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Je n'avais pas prévu de voir ça ! – Chapitre 4




"C’est toujours à la fin de la bataille que l’on compte les morts et les blessés…"

Et là, il fallait le dire, c’était un véritable carnage, un massacre !

Le père, toujours assis sur son lit, semblait avoir ramassé "grave". Il était, comme Georges Walter Bush venant d’apprendre lattentat contre le World Trade Center, dans un état de sidération avancée… les synapses ayant a priori lâché avec le choc émotionnel. Quelque-part, Julie et moi, nous avions été son "11 septembre", au paternel…

Julie, elle… telle la Garde napoléonienne face aux troupes de Wellington, amorçait un subtil mouvement de replis du genre "sauve-qui-peut", espérant encore réchapper de ce Waterloo familiale. Je fus d’ailleurs particulièrement excité quand elle passa à quatre-pattes au dessus de ma tête, les fesses et son joli petit minou toujours à l’air… et qu’elle s’échappa par le couloir en direction de sa chambre.

Quant à moi, tel un grand guerrier qui vient de terrasser des dizaines d’orques des cavernes et de zombies, mais qui sait qu’il va probablement succomber à ses blessures… je voulais rester digne dans l’adversité, ce jusqu’au bout. Et puis surtout, il convenait d’analyser en détail la situation et de jauger les forces en présence… car tout n’était pas forcément perdu, après ce qu’il s’était passé cet après-midi. Il y avait même eu du "très bon", avec des perspectives enthousiasmantes !

Certes, cela risquait d’être particulièrement délicat quand il faudrait expliquer à la "kommandantur" le pourquoi du comment de notre présence, à Julie et moi, à moitié à poils dans leur penderie, elle en train de me faire une fellation.

Il y aurait forcément un sérieux blocage car l’éducation judéo-chrétienne tendance "fraternité Saint-Pie-X" de notre génitrice ne devait a priori pas du tout concevoir ce genre de relations incestueuses entre un frère et une sur… Je n’étais même pas sûr que le mot existe dans son vocabulaire, à part peut-être en latin… tout ça étant rangé dans la catégorie des ignominies sataniques, au même titre que l’homosexualité et l’avortement… Je n’ose même pas parler de partouzes ou de zoophilie !

Mais bon ! Nous avions, avec Julie, une carte maitresse dans notre jeu, en la personne de notre père… car, de toute évidence, déshabiller et fesser une jeune femme qui n’est pas la sienne mais qui a par contre l’âge d’être sa fille, dans sa propre chambre, ne devait a priori pas faire bon ménage avec les principes moraux et philosophiques des catholiques intégristes. Nous pouvions donc légitimement espérer que notre géniteur ne se venterait point de cet après-midi et que nos exploits tout comme les siens n’arriveraient jamais aux oreilles prudes de notre mère "supérieure"…

Et puis, en fin de compte, peut-être ne retrouvera-t-il jamais la parole, pour finir sa vie à l’état de légumineux… puisqu’il semblait vraiment s’être fait lobotomiser, un peu comme Jack NICHOLSON à la fin de "Vol au dessus d’un nid de coucou".

De toute façon, tout ça n’était vraiment pas le plus important pour moi. Non, vraiment pas !

Car, qu’on le veuille ou non… et même si je n’avais toujours pas, à proprement parlé, sauté de gonzesse… je venais de franchir un "level" monstre dur et toute ma vie d’homme en devenait changée. Et quel "level" !!! Je m’étais fait sucer par la frangine et je lui avait rempli la bouche… que je me disais que même Rocco n’aurait pas fait mieux. Ouais, ouais… j’en étais fier d’avoir rempli la bouche de Julie aussi bien qu’un véritable acteur porno !

Je pouvais clairement m’en enorgueillir, surtout devant mes potes de lycée, à peu près sûr qu’aucun d’entre eux n’avaient réussi une telle prouesse avec une gonzesse… même si certains se vantaient d’avoir déjà tout vécu sexuellement. Ben oui, à mater des films de "boules", ça développe l’imaginaire !

Bon, ben… ce n’était pas tout ça ! Comme je me disais tout à l’heure, autant battre le fer pendant qu’il est chaud… Je me relevai donc, remontai mon falzar et mapprêtais à rejoindre Julie dans sa chambre pour finir la besogne avant que Bernadette SOUBIROUS rentre de la catéchèse quand… je vis Léa prostrée et immobile dans un coin de la chambre. Putain ! Je l’avais complètement oubliée, "miss monde"… la chatte toujours à l’air, son short détrempé au niveau des genoux, ses putains de petits nichons à faire bander un eunuque… et son regard apeuré comme si elle ne savait pas où elle était !?

Je me surpris moi-même par ma réactivité et mon esprit alerte… par mon idée de génie aussi, toute modestie gardée ! Puisqu’elle était là, ma belle métisse, autant en profiter et qu’elle ait le privilège de me dépuceler ! Ben ouais, comme ça, il n’y aurait plus de problème d’inceste…

"Bonjour Léa… moi, c’est Florent ! Viens avec moi… naie pas peur !… lui dis-je en tendant une main pour l’aider à se relever.

— …

Elle regarda en direction du paternel, qui n’avait quant à lui pas bougé d’un iota, toujours le regard vide… fixant les motifs du papier peint.

— Ne t’inquiète pas… ça lui a débranché l’électricité dans toute la partie haute ; il ne verra même pas que tu es partie ! Ou sinon, c’est qu’il repense à la scène d’Othello avec le tire-jus.

J’étais content de mon trait d’humour et eus même un sourire satisfait. Léa était maintenant debout, elle remonta son short… elle était vraiment trop bonne. Ma bite devait penser la même chose et elle me le fit sentir immédiatement en cherchant sa place dans mon caleçon.

— Vous auriez des habits et une salle de bain, pour que je puisse me changer, s’il vous plait ?

— Hein… euh…

— Oui… je me suis urinée dessus et je n’ai aucun change pour retourner chez moi en bus. Je vous ramènerai les habits.

— Euh… ouais… Venez avec moi à la salle de bain. Et puis on piquera deux trois fringues à Julie !

J’encapai direction la salle d’eau, tenant toujours Léa par une main. Seulement, en arrivant devant la porte, celle-ci était fermée à clé depuis l’intérieur et j’entendais l’eau coulé. Putain… Julie !

— Julie, ouvre… c’est moi !

— Casse-toi !

— Allez, putain ! Julie, ouvre… y’a Léa avec moi. Déconne pas !

Il y eut un moment de silence, l’eau s’était arrêtée de couler… puis la porte s’ouvrit. Julie était à poil… bien baisable aussi, ma foi ! Elle fit rentrer la jeune métisse et sapprêtait à refermer la porte de suite derrière… mais j’eus le réflexe de mettre un pied dans l’encoignure.

— Tu rigoles ou quoi, frangine ?! Je participe aussi, moi !

— Tu ne crois pas qu’on en a assez fait pour aujourd’hui, des conneries… Florent ?

— Et ben… au point où nous en sommes, autant continuer ! J’ai envie de baiser… et c’est aujourd’hui ou jamais !

— On a qu’à prendre une douche à trois… lança Léa avec une petite voix fluette.

Avec Julie, nous tombâmes sur le cul, façon de parler ! Voilà que "miss monde" nous proposait un plan à trois… Quel bonheur ! Jamais mes potes ne me croiront quand je leur raconterai tout ça…

Sans attendre, je déboutonnai mon pantalon et le fit glisser au sol, caleçon compris. Je refermai prestement la porte derrière nous trois, au cas où l’une d’elles veuille s’enfuir. Julie semblait plus indécise mais la belle brune s’approcha d’elle et commença à lui caresser les seins, dont les tétons se tendirent comme par magie.

— J’ai envie que vous me fassiez l’amour, les deux ensemble… et puis nous ne pouvons pas laisser ton frère comme ça, dans une telle souffrance.

Elle venait de me chopper la queue avec une main, l’autre étant toujours occupée à peloter les nichons de Julie. Je me mis à hocher la tête tel un gamin à qui on propose une barre de chocolat, avec un sourire niais, que même sans me voir, je le savais. Mais bon… ce n’était de toute façon pas ça qui intéressait Léa !

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