1.

Comme chaque soir, après avoir fermé mon pc, et avoir rangé mes papiers sur mon bureau, pour quil soit net pour recommencer le lendemain, je mis mon veston, attrapai mes clefs de voiture et mon attaché-case en main, puis je me dirigeai vers lascenseur, et appuyai sur le bouton « -2 ». C’était la même routine, depuis des années. Je réfléchissais déjà à ce que jallais manger le soir, en arrivant à mon flat, vide de toute autre présence humaine que la mienne. Je savais que je regarderais à la TV deux épisodes de ma série préférée, on était mardi soir, puis jirais dormir, et demain matin cétait reparti, boulot, métro, dodo routine qui était la mienne, et la même !, depuis ma sortie de luniversité.

Un petit « ding » me tira de mes pensées, tandis que lécran digital affichait « -2 » et que les portes de lascenseur souvrirent. Je sortis, me retrouvant dans le garage, dans le sous-sol de lentreprise où jétais cadre depuis une dizaine dannées, et me dirigeai vers mon emplacement de parking. Jentendis le bruit dun moteur qui démarrait sur ma gauche, mais ny fis pas plus attention, cétait normal dans un garage. Jappuyai sur le bouton de ma clef, et les quatre feux clignotants orange de ma voiture sallumèrent, mindiquant quelle était ouverte. Cétait une voiture de société, une berline, mais la plus petite de sa gamme. Jétais cadre moyen, et navais ni le courage ni lambition daller plus loin, plus haut. De toute façon, étant introvertis et mal à laise en société, je navais pas lagenda remplis damis, pas de contacts, ce qui était un frein à tout évolution de carrière. Jouvris distraitement mon coffre, sans prêter attention au bruit de moteur derrière moi. Je déposai mon attaché-case dans le coffre, en ayant pris une décision importante : je marrêterai au « Canard laqué » pour me prendre les nouilles maisons. Ce sera mon repas de ce soir. Satisfait davoir pris cette décision, je claquai le coffre.

Il me fallut plusieurs secondes pour réaliser que la vitre du coffre ne me renvoya pas que mon image, mais aussi une autre. Effrayante. Une sorte de cagoule noire, trouée au niveau des yeux et de la bouche. Une bouche tordue en un étrange rictus. Et cette personne cagoulée était juste derrière moi. Avant que je puisse bouger, un chiffon atterrit sur mon visage, tandis que des bras puissants mencerclèrent, me tenant fermement et tenant fermement le chiffon contre mon nez je ne pouvais rien faire dautre que me débattre, mais mollement je nétais pas un fervent sportif, et navais pas beaucoup de force, contrairement à mon agresseur. On me tirait en arrière, tandis que jentendis vaguement le bruit dune porte coulissante, comme celle d’une camionnette, derrière moi La tête me tournait, il y avait une drôle dodeur dans le chiffon quon pressait contre mon visage un silhouette, toute noire, se dirigeais vers ma voiture, tandis que jétais jeté sans ménagement dans une camionnette La tête me tournait de plus en plus, mes yeux se faisaient tellement lourds je perdis conscience, et ce furent les ténèbres totales

Je reprenais doucement conscience. Ma tête reposait contre quelque chose de dur, dinconfortable. Une table, style table de réunion. Jétais assis, sur une chaise en plastique, inconfortable elle aussi. Où étais-je ? Que sétait-il passé ? Mes souvenirs me revenaient doucement. Je sortais du bureau, comme chaque soir, jétais dans le parking, face à ma voiture bon sang, le reflet du gars cagoulé derrière moi mavait-on enlevé ? Pourquoi ? Je navais aucune notion de temps. Depuis combien de temps étais-je ici ? Je regardais autour de moi. Jétais dans une pièce carrée. Les murs de bétons, assez brut, étaient juste recouvert dune peinture grise. Le sol revêtu de vinyle, dun gris vert triste. Un peu comme dans une école. Ou une administration. Jétais assis, mes coudes et ma tête reposant sur une table de réunion, rectangulaire, encadrée de deux chaises en plastique noir, face à moi, plus celle sur laquelle jétais assis. Face à moi, derrière les deux chaises, vers le milieu du mur, il y avait une porte métallique grise. Sur ma gauche, un grand miroir prenait quasiment tous le mur. Une sorte de miroir encastré dans le mur de béton. Il me renvoyait mon image. Jétais en chemisette, chaussette et caleçon. Pas de trace de mes autres vêtements, de mon attaché-case. Pas dautre mobilier dans la pièce, sauf une fontaine à eau avec des gobelets en plastique blanc. Pas de fenêtres, mais deux néons blancs, long, suspendu au plafond. Après quelques instants de réflexion, je me dis que cette pièce ressemblait à celles où les policiers interrogeaient les suspects, dans les séries policières que je regardais à la TV Je me surpris même à imaginer quil y avait deux types qui me regardaient à travers le miroir, qui pourrait être une vitre sans teint, ou à sens de vision unique pfff, je regardais trop la télé ! Il fallait que je comprenne ce qui se passait. Je voulus me lever, mais la tête me tournait encore je me rassis, reprenant mon souffle et attendant que le malaise sestompe

* *

Derrière le miroir sans teint, ils étaient bien deux à observer lhomme. En chaussette, caleçon et chemisette, il venait de se réveiller. Il regarda autour de lui, cherchant à savoir où il était.

— Vous êtes certain de votre coup, James ?

— Sûr et certain. Cest le sujet idéal pour notre expérience. Pas de conjoint, pas damis, pas de famille proche. Sa disparition nalertera pas grand monde, personne pour poser des questions embarrassantes. Il a les vices que nous recherchions. Avec le ZX33, il devrait être capable daller là où nous voulons lamener.

— Je naime pas trop ça, James. Enfin, vos programmes secrets ont toujours été efficaces jusquici, et ont toujours atteint les objectifs fixés. Mais pas de bavure ! La presse et le public ne doivent jamais savoir que nous faisons disparaître des citoyens pour faire ce que nous devons faire ! Vous réussissez, ou vous le faites disparaître, cest clair ?

— Il ny aura pas de bavure, je sais ce que jai à faire. Cest à cette condition que le ministre de la défense et celui de la justice nous soutiennent. Jamais de témoins. Regardez, il essaye de se lever. Les effets du sédatif agissent encore. Mais vous allez voir, dans cinq minutes il va en boire. Alors, nous pourrons commencer.

* *

Doucement, le monde arrêta de tourner follement autour de moi, le malaise se dissipait. Je pus me lever. Et faire quelque pas. Jétais encore légèrement étourdi, mais ça allait mieux. Mon premier réflexe fut de marcher vers la porte, que jessayais douvrir. Evidemment elle était fermée. Mon regard tourna encore sur tous les murs et le mobilier de la pièce, avant de se poser sur la fontaine à eau. Je me rendis alors compte à quel point javais soif. Javais la bouche toute sèche, sans doute un effet du sédatif quils mavaient donné. Jhésitais un peu, puis me dirigeais vers la fontaine à eau. Je pris un gobelet, puis hésita à nouveau et si leau était empoisonnée ??? Mais javais tellement soif et puis, en réfléchissant, ça navait pas de sens, sils avaient voulu me tuer, je serais sans doute déjà mort, javais été à leur merci, totalement inconscient donc il était tout à fait illogique que leau soit empoisonnée. Je pressais le gobelet contre le pressoir, et leau claire coula dans le gobelet. Je le portais dabord à mon nez, reniflant, et ne sentant rien de particulier, je bus. Dune traite. Leau était bien fraîche, et navait aucun goût particulier. Jattendis cinq minutes. Pas de crampes au ventre, ni de nausée. Je me resservis un second gobelet, le bu, puis fit le tour de la pièce. Je retournai vers la porte, cognais de mes poings dessus, criant pendant plusieurs minutes « Ya quelquun ? » « Je suis enfermé ici, venez mouvrir ! » « Au secours !!! » Mais rien, aucun bruit de lautre côté de cette porte métallique. Depuis le début, le seul bruit qui se faisait entendre était le ronronnement de lair climatisé. Finalement, je retournais masseoir. Je regardais distraitement le gobelet vide, la tête pleine de questions. Où étais-je ? Que me voulait-on ? Combien de temps devrais-je attendre ici ? Pourquoi moi ?

Je sentis ma transpiration qui saccentuait. Le stress, langoisse ? Il faisait plus chaud ou plutôt, javais plus chaud Javais aussi des fourmis dans le bas-ventre, une drôle de sensation mais je ne pus analyser cette sensation, un bruit nouveau se fit entendre dans la pièce. Je regardais sur ma droite, un écran descendait du plafond. Une fois totalement en place, il salluma, une image fut projetée. Cette image était un « print screen » provenant dun ordinateur. En même temps, une voix, qui métait totalement inconnue, se fit entendre, venant dun petit baffle, près de la porte, que je navais pas remarqué avant. « Vous êtes Monsieur Eric V, né le 15 septembre 1978, célibataire, employé par la société L. M. ltd, votre numéro de carte didentité est le .. et votre numéro de permis de conduire est le . Nous savons tous sur vous, il est inutile de nous mentir. Nous avons trouvé votre trace par ce biais. » Jétais abasourdi du fait quils connaissaient tant de chose sur moi. Je regardais lécran plus attentivement, et compris que cétait un historique de navigation Internet. Soudain, je pâlis. Puis rougis. En lisant les intitulés des sites, je compris bien vite que cétait mon historique de navigation internet. Remplis des sites que jaimais consulter, quasi tous à caractère pornographique. Et oui, cétait ma perversité, mon « côté obscur ». Mais jai des circonstances atténuantes. Ma vie sociale et sentimentale étant un échec, il faut bien que je calme mes pulsions sexuelles. Toutes mes expériences avec des femmes (et elles furent peu nombreuses) nayant pas été très satisfaisante, je nai jamais été un foudre de guerre au lit malgré que jaime énormément le sexe. Je vivais donc tout en fantasmes. Fantasmes devenus bisexuels, nourris par la pornographie trouvée sur Internet.

Sur lécran, une souris cliqua sur un site au hasard. La page se chargea, une vidéo que javais visionnée la veille. Un jeune type, plutôt svelte, en pantalon et chemise, entre dans le bureau dune superbe femme. Les cheveux bruns, un décolleté bien remplis. Il veut lui apporter un dossier, mais comme il mate le décolleté de la brunette, il renverse ses dossiers. Fâchée, la femme se lève et enguirlande le type. Elle a une robe serrante et courte, une grosse poitrine et des jambes de rêves. Elle fait signe au gars de ramasser les dossiers. Il sagenouille, et le fait, mais en même temps il regarde sous la robe de la fille, qui porte un string transparent noir, dans lequel un joli pénis repose. Une trans ! Voulant punir le voyeur, elle le prend par la chemise et le pousse sur le bureau. Elle relève sa robe, et fait sortir son pénis de son string. Elle se lastique, jusquà ce quil bande, puis le porte à la bouche du gars, et elle loblige à le sucer Il nhésite pas longtemps, et suce cette verge qui prend de belle proportion Le gars sabandonne de plus en plus, prenant la verge qui va et vient dans sa bouche avec de petits bruits de succion évocateurs. La vidéo continue, le gars a le pantalon et le caleçon enlevé, et la superbe trans le tient par ses jambes relevées. Elle donne quelques claques sur les fesses du type, puis présente son membre luisant de salive entre les fesses du gars. Elle caresse lanus avec son gland quelques instants, puis elle enfonce sa verge bandée à souhait dans le cul du gars. Puis elle va et vient en lui, dabord lentement, puis plus rapidement, tout en ouvrant son chemisier pour sortir et se caresser les seins,

Bon sang, malgré la situation je commence à bander ! La voix reprit.

« Nous sommes une brigade gouvernementale luttant contre les cyber crimes et cyber terrorisme. Nos robots ont capté votre adresse IP. Vous avez regardé des sites prohibés et avez hacké des sites commerciaux à caractère pornographique, pour télécharger des vidéos sans les payer. Vous avez utilisé les ordinateurs mis à votre disposition par votre employeur pour assouvir votre vice, alors que vous occupez un poste à responsabilité. »

Limage revient sur lhistorique de navigation, le curseur clique sur un autre site. Ici une blonde se fait prendre par deux types, tout en en suçant un troisième. Le gros plan se focalise sur son sexe humide et béant, dans lequel senfonce une grosse bite de couleur noire, tandis quune autre lui ramone lanus. Elle couine de plaisir, tandis que son sexe shumidifie de plus en plus. Le gars quelle suçait se retire en un coup, et éjacule sur ses seins. Les autres se vident en elle, puis se retirent, et limage vient en gros plan sur ses orifices béants, doù coulent du sperme, blanc laiteux. Retour à lhistorique. Puis un autre site est ouvert. Une fille plus âgée est à quatre pattes au sol, puis apparaît un grand chien noir. Il lui monte dessus, et elle se fait saillir. La caméra zoome sur son sexe trempé, dans lequel senfonce le sexe très rouge du chien. Retour à lhistorique. Un autre site, où une superbe trans, blonde, avec des dessous très coquins suce avec délectation une très grosse verge, qui éjacule un foutre abondant dans sa bouche et sur son visage. Retour à lhistorique. Deux jeunes filles sont sous un cheval, branlant et léchant son sexe énorme. Elles sont nues. Soudain, le gros mandrin foncé semble se cabrer, et un jet abondant de sperme en jaillit, maculant une des deux filles sous les rire complices de sa copine. Retour à lhistorique. Un autre site encore. Un type avec un corps très baraqué est en maillot de bain, sur une chaise longue, au bord dune piscine. Un autre homme arrive, plus jeune, moins costaud. Lui aussi en maillot de bain. Ils se sourient, et le plus jeune sassied près du gars costaud. Il commence à tâter ses biceps, puis les caresse, avant que ses mains ne se posent sur la poitrine musclée du gars. Il le caresse tendrement, avant de lembrasser. Sa langue descend vers ses tétons, quelle parcourt, entoure, puis descend vers son ventre, et le bord du maillot dans lequel on voit une jolie bosse

« Ces preuves sont déjà accablantes. Mais ce nest pas tout. Suite à ces visionnages, vous vous êtes adonné à des pratiques déshonorantes et prohibées dans un lieu publique ».

Limage des deux gars disparaît, remplacée par une autre, moins nette. Image prise par une webcam vu la qualité. Webcam qui filme les wc de lentreprise où je travaille ! Et même plus, limage se focalise sur la cabine wc où où on me voit, par en haut, me masturber frénétiquement, le pantalon et le slip descendu à mes chevilles, et éjaculer dans une feuille de papier wc ! Les images se suivent, moi dans différents costumes, avec différentes chemises, pour montrer les jours, semaines qui passent, mais toujours me branlant dans les wc ! Comment avaient-ils pu filmer ça ???

« Tous ceci représente 12 infractions au code civil national, 4 infractions au code pénal national, 15 infractions au code de votre état, et 2 infractions au droit international. Vous êtes un pervers, inutile à la société. Un pervers criminel, qui va devoir payer sa dette à la société. »

Le rouge aux joues, je déglutis. En même temps, comment démentir cette voix ? Les images parlaient delles-mêmes. Sans compter le fait que malgré tout ça, je ne pouvais mempêcher de bander, et de mouiller mon sous-vêtement de mon pré-sperme, ce quindiquait de façon très visible une petite tache à lendroit où la bosse atteignait son paroxysme dans mon caleçon La voix se tut, et la vidéo de moi me branlant dans les toilettes disparut, revenant à la précédente vidéo. Le jeune garçon avait déjà sorti la verge du gars musclé, une verge dune belle grosseur, et la léchait timidement les larmes me montèrent aux yeux, et je murmurais dabord, puis criais « Pitié ! Pitié !!! »

« Un agent gouvernemental va venir vous trouver pour traiter votre dossier. Coopérez avec lui, pour ne pas aggraver votre cas. »

A nouveau la voix se tut, puis un bruit de clé se fit entendre et la porte souvrit. Un gars entra, un dossier à la main. Il semblait costaud, et était habillé dun jeans, chemise, veston. Ses cheveux blonds étaient coupés courts, à la brosse. Il sassit en face de moi.

— Monsieur V., comme vous venez de lentendre votre cas est grave. Extrêmement grave. Nous ne pouvons plus tolérer les cas comme le vôtre.

Je déglutis.

— Vu le nombre dinfractions commises, vous encourez la prison à vie après castration chimique, ou bien lextradition vers le pays où sont les sites que vous avez hacké. Vous savez que ce pays pratique encore la peine de mort, nest-ce pas ?

— Je je voudrais téléphoner à mon mon avocat

Le gars me regarda droit dans les yeux. Puis menvoya une gifle magistrale, qui me fit tomber au sol.

— Cest trop tard ! Il ny a plus davocat, plus de recours, plus de droit Vous êtes déjà mort, monsieur V !

Sur lécran, la tête du jeune homme allait et venait le long de la verge du gars costaud, quil suçait jusquà la garde, son menton frottant les testicules poilues du type. Pourquoi ne coupaient-ils pas cette foutue vidéo ! Comment me concentrer avec ces bruits de fonds érotiques ?

— Déshabillez-vous !

La tête me tournait encore. Je me sentais stone, perdu. Il y a quelques heures je sortais tranquillement de mon bureau, dans ma routine habituelle. Et puis tout ça. Je regardais le type, un peu halluciné.

— P Pardon ?

— A poil !

Il tapa sur la table en élevant la voix. Apeuré, un peu perdu, jobéis, enlevant mes chaussettes, mon caleçon et ma chemisette. Il fit un signe de la main, et je me relevais, entièrement nu. Le sexe bandé.

— Et malgré tout ça, tu bandes encore ? Ce sont les images qui te font ça ? Tu aimes ça ?

Sur la vidéo, le jeune homme léchait avec passion les testicules du gars plus costaud. Puis revenait sur sa verge, léchant la hampe, le gland, avant de lenfourner dans sa bouche.

Le blond me regardait, je ne savais pas où me mettre.

— Tu aimes ça, sucer des bites ?

— Heu Je Je nai je nai jamais pratiqué

Il bougea la tête de gauche à droite.

— Vous êtes fini monsieur V. Votre vie de pervers ne tient plus quà un fil.

A moitié pris entre lexcitation et la peur, je sanglotais, murmurant « Pitié ! », « Pitié ! ».

Le gars me regardait encore plus intensément. Son sourire me semblait carnassier, comme celui de la cagoule noire qui mavait enlevé.

— Vous êtes fini à moins de coopérer avec nous La seule façon déviter la prison avec castration, ou la mort, cest de travailler pour nous.

— Mais mais et mon boulot ma vie davant

— Quoi ? Ta vie de pervers et de criminel ? Elle nexiste plus !

Il se tourna, et sortant une petite télécommande, il zappa vers lécran. Limage de la verge du gars costaud senfonçant en gros plan dans la bouche du jeune disparut. A la place arrivèrent les informations du soir. Je reconnus la jolie journaliste qui présentait les infos, chaque soir de la semaine. Elle annonçait un accident mortel dans mon entreprise ? Le reportage fut lancé et on voyait le garage de ma firme, où javais été enlevé, avec ma voiture en feu ! Les pompiers étaient présents, luttant pour éteindre le brasier. Puis le reportage cessa et le journaliste apparut devant ma voiture calcinée, entourée par des officiers de police. « Ce serait un faux contact qui aurait embrasé la voiture, selon les premiers indices de lenquête. La seule victime de cet accident, Monsieur Eric V., aurait péri brûlé, nayant pas eu le temps de sortir du véhicule. Le corps est trop endommagé pour être formellement reconnu, mais un témoin la vu entrer dans son véhicule avant que le moteur nexplose et que le feu se propage à lhabitacle. Ces cas de faux contacts sont rares, mais il y a déjà eu des précédents, comme à »

Le reportage continuait, mais je ny prêtais plus attention. Jétais abasourdi. Mort ? On me considérait comme mort ? Ma vie davant était finie ? Terminée ?

Sur lécran, les images revinrent vers la vidéo, le jeune continuant à sucer la belle verge du gars costaud. Ce dernier tenait la tête du jeune entre les mains, et faisait aller et venir sa tête le long de son sexe bandé, de plus en plus mouillé de salive Le blond avait vu que mon regard restait scotché sur lécran.

— Pas de doute, tu as lair de vraiment aimer ça, sucer des bites

Je navais jamais fait ça avant. Cétait un fantasme qui était apparu en même temps que ma bisexualité. Avant, je me pensais hétéro, mais à force de regarder la pornographie, jen étais venu à aimer aussi les hommes, les transgenres, tout. De plus, javais pris lhabitude de regarder des sites spécialisés en travestissement, femboy, sissy, avec ces garçons efféminés ou ces jolies femmes avec pénis qui léchaient, suçaient de jolies verges bandées, qui buvaient et avalaient le sperme Cela mexcitait beaucoup, et avait nourris mon fantasme. Jallais alors plus loin, regardant des vidéos dhypnose, pour devenir plus féminine, devenir accroc au sexe, au sperme, à avoir une bite dans la bouche ou dans le cul. Ces vidéos avaient un impact tellement puissant sur moi que parfois je rêvais que jétais habillée en fille et que jétais un objet sexuel pour trois ou quatre beaux garçons mais je navais jamais osé en vrai. Jen étais là de ma perversité avant quils ne menlèvent.

– A genoux ! Tu vas apprendre à obéir, ce sera ta tâche principale !

Tremblant, je lui obéissais, et magenouillais, près de lui. Il mattira brutalement contre lui. Il força ma tête à se poser sur ses jambes. Il la maintenait fortement.

— Tu vas voir, ce ne sera pas si terrible. On va pouvoir utiliser ta perversion pour le bien publique. Tu pourras laisser sortir cette femme quil y a en toi. Tes fantasmes. Tout. Tu nauras plus à réfléchir, prendre des décisions, tout ça, trop compliqué. Juste obéir. Et tu en auras même du plaisir, tu verras.

Ses paroles rejoignaient les mantras des vidéos dhypnose. Obéir. Pas de soucis. Pas de décision compliquée à prendre. Laisser sortir la femme en moi, et obéir aux vrais mâles. Et avoir du plaisir. Oui, ces paroles remplissaient ma tête, la voix du gars faisant écho à celle des vidéos vues durant des heures, au bureau ou chez moi. Ma tête sur sa cuisse, mes yeux étaient tournés vers son entrejambe, doù semblait me parvenir une odeur forte, virile, qui menivrait. Mais que se passait-il ? Javais des fantasmes, mais je ne me sentais pas plus gay que ça. Et là, je me sentais excité. Par cette odeur dhomme. Mes yeux captèrent un renflement dans le jeans. Serait-ce là que reposait sa verge ? Certainement, lodeur virile venait de là !

— Alors, arrête de penser, de réfléchir. Juste obéir. Répond à ma question, maintenant tu aimes sucer des bites ?

Plus penser. Suivre mon excitation, cette voix à lintérieur de moi. Je déglutis, et dune petite voix, je fis « oui je je crois que jaime sucer des bites »

— Bien

Il ouvrit le bouton de son jeans puis les boutons de sa braguette le jeans sécarta, dévoilant la hampe de son sexe. Il ne portait pas de sous-vêtement. Ma tête sur sa cuisse était à quelques centimètres de ce membre de chair. Un coup de chaleur menvahit il ne bougeait plus, attendant que je fasse quelque chose lodeur de sa verge mhypnotisait. Jétais à quelques centimètres de mon plus grand fantasme ! Doucement ma main bougea et se posa sur la chair tiède de son membre. Je le caressais timidement, avant de le dégager du jeans. La peau était si douce, et si chaude Je le sentais palpiter, et doucement durcir entre mes doigts quelle sensation ! Je le branlais doucement, il durcit encore plus javais des papillons dans le bas ventre, et bandais comme un fou. Je dégageais aussi ses testicules, que je caressais doucement. Il poussa doucement ma tête vers la base de sa verge, son odeur dhomme menivrait, je perdais le contrôle Je fermais les yeux, ma langue sortant delle-même de ma bouche et se posant sur sa hampe, montant millimètre par millimètre ma langue sur la peau de son sexe était une sensation délicieuse ! Elle parcourut cette hampe veinée, sattarda sur le frein, puis lécha le gland, plus doux, qui sentait plus fort, il sentait le mâle, le vrai. Les fourmillements sintensifièrent dans mon ventre. Jétais excité comme jamais je ne lavais été. Je léchais son gland, tout le tour, revint sur le frein. Une petite goutte transparente apparut sur la petite fente au-dessus du gland. Ma langue alla cueillir cette petite perle au goût salée puis jouvris la bouche, et son gland y entra doucement, puis sa hampe. Il me guida, car cétait une première pour moi, ma tête allant doucement, le long de sa verge, jusquà la moitié plus ou moins, puis remonta, redescendit il caressait ma tête, guidant doucement la cadence, qui accéléra je pus le prendre un peu plus loin. Son gland raclait le fond de ma gorge, puis disparut, le long de ma langue, avant de revenir, puis de redisparaître doucement la cadence saccéléra au moment où je sentis un premier jet chaud dans le fonds de ma gorge, je jouis moi-même, mon sperme coulant sur le sol. Un second jet remplis ma bouche. Le goût était fort, salé, inattendu mais il y en avait trop, cétait la première fois, je commençais à paniquer jeus un léger haut-le-cur, une sorte de peur dêtre asphyxié je partis donc en arrière, la bouche ouverte, du sperme coulant sur mon menton, tandis que je toussais. Le gars venait encore, dirigeant son sexe vers mon visage. Je sentis sa liqueur chaude atterrir et couler le long de mes joues Lorsque jouvris les yeux, il me tendait un paquet de mouchoir.

— Pas mal pour une première fois, mais il te faudra plus dentraînement, pour parfaire ta technique.

* *

Par le miroir, les deux hommes regardaient Eric, toujours au sol, qui sessuyait le visage. Le dénommé James se tourna vers lautre :

— Cest leffet du ZX33, qui était dans leau quil a bu. Deux gobelets ont suffi. Cette drogue combine un aphrodisiaque et une molécule qui désinhibe, un peu comme le ferait lalcool. De plus, comme lalcool, la molécule altère le jugement. Ce monsieur a cru tout ce quon lui a dit. Il na pas raisonné sur la disproportion entre la peine et la condamnation, ni sur le fait quil est entièrement hors cadre juridique. Les vidéos lon convaincu de sa culpabilité, tout en éveillant ses fantasmes. Il a suffi à le mettre en condition, comme dans une de ces vidéos dont il était fan : le méchant policier qui le force à faire des choses sexuelles quil ne ferait pas autrement. Tout en répétant les "mantras" des vidéos d’hypnose que nous avons trouvés dans son historique de navigation. Et il est parti.

— Je reconnais que cest impressionnant. Votre nouveau produit de suggestion nous sera utile pour les interrogatoires ou formation dagent double. Jy vois aussi dautres usages. Cest du beau travail, James. Et lui ?

— Sa voiture a réellement été brûlée, avec un corps dedans. Un anonyme non réclamé, en partance de la morgue pour la fosse commune. Le leurre parfait. Tout le monde croit Eric V. décédé. On peut donc le garder, pour tester les effets du ZX33 dans la formation dagents spéciaux.

— Il ny a pas de risque de dépendance au produit ?

— Non, les doses sont plus fortes au début, pour les premières missions. Puis on diminue petit à petit, cest la libido des individus, altérée par le produit, qui prend le relais.

— Altérée ?

— Oui, la libido reste à jamais haute. Les sujets au ZX33, même sans apport du produit, restent toujours sexuellement excités, et veulent continuer à vivre leur fantasme, les laisser supplanter la réalité. Ils perdent toute notion de pudeur, de honte, de morale. A nous à bien utiliser cela !

* *

Jessuyais mon visage avec un mouchoir, que je froissais et tint en main, vu quil ny avait pas de corbeille dans la pièce. Le mouchoir était chaud et humide, imbibé de sperme. Lodeur restait forte, sur mon visage, cela menivrait, javais un peu la tête qui tournait.

— Relève-toi !

Je me levais.

Il ouvrit sa farde et me montra des documents, que je signais sans lire. Jétais ailleurs. Difficile de me concentrer. Pas envie de toute façon. Je signais tous les papiers, il les examina, puis, satisfait, il rangea le tout, et se leva à son tour.

— Tu travailles pour nous, félicitation ! Eric V. a tout à fait disparu. Maintenant on va tappeler mmm Erika. He, he, ça sonne bien. Suis-moi, Erika !

Il sortit dans le couloir, je le suivis. Je ne pensais même pas au fait que jétais nu, de toute façon, nous ne croisâmes pas grand monde. Le couloir semblait long, les murs tout en béton aussi, la même peinture grise, le même vinyle, le même éclairage, les mêmes portes à différents endroits. Nous prîmes plusieurs embranchements avant darriver devant une porte, que le blond ouvrit en tapant un code sur une console. Toutes les portes étaient équipées du même dispositif. Il entra dans la pièce et je le suivis. La pièce ressemblait à une infirmerie, et sentait dailleurs fort léther. Une infirmière, gentille plutôt que dêtre jolie, minvita à me coucher sur le lit. Jobéis, sans poser de questions. On plaça un masque sur mon nez et ma bouche. Lodeur du sperme que javais dans les narines fut doucement remplacée par une autre odeur. Ma conscience, déjà fort légère, disparut peu à peu et mes yeux se fermèrent doucement.

* *

Lorsque je méveillais, jétais couché dans un bon lit, bien confortable. Devant moi, une porte, ouverte, donnant accès à une petite salle de bain. Sur ma droite, une table avec deux chaises, un bureau avec un ordinateur dans un coin, et la même porte métallique que dans les autres pièces. Je tournais la tête de lautre côté, sur ma gauche, et vis un meuble avec un grand miroir, de nombreux objets de maquillage, et un présentoir avec plusieurs perruques. Mais ce qui retenait mon attention, cétait mon reflet dans le miroir. Cétait bien mon visage, mais mon crâne navait plus un seul cheveu. Il était tout lisse, presque luisant Je me levais du lit. Jétais nu, et je constatais que je navais plus un poil nulle part. Javais aussi une cicatrice sur lavant-bras gauche.

Jallais jusquà la porte, fermée, évidemment. Je me dirigeais ensuite vers lordinateur, et lallumais. Pas dinternet, juste des raccourcis sur le bureau : « Maquillage », « Perruque », « Habillement », avec à chaque fois des vidéos et des textes pour apprendre à bien se maquiller, se poudrer, bien mettre une perruque, comment mettre un soutien-gorge, des jarretelles. Il y avait un dernier raccourci. « Divertissement ». Je louvris, il y avait des tas de vidéos, des vidéos dhypnose, de trans, toutes mes vidéos préférées jen cliquais sur une au hasard. Un jeune gars, habillé en fille, était dans une cabine wc. Le string descendu sur ses chevilles. Soudain, par un trou dans la paroi, une superbe verge apparaît. Il commence à la toucher, la caresser. On voit sur son visage le plaisir quil a à poser sa main sur cette verge, chaude, dure Il sagenouille, et commence à la lécher, puis à la mettre en bouche, il suce, lèche, savoure ce membre, jusquà ce quil éjacule dans sa bouche, sur son menton je bandais instantanément en voyant la vidéo.

Je coupais lordi et me levais. Sur le côté, il y avait encore une fontaine à eau, comme celle dans la pièce où javais rencontré le blond. Ayant soif, je bu un gobelet d’eau. Je revins près du lit, examinant les accessoires sur la coiffeuse. A côté de celle-ci, il y avait une garde-robe, je louvris mis elle était vide soudain, jentendis du bruit du côté de la porte, qui souvrit. Le blond entra, avec un autre type, qui avait des cheveux châtains, eux aussi coupés à la brosse. Ils portaient tous deux des pantalons en toile, et des t-shirt qui moulaient leurs torses musclés.

— On dirait que la Belle au bois dormant sest éveillée.

Tous deux me regardaient. Mon corps sans poils, nu, était littéralement dévoré par leurs regards que je sentis tout de suite concupiscent. Et le pire, cest quen plus de la honte, jen ressentais de lexcitation. Dêtre désiré par ces deux mâles. Le blond me lança un paquet, qui atterrit sur le lit.

— Allez, enfile ça pendant que je texplique les règles de la maison.

Jouvris le paquet, éberlué de voir ce quil y avait dedans. Un string noir, semi-transparent, une sorte de soutien-gorge noir, avec de larges fentes au milieu des bonnets, des bas résilles. Jhésitais, mais vis tout de suite au regard quil me lançait que javais plutôt intérêt à obéir.

— Interdiction de te promener seul dans les locaux. De toute façon la porte est fermée, tu ne sauras pas sortir. Moi, lagent 06, et lagent 09, ici présent, seront tes instructeurs.

Tout en lécoutant, je passais le string, une jambe, puis lautre, puis je le montais. Ils ne me lâchaient pas des yeux. Le triangle noir contenait à grand peine mon sexe à demi-bandé, et je mis bien la ficelle entre mes fesses.

— Cest moi ou 09 qui tapporterons ta nourriture, en milieu de matinée, et le soir. Ya que deux repas, mais ils sont consistants, vitaminés et protéinés pour garder la forme. Des hormones féminines seront injectées à ta nourriture, elles vont rendre ton caractère plus féminin mais aussi ta taille, et tes seins vont grossir. Pour boisson leau de la fontaine. Ni alcool, ni boisson sucrée. Tu auras, au début, un complément dhormone à prendre avec le premier repas, pour gagner du temps. Dici quelques semaines, ce complément ne sera plus nécessaire. On te donnera les vêtements aussi, mais au fur et à mesure des besoins.

Je passais le premier pied dans le bas, et le fit glisser le long de ma cheville, puis le nylon noir passa mon genou, enfin il se déroula le long de ma cuisse, sarrêtant à mi-cuisse. Cest la première fois que jen mettais, quelle étrange sensation ! Le nylon contre ma peau toute glabre, toute douce Cétait des bas élastiques, et je dus batailler un peu pour le mettre bien droit. Ce nétait en fait pas si facile que ça ! Je dus le retirer, et réessayer, je compris quil fallait bien les disposer dès le début, et essayer de monter droit le long de la jambe. Je mis ensuite le second bas.

— Nous serons tes instructeurs pour la technique, tapprendre à te défendre, à tinfiltrer, à te maquiller, te rendre désirable. Nous tapprendrons à crocheter des serrures, à faire aussi bien quun pickpocket ou un hacker informatique.

— Jaurai une arme ?

— Non, pas possible. Ton nom de code cest : Sissy. Ton arme, cest ton corps. Là aussi on est là pour perfectionner ta technique

Ils sourirent, me dévorant des yeux. Je venais de passer le soutien-gorge, assez difficilement. Ma poitrine étant assez plate, il ne souvrait que sur mes minuscules tétons. Le string lui, mettait en valeur mes fesses arrondies, lavant bien remplis de mon sexe, visible par le tissu semi-transparent. Mes jambes gainées de noir ajoutais un élément séduction indéniable. Jaimais ce que je voyais dans le miroir. Le blond sapprocha, choisit une perruque blonde, et vint me la mettre sur la tête. Il lajusta bien, les longs cheveux blonds et lisses encadrant mon visage à la perfection le résultat était assez pas mal. Il me passa ensuite des chaussures à talon, noire, ouverte, lacés sur la cheville, avec un fin talon dau moins 6 cm ! Les mettre me pris un peu de temps, mais marcher avec ce fut beaucoup plus difficile ! Je fis quelque pas, perdis léquilibre à cause du fin talon, et chutais sur le sol à quelques pas de 06 et 09 Je me remis sur mes genoux, passant mes mains dans mes cheveux blonds pour dégager mon visage, en un geste naturel, et très féminin jétais face aux deux agents, mon visage au niveau de leurs entrejambes. Je voyais les deux belles bosses dans leur pantalon en toile cest moi qui les faisais bander ils devenaient dur rien quen me voyant, ils me désiraient cette pensée me donna chaud tout partout, et des papillons dans le bas ventre. Un fourmillement agréable se fit aussi ressentir, depuis mes testicules jusque dans la hampe de mon sexe, qui se raidissait lentement Je ne pouvais quitter ces bosses du regard

— Oui, vas-y, laisse-toi aller à ton instinct

Le blond me souffla cela à loreille, avant de déposer un baiser sur mon front, de caresser ma joue, passant son doigt le long de mes lèvres jentrouvris la bouche, et il fit entrer son doigt, qui glissa entre mes lèvres, caressant ma langue sur sa longueur ce que cétait excitant le doigt disparut, je voulais le remplacer par autre chose mes mains sélevèrent, et se posèrent sur leur entrejambe. Chaque main sur une bosse. Je sentais leur dureté à travers la toile du pantalon, dureté que je caressais Dun geste convenu, ils déboutonnèrent chacun leur pantalon, mes mains quittèrent les bosses pour trouver les tirettes des braguettes, que je fis descendre lentement, en parallèle Il ne portait pas de caleçon, pour faciliter mes séances dentrainement Mes mains plongèrent dans les ouvertures, entrant en contact avec la peau chaude de chaque verge, avant de les sortir triomphalement de leur pantalon respectif je me mordillais les lèvres, voyant les deux engins de belle taille que je tenais en main, et commençais à masser en douceur. Une sorte de frénésie sexuelle me pris. Mapprochant, je me caressais le visage avec leurs verges, leur gland roulant sur mes joues, mon front, mon menton, mes lèvres je léchais une hampe, puis lautre, puis passais à une paire de testicules, bien remplies, puis lautre. Je léchais délicatement leurs bourses, avant de revenir sur les hampes, lune puis lautre, puis les glands, lun, puis lautre

Je mis le premier en bouche, sentant le gland, puis la hampe, passer mes lèvres, caresser ma langue, senfoncer dans ma bouche un « mmmmmmmm » se fit entendre, de plaisir et de contentement, davoir ma bouche remplie par ce sexe dur tandis que je le suçais, je branlais doucement lautre puis je changeais, branlant le premier sexe, mouillé de ma salive, et passant mes lèvres autour du second, qui lui aussi senfonça dans ma bouche Il fit quelques allers et retours entre mes lèvres, et je rechangeais Je bandais comme un fou, mon sexe tendant au maximum le triangle du string, ce qui poussait la corde plus fort entre mes fesses Cétait vraiment étrange il y a quelque jours jétais encore un employé de bureau ordinaire, discret, tricheur et pervers, en questionnement sur sa sexualité, et là jétais à genoux devant deux types, un sexe bandé en bouche, lautre en main. Quelque chose dans ma tête, au fonds, me soufflait que ce nétait pas normal, très étrange même… mais mon excitation montait en flèche, et éteignait cette petite voix ma tête me tournait, mon sexe bandait dur, de nouveau javais perdu le contrôle, totalement Je suçais, branlais, passant dun sexe à lautre soudain, le blond me fit me relever. Il amena mon visage contre le sien, et colla ses lèvres aux miennes membrassant sauvagement je sentis sa langue lécher mes lèvres, et ouvrit timidement ma bouche. Sa langue sy engouffra, y rencontra la mienne, elles dansèrent ensemble. Je venais de jouir dans mon string, sans vraiment y prêter attention, tout mon corps nétant que plaisir Le brun, lui, ma caressait les fesses, les malaxait, puis pinçotait mes tétons, faisant glisser son membre dur et humide entre mes fesses Je compris tout de suite que jallais être défloré analement, et eus très peur. De nouveau cette petite partie de ma conscience qui me mettait en garde mais mon excitation, la langue qui dansait avec la mienne dans ma bouche, mon sexe qui se balançait dans le string maculé de mon sperme chaud, mes sens qui explosaient de plaisir, tout cela fit que jattendis la pénétration avec autant danticipation que de peur Ainsi, lorsque tout en membrassant et en me caressant, ils mamenèrent vers le lit, je me laissais faire, et me retrouvais couché sur mon dos, sur le lit

Le brun, 09, vint lécher mes minuscules tétons, puis il membrassa à son tour. Ses lèvres contre les miennes, sa langue rencontrant la miennes, il menjambait, et je sentais son sexe dure contre mon ventre. Plus bas, le blond, 06, mécarta et remonta mes jambes, pour avoir accès à mes fesses. Il déplaça la ficelle du string, et commença à me caresser les fesses, les malaxer. Puis son doigt suivit le sillon, passant entre mes fesses, jusquà mon anus, quil caressa, flatta. 09 remonta doucement son corps, son sexe bandé longeant mon ventre, ma poitrine, mon menton, ses genoux des chaque côté de ma tête, il présenta son gland face à ma bouche je louvris, et il plongea son sexe dans ma bouche je fermais les lèvres, les serrant juste ce quil fallait, tandis que ma langue caressait son membre qui allait et venait dans ma bouche 06 appliqua quelque chose de froid et dhumide contre ma rondelle, du lubrifiant puis il la pénétra de son doigt un éclair étrange, moitié douleur, moitié plaisir traversa mon corps il alla doucement, préparant mon anus avec le lubrifiant, et un doigt, puis deux finalement, il présenta son gland contre ma rondelle. Il la caressa de cette tête douce et chaude, avant de sy enfoncer là aussi, éclair de douleur et de plaisir Il senfonçait doucement, puis revenait, puis senfonçait encore, puis revenait, puis senfonçait plus loin je poussais de petits cris inaudible, la bouche remplie du sexe de 09, qui tenant ma tête entre ses mains commençait à me baiser la bouche Ses mains écartant mes fesses, 06 put sy enfoncer quasi totalement, avant daller et venir en rythme et la douleur disparaissait, remplacée par un plaisir nouveau, inconnu.. à chaque passage en moi, dans mon rectum, son gland caressait quelque chose qui menvoyait des décharges de plaisir dans tous le corps ! Mon canal sétant fait à sa taille, il put aller et venir plus vite, chaque coup de boutoir faisant un bruit humide indécent, à cause du lubrifiant un peu comme une sexe féminin qui mouillait oui, cest ça, je mouillais ! Ma bouche et mon cul étaient bourrés en cadence par deux belles verges, et je mouillais et prenais mon pied comme une fille non, mieux, comme une sissy ! Je jouis encore dans mon string, déjà trempé de mon sperme, totalement pris par le plaisir, sans même bander dur. Mon derrière essayait de venir à la rencontre du membre qui allait et venait en lui, tandis que ma bouche faisait tout pour rendre le passage aisé et plein de plaisir à la verge qui la ramonait tout mon corps était plaisir, comme un feu dartifice de jouissance continuel

Soudain, 09 lâcha un « putain cest trop bon ! » et je sentis son sexe se cabrer dans ma bouche Il voulut se retirer, mais pris par un instinct inconnu, je serais les lèvres, et montait mon visage, tandis que mes mains poussaient ses fesses vers moi, pour prendre tout son sexe dans ma bouche, jusquà avoir mon nez dans ses poils pubiens il lâcha un râle, son sexe battait comme un fou contre ma langue et mon palais, puis il éjacula son jus chaud directement dans ma gorge je lavalais, et continuais à faire aller et venir mes lèvres serrées le long de sa verge, pour quil lâche bien tout son jus en moi Ma bouche en était remplie, je sentais le sperme couler dans ma gorge même si je nétais pas encore habitué tout à fait au goût, cela était tellement excitant ! Il se vidait en moi cétait ce qui trottait dans ma tête, en boucle, et qui mexcitait encore plus « il se vide les couilles dans ma bouche, et jaime ça ! Encore, encore ! » Vidé, il se laissa aller et un de ses genoux passa au-dessus de mon visage, pour quil puisse se coucher à mes côtés Javais une vue sur mes jambes ramenées sur moi et écartée, avec 06 au milieu qui allait et venait en moi quelle image érotique ! Soudain, il se poussa à fond, et je sentis un liquide chaud, presque brûlant me remplir il venait en moi, il se vidait dans mon cul-vagin ! « Oh oui, cest si bon, vide-toi en moi, donne-moi tout, remplis-moi ! » Jétais quasi à la limite de la conscience, vaincu par le plaisir, le string rempli de sperme. 06 se calma, puis sorti doucement son membre de mon cul. Un vide que je trouvais si fort, si frustrant Mais repus de fatigue et de plaisir, je mendormis doucement, sans même remarquer que les deux hommes quittaient la pièce

Je passais une nuit reposante, et méveillais le lendemain, en forme. Mais je me sentais encore excité. Ma défloraison anale navait fait quéveiller un panel de sensations nouvelles, et déjà je voulais retrouver quelque chose en moi, je voulais que ce vide disparaisse, je voulais que le plaisir irradie à nouveau dans mon corps. Mais pas le temps de trop cogiter, car mon entraînement commença. Le matin, je perfectionnais mes techniques de maquillage, de pose de perruque, lart de marcher avec des talons haut. Après le premier repas de la journée, et ma prise dhormones, je suivis 06 vers une sorte de gymnasium, où jeus ma première leçon de combat rapproché. Très théorique, pour commencer. La pratique viendrait plus tard. Après, 06 me raccompagna à ma chambre, où 09 nous attendait. Il était déjà nu, couché sur le lit, le sexe dressé Rien que la vision de cette verge dure me fit palpiter lanus jen avais vraiment envie ! Je voulus faire un pas vers lui, mais 06 mattrapa violemment par le bras.

— Mais tu te crois où, Erika ? Tu es ici pour obéir. Obéir. Ton plaisir, tes envies, tes désirs, tout cela ne compte plus. Les ordres que tu reçois, cest tout ce qui compte. Tu vas devoir apprendre cette discipline. Maintenant, déshabille-toi !

Javais revêtu un pantalon jogging et un sweat-shirt pour la journée. Je les enlevais, me retrouvant nu devant eux.

— A genoux !

Je me mis à genoux, ayant difficile à quitter le sexe bandé de 09. 06 se déshabilla lui aussi.

— Approche !

Japprochais, sur les genoux, jusquà lui son sexe, pas encore bandé, était à quelque centimètre de mon nez, de mes lèvres. Je pouvais sentir son odeur mâle. Javais des papillons dexcitation dans le ventre, et mon sexe commençait déjà légèrement à bander.

— Tu le veux ? Supplie-moi !

Je rougis.

— Je jaimerais goûter

— Je nentends rien !

— Jaimerais votre sexe en bouche

— Tu peux faire mieux que ça !

— Sil vous plaît je suis en manque de sperme ! Videz-vous en moi, laissez-moi être votre vide-couille, votre sextoy vivant Usez-moi comme vous lentendez

— Cest mieux !

Il me caressa la tête, et lemmena vers son sexe

— Tu dois apprendre à obéir ! Juste obéir aux ordres.

Son sexe était à quelque centimètre de mon nez, de mes lèvres Sa main se posa dessous, et il se caressa doucement, se faisant légèrement bander. Ce gland qui se promenait à quelques centimètres de mon nez de mes lèvres que cétait tentant, bon sang, ce que jen avais envie jeus un tout léger mouvement de tête, quasi imperceptible, mais il le vit

— Non ! Pas bouger !

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