab, dit-il, toujours enjoué.

Soudain, Gabriel surgit dans la discussion :

Mmm, de base c’était mon idée de te proposer de venir avec ta maman.

Roh ! Ca va Gab ! le principal c’est qu’elles soient la haha ! rétorque Rémi.

Tu es magnifique dans cette robe Béa, comme à ton habitude.

Il se lève et me tapote la tête…

— Rah ! il me voit comme une gamine qui s’habille bien… c’est tout, me dis-je, un peu triste.

Le fil de la soirée se déroule bien, je suis assise à côté de Gabi, à l’autre bout de ma mère et Rémi en face de moi. La serveuse vient vers nous pour nous donner nos boissons précédemment commandées et nous glisse au passage : " Vous formez un joli couple". Confuse, je regarde autour de moi et comprends qu’elle parlait de Gab et moi.

A ces mots, je bafouille :

Quoi ? Euh, je… on est…

Mariés oui, merci du compliment Mademoiselle !

Gabriel joue bien la comédie, mais son jeu me met dans tous mes états. Je le sens poser une main sur ma cuisse.

Tu as entendu ? On forme un beau couple apparemment, petite dessinatrice de porno. A ces mots, je m’offusque faussement et rétorque, toujours en chuchotant :

Je dessine pas du porno ! Il y a une différence entre X et l’érotisme idiot.

Oh ça, j’en sais pas mal.

Il me fait un clin d’il coquin, comme à son habitude.

Eh oh ! Les mains sur la table et pas de messes basses ! nous surprend Rémi, amusé de la situation.

Nous obéissons en silence comme des enfants, un rictus tout de même visible, qui fait rire toute la table.

Je me lève à un moment pour passer aux toilettes, je descends au "sous-sol" comme nous l’appelons ici et fût surprise de voir une porte que je n’avais jamais remarquée. La pancarte laisse transparaître une inscription : " LOCAL LAVEMENT ". C’est marrant depuis le temps que je connais cet endroit, je n’ai…

BOUH !

AAAAh, mais ça va pas la tête Gabriel ! J’ai failli faire une attaque put/

Chut !

Il dépose son doigt sur mes lèvres

— Pas de grossièreté venant d’une enfant. Il dit sévèrement.

Je me dégage et lui rétorque sur le même ton :

Je suis plus une enfant, sombre abruti.

Vraiment ? Je sens une once d’amusement dans sa voix.

Vraiment.

Très bien alors dans ce cas tu n’aurais pas peur si je faisais… (il nous pousse dans le local dédié au personnel et nous enferme) ça ! Il rit à gorge déployée.

Tu es sûre d’avoir la trentaine Gab ?dis-je, faussement lassée.

Oh oui ! Très sûr, ma petite.

Un moment de silence se fait, l’air sent l’humidité, il fait sombre, on ne voit pratiquement rien à part la silhouette de l’un et de l’autre et les quelques boutons lumineux des machines. Je me lance et lui dis :

Bon, on peut sortir maintenant ?

Oh ! Tu n’es pas drôle pour une enfant, dit-il sur un ton boudeur.

Bordel, Gabriel, je suis pas une enfant, je dois faire quoi ? Tailler une pipe pour te le prouver ? lui dis-je de manière extrême, saoulée par ses réflexions. Je me rends compte très vite de ce que je viens de dire et commence à bafouiller, Gabriel place des mots plus vite que moi :

Parce que t’en as déjà fait peut-être ? dit-il sur un ton mauvais et suspicieux.

Bien sûr.

Je te crois pas.

Eh bien, tant pis pour toi, je suis même très douée en la matière. Je le sens s’approcher de moi, de mon cou, il souffle dessus, me rendant chaude par la même occasion, et me chuchote à l’oreille.

Dans ce cas, suce-moi si tu as les couilles. Il tente par la suite de me faire céder par des baisers dans le cou et des caresses sur mes jambes dénudées.

Mmm, je… C’est pas possible il y a plein de monde…

Béa, on s’en fou, puis j’en peux plus, je t’ai connue enfant, puis tu as évolué, l’apparition de ces seins, de tes hanches, de ton putain de cul, j’ai pas compris, j’avais envie de te prendre à chaque fois que tu te dandinais sur la place… Dis oui s’il te plaît. Je vais céder s’il continue. Il reprend et dit :

Regarde comme tu me fais de l’effet. Alliant les paroles à des actes, je le sens frotter son érection contre ma cuisse.

Mmmm, je… d’accord, je veux bien. Alliant à mon tour mes paroles à des actes, je me baisse, déjà baveuse et trempée. Sur mes genoux, je commence à déboutonner le jean de Gabriel. Pendant ce temps, il me caresse les cheveux, le visage, tentant sûrement de me rassurer.

Face à son caleçon, je ne peux m’empêcher de dire à voix haute : " Waow ! elle a l’air si grosse, et bonne". Ce à quoi Gab répond par un : " Eh bien, goûte-la, ma belle"

Je ne me fais pas prier et la délivre du dernier tissu ; en la voyant, je ne peux m’empêcher de saliver encore plus, il fait sombre, mais sa silhouette à elle aussi est perceptible, mon Dieu…

Oui, voilà, empoigne-la Béa, puis…

Gabriel, si je fais ça c’est pour te prouver que je suis plus une enfant, c’est pas ma première, arrête de me guider, je me débrouille t’inquiètes pas. A la fin de ces mots, je laisse couler ma langue sur son gland humide, comme si je roulais une pelle à sa queue.

Oh oui ! Vas-y… continue.

Il m’encourage à aller plus loin et lécher sa queue dans sa longueur, voulant m’amuser un petit peu, je décide de jouer le chat. Je lèche et lèche en longueur puis le prend d’un coup en bouche.

Oh putain, petite… Aah ! Tu t’y prends bien en effet. Mais crois pas que je vais te laisser tout faire. T’es pas une gamine ? OK, alors je vais te baiser comme une adulte ma grande. A partir de là, je sens ses mains contre ma tête, il commence à me baiser la bouche tout d’abord lentement puis d’un coup très rapidement.

MMmmm !! J’arrive plus à respirer, mais il a l’air de s’en foutre, non, pire, d’adorer cela, je le sens me fixer, il murmure quelque chose d’inaudible et se retire.

Ce serait con que tu retournes en haut la bouche pleine de mon foutre. Retourne-toi. J’obéis et me retourne. Il me tient par les hanches, me dirige vers ce que je pense être une machine à laver et plaque mon ventre contre.

Ne bouge pas ma petite pucelle, tu risquerais de boiter demain sinon.

Qu-Quoi ?! Et sans crier gare, je sens quelque chose contre mon cul, il va quand même pas me l’enfoncer dans le cul !

Ca va faire mal au début (il se rapproche et chuchote), mais après tu vas en redemander comme la petite salope que t’es, mais que tu caches derrière des airs de sainte. Sur ces belles paroles, il s’enfonce en moi, la douleur est atroce, une déchirure.

A-Arrête Gabr-briel, ça fait trop mal ! A peine ma phrase terminée, il m’assène d’une claque sur le cul et reprend des va-et-vient plus vite. Petit à petit, la douleur laisse place à un vif plaisir, nouveau, qui me prend jusqu’aux tripes.

Annn, oui c’est bon… Gabriel putain…

Tu veux toujours que j’arrête, petite catin ? dit-il, fier et amusé.

Nooo-oon ! Je parle en gémissant, tellement que c’est bon. Je le sens accélérer, plus vite, plus brutalement.

Gabriel, je sens que je vais sombrer !! AAAN !!

Ouais ! Vas-y, jouis petite salope, pense à mon foutre qui va venir te souiller le cul, putain quand je pense que je t’imaginais toute prude, bordel, j’ai la plus grosse chienne face à moi.

Oui oui oui… mmmm !

Putain ! (il claque mon cul) Tu le veux mon foutre ?! Tu le veux alors qu’il y a tout le monde en haut ? Même ta mère ?

Oui, je le veux, remplis-moi !!

Petite catin que t’es ! Tiens ! Prends-le ! Tu me fais pitié !

Je le sens se déverser en moi et je ne peux me retenir de jouir en sentant son sperme chaud dans mon cul… Il m’incite à me relever et je sens sa semence couler le long de mes cuisses.

Ne pense même pas à t’essuyer, on va remonter comme ça, tous les deux, rouges et transpirants, toi, avec mon foutre qui dégouline, pour montrer à tout le monde sur le passage que t’es une vraie salope.

Je suis un peu beaucoup gênée une fois l’excitation passée, je ne dis rien, baisse la tête et avance

Quelle soirée !

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