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Une Semaine à la neige – Chapitre 2




Quelques heures déjà que nous roulions, j’étais toujours enfermé dans mon sac de couchage la bouche pleine de sperme que j’avalais par petite touche, je voulais pas le decevoir, impossible pour moi de bouger, je ne savais pas où nous en étions mais j’avais cru comprendre que nous étions sortis de l’autoroute, l’enchainement des virages se faisant plus rapidement, l’homme ne parlait pas, il se contenter de changer sa radio quand la musique ne lui plaisait pas, j’attendais d’arriver quand j’entendais : 

— Eh merde ! 

La voiture ralentit, il se déporta sur la droite et j’entendais la vitre s’ouvrir : 

— Bonjour Monsieur, Gendarmerie nationale, papiers du véhicule, permis de conduire s’il vous plait !

— Bien Monsieur l’agent, voilà. 

— Vous arrivez d’où ?

— Marseille 

— Vous êtes allés faire quoi à Marseille ?

— J’ai ramené une copine chez elle, rien de bien fou

— Vous êtes bien sympathique vous ! Jusqu’à Marseille ? 

— Tout à fait 

— Pas d’armes, pas de drogues dans le véhicule ? Si je fouille je n’aurais pas de surprise ?

— Je vous en pris Monsieur !

Il y eu un silence puis : 

— Attendez ici 2minutes. 

J’avalais le reste de ce que j’avais dans la bouche d’un coup, mon stress augmentait, que se passerait-il s’il décidait de fouiller la voiture et qu’il me trouvait là, ligotée dans mon sac de couchage, sous les couvertures à l’arrière, je me demandais d’ailleurs comment ce tas de couverture pouvait ne pas attirer son attention, j’essayais de retenir ma respiration et de ne pas bouger le moindre millimètre de mon corps, j’écoutais la conversation : 

— Vous rouliez un peu vite Monsieur, je ne peux pas prouver votre vitesse mais je suis certains que vous étiez à plus de 70 KM/H , vous êtes chanceux, voilà vos papiers, vous pouvez y aller.

— Merci Monsieur, bonne journée ! 

Il redémarra et conduit moins vite pendant 5 min puis j’entendais : 

— Connard de flic ! Suivi d’une brutale accélération, il ajouta : 

— Ma salope, t’inquiète, je sais que tu as eu peur, mais dans 10minutes nous sommes chez moi, pendant la semaine je vais te régaler ! HAHAHAHAHAHA ! 

Son rire m’inquiétait, il ne transpirait pas le calme, mais le sadisme et l’envie de me mettre une pression mentale, je commençais à regretter ma venue mais j’avais cherché, je devais assumer et lui montrer que je ne craquerai pas rapidement, pendant que je réfléchissais à ma situation, il s’engagea sur un petit chemin en terre, il y eu un portail et enfin un garage dans lequel il rentra la voiture, une fois à l’intérieur, il retira les couvertures qui me cachaient et il me dit : 

— Nous sommes arrivés dans ton enfer, bienvenue ! 

Je ne pouvais répondre mais j’espérais qu’il enlèverai mon bâillon, qui commençait à me serrer et surtout me donner mal au visage mais il ne me toucha pas, il se contenta de me sortir du sac de couchage et me pris en poids sur son épaule, il était bien plus costaud que ce que j’imaginais, il ouvrit une porte, descendit des escaliers et enfin une autre porte, l’odeur de la cave m’excitait, j’allais donc être gardée prisonnière ici, dans cette cave lugubre, il n’y avait rien, à part un matelas en plastique de camping, une chaise et une ampoule au plafond qui éclairait mal et qui sautait toutes les 2 minutes, il me jeta sur le matelas et sans rien dire il reparti, je tentais de tester mes liens,mais le tout était bien trop serré du coup j’adoptais une position latérale qui me permettait de me sentir plus à l’aise, honnêtement je ne sais pas combien de temps je suis restée comme ça mais je fini par m’endormir, je me réveillais souvent à cause de mes liens qui m’empêchaient de me positionner comme je voulais, quand soudain : 

— Alors ma petite salope, on se réveille ? Le voyage t’a fatigué ? Il faut pas, je vais bien te réveiller moi ! dit une voix 

Il etait là sur la chaise dans mon dos il m’observait, je ne sais pas depuis combien de temps il était présent mais sa voix me crispa, elle semblait encore plus perverse et vicieuse que dans la voiture, il se leva et s’avança vers moi, il s’allongea à coté de moi et commença à me caresser, les jambes d’abord, puis il remonta sur mes fesses, ses caresses ont eu pour effet de m’exciter au plus au point, ma respiration accélérée lui indiqua qu’il avait touché juste : 

— Mais c’est qu’elle est excitée, ne te lâche pas trop vite, tu vas en chier petite pute, chuchotait-il dans mon oreille, ses caresses s’arrêtèrent, il se leva, je l’entendais chercher un truc dans une boite à outils, quand il revint avec un cutter, que je l’entendis ouvrir, je commençais à paniquer malgré l’excitation et tentais de bouger sur le matelas pour lui montrer que je ne me laisserai pas faire, mais il ria et s’approcha, il me bloqua en s’agenouillant sur moi et baladait la lame sur mon visage : 

—  N’aies pas peur, t’es à moi, j’ai aucune envie d’abimer ce joli minois, mais tu dois être bien sage, obéissante, n’oublie pas que c’est ce que tu veux…

— HUMHUUUUUMHUUMMMMMMMMM

— Non non non, pas de cris, j’allais te libérer mais en fait, je pense que tu aimes cette situation…

Il se retira et descendit le cutter le long de mes jambes, quand soudain il sectionna les liens qui maintenaient mes chevilles, puis mes cuisses, il souriait mais ne disait toujours rien, il recommença à me caresser, avec plus de vigueur, il s’aventura vers mon trou, qu’il massait généreusement, tout en me caressant avec sa main droite, je sentais ses doigts fouilleurs qui voulaient pénétrer mon intimité, il saliva pour lubrifier et son pouce pénétra mon intérieur, rapidement suivi de l’index et avec un peu plus de difficulté son majeur, il avait 3 doigts en moi et me tenait littéralement par le cul : 

— Petite chienne, t’es assez ouverte pour m’accueillir mais pas assez pour être considérée comme une vraie salope, tu me plais de plus en plus. 

Je tentais de me détendre mais son discours envers moi n’incitait pas à la totale confiance, mais enfin, j’étais là, ligotée bâillonnée sur un matelas dans la cave de mon "ravisseur" alors autant être celle qu’il voulait que je sois, je me lâchais totalement et commençais à lui indiquer que je voulais plus qu’un toucher rectale. 

— J’ai compris , tu m’as bien mis le feu chienne, tu vas prendre ! 

En joignant le geste à la parole il me retourna sans ménagements, sorti ses doigts de mon cul et sans discussion aucune, il introduit son sexe dans mon cul, la douleur m’arracha un cri étouffé par le baillon, il m’attrappa par la perruque et me tirait en arriere vers lui, tout en me ramonant, il me défonçait littéralement, je sentais ses couilles taper contre mes fesses avec une vigueur jamais vu encore, il me tenait avec sa main gauche et me tapait les fesses tout en m’insultant avec la droite : 

— CHIENNE ! SALOPE ! TU AIMES QU ON TE MALTRAITE HEIN ! GROSSE PUTE A SPERME ! JE VAIS BIEN TE REMPLIR MOI ! 

— HUUUUM HUUUUUUUUUUUM HUUUUUUUUM HUUUUM 

— OUI JOUIS CHIENNE JOUIS ! 

Il continua ses assauts quand soudain, je le sentis se raidir complètement et sentis son sperme se déverser à l’intérieur de moi, il m’avait littéralement rempli le cul de sa semence, sans un mot il reparti après une ultime claque sur les fesses et me repoussa sur le matelas, je me retrouvais cul nu, plein de sperme coulant, sur le matelas d’un homme qui m’avait baisé et dont je ne connaissais toujours pas le prénom, il eteigna la lumière et referma la porte, j’entendais ses pas s’éloigner et puis le silence…

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