J’allume mon ordinateur et me déshabille rapidement. Je charge alors une des vidéos zoophiles qui m’excitent le plus.

La jeune fille qui est en vedette est saillie par son chien – ne serait-ce pas un Braque ? – et le nud est visiblement entré dans son vagin. Plusieurs minutes se passent avec en bande son, de réguliers soupirs et geignements de la fille. Apparemment, ce n’est pas forcé, comme dans certains films pornos où les actrices rajoutent des tonnes de râles, de mots obscènes et de cris. Non, l’acte sexuel semble naturel et presque habituel.

Combien de fois ces deux-là s’accouplent-ils par semaine ? Je me dis au moins une fois par jour.

J’imagine la jeune fille pendant sa journée de travail. Elle ne rêve que d’une chose : rentrer chez elle, ce soir, pour se précipiter sur son chien, lui caresser la tête, puis le ventre, puis le fourreau jusqu’à ce que le pénis commence à sortir. De petits baisers sur cette pointe rouge précèdent une fellation plus approfondie dès que le membre est complètement exhibé. Il faut maintenant se déshabiller devant ce chien qui commence à s’agiter et dont la truffe se dirige vers la source de l’odeur de sa femelle. Oui, c’est bien là, entre les lèvres qui commencent à briller de plaisir, qu’il faut passer sa langue de chien pour bien préparer sa compagne à la saillie.

Pendant que j’imagine cette scène préalable au coït qui se déroule sur l’écran, mes mains ont instinctivement dirigé le godemiché entre mes lèvres brûlantes. Le godemiché est maintenant en moi et je sens la pointe qui vient chatouiller le col de mon utérus. Mais il me faut sentir le nud bloquer l’entrée de mon vagin. Une première pression rapide sur la pompe. Hou là ! La sensation me coupe le souffle. Je presse à nouveau la pompe, mais plus doucement, le nud continue à enfler en moi, éveillant des sensations que je ne soupçonnais pas.

Jusqu’ici, le plaisir que je tirais de mon sexe avait été lié à des mouvements, des frottements. Là, tout est parfaitement immobile, mais je suis idéalement remplie. Plus j’appuie sur la poire, plus le frisson de bonheur monte dans mes reins.

Sur l’écran, le nud du chien tend à vouloir sortir du vagin de la jeune fille. Du liquide commence à suinter entre les lèvres distendues et le nud toujours imposant du chien qui s ’agite et semble vouloir se retirer. La jeune fille tente avec ses mains de retenir son animal en elle, en tenant une patte d’une main, en essayant de fermer les lèvres de sa vulve de l’autre.

Je m’imagine à la place de la jeune fille et presse à nouveau la pompe. A ce moment, je n’arrive plus à contrôler la jouissance qui s’empare de mon corps. Mon vagin est agité de spasmes qui renforcent la pression que je ressens autour du nud. Mes jambes tremblent comme jamais et je m’enfonce la tête sur mon oreiller pour tenter d’étouffer le cri qui sort de ma gorge. Je reste de longues minutes à tressauter comme un pantin, puis le calme revient doucement.

Je m’assied sur le bord de mon lit, le godemiché toujours planté en moi. J’ai peur maintenant de le retirer, peur de cette sensation de vide qui succédera à ce plaisir intense que j’ai connu.

On frappe à ma porte

— Natalie ? Tout va bien ? Je t’ai entendue crier.

— Oui, oui, Sabrina. Tout va bien. J’arrive dans quelques minutes.

Je ne reconnais plus ma voix qui semble être devenue plus rauque. Je me résigne à ouvrir la valve de la pompe et le nud se dégonfle doucement. Ce n’est pas aussi désagréable que je me l’imaginais. Je tire le godemiché hors de mon vagin et une bonne quantité de liqueurs intimes se déverse de mon vagin et vient marquer le dessus de lit. Mon dieu, mon bonheur a vraiment été aussi intense ?

J’enfile ma chemise de nuit directement et je sors enfin de ma chambre.

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