Ce samedi là nous étions invités au mariage d’une de nos nièces,ma femme Claudine, moi et notre fils Fabien.Le repas de noces avait lieu dans une salle qui avait été louée face au port de Rouen.La soirée se passait fort bien, le dîner était excellent, les vins délicieux et la nuit se passait en danses,discussions et animations diverses.A un moment, il était environ 1h du matin, mon épouse me dit qu’elle sortait prendre l’air et fumer une cigarette.Je la regardais s’éloigner dans la nuit vers le port et les containers qui s’y entassaient.Pris d’une idée subite, je décidais de suivre ma chérie.Claudine est une femme de 42 ans,bien en chair et plutôt pas mal de sa personne, blonde avec des cheveux longs et des formes opulentes,elle plaît encore aux hommes.Je me glissais parmi les containers suivant de loin mon épouse.Je la vis s’arrêter net et demeurer à fixer à quelques mètres d’elle, un homme en train d’uriner.Lorsque l’homme eut terminé sa miction, elle s’approcha de lui.Je m’avançais quelque peu restant bien caché dans l’ombre des containers.De là où j’étais je pouvais voir que c’était un jeune maghrébin.Je voyais et j’entendais tout ce qui se disait.
"-Vous avez une bien belle bite, longue et épaisse comme je les aime, ne la rangez pas si vite.Je peux la toucher?"disait mon épouse au jeune et n’attendant même pas sa réponse elle prenait la bite en main et commençait un lente branlette du sexe masculin qui se trouva bien vite en érection.Je savais que ma tendre et douce aimait faire l’amour mais jamais je n’aurai imaginé qu’elle puisse me tromper.Après quelques minutes de va et vient sur la pine de l’inconnu, elle s’accroupit, jupe retroussée et petite culotte écartée.
"-Regarde dit-elle".Je la vis alors pisser devant le mâle, un long jet d’urine s’échappait de la chatte poilue de ma belle.Lorsqu’elle eut terminée, elle se releva ne prenant pas la peine de s’essuyer.Le quidam, vint vers elle et la plaqua contre un des containers.Il bandait toujours aussi fort bien sur.IL releva une des jambes de Claudine puis frotta son sexe à l’entrée de la fragile petite fente.D’un coup de rein il s’enfonça, poussant un léger grognement de plaisir,dans le trou étroit de celle qui partageait ma vie.Ce spectacle ne me laissait pas de marbre moi aussi je bandais.N’y tenant plus, je me sortis la pine et commençait à m’astiquer le manche sans perdre une miette du spectacle de mon cocufiage.L’arabe baisait la moule où j’avais normalement mes habitudes.
"-C’est bon salope, nous les arabes on aime baiser les femmes grosses".Claudine, gémissait de plaisir, la grosse queue qui la pilonnait la menait droit au septième ciel.Après quelques minutes de ramonage intensif, l’arabe éjacula dans le ventre de mon épouse.Je le vis, le corps secoué par les spasmes de la jouissance alors qu’il ensemençait ma femme.Ayant terminé, il sortit son zob du trou où il venait de se vider les couilles et ordonna à mon épouse de le lui nettoyer; ce qu’elle fit en lui suçant délicatement la hampe.Enfin, il remit son sexe dans son pantalon et sans un mot abandonna Claudine la moule débordante de son sperme.Sortant de l’ombre je m’avançais vers elle, elle eut un sursaut en me voyant.
"Ah, fit-elle, tu étais là, tu as tout vu alors"
-"oui, salope,lui répondit-je, je vais te baiser à mon tour, je vais tremper ma bite dans le foutre d’un arabe".Ce que je fis sur le champ et j’en eut un plaisir très fort, mon épouse gueulait sous mes coups de bite comme si elle n’avait pas baisée depuis plusieurs mois.Avant de décharger, je sortis ma queue de son vagin et lui ordonnais de me finir en me pipant,elle obéit et je lui déchargeais tout sur la gueule.Je lui ordonnais alors de lécher le jus qui lui recouvrait le visage et de tout avaler.Claudine s’y employa fort bien.
"- très bien, salope, lui dis-je en me rajustant,puisque tu aimes la bite et bien tu vas en avoir.Désormais, tu sera la salope, la pute de tous ceux et celles,car il va falloir que tu bouffes de la tarte à poil aussi, qui voudront de toi, tu es mon esclave désormais et tu fera tout ce que je t’ordonne.Tu ira aussi tous les week-ends tapiner au bois, celà nous mettra un peu de beurre dans les épinards et puis ainsi tu aura ta ration de bites.Je vais aussi contacter des producteurs de films porno, spécialisés dans les vieilles salopes afin que tu puisses t’éclater en tournant quelques bons porno bien cradingues.T’aura le droit à tout, même la zoophilie,tu vas voir tu vas te prendre des queues de clébards et d’étalons dans ta grosse chatte pourrie.Tu vas devenir une pute à chiens,ce disant je lui crachais un gros mollard verdâtre à la gueule,sale chienne, pour commencer demain je t’emmène sur un chantier tu videras les couilles de tous les ouvriers.Là, tu vas en avoir de la pine d’arabes et de noirs, de la grosse, bien dure, avec des couilles bien pleines à vider, tu vas pouvoir en bouffer de la semence ma salope.Attends,lui dis-je, il me reste encore quelque chose à te faire:le point de pute."Attrapant une cigarette, je l’allumais et tirait deux, trois bouffées puis je troussais à nouveau la jupe de ma femme et là sur sa fesse droite bien dodue, j’écrasais le bout rougeoyant de la cibiche.La pute poussa un hurlement strident qui dut s’entendre à des kilomètres à la ronde, je lui assénais une bonne taloche en pleine gueule pour calmer ses douleurs.
"-Voilà, tu es marquée comme une bonne putain maintenant".Nous reprîmes alors le chemin de la salle où la fête continuait à battre son plein.Au moment où nous quittions ce lieu de débauche un bruit me fit me retourner, quelque chose avait cogner contre l’un des containers,alors qu’un rayon de lune venait éclairer de sa lueur pâle l’obscurité qui me faisait face, je distinguais mon fils,la quéquette à la main, il se branlait vigoureusement.Je compris qu’il avait assisté à toute la scène.Je fis demi-tour et rejoignis le vide-couilles qui me servait de femme.L’idée venait de s’imposer à mon esprit,bientôt je l’obligerai à se faire remplir par son fils.