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Fantasmes… – Chapitre 2




Une annonce diffusée sur un forum aucune réponse sérieuse jusquà un mois plus tard, un mp reçu dune personne étant tombée par hasard sur mon fantasme et ma recherche.

Je suis responsable recrutement dans une entreprise dont le siège est sur Paris et jy proposais un rendez-vous de recrutement coquin pour un instant de plaisir partagé Cette jeune femme de 32 ans était en poste mais lidée lexcitait et elle voulait bien essayer, tout en me prévenant quelle était normalement dun naturel discret et un peu réservé, mais que depuis quelques mois et une situation amoureuse instable, elle se découvrait comme amatrice de jeux coquins. Il nen fallait pas plus

-Monsieur Desired, Sandra de laccueil, Mademoiselle Dessayle vient darriver.

— « Bonjour. Parfait, faites la monter au 15ème étage, je lattendrai aux ascenseurs. »

« Ding » La double porte souvre et je la vois savancer vers moi en souriant, vêtue dune veste sombre couvrant un chemisier blanc, dune jupe et de bottes de cuir noir à talon. Arrivée à 2 mètres elle me tend une main parfaitement manucurée, aux jolis ongles vernis dun rouge sombre parfaitement en harmonie avec des lèvres carmin.

Après les présentations dusage et questions usuelles, nous nous dirigeons vers mon bureau. Il fait encore jour, signe que le calendrier va vers le printemps, et nous pouvons profiter, quelques instants, dune jolie vue sur la capitale qui soffre.

Jouvre la porte et linvite à prendre place en se mettant à laise. Elle dépose son manteau et son sac sur une chaise puis sassoit face à moi. Je décale ma chaise pour me rapprocher et nous débutons lentretien, avec de part et dautre un petit sourire en coin et les yeux pétillants.

Elle joue le jeu de lentretien et débute donc son récit tout en légayant de très jolis et coquins sourires ou gestes. Tantôt passant sa main dans les cheveux en laissant dériver son regard derrière moi, lair légèrement lascive, tantôt jouant de ses jambes dans de délicieux et polissons jeux de jambes me permettant dadmirer à plusieurs reprises la lisière de ses bas, voire entrapercevoir légèrement plus haut de manière très furtive.

A plusieurs reprises elle passe sensuellement ta langue sur ses lèvres dans un jeu de séduction plus quexcitant. Au fil de la discussion, ses jambes se font plus lentes dans leurs jeux, son regard et son sourire plus allumeurs. Elle se prend même à déboutonner son chemisier dun cran.

Elle a pu voir que mon bureau reste légèrement visible de lextérieur et elle peut donc profiter légèrement de cette liberté pour jouer selon son envie.

-« Reste comme ça. » Dis-je dun ton légèrement autoritaire lors dun décroisement/croisement de jambes, la laissant ainsi obéissante et les jambes légèrement ouvertes. Le fait quelle soit au fond de son siège fait que la vue est assez agréable ma foi et je lui le fais remarquer.

Elle rosit légèrement et décide de pousser davantage la provocation à écarter plus largement pour me donner une meilleure vue encore et à se décaler. Je ne peux que men réjouir et apprécie véritablement ce que je ne pouvais quimaginer ou brièvement observer.

La hardiesse et lexcitation de linstant font que ses doigts commencent à effleurer ses cuisses pour remonter très sensuellement.

Je vois ma dernière collègue partir et me faire un petit signe derrière la vitre opaque, signe dune certaine liberté.

-« Daccord, mais véritablement, quest ce qui pourra faire la différence entre votre candidature et les autres ? »

— « Léchancrure de ma robe peut-être ou de mon décolleté. » me répond-elle.

— « Je crains que cela ne suffise »

Elle ne sait pas où je veux en venir car pour elle, nous ne sommes pas seuls dans les bureaux et malgré la folie davoir accepté ma proposition elle reste assez timide et réservée. Elle parait légèrement désorientée, pensant que jai perdu lesprit, mais néanmoins elle se prête à la folie de linstant en remontant encore ses mains, ses doigts jusquà la lisière de ses bas, pour encore un peu plus haut pour poser son majeur sur léchancrure de sa culotte bleue pastel (qui savèrera un tanga quelques instants plus tard), puis, passant dessous en me lançant un regard de braise.

Je devine alors aux mouvements que je perçois une délicate agitation, pensée confortée par un léger soupir évocateur. De sa main elle écarte davantage me laissant admirer son intimité, taillée avec soin, très court ; et dun doigt taquin, apparait alors un coquillage nacré et humide.

Son regard a changé. Elle soulève légèrement son bassin et tire pour descendre son sous-vêtement quelle pose ensuite sur le bureau. Je distingue une tâche plus sombre, signe manifeste de son excitation et prend la culotte pour la porter à mes narines pour que je profite des effluves délicieuses de son intimité. Entre-temps, elle sest réinstallée, les jambes écartées et se caressant langoureusement de sa main, avec douceur, lenteur, tout en restant totalement sérieuse et stoïque. Comme si elle passait effectivement cet entretien mais que sa main ait sa propre volonté de plaisir charnel. Ses yeux sont plongés dans les miens, fixes. Nous continuons et ses réponses sont hésitantes, hachées, mais toujours sérieuses. A plusieurs reprises mon regard plonge sur et dans son intimité pour profiter de ce spectacle érotique et inhabituel dans mon bureau

Sa masturbation est de plus en plus appuyée et des gémissements se font entendre. Une certaine rigidité se fait sentir dans mon pantalon devenu étroit et jouvre volontiers ma braguette. Je me recule pour avoir plus de place et quelle puisse aussi voir distinctement mon émoi. Je me prends en main et me synchronise assez vite avec les gestes de la demoiselle. Elle men laisse peu le temps car je la vois se lever, contourner le bureau pour savancer vers moi.

Une fois devant moi, sans un mot, elle sagenouille, me prend délicatement en main et membouche lentement mais dun coup, jusquà ce que ses lèvres frôlent mon pubis. Puis elle débute des allers-retours tout en jouant avec sa langue et ses lèvres. Je suis toujours assis sur mon fauteuil, elle a posé ses coudes sur mes genoux. Elle alterne les longs et courts mouvements, les léchouilles et me prendre en bouche en variant le rythme de sa masturbation. De son côté, elle se donne toujours du plaisir et jen ressens par moment ses tressautements de plaisir via ses lèvres. Je lui demande de sassoir sur mon bureau, ce quelle fait, lui écarte les jambes et ma langue remplace ses doigts agiles et fureteurs que je prends un malin plaisir à lécher et sucer avant de moccuper de sa petite chatte toute excitée.

Allongée sur mon bureau, moi assis, je positionne ses jambes sur mes épaules pour plus de commodité et je débute un long gamahuchage. Elle monte très vite la miss maintenant et rapidement je dois étouffer ses gémissements par ma main. Je me relève, sort un préservatif de ma poche, linstalle précautionneusement puis dépose mon gland encapuchonné sur son clito, descendant, montant puis me présentant à lentrée de son intimité.

-« Je crois que nous sommes sur la bonne voie Mademoiselle. Ce sont des compétences importantes à évaluer pour que je puisse prendre une décision éclairée. »

Dernier petit clin dil à notre jeu avant que jentre en elle. Elle maccueille sans difficulté ce qui nest pas trop étonnant vu la séance quelle sest faite juste avant et jaccompagne mes mouvements de caresses sur ses jambes, cuisses, ventre pour finir par lui titiller son clitoris maintenant tout dur. Elle est vraiment au bord de lexplosion et tandis que jaccélère très rapidement jai juste le temps de replaquer ma main sur sa bouche pour éviter que les étages au-dessus et en dessous puissent soupçonner notre activité délic(t)ieuse.

Elle hurle littéralement et me mord la main durant son orgasme qui correspond à lexact moment où je jouis en elle, profondément. Nous restons quelques instants qui paraissent long lun contre lautre, lun dans lautre puis nous revenons un peu à nos esprits. Je me retire et enlève le préservatif plein pour le jeter dans ma corbeille. Tant pis, cette preuve restera au moins une partie de la journée dans mon bureau. Elle se relève, descend de mon bureau et sans que jai le temps de réagir, passe sa main sur mon sexe pour étaler les quelques gouttelettes de sperme restantes puis la porte à sa bouche pour goûter, en rosissant légèrement.

-« Quelle soirée de folie. Jaurai vraiment fait des folies de mon corps, pour mon grand plaisir. »

Elle se rhabille correctement tout en laissant son tanga sur le bureau puis se retourne :

-« Serai-je recontacter pour un second entretien Monsieur ? » avec un naturel assez désarmant.

Je ne peux que lui répondre par laffirmative, puis me levant je linvite à me suivre poru que je la raccompagne jusquaux ascenseurs.

-« A bientôt. Bonne soirée Mademoiselle. »

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