C’était l’été suivant le décès de mon grand-père.
Mes parents avaient hérité naturellement de tous ses biens, mon père étant fils unique et, notamment du château où j’aimais aller. Nous devions tous nous y retrouver en août mais j’étais partie en avance pour l’ouvrir et aussi pour en commencer l’immense inventaire.
J’avais cependant dit à mes parents que je ne souhaitais pas y aller seule. C’est en campagne. Les soirées auraient pu m’y paraître longues.
Quand j’avais proposé à Gwendoline, ma meilleure amie, d’y venir avec moi, elle ne s’était pas faite prier. Trois semaines de vacances gratos dans le sud, dans une demeure magnifique avec piscine et tout le toutim, même à 25 kilomètres de la ville la plus proche, cela se prend.
On se levait assez tard, ce qui était un tort compte tenu de la chaleur accablante de l’été. On restait à l’intérieur tout la journée, à dresser un inventaire pièce après pièce de tout le mobilier, mon père ne sachant pas si tout était assuré. Nous avions attaqué la bibliothèque, pour mon plus grand plaisir tant j’aime les livres. Je prenais un ouvrage, j’en donnais les références à Gwendo qui les reportait sur un fichier excel.
Ce jour là nous avions travaillé des heures.
A près une douche bien méritée, nous nous étions fait un repas d’autant plus sympa que la cave était fort bien fournie.
Et puis nous avions cherché le frais au bord de la piscine.
Mais c’était la canicule. A 23 heures, il faisait encore 29° ! Un léger vent de sud n’apportait qu’une caresse chaude mais aucune fraîcheur. C’était juste une promesse de plus grande chaleur pour le lendemain à moins que l’orage n’éclate dans les collines à l’arrière.
Autant le dire, nous étions nues. Nous n’avons aucun secret l’une pour l’autre. On n’attendait personne. Les maisons les plus proches, c’est à dire les anciens communs du château où vivent le gardien et sa femme, et le hameau d’une dizaine de toits, tous résidences secondaires, étaient vides. Le gardien était en vacances et, comme j’étais là, nous n’avions pas pris un intérimaire suppléant. Les résidences secondaires ne s’ouvriraient qu’en août.
Gwendo étaie avachie sur son transat. Ses grosses mamelles se montraient fièrement et sa toison rousse luisait de transpiration, impudique. De temps en temps, nous plongions dans la piscine pour nous rafraîchir, puis nous buvions un peu. J’avais mis du champagne au frais, la cave en était pleine, et il n’y avait pas d’autre boisson à bulles. Bref, l’ivresse nous guettait.
La lune était pleine et ronde dans le ciel pur qu’elle illuminait de sa clarté. Je dis à Gwendo que nous allions nous prendre un bronzage lunaire si nous restions trop longtemps à poil dessous, qui donne à la peau un aspect un peu cuivré.
Tout à coup nous entendîmes un hurlement long et puissant;
"C’est quoi ça "? demanda Gwendo.
— Un chien.
— Dans le coin ?
— Je sais pas. Je crois pas qu’il y en ait.
— Pourtant, il a l’air d’être assez proche.
— Ouais. Je sais pas ce qu’il a à hurler comme ça !
— Mets toi à sa place. Avec tous ses poils il doit crever de chaud.
— Il est en chaleur c’est sûr !
— Gwendo ! Tu penses vraiment qu’à ça hein !
— Qu’à ça non, mais avoue que ta campagne manque un peu de mâle. Et ce soir je me taperai bien une bonne queue.
— Désolée. Il n’y arien à des kilomètres.
— Si, ce chien …
— Gwendo, vraiment, tu te taperais un clebs !
— Je déconne…. quoique…. Il paraît que certains sont très bien montés et baisent mieux qu’un mec !
Sur ce, elle éclata de rire, tout en passant la main sur sa touffe où elle la laissa se promener.
"Quoique;.. un bon mec là… hmmmm, j’ai envie…. Tu veux pas qu’on prenne la voiture et qu’on aille en ville "?
— Ecoute, il est minuit passé. Il nous faut plus d’une demie-heure et on va étouffer avec des mecs qui puent la bière, la vodka et la sueur. Allez, viens plutôt te coucher !
— Oui, tu as sûrement raison. Dis-moi Ombeline, avant tu ne voudrais pas m’apporter un dernier verre de champagne ? Après quoi je pique une dernière tête et dodo.
— Tu as déjà assez bu… aller, encore un verre, je vais te le chercher.
Je traversai la terrasse, rentrai dans le grand salon et me dirigeai vers le bar où j’avais remis le champagne au frais. J’étais à peine rentrée que j’entendis Gwendoline crier de terreur. Je revins immédiatement sur mes pas et ce que je vis me sidéra.
Devant Gwendoline se tenait une masse énorme et sombre qui me tournait le dos. Le monstre était si grand, peut -être 2 mètres 70, qu’il me cachait complètement Gwendoline puisqu’il était placé entre elle et moi. Il avait la tête très poilue et ces poils descendait dans le cou pour former une pointe qui se figeait entre les omoplates. Après cela il semblait être aussi lisse que si on venait de l’épiler. Le dos très musclé et démesurément large, les pattes campées mais pliées. Je voyais sa nuque et deux oreilles pointues. Je n’eus ni le temps d’avoir peur, ni le temps de réfléchir.
Mon grand-père était un excellent chasseur et il m’avait initié à cet art. Je décrochai un fusil de gros calibre du râtelier, ouvris le tiroir secret où l’on rangeait les munitions, je chargeai. Cela fut fait en un instant. Je revins sur le seuil. L’animal n’avait pas bougé à ce qu’il me parut. J’épaulai, visai au milieu du dos. A moins de cinquante mètres je ne pouvais pas le rater. Je fis feu.
La détonation résonna dans la salon, la fumée emplit la pièce. Je réarmai.
L’animal se retourna vers moi. Je n’eus pas le temps de le regarder en détail. Je visai le poitrail en plein cur. Je pressai sur la détente.
Le coup partit… et rien.
Alors l’animal fit un bond prodigieux, un seul, et se retrouva devant moi. Je m’écartai, ce qui me déséquilibra, et me retrouvai contre la persienne. J’étais au sol, l’arme hors de portée, la bête devant moi.
Instinctivement j’avais plié mes bras sur ma tête pour me protéger. Je sentis son souffle. J’étais terrorisée. Jamais je n’ai eu une telle frayeur. Je pissai sous moi. Je sentis les énormes pattes griffues me saisir les poignets. L’animal écarta mes mains sans que je puisse résister. Je fermai les yeux, incapable de rien faire, pas même de crier. J’étais tétanisée. Je me disais que c’était un cauchemar, que j’allais me réveiller. Tout à coup, je sentis une masse chaude sur mon visage, comme une batte de base-ball. Il frottait son sexe sur moi.
Cette horreur me fit hurler : "Noooooooooooooon"!
Le temps que j’ouvre la bouche pour crier, il y introduisit l’extrémité de son sexe et j’avalais bien malgré moi une dose de liquide que je voulus recracher.
Dès que j’eus avalé, il me lâcha et se recula. Il se mit à croupetons, face à moi, à moins d’un mètre et attendit.
Je me sentais envahie d’une bienfaisante chaleur, la peur reculait en moi et j’avais finalement petit à petit plus de honte de me trouver dans la situation où je me trouvai que de crainte.
"ça va mieux"?
Cette question avait éclaté dans ma tête. Je me dis que j’étais folle.
" Non vous n’êtes pas folle, c’est moi qui vous parle par télépathie".
Je crus que j’étais encore plus folle.
"A mais qu’est-ce que vous êtes têtue ! Je vous dis que c’est moi qui vous parle… Dites, vous ne croyez pas qu’on devrait s’occuper un peu de Gwendoline"?
Alors je regardai le monstre en me demandant : "C’est quoi ça "?
— ça c’est un loup-garou. Je m’appelle Maxime. Je ne vous veux aucun mal, rassurez-vous. D’ailleurs, il serait peut-être temps de s’occuper de votre copine si je puis me permettre d’insister.
Je m’entendis répondre : "Oui, vous avez raison".
— Oh, vous pouvez me tutoyer, vous savez.
Je me relevai, toute gênée d’être mouillée par mon urine et il me tendit son immense bras. Je reculai de peur.
"Rassurez-vous, c’est juste pour vous aider à vous relever".
Je m’approchai de Gwendoline qui n’avait pas repris connaissance accompagnée de l’ombre gigantesque du loup-garou.
"Dites, avant de la réveiller, on devrait faire comme pour vous, sinon elle va retomber dans les pommes".
— Que voulez-vous dire ?
— Il faut peut-être qu’elle puisse me comprendre.
— Oui, au fond c’est assez juste. Mais d’ailleurs, comment se fait-il que moi je vous comprenne ?
— Rappelez-vous, je vous ai un peu forcée. Je vous prie de m’en excuser. C’est lorsque je vous ai introduit un peu de mon pré-sperme dans la bouche. Ainsi, vous pouvez me comprendre et cela vous aide à surmonter la peur… On devrait faire la même chose avec elle.
— Hmmm, ben je ne sais pas.
— Vous vous voyez la réveiller et lui dire que vous êtes là avec un loup-garou mais qu’il ne faut pas paniquer ?
— C’est vrai que c’est baroque.
— Alors ?
— Vous devez avoir raison. Mais on ne lui dira rien.
— Ah, non ce n’est pas possible. Il faudra que je lui explique. Déontologie de Loup-garou oblige.
— Bon, on fait comment ?
— Si vous voulez bien lui ouvrir la bouche, je me charge du reste.
J’ouvris donc la bouche de Gwendoline et il approcha alors un zob monstrueux qui suintait.
"Houla "!
— Houla quoi ?
— Rien, rien…
— Ben si, vous trouvez que je suis bien pourvu mais que c’est tout rouge et pas comme un homme.
— C’est fatiguant, on ne peut rien vous cacher. Vous lisez dans nos pensées tout le temps comme cela ?
— En partie oui.
Cependant, Gwendoline se réveillait. Maxime, le loup-garou se mit en arrière, le temps que je lui explique. Quand il la sentit capable de comprendre il nous parla par télépathie puis il se montra.
Alors commença la plus surréaliste des conversations. Dans la touffeur d’une nuit d’été de pleine lune, deux nanas complètement nues parlaient avec un géant plein de poils dont un coup de griffes pouvait vous envoyer ad patres.
Il nous expliqua tout en nous faisant bien comprendre que, de toute façon, nous n’avions aucun intérêt à le dire car on ne nous croirait jamais. Pas faux !
Les loup-garous n’étaient pas aussi méchants qu’on voulait bien le dire. En fait, ils ne s’attaquaient qu’aux criminels et protégeaient les honnêtes gens comme c’était notre cas.
"Ah bon, vous nous protégiez, et de quoi"?
— Avant que j’arrive, il y avait deux types en bagnole qui venaient pour vous cambrioler. Ils ne vous voulaient pas que du bien. Quand ils m’ont vu, ils ont planté leur caisse dans un arbre à deux kilomètres. Je leur ai ensuite fait un grand sourire de près. Il sont partis en courant. Vu la frousse qu’ils ont eue, j’ai lu dans leur cerveau que vous ne les reverrez jamais dans la région.
Il nous dit ensuite comment il était devenu loup-garou et quelle était sa vie, sans s’étendre sur qui il était après ou avant sa métamorphose: "Vous comprenez, quand je suis en loup-garou, j’ai une force et une vitesse peu communes, je lis les mauvaises intentions dans le cerveau des gens.je suis quasiment invulnérable. Quand je suis un homme, je suis un homme".
— Et donc mes coups de feu de ce soir ?
— Rien ! Mais demain à mon réveil, j’aurais deux énormes bleus à l’endroit des impacts. Je vais vous bénir pendant quinze jours ! Rendez service aux gens !
— Excusez-moi, je ne pouvais pas savoir.
— Vous êtes toute pardonnée.
— Il était plus de deux heures du matin. Il voulut prendre congé.
— Déjà, restez encore un peu.
— Non, vous ne risquez plus rien et il faut que j’aie regagné ma voiture avant le lever du soleil pour ma métamorphose.
— Vous avez bien le temps.
— Oui, c’est vrai.
— Et vous reviendrez nous voir.
— Avec plaisir.
— Et nous pourrons encore vous comprendre ?
— Non. Il faudra que vous buviez encore mes premiers jets.
— Au fond, dit Gwendoline, ce n’est peut être pas si désagréable.
— Enfin Gwendo, tu vois bien quand même que Maxime est ….
— monté comme un chien ?
— Ben oui. Dit-il :
et il nous expliqua d’ailleurs que c’était peut-être le côté le plus agréable de sa métamorphose car, alors, il avait des dimensions nettement plus avantageuses que sous sa forme humaine. Et les sensations qu’il éprouvait étaient décuplées.
Gwendoline lui demanda : "quelle sensation "?
— Ben tout à l’heure, dès que je vous ai vue… nue, vos seins… alors automatiquement…
— Ah ?
— Oui, excusez-moi.
— De rien, c’est plutôt flatteur…. Donc, si vous revenez, il suffira de quelques gouttes…
— Oui… cependant, il il a bien un autre moyen….
— Lequel ?
— Et bien, une femme qui a été…. couverte…
— Couverte ?
— Oui, euh, "fécondée" par un loup-garou, en comprend le langage pour toujours.
— Vrai ?
— Vrai.
— Et pas de risques ?
— Aucun. Pas de maladie et on ne tombe pas enceinte d’un loup-Garou sauf les pucelles.
Je regardais Gwendoline et je la connaissais suffisamment bien pour voir qu’elle hésitait. Il lut cette hésitation.
"Pour moi aussi ce sera un nouveauté. Je ne l’ai jamais fait encore dans cet état".
Alors il se mit debout. Il était gigantesque. Ses muscles étaient ronds, fermes, puissants. Ses pectoraux et abdos étaient ceux d’un homme, sans poils à l’exception de son pubis comme son entre-jambes d’ailleurs. Les couilles pendaient lisses et étaient surplombées par un fourreau poilu et saillant dans lequel s’étaient partiellement replié le pénis dont l’extrémité dépassait un peu, ce que sa couleur nous désignait sans peine. Ses bras étaient très longs et pendaient le long de son corps jusqu’à ses mollets.
"Quelle masse" ! dit Gwendoline. Et elle s’approcha. La queue rouge grimpait comme une fusée vers le ciel. Elle était identique à celle d’un chien mais vraiment énorme. Un liquide un peu plus trouble que de l’eau s’en échappait. Ses griffes étaient rétractiles et disparurent complètement. Il baissa son bras, le passa entre les jambes de Gwendoline et commença à la doigter. Elle prit la bite à pleine bouche.
Il ronronnait. Et Gwendoline entre deux coups de langue s’extasiait : "Oh la vache, la bonne queue. Viens Ombeline, c’est chaud, dur, et bon. Cette mouille à comme un goût de noisette. Allez vient quoi! Tu as vu le morceau ? Il y en a pour deux".
J’hésitai. Maxime, retira ses doigts de la chatte de ma copine et ,me prenant des deux mains par la taille, il me souleva comme un plume avec une délicatesse dont je ne revins pas. Il m’approcha ainsi de sa gueule et me dit de poser mes pieds sur ses épaules. Elles étaient douces et solides. Alors je pliai les jambes à mesure qu’il approchait ma vulve de sa truffe. Je sentis son haleine chaude sur ma toison. Il sortit une langue gigantesque et commença à me lécher le sexe.
Cette langue était comme un membre à part entière, longue, musclée et agile. Il humecta mon pubis, écarta la raie , me titilla le clitoris, puis le bouton et jusqu’à la raie du cul. Je mouillai comme une chienne. Ça ruisselait sur sa langue jusque dans sa gueule grande ouverte. Puis il inséra cette proéminence linguale dans mon vagin. Elle était à la fois douce et rapeuse, moins grosse qu’une bite évidemment mais tellement plus agile. Il la faisait bouger à l’intérieur avec une dextérité magnifique, dans tous les sens. Je jouis rapidement en me cramponnant à ses avant-bras.
Il me reposa au sol.
Gwendoline pompait toujours l’excroissance rouge avec avidité. Son menton, son cou, ses seins, son nombril et sa pelouse rousse disparaissait sous un nappage qui s’épanchait lentement, comme du lait concentré.
Il retourna Gwendoline. La posa en levrette sur un transat, la prit par les hanches et, pliant les jambes pour mettre sa queue à la bonne hauteur, il entreprit de défoncer la moule qui était épanouie comme une rose.
"Oh oui, putain c’est bon, enfonce-là moi toute. Oh, oh quelle queue, quelle queue.. Ah, quelle est grosse, oh… encore… ouiiii…".
Il ne bougeait quasiment plus que par légères secousses. La crème sortait en lourdes larmes qui s’écrasaient avec lenteur sur le coussin du transat qui fut vite complètement trempé.
"Et mais qu’est ce qu’il se passe. Ouille ! Tu fais quoi la mon grand loup "?
— Là, je fais comme les chiens, je suis en train de te bloquer, la base de ma bite est en train de devenir une énorme boule rouge qui va t’obturer le trou. Quand ce sera fait alors je vais jouir.
-Aie. Je vais pas supporter. C’est trop gros. Tu m’écarte trop le vagin là !
— Quoi, enfin ce n’est pas prie qu’un accouchement. Tu vas t’y faire. Aller, bouge ton cul là. Remue-toi. Ouais, c’est bon ça.
Par curiosité je m’approchais pour voir la scène en gros plan.
Effectivement, les lèvres était fendues par une énorme boule. Elles étaient rouges et gonflées. Maxime poussait plus fort et ses très grosses et très lourdes couilles dansaient en cadence. Il dut s’apercevoir que je les avais remarquées car il me demanda de les sucer. Elles n’avaient pas de poils. Elles étaient douces et lisses et sentaient une agréable odeur de rut. J’essayais de les gober une a une.
Gwendoline hurlait de bonheur. Je lui dis de se taire. Maxime me rassura: "Il n’ y a personne à des kilomètres, on peut se lâcher et, poussant des grognements de plaisir, il éjacula, ce que les cris de Gwendo me confirmèrent.
Puis il se retira. Cela fit un "plop" sonore, comme une gigantesque ventouse qu’on arrache et la jute coula abondamment sur le sol.
"Je vais me laver" dit Gwendo.
Un peu libérée par son absence, je me précipitai vers la protubérance rouge trempée qui, bien droite, laissait pendre de longs fils blanchâtres qui se détachaient avec lenteur du vit et qui s’écrasèrent sur le pied de la bête. Il était tellement grand que sa queue dressée arrivait presque à la hauteur de mes seins. Je n’eus donc qu’un effort minime à faire pour coincer la bite entre mes deux nichons et en titiller le bout avec la langue. J’en trouvai agréable le goût et l’odeur, aussi me décidai-je à le bouffer franchement.
L’avantage du langage télépathique c’est qu’on peut parler la bouche pleine.
"C’est bon ta queue, là"!
— Vrai ?
— Oui. Hmmmm j’ai vraiment envie que tu me la foute.
— A votre service.
Je m’allongeai donc sur le dos en écartant mes jambes au maximum.
"Faut que je fasse vite. Le jour approche et ta copine en veut encore"
— Ah bon?
— Elle est partie se doucher, elle est partie se doucher… tu parles. Elle est surtout partie se laver le rectum. Elle a envie que je l’encule.
— Et tu vas pouvoir jouir encore ?
— Je sais pas. C’est la première fois que je nique pendant une métamorphose.. là j’ai l’impression que ça ne s’arrête pas.
Et il me montra son pieu tendu comme la corde d’un arc qui giclait de petites quantités de liquide à un rythme régulier. Il commença à me l’introduire. Je n’avais jamais pris un truc aussi gros dans la chatte.
J’étais tellement mouillée que son vit rentra d’abord facilement. Son pré-sperme aidait à la lubrification. Mais l’engin était tellement gros et long que les parois renâclaient à s’écarter. Enfin, je sentis le knot passer mes lèvres et fermer le trou ou il se mit à gonfler. La sensation était la même que lorsqu’on se met un gode gonflable mais c’était beaucoup plus gros et je me demandais jusqu’où il allait me dilater.
L’extrémité pointue cognait tout au fond et la douleur que j’avais ressentie s’était maintenant estompée pour céder le terrain aux vibrations imprimées par les petits sursauts que faisait la bite en lançant sa purée. Ma masse était tellement pleine que j’avais l’impression qu’elle moulait littéralement la queue, qu’elle en épousait les moindres détails.
"couvre-moi mon grand"!
— Je vais t’écraser.
— Vas-y en douceur.
— Alors il se coucha sur moi.
Il était tellement grand que ma tête arrivait au niveau inférieur de ses pectoraux. Je mis mes mains sur son dos tellement vigoureux. Sa peau était très ferme. Il dégageait une forte odeur de mâle très agréable.
Bien que sa bite fut bloquée en moi, il me secouait comme pour aller et venir ce qui avait juste pour effet de solliciter l’élasticité de mes parois internes. J’encaissai ces chocs avec endurance. Ils se répercutaient dans tout mon corps.
Comme je regrettai qu’il ne pût s’occuper de mes nichons en même temps, je constatai qu’il était aussi souple qu’un contorsionniste. Il plia son dos et sa langue vint caresser le bouts de mes seins. Jamais on ne m’avait montée comme cela. J’étais au délire.
Gwendo, de retour parmi nous s’appliquait à lui bouffer les couilles.
Visiblement, au bord de l’orgasme, Maxime se libérait. Outre qu’il me chauffait la chatte sans pitié, il m’insultait copieusement: "T’es une bonne grosse chienne. Prends ma teub d’animal salope. Hmm t’es une bonne femelle toi"; et il en avait autant pour Gwendo : "Ouais, vas-y, bouffe moi bien les couilles là.. oui, comme ça, bouffe mes couilles sale pute…"
Et je sentis les pulsations de sa verge au moment où chaque long tir de son sperme fusait en moi en me remplissant comme une outre.
Il retira sa pine et comme un bouchon qui saute je la sentis se défaire et les flots de liquide s’écouler sur mes fesses.
Il mit Gwendo en levrette. Promena sa baguette dégoulinante dans la raie du cul y plongea deux doigts et, la saisissant par les épaules, il élargit l’il de bronze.
Elle poussa une sorte de tyrolienne au moment où il la déchirait. Complètement anéantie par les coups qu’il m’avait donnée, je ne pus qu’être témoin de la scène.
Le pénis n’entrait pas intégralement dans le trou et ainsi il put coulisser tout à son aise avec une rapidité qui devait singulièrement chauffer les entrailles de ma pute de copine qui avait perdu tout mesure : "Enfonce-moi ton chibre, mieux que ça… déboite-moi, vas-y, c’est bon".
Et il répondait ; "T’aime la queue, hein, t’en as jamais eu une queue pareille hein pouffiasse. T’aimes que je te grimpe, t’aimes-ça, aller, dis-le que t’aimes être prise comme une salope.." Et elle répondait comme une charretière.
Comme une partie de la bite restait à l’extérieur, je pus voir le knot enfler à nouveau comme s’il avait dû se bloquer pour prendre à peu près la taille d’une boule de pétanque et demie et je compris pourquoi ma raie avait été soumise à si rude épreuve.
Le nud allait et venait et, à chaque fois qu’il sortait, il laissait s’écouler un filet de crème qu’il comprimait en rentrant, projetant ainsi des myriades de gouttelettes dans toutes les directions.
"Prends-ça grosse truie. Carre-toi ça dans le fion… T’aimes hein, vas-y couine, couine pétasse".
Les burnes s’agitaient frénétiquement et j’en adorais le spectacle.
Quand vint le moment de jouir, il se retira. Aussitôt je me précipitai sous la verge canine pour en recevoir une douche onctueuse, chaude, abondante que je laissai pleuvoir en averse sur mes nibards. Gwendoline s’était retournée pour recevoir sa part du butin.
Nous étions couvertes de semence. Je jouais avec mes seins pour que se répande le jus au maximum. J’y trempais mes doigts pour en mouiller ma chatte.
Il nous regardait, toujours bandant et prêt à nous saillir encore. Mais le jour se levait.
Il nous remercia de l’avoir dépucelé sous sa forme bestiale. Tout le plaisir était pour nous. Nous n’avions ni l’une ni l’autre pris un tel coup dans le cul de notre existence.
Nous lui fîmes promettre de revenir. Il nous le jura à condition que nous gardions le secret car, en revenant, la prochaine fois, s’il y avait des témoins imprévus ou un piège, il le saurait.
Un dernier bisou sur la queue qui pissait encore et il disparut en quelques bonds extraordinaires. Nous entendîmes au loin un hurlement qui nous sembla de satisfaction puis ce fut tout.
La nuit avait été blanche. La température avait baissé. Le sperme se coagulait lentement sur notre peau. Nous décidâmes d’aller nous coucher, emportant sur nous l’odorante et gluante preuve que nous n’avions pas rêvé.