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Les filles organisent une compétition très spéciale. – Chapitre 4




— Bordel de merde Claude ! Vas-y doucement avec ton braquemart ! S’écrie Bonnie en grimaçant. Avec Clyde, je ne suis pas habituée à un tel calibre !

— Je vais cracher les filles ! Venez me finir !

Elles se précipitent pour le branler et le sucer, les mains et les bouches se relaient jusqu’à ce qu’elles remarquent qu’il ne peut plus se retenir. Il se saisit de sa bite pour la diriger vers les visages des filles qui se sont un peu reculés. Elles sont quand même surprises par la puissance de la troisième éjaculation de Claude, à peine moins violente que les deux précédentes mais toujours aussi copieuse. Leur visage et leurs cheveux sont zébrés de longues estafilades de sperme gluant.

Suite :

Troisième round : Il n’y a plus que Claude et Roméo en lice.

Les filles ne veulent pas qu’ils aient le temps de reprendre des forces et se relaient sur les deux queues restantes pour les faire se redresser. Elles ont des difficultés avec Roméo qui n’arrive plus à une érection complète. Virginie pousse Roméo vers Ly, la petite chatte accepte plus facilement la taille de ce pénis plus imposant que celui de Tristan. Virginie doit prendre la direction des choses car il reste passif et malgré l’aide de ses copines, Roméo jette l’éponge car il n’arrive plus au plaisir.

Yseult, Léna et Virginie n’ont, elles, aucune difficulté à faire se redresser le gros nud, l’épi est de nouveau prêt pour honorer une nouvelle fille. Elles font asseoir Claude au centre du divan. Yseult monte à califourchon sur le jeune homme, lui montrant son côté pile, pose ses mains sur les genoux de Claude et descend avec précaution sur le barreau de chaise que Léna tient à la verticale.

Sa fente doit s’ouvrir au maximum pour absorber un tel soc. Elle ne se sert que du premier tiers de ce chibre pour se donner du plaisir, n’osant pas aller plus loin pendant que Virginie, debout derrière elle, s’appuie sur le mur pour donner sa chatte à brouter à Claude.

La scène est hallucinante !

Pendant presque une dizaine de minutes, les trois salopes échangent leurs places sur le frère de Léna, se faisant tringler, lécher la chatte ou gobant les boules de Claude.

Pour la quatrième fois, il vide ses couilles, ne sachant plus dans quel vagin, sa bouche est pâteuse après avoir dévoré trois foufounes et bu à satiété leur liquide.

Juliette fait le décompte :

— A part Ly, Claude nous a toutes baisées, quel étalon ! Vous croyez que maintenant que la gaine de Ly est dilatée, elle pourrait se faire baiser par lui ?

Les avis sont divers, Ly a peur de se faire déchirer par un tel rostre.

Virginie trouve la solution :

— Il faut qu’on refasse un peu bander Claude juste pour qu’il puisse la pénétrer sans qu’il soit en pleine érection. Après, ce sera à Ly de décider !

Ly n’est pas très chaude mais se laisse convaincre. Une nouvelle fois, les filles se chargent du vit qui a perdu pas mal de sa fierté et arrivent à lui faire prendre quelques centimètres.

Les autres garçons, écurés de la façon dont se comportent leurs compagnes, se rhabillent et décident d’aller faire un poker au salon.

Claude est couché sur le divan, Ly s’est installé sur lui et prend en main la hampe molle. Elle passe plusieurs fois le gland sur sa fente avant de l’introduire entre ses lèvres vaginales. Elle grimace, retenant sa respiration, acceptant en elle une dizaine de centimètres avant de stopper.

L’air compressé s’échappe en faisant du bruit. Lentement, elle va et vient sur la verge de Claude.

La pression folle de cette chatte si serrée fait se réveiller le désir dans cette lance qui a déjà tant donné.

Claude a posé ses mains sur les fesses de la jeune asiatique. Ly s’est laissée déborder par son plaisir et met un certain temps à réaliser la modification qui se passe en elle. Ce n’est pas la longueur qui lui fait peur car elle sait très bien qu’elle ne pourra jamais accepter en elle un tel pieu. Une pression folle fait se dilater de plus en plus ses chairs intimes quand la verge se regorge de sang et retrouve son épaisseur habituelle.

C’est comme une décharge électrique qui lui déchire les boyaux à chaque fois que le gland défonce le col de son utérus quand elle va trop loin. Une douleur intense la force à aller et venir avec délicatesse sur la poutre plantée en elle. Elle n’a jamais connu un plaisir si intense et persévère encore et encore malgré la douleur mais doit s’avouer vaincue. Elle n’arrivera pas à le faire jouir… Elle abandonne déçue la tige pharaonique laissant une vulve béante.

Les filles veulent le voir encore une fois se vider les couilles, l’une après lautre, elles passent toutes sur ce gourdin qui décidément ne veut plus se vider. Il a les bourses paresseuses après autant de fornications si rapprochées. Il faut presque vingt minutes pour qu’elles parviennent à obtenir encore un dernier tribut de foutre du jeune étalon, beaucoup moins copieux et beaucoup plus liquide.

Claude, épuisé, s’est assoupi. Elles le regardent et commentent ce qu’elles viennent de vivre :

— Qui aurait cru ça en le voyant, on lui demanderait sa carte d’identité pour le laisser rentrer dans certains lieux ! S’étonne Yseult

Bonnie regarde Léna et lui reproche :

— Tu t’es bien gardée de nous le présenter plus tôt. Bien que tu as peut-être eu raison car on aurait risqué de se faire arrêter pour viol sur mineur !

Léna les rassure :

— A deux mois près, tu n’y coupais pas. Alors les filles ! Pas de reproche pour ma petite surprise ?

Virginie, toujours aussi avide de sexe leur lance soudain :

— Il faut que j’essaie… Je suis sûre que…

Elle va farfouiller dans son sac et ramène quelque chose qu’elle cache dans le creux de sa main. Elle se rapproche de Claude, prend en main la verge flasque et glisse autour un anneau en commençant par y introduire une couille puis l’autre et enfin le tuyau flasque en le pliant.

— C’est le cockring de Paul, je le lui mets pour qu’il bande plus dur, on va voir l’effet que ça va donner sur Claude !

Virginie prend en bouche le gland fripé et s’escrime avec ses deux mains sur la hampe molle.

En persévérant, l’organe reprend un peu de vigueur sans même réveiller son propriétaire. L’anneau fait le reste, le sang pulse faiblement dans les corps caverneux puis est piégé ensuite par l’anneau qui l’étrangle à sa base.

L’effet est lent mais irrémédiable, la queue se gonfle, se redresse lentement mais sûrement.

Mais ce que n’avait pas prévu Virginie, c’est que l’anneau de Paul a un diamètre étudié pour sa pine et non pour celle de Claude encore plus épaisse.

Etranglé à la racine, le sexe de Claude prend des proportions encore plus imposantes qu’au naturel.

Sous la pression sanguine, le nud vire légèrement au rouge, le gland énorme au violet. L’anneau est presque devenu invisible car la chair gonflée à la base l’a absorbé.

— Putain de merde ! Arrête Virginie ! Tu vas le tuer ! S’exclame Léna.

— Je ne peux plus rien y faire, c’est trop tard ! Les seules solutions, c’est où couper l’anneau mais on risque de le blesser ou alors attendre qu’il débande de lui-même. Si on veut accélérer le mouvement, il faudrait arriver à le faire jouir encore une fois !

Les filles se dévouent bien volontiers. Yseult doit prendre entre ses deux mains le gourdin pour en faire le tour, Ly essaie de refaire l’exploit de tout à l’heure mais cette fois, le chapeau de ce gros champignon est si dilaté qu’il ne passe plus entre ses mâchoires. Elle s’arrête de peur que ses dents ne déchirent la peau si fine du gland et pose son avant-bras contre la verge pour en comparer les dimensions, elles sont identiques ! Les filles ont sauté sur leur Smartphone pour immortaliser la chose, la verge de Claude est aussi grosse que le fin poignet de Ly.

Les fellations se suivent, les mains fatiguent à force de branler ce pic dur comme de la pierre et chaud comme de la braise.

Ly se refuse à chevaucher de nouveau l’axe d’airain, Yseult et Bonnie n’en goûtent que la gueule tellement leur chatte est dilatée par ce chibre hors-norme. Juliette est un peu plus courageuse mais y va avec précaution, se contentant que de quelques centimètres de plus. Léna ne veut pas être en reste pour astiquer l’organe de son frère en serrant les dents.

Il n’y a que Virginie qui s’éclate, à s’astiquer dans les deux sens sur ce gode de chair qui ne veut décidément plus débander.

Depuis un moment déjà, Claude a rouvert les yeux car une douleur vrille la base de sa verge, il observe la scène les bras glissés sous sa tête en spectateur passif, détaché de ce qui se déroule au centre de son corps. Son regard est un peu dans le vague comme s’il assistait à un spectacle qui ne le concernait pas.

Il a fallu pratiquement quarante minutes pour que les filles arrivent à leur fin mais le pénis est si congestionné que rien ne s’en échappe à part une minuscule goutte de sperme. Et il a fallu encore vingt minutes après qu’il se soit assoupi pour que la pression baisse suffisamment dans son chibre afin de pouvoir lui retirer l’anneau sans même que ça ne le réveille tellement il est exténué.

Les filles décident de faire le décompte final et Léna annonce les résultats :

— Bonnie et Clyde 23, Paul et Virginie 38, Tristan et Yseult 40, Roméo et Juliette 46, Léna et Jérôme 49,

Ly et Claude 64. Pour ce qui est de l’étalon, il n’y a pas photo mais chaque homme est unique, Jérôme est le plus beau, Bonnie le plus musclé, Roméo le plus riche et ainsi de suite. C’est pour ça que nous les aimons tous comme la nature les a faits…

— Tu nous donneras quand même le téléphone de ton frère, Léna, ça peut servir…

Toutes les filles éclatent de rire (mais notent précieusement le numéro).

Fin.

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