Le lendemain matin, disons quelques heures après, il était 10 h du matin, nous avons émergé d’un sommeil réparateur.
Sylvia n’était plus dans le lit, et je percevais du bruit dans la cuisine. Je me suis levé et après avoir mis une robe de chambre, j’ai été la retrouver. Sur le pas de la porte, quel spectacle, Sylvia portait une nuisette transparente, et une culotte qui ne cachait rien de son intimité.
Je me suis approché d’elle, et je l’ai prise dans mes bras.
— Bonjour ma chérie, tu as bien dormi?
— Pas assez, mais ça ira.
Nos lèvres se sont rejointes dans un baiser passionné. elle se serrait fort contre moi et je sentais ma queue se redresser sous la robe de chambre. Elle l’a sentie aussi et sa main est partie dans sa direction.
— Eh bien mon salaud, tu es déjà en forme! Merci pour cette nuit, c’était merveilleux, je ne savais pas que je pouvais être aussi salope, mais j’en avais tellement envie.
Sa main se faisait plus insistante sur mon gourdin, elle me faisait des baisers dans le cou. elle me souffla à l’oreille:
— J’espère que l’on va recommencer, j’ai une envie folle de me faire défoncer. je me suis même branlé cette nuit pendant que vous dormiez.
Elle se frottait de plus en plus contre moi et je sentais ses seins et ses tétons se gonfler de plaisir.
— Je ne te connaissais pas cette nuisette? tu n’en mets jamais.
— C’est une surprise, tu aime?
— Oh oui! et je pense que je ne serai pas le seul.
— C’est ce que je veux! Je te l’ai dit, j’en veux, et partout.
A ce moment Arnault est entré dans la cuisine, et apparemment le spectacle a du lui plaire, car il s’est collé à elle par derrière en l’embrassant dans le cou.
Elle à tourné la tête, et leurs lèvres se sont jointes dans un baiser fougueux.
— Baises moi, j’ai envie de ta grosse queue au fond de moi.
Arnault m’a regardé et je lui ai fait un signe de tête, pour lui donner mon assentiment.
Sylvia m’a ouvert ma robe de chambre et après avoir embrassé le torse, s’est penchée sur ma queue raide et prête à l’emploi.
Arnault lui a glissé la main entre les cuisses, écartant le petit rempart qui le séparait de sa chatte déjà bien mouillée.
Sa bouche s’était emparée de mon sexe et elle me prodiguait un fellation digne d’une pute experte, léchant toute la longueur, et me suçant le gland.
Sa respiration devenait de plus en plus rapide, et elle émettait des ronronnements très subjectifs.
Arnault avait ouvert son pantalon, et lui frottait sa grosse queue tout le long de sa chatte.
Ses râles devenaient de plus en plus fort et entre deux enfournements elle a supplié.
— Baises moi salaud, défonces moi comme cette nuit, je veux prendre mon pied comme une salope.
Ses paroles m’excitaient un maximum, je ne savais pas qu’elle était capable de parler comme cela. Et surtout je ne me doutais pas qu’elle pouvait être aussi dévergondée.
Arnault lui a enfoncé son engin sans problème, tellement elle était mouillée. Ses cris s’accentuaient, étouffes par ma queue dans sa bouche. Elle s’activait de plus en plus et je sentait que l’issue n’était pas loin. Je me sentais gonfler et était au bord de l’explosion.
A ce moment là Arnault, qui appréciait me dit:
— Elle est vraiment très bonne, je vais tout lui mettre au fond à cette pute, si elle veut être défoncée, elle va être servie.
Elle a relevé la tête et nous a dit:
— Oui allez y, remplissez moi de tous les cotés, ce sont mes étrennes, videz vous les couilles, baisez moi comme vous le voulez.
Arnault a émis un son rauque, attestant qu’il n’était pas loin de l’issue.
Sylvia m’astiquait de plus en plus vite, et m’aspirait comme jamais elle ne l’avait fait. J’entendais ses cris et je n’ai pas pu résister à m’épencher au fond de sa gorge.
Arnault m’a suivi de très peu, et elle est partie dans un orgasme qui a duré une éternité.
Elle nous a nettoyé la queue avec application, avalant la moindre goutte qui sortait encore de nos sexes qui ramollissaient. Elle serrait les jambes pour éviter que le jus d’Arnault ne coule sur le carrelage de la cuisine.
Elle s’est éclipsée vers la salle de bain pour nettoyer son minou bien rempli.
A son retour, elle nous à roulé une pelle d’enfer et nous a dit:
— Allez on déjeune maintenant, tout ça ça m’a mise en appétit, il faut que je reprenne des forces, j’ai pas l’intention d’en rester là, il va falloir assumer.
A suivre…..