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En chaleur – Chapitre 4




Je m’appelle Sophie. Ça a commencé dans le métro : une queue bandée dans le métro…bondé. Une queue qui dégorge son foutre contre mon cul. Son sperme sur mes doigts. Ensuite ce film porno , cette double pénétration anale. Je n’en peux plus : je me défonce le cul avec une énorme carotte. Mais je veux des vraies queues, alors je téléphone aux mecs sur qui je peux compter quand je veux me faire défoncer.

    ils sont sept. Depuis le temps qu’ils me liment, je connais parfaitement la grosseur, la longueur, et le degré de fermeté de chacune de leur queue.

    Je n’ai plus qu’à attendre. Je me verse une grande rasade de bourbon, puis deux, puis trois pour calmer mon impatience, surtout celle de mon cul brûlant.

    quand ils arrivent, je suis très grise, et à les voir s’amener avec leurs jeans moulants et leurs pectoraux saillants, je me sens mouiller à mort. Ils savent tous ce qu’ils ont à faire quand je suis dans cet état,c’est- à- dire quand je deviens une grande salope saoule, comme ce soir .

    Ils sont silencieux, ils savent qu’ils vont participer à quelque chose d’inoubliable.

  Ils ont l’habitude : ils se sont placés en rond dans des fauteuils confortables. Moi, j’ ai un string rouge et des hauts talons de la même couleur. Je suis au centre, et je fais ma salope : je me tortille devant eux, rampant sur le sol, prenant des positions à faire bander un pape. J’ouvre les cuisses, écarte légèrement mon string, puis referme brutalement les jambes. A plat ventre, , je tends mes fesses vers le haut, écarte mes fesses, me lèche le médium de la main droite puis me l’enfonce sauvagement dans le cul. Ils ont tous la queue sortie, le slip baissé sous les couilles et ils se branlent doucement, comme j’aime.

Je sens l’odeur de mâle. Mélangée aux vapeurs de bourbon. Délicieux. Je me sens vite devenir chienne, et le spectacle de ces magnifiques membres veinés, et de ces couilles gonflées de sperme commence à me rendre folle.

Première queue. Je crache sur le gland. Je suis agenouillée. Je regarde la bave couler vicieusement jusqu’aux couilles. Derrière moi, je sens une langue qui fouille mon cul : elle est chaude, gluante de salive, salope à souhait. je soulève les jambes autour de la première queue : le gars sait ce que je veux. Mettre le bout de ma langue dans son cul. Alors il s’offre, il obéit… Et je le fouille à fond, et je lui secoue la queue en même temps. Derrière moi, je sens trois doigts qui me forcent et me dilatent. La queue devant moi gicle son foutre sans prévenir, je m’en barbouille la bouche. je reconnais le goût de ce foutre : depuis le temps que je le goûte ce foutre! Musqué et sucré… Une autre gorgée de bourbon pour faire passer. Et d’une : une première paire de couilles vidée.

Deuxième queue. Le gars s’est branlé pendant que je suçais l’autre: ça se voit ! Gonflée à craquer… Le gland est violet. les couilles écarlates. Je les tâte: fermes, pleines… Je la connais cette queue: capable de cracher pendant longtemps, très longtemps. Je me prépare à regarder ça de près : souvent, rien que de voir gicler le foutre du gland jusque dans les airs, ça me fait jouir. Je sais que ce gars-là aime les paroles cochonnes, ça lui fait monter la pression. Alors je lui en donne : " Alors , t’as häte de m’enculer , hein ? Je sais que tu veux me déchirer le cul, mon salaud, mais je vais te faire jouir maintenant, t’as trop envie, hein mon salaud?

Mais le gars est un pro, il se contrôle et fait signe à celui qui derrière a toujours ses trois doigts entre mes fesses. Je connais ce signe. Je sais ce qu’ils vont faire. C’est dans le scénario. Ils sortent tous deux de la pièce et reviennent avec une SEXMACHINE prête à fonctionner. Ils la branchent , et me mettent l’énorme god entre les fesses. Avec le bouton de réglage, j’accélère le rythme, qu’aucun homme ne pourrait tenir.

Une énorme queue artificielle me vibre dans le cul. Je hurle de plaisir. je vois dans un brouillard toutes les queues qui s’agitent autour de moi. Et d’un seul coup, ma chatte gicle, et je sens la deuxième queue s’installer dans mon cul à la place du god, et voilà, c’est exactement ce que j’attendais : la queue pendant de longs instants gicle et gicle encore des jets de sperme chaud en moi. Ça n’en finit plus : de longues épaisses qui viennent me lubrifier, si bien que maintenant la queue glisse délicieusement sur toute sa longueur jusqu’aux couilles. Ces couilles qui n’en finissent plus de se vider en moi, qui ne suis plus que ce trou, ce trou offert au plaisir. Et pendant ce temps, la femme fontaine que je suis arrose le sol abondamment… Il me reste encore cinq queues, et je suis complètement saoule, totalement vicieuse, hors de la réalité, je suis le vice et la perversité personnifiés. Et bien sûr, tout est prévu, car les cinq queues qui restent…. Mon Dieu, attendez-vous au pire….

    ( suite au prochain " EN CHALEUR " ) VIRILO

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