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Ah! les clientes… surtout les difficiles… – Chapitre 5




SON PLAISIR FÛT LE MIEN

    Arrivé au lit, écartant la couette du bout du pied, je l?ai déposé doucement, comme un pétale de rose qu?on dépose sur l?eau d?un ruisseau. Elle s?est étiré un peu les bras en me faisant sentir que la fatigue la gagnerait bientôt. Alors je lui dis : Laisses-moi faire, ne fais que profiter… Elle me sourit et leva les bras comme si elle était liée au haut du lit avec un fil invisible et ferma les yeux comme pour me dire que son corps m?appartenait.

    Je pris quelques instants sans bouger, je me délectais de la regardé ainsi étendu sur mon lit, sans vêtement, sans couverture et sans pudeur. Elle était belle, elle était douce, elle était tendre. Son visage portait le sourire de la Joconde, ses seins étaient ceux d?une nymphe, ses hanches celles d?une vierge et son corps en entier appelait à la caresse, douce et tendre.

    Je me suis penché sur elle et j?ai déposé un simple baiser sur le bout de ses lèvres. Elle tourna alors la tête de façon à me montrer son cou. Alors du bout des doigts, j?ai commencé à l?effleurer au coin du menton, allant et revenant sur sa joue, remontant jusqu?à l?oreille. Elle s?étira encore plus le cou afin de sentir toute la sensualité de cette caresse. Descendant lentement sur sa gorge en provenance de l?arrière de son oreille, je pus apercevoir quelques frissons lui parcourant la nuque et le haut des épaules. Continuant cette balade sur son corps, j?ai atteins ses clavicules en y grattant un peu les ongles de façon à la faire frissonner encore plus. Remontant sous son menton, elle me refit face, me présentant ainsi son visage. J?ai alors glissé mes deux mains de chaque côté de ses joues, fait le tour de ses yeux, redescendu sur l?arrête de son nez et viré sur le bout de ses lèvres. Elle vivait tellement ces caresses que ses lèvres en vibraient. Elle entrouvrit alors la bouche comme pour m?inviter à y entrer et j?ai alors pu toucher du bout du doigt à sa langue toute moite. M?approchant le visage du sien, j?introduisit le bout de ma langue tout doucement à l?intérieur de sa bouche, y trouvant la sienne. Après quelques mouvements de la langue, je suis ressorti et j?ai dessiné ses lèvres avec ma langue, y glissant comme si j?y peignais le désir qui était contenu au fond de moi.

    Ma langue glissa ensuite sur son cou puis le côté de sa gorge. Elle détourna le visage et me permit de lui mordiller la nuque et l?oreille. Elle avait alors des frissons sur tout le corps, savourant au maximum tout ce que je pouvais lui donner. Descendant au bas de ses épaules, je me suis redressé et je repris mes caresses des mains, frôlant chaque centimètre de ce corps abandonné à mes caresses. Me retrouvant tout près de sa poitrine, j?en ai fait le tour plusieurs fois, passant sous ses seins, les entourant de mes doigts pour finalement les faire glisser dans mes paumes, tout doucement. Du pouce, je pus toucher à ses mamelons en érection. Ils glissaient sous mes doigts, me fuyaient mais revenaient immédiatement en position, prêt à rencontrer mes doigts au prochain passage. Poursuivant ma route, je pris alors le chemin de ses côtés, faisant frétiller ses chairs à chaque fois que je glissais sur une de ses côtes. Arrivé à ses hanches, je virais brusquement pour aller rejoindre son petit nombril, j?en fis le tour, y glissa un de mes petits doigts qui, en en ressortant, rejoignît mon autre main, en route vers le bas de son ventre.

    Rencontrant les premiers poils, mes mains reprirent alors chacun leur chemin, de chaque côté de ses côtes et rapidement firent un haut et bas, effleurant ses côtes au passage. Cette belle et douce femme, tout en frisson, ouvrit les yeux et me regarda avec tellement de désir que je ne puis lui dire autre chose que cela ne faisait que commencer. Elle me sourit, ferma les yeux pour ainsi replonger dans son monde de plaisir.

    Les mains revenues au niveau de ses hanches, j?ai continué doucement à glisser sur ses cuisses, du côté au-dessus, virant vers ses genoux et revenant sur le côté de ses mollets. Atteignant ses chevilles, je les pris entre mes indexes et mes pouces et y glissa sans presque y prendre contact. Continuant à descendre, j?ai alors tourné sous ses talons, remontant sur le côté de ses pieds, sur le dessus de ses chevilles, l?os à l?avant de ses jambes. Arrivant à ses genoux, je sentis d?elle un mouvement de ses genoux, son corps désirait les ouvrir afin d?offrir à ma vue et à mes caresses la partie la plus intime de son corps.

    N?ayant pas eu le temps, sous la douche, d?en observer la beauté mais sans arrêter mes effleurements de ses cuisses, je pris quelques minutes pour admirer cette fleur, offerte à mes yeux. Tendres et humides, ses lèvres intérieures dépassaient quelque peu ses grandes lèvres. Elles étaient toutes roses, prêtes au plaisir. Il m?était presque impossible d?en détacher le regard tellement j?avais le goût d?y poser les lèvres.

    Cette douce rose offerte à mes plaisirs, elle laissa échapper un petit gémissement, plein de désir à ce que je poursuive sans plus attendre. M?apercevant que mes mains avaient arrêté de bouger et que mon regard était demeuré figé par la beauté de cette vulve si bien dessinée, je repris lentement mes touchés délicats. Montant jusqu?à ses épaules, j?avais alors la bouche à la hauteur de ses chairs si tendre, prêtent à mes caresses. J?y ai approché la bouche, j?ai pris entre mes lèvres la chair tendre de ses petites lèvres, l?ai sucé doucement quelques instants, histoire de bien savourer le goût de cette femme. Sa vulve dégageait un baume d?amour, plein de tendresse et d?odeurs relatant les quelques minutes sous la douche ensemble. Je pris bien mon temps pour y glisser ma langue, ne laissant aucune partie sans la sucer délicatement, sans la savourer délicieusement. Quelques centimètres plus loin, j?ai enfin rencontré un petit bouton tout rose et tout dur, attendant impatiemment l?arrivée de ma langue. Il était bien bandé et pointait tout à travers cette chair si délicate. De mes lèvres, je l?ai découvert puis aspiré doucement entre elles. Je la sentis se cambrer sous cette caresse qu?elle semblait apprécié au plus haut point. Ayant joué avec son bouton d?amour pendant les quelques secondes qui suivirent, je le faisais glisser entre mes dents tout doucement, afin qu?elle profite bien de ce frisson qui lui parcourrait le corps lorsque son clito ressortirait d?entre mes lèvres. Elle avait alors la peau couverte de chair de poule, me démontrant que mes caresses étaient douces et que ses plaisirs étaient grands.

    Continuant doucement la lécher son petit bouton qui ne demandait pas mieux, j?ai cru sentir au creux de ses reins un courant électrique passer. Elle était sur le point d?éclater. Je poursuivis alors le contact de ma langue sur son clito, passant lentement de haut en bas puis de bas en haut, ne laissant jamais le contact avec son petit bouton et je la sentis monter et monter, se cambrant vers l?arrière, les fesse bien appuyer sur le lit et le ventre qui semblait vouloir toucher le plafond. Enfin… elle laissa aller son corps à ce plaisir intense que seule une vraie femme peut sentir, râlement, frisson, chaleur, bonheur, extase et enfin, la détente… Elle était à bout de souffle, vidée de tout son énergie, l?esprit très loin dans les nuages, quelque part entre ce lit et l?infini.

    Je me suis remonté alors près d?elle, l?entoura de mes bras, tira les couvertures sur nos deux corps et il n?en fallut pas plus pour qu?elle tourne de l?oeil et qu?elle sombre dans un profond sommeil.

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