Je connais Vincent depuis très longtemps, c’est un de mes amis les plus dévoués, toujours prêt à rendre service. Par ailleurs, c’est un véritable expert en matière d’art : du premier coup d’il, il reconnaît l’auteur d’une peinture, le style d’un meuble ancien.

Quant à ses conquêtes féminines, il leur applique des critères de choix similaires aux uvres d’art ! Elles sont toutes de premier ordre, il ne les choisit jamais au hasard.

Quand un matin il m’a proposé de faire la connaissance de Nadia, sa nouvelle fiancée, j’ai accepté d’emblée. Je savais que j’allais passer une excellente journée en compagnie d’une jeune femme charmante !

En arrivant dans sa superbe villa, je fus accueilli par Vincent puis nous nous dirigeâmes vers sa collection personnelle.

Dans un grand salon meublé de commodes Louis XV, je pouvais admirer des peintures italiennes du XVIe siècle. Un couloir menait à un cabinet recouvert de miniatures flamandes puis c’était une immense galerie dédiée aux sculptures du XXe siècle. Même si j’étais impressionné par cet étalage de richesses, j’étais surtout impatient de rencontrer Nadia.

Quand elle fit son entrée dans le grand salon, je fus saisi d’une émotion qui me laissa pantois : marchant à pas lents, elle m’éblouissait de sa beauté outrageante. Son visage paraissait dessiné par un des peintres dont j’admirais l’uvre un instant auparavant : je découvrais sa longue chevelure blonde, son nez fin et ses yeux bleus charmeurs.

Une robe de coton clair laissait poindre sa poitrine généreuse, et mettait en valeur ses hanches bien marquées.

Je restai immobile, ne sachant que dire devant une telle splendeur !

Vincent rompit le charme par ces paroles :

Nadia est russe ! Elle ne comprend pas un mot de français !

Un instant, je crus qu’un baiser à la russe s’imposait, mais je me contentai d’une bise sur chaque joue.

Nadia s’assit dans un fauteuil Empire et elle écouta notre conversation sans comprendre. Vincent me donna des nouvelles de nos amis communs et je ne pus m’empêcher de jeter un il en direction de la jeune femme. Vincent le remarqua et me dit :

Elle est vraiment sublime, tu ne trouves pas ? Et tu n’as pas encore tout vu !

Avais-je bien entendu ? Nadia allait-elle me dévoiler ses charmes ? Je n’osais y croire.

Tout en poursuivant la discussion, Vincent m’amena à l’entrée de son jardin à la française, inspiré du parc du château de Versailles. Au centre de la pelouse, on distinguait un grand bassin circulaire entouré d’une série de bosquets.

J’aperçus un chevalet qui trônait dans l’herbe. J’ignorais que Vincent eût des dons artistiques ! Il me confirma qu’il avait suivi des cours de dessin et qu’il aimait dessiner pour son plaisir. Avec Nadia, il avait trouvé sa muse, comme les grands artistes !

Et il allait me faire l’honneur d’assister à une séance de pose. Vincent posa une feuille de papier sur le chevalet, et il fit signe à Nadia de s’approcher. A mon grand étonnement, celle-ci jeta à terre sa fine robe, apparaissant entièrement dénudée !

Je ressentis alors comme un choc esthétique tant elle resplendissait sous le soleil. Je ne pouvais pas manquer de remarquer son sublime fessier et sa poitrine opulente, nantie de deux petites framboises ! Nadia prit la pose que Vincent avait choisie, de profil, les mains le long du corps.

Au cours de la séance, elle changea plusieurs fois de pose : à chaque changement, je ressentais une nouvelle émotion intense quand elle exposait ses larges aréoles, sa magnifique chute de reins ou son charmant mont de Vénus.

Vincent avait-il deviné ce que j’éprouvais pour Nadia ? Toujours est-il qu’il me proposa de séjourner quelques jours à la villa ! J’acceptai avec une joie non dissimulée ! Nous remontâmes en direction de la villa, où Vincent me montra la chambre d’ami meublée en style Louis XV, juste en face des appartements de Nadia. Il m’expliqua qu’il avait convié quelques amis pour la soirée. J’eus à peine le temps de revêtir un costume de ville. Nadia quant à elle, portait une robe-fourreau très échancrée qui dévoilait la majeure partie de ses seins pulpeux. Elle portait également les bijoux que Vincent lui avait offerts : une rivière de diamants et des boucles d’oreilles en argent.

Je me mêlai à la conversation avec entrain, tout en notant que Nadia semblait s’ennuyer follement, d’autant qu’elle ne comprenait rien des paroles échangées. Je la vis s’éclipser, et il me vint l’idée d’aller la consoler de ses tourments. Je montai discrètement à l’étage, et je poussai la porte de son appartement. Nadia m’apparut sur son lit, entièrement dénudée. Son corps entier paraissait secoué de spasmes, reflétant une intense jouissance.

Sous le choc, je refermai immédiatement la porte, et je redescendis. J’avais surpris la jeune beauté dans un moment d’extase, et cela ne pouvait que me laisser dans un état de trouble intense pour le reste de la soirée. J’eus du mal à reprendre goût aux discussions avec les invités.

Le lendemain matin, tandis que je lisais un quotidien dans le grand salon, je vis arriver la jeune femme en peignoir de bain. Les visions de la veille me revinrent en mémoire : je revoyais sa sublime beauté dans le jardin et son corps convulsé dans la chambre. Nadia vint s’asseoir dans un fauteuil en cuir, juste devant moi, comme pour me narguer.

Vincent descendit quelques minutes après, et comme la veille, il m’emmena effectuer une grande promenade dans le parc tandis que Nadia avait revêtu un bikini et s’étalait sur une chaise longue.

L’après-midi, il y eut une nouvelle séance de pose, semblable à la précédente : Nadia était à nouveau entièrement nue au beau milieu du jardin, alternant les poses de face, de dos et de profil, donnant la sensation de s’exhiber davantage que la veille.

Le soir, chacun rejoignit ses appartements. La cloison était fine, et j’entendais l’écho de bruyants ébats provenant de l’appartement de Nadia.

Je sortis de ma chambre et dans l’entrebâillement de la porte, j’aperçus Nadia allongée nue sur son lit.

Comme la veille, elle se donnait du plaisir en s’aidant d’un accessoire oblong tandis que Vincent se tenait immobile au pied du lit. L’attitude de Vincent m’étonna énormément ! Il avait à sa disposition la plus belle femme du monde et il se contentait de la regarder sans intervenir ! Pour moi, c’était une occasion en or. N’écoutant que mon courage, je poussai la porte de l’appartement.

Approche-toi, dit Vincent.

Je jetais un il autour de moi, la chambre était richement décorée, mais je n’y prêtais aucune attention : la poitrine pulpeuse de Nadia m’attirait comme un aimant, je m’approchai d’elle, mais je n’osais pas la toucher. Nadia se retourna sur son lit, m’offrant une vue imprenable sur son postérieur. Sans raison, je me mis à masser sa peau, partant des épaules pour arriver au bas de son dos, et elle se laissa faire sans broncher. Vincent continuait à observer la scène sans mot dire.

Puis Nadia se retourna face à moi, me désignant d’un geste de la main, et je compris qu’elle voulait me voir dévêtu ; je déboutonnai ma chemise lentement.

Nadia me regarda avec un petit air amoureux. Elle me caressa doucement le haut du corps, s’attardant sur mon torse musclé.

Rempli d’un désir grandissant, je ne me contrôlais déjà plus, et je me mis à palper sa poitrine, puis à pincer ses tétons du bout des doigts. Elle s’allongea sur le lit et je m’étalai à ses côtés.

Nadia écarta les cuisses, me découvrant son intimité, et je ne pus m’empêcher de lécher son triangle glabre. Je m’immisçai entre ses nymphes, et je titillai son petit bouton de rose ! Nadia fit entendre un léger soupir de plaisir ! Ceci m’encouragea à poursuivre dans mon uvre, et je parvins à la faire hurler de bonheur en mode purement lingual !

Quand Nadia se releva, elle me fit signe de me défaire de mon caleçon et j’obtempérai sans mal. Je vis dans ses yeux un regard admiratif et plein de désir ! Elle s’empara immédiatement de mon chibre, le décalotta délicatement, plaça sa langue sur mon gland pour stimuler les endroits les plus sensibles.

Elle avait une façon de procéder qui n’appartenait qu’à elle. Elle me donna un plaisir fulgurant, que je ne suis pas prêt d’oublier !

Ensuite Nadia se leva et je crus qu’elle allait mettre un terme à la séance.

Mais elle revint presque immédiatement se poser sur moi, en s’empalant sur mon phallus dressé à la verticale.

Je ne saurais décrire l’impression fantastique que me fit son antre d’amour tout autour de mon vit, comme si je me trouvais piégé dans une membrane à l’élasticité infinie ! Mon excitation était à son comble tandis qu’elle soulevait son bassin et l’abaissait avec un rythme effréné !

Nadia semblait éprouver le plaisir suprême tant elle poussait des cris suraigus ! Elle n’allait jamais s’arrêter, continuant à monter et descendre sur moi ! Elle hurlait son bonheur comme jamais !

Quand elle me libéra, je compris que ce n’était toujours pas terminé. Elle plaça ses lèvres autour de mon membre viril et fit de petits mouvements de bas en haut et de haut en bas, ce qui provoqua en moi une jouissance intense ! Elle m’éjecta dès que mon nectar apparut, arrosant copieusement sa généreuse poitrine ! Je ne pouvais rêver meilleure façon de terminer la séance !

Je m’endormis dans ses bras, mais la nuit fut brève. Dès potron-minet, saisi d’une insomnie, je descendis dans le parc, déambulant dans les allées en brandissant ma virilité turgescente.

Nadia, s’apercevant de mon absence, descendit sans daigner se vêtir. Elle sautillait d’une jambe sur l’autre comme une enfant, et s’arrêta face à moi.

Elle semblait admirative de mon physique avenant et de mon membre pleinement déployé alors même que j’étais sous son charme. Je m’extasiais devant ses tétons bien pointés et son petit abricot si accueillant.

Elle s’allongea à mes pieds, et je me mis à palper ses seins, à pincer ses tétons avec force, tandis qu’elle triturait mon dard entre le pouce et l’index, malaxant mes boules de sa main libre. Ma langue s’aventura dans son jardin secret à la recherche de son berlingot que je léchai avec ardeur.

Puis nous nous levâmes et nous dirigeâmes vers le bassin pour prendre un bain en commun. Je jetai un coup d’il vers la villa et il me sembla que Vincent nous observait à la jumelle !

Immergés jusqu’à la taille, nous nous enlaçâmes et nous unîmes tout naturellement, ne formant plus qu’un seul être. Je sentis le corps de Nadia partir dans des mouvements de convulsions intenses au moment où elle atteignait la jouissance ultime, tandis que mon vit coulissait dans son entre-fesse.

Nous ne parvenions plus à nous arrêter : ce jour-là, les étreintes se succédèrent dans les bosquets autant que sur les parterres, sous le regard trop attentif du propriétaire des lieux.

Tout laissait penser que ce bonheur n’était pas prêt de s’achever.

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