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Touria, la caissière perverse du Carouf – Chapitre 1




Voilà maintenant des semaines que je la mate du coin de l’il, la caissière du Carouf. A chaque fois, je m’y arrête pour acheter une babiole et je me débrouille pour me mettre dans la file menant à sa caisse. Tout cela pour croiser son regard, et entendre sa voix. Elle s’appelle Touria, elle est une belle maman maghrébine un peu rondelette d’une trentaine d’années. Typique de ses origines orientales, elle a une belle peau ambrée, de grands cheveux noirs bouclés, des grands yeux tout aussi sombres cachés derrière des lunettes carrés. Un sourire radieux, plein de soleils et surtout des petites lèvres en formes de boutons. Elle me plait bien ma petite caissière arabe, quand elle attrape mes boites de conserves avec ses petits doigts potelés aux ongles rouges, j’aimerai bien qu’elle m’attrape autre chose. Cette pensée à chaque fois réveille une chaleur piquante dans le bas de mon ventre. De même, quand elle se déplace dans les rayons en faisant claquer le parquet avec les talons de ses escarpins, j’aime la suivre discrètement pour contempler le balancement de ses belles et larges hanches et de sa poitrine rebondie. Elle est peut-être un peu grosse, mais sa taille est bien marquée, sa silhouette voluptueuse et harmonieuse. Et il faut bien le reconnaître, moi j’ai toujours aimé les femmes rondes.

Bon ben voilà, Touria c’est une mère de famille somme toute assez ordinaire, pas un top model des magazines ; c’est le petit fantasme assez ordinaire d’un bonhomme marié ordinaire en pleine quarantaine.

Un jour, à la caisse, elle laisse échapper une petite boîte de pile, elle se penche pour les ramasser, et en relevant la tête, elle surprend mon regard qui évidemment était perdu dans son immense décolleté. Elle me fixe avec insistance en se redressant très lentement, moi évidemment je pique un phare, ce qui déclenche chez elle un rire tonitruant. Bon ben voilà, je suis démasqué maintenant. La coquine, elle sait qu’elle me plait et elle a décidée d’en jouer.

L’autre jour dans un rayon, quand je passe à ses côtés, elle se baisse pour attraper quelque chose, elle cambrant bien ses fesses et me regarde fixement en me souriant.

Et l’autre fois, juste après la caisse, je me retourne pour lui dire au revoir, la garce ! Elle fait un  quart de tour sur sa chaise à roulette, se met bien en face de moi, écarte ses cuisses et soulève sa jupe avec son éternel sourire radieux. Mon regard s’engouffre dans son entrejambe et sur le tissu blanc de sa culotte. Je deviens rouge écarlate, je m’enfuis sans demander mon reste.

Et depuis ce jour, à chaque fois que je passe devant elle, elle met un point d’honneur à se mettre en scène et à toujours appuyer son regard sur mes yeux. Et cela dure des semaines. Je finis par ne plus penser qu’à elle, cela en devient obsessionnel. La nuit, quand je baise ma femme,  je m’imagine donnant de grands coups de reins entre les jambes de Touria. Le jour au boulot, devant mon ordinateur, je l’imagine la tête entre mes cuisses me lapant avidement.

 

Un soir que je n’en peux plus, je guette la fin de son service sur le parking. Elle sort, je démarre doucement ma voiture, je roule doucement à son niveau, j’ouvre ma fenêtre, je me lance.

« Bonsoir Touria, vous voulez bien que je vous ramène chez vous ? »

Elle me sourit, sans un mot elle monte. Je redémarre bien vite.

Nous roulons plusieurs kilomètres dans la campagne. Un silence très lourd dans la voiture

J’ai réussi à embarquer la fille dans la voiture mais je n’ose plus rien lui dire, je suis tétanisé par l’angoisse.

Elle, elle est tout à son aise, elle se marre, elle sourit, elle fait la belle. Elle passe sa main dans ses cheveux elle écarte ses jambes, remonte sa jupe, elle met ses cuisses bien en évidence et sa poitrine bien en avant.

« T’es un timide en fait, qu’elle me dit. Alors dis-moi, qu’est-ce que tu veux qu’on fasse ensemble ? Où tu m’emmènes comme ça, ce n’est pas chez moi.

— Je, je je vous trouve, je vous trouve belle madame. Je rougi, je prends la voix d’un petit garçon, pas terrible pour draguer une nana. J’ai envie,   j’ai envie de vous, que vous soyez ma.. maîtresse, j’ai envie de vous faire l’amour

Elle éclate de rire au fur et à mesure que je me confesse et en même temps, je m’enhardi, je glisse ma main sur ses cuisses. Elle se laisse faire, je caresse ses genoux, je continue à lui parler.

-vous tu es belle Touria, je souhaiterai passer de longs moment avec vous,  »

Je remonte ma main qui était sur son genou vers le haut de sa cuise. Elle me gifle la main avec violence !

—  tu es un petit vicieux aussi. Dis mois est ce que tu es marié ?

— oui. J’ai une femme que j’aime et deux petites filles et toi ?

— Ah je vois, tu veux juste t’amuser c’est ça, petit cochon va. Mon bonhomme s’est tiré, il y a deux ans, et je m’occupe seul de mes 2 enfants. Qu’est ce qui te plait chez moi ?

Elle passe sa main sur mon torse puis commence à me caresser les épaules.

— ton ton visage, tes rondeurs, tes ..seins, j’aime aussi le son de ta voix, je sais pas, je vous trouve attirante J’aime vous regarder quand vous marchez, votre teint oriental, tout ça, je sais pas trop dire

Elle éclate d’un rire tonitruant.

— Ah j’ai compris c’est ça, c’est le fait que je sois une petite arabe qui t’excite ! le bon petit papa comme il faut, avec sa petite cravate toute propre de petit patron, il a envie de se taper une beurette, une ouvrière ! »

Elle descend ses mains sur les cuisses et me caresse le paquet qui gonfle derrière ma braguette.

Je gare la voiture dans un endroit tranquille

Je me penche ma tête vers la sienne, elle accepte mon baiser. Ses lèvres sont douces, elle ouvre sa bouche, nos langues se mélangent, je caresse ses cheveux. Au même moment, elle glisse une de ses mains sous ma chemise et me caresse le ventre. Quel baiser délicieux ! les effluves de son parfum bon marché saturent l’air confiné de la voiture et font redoubler mon excitation.

Tout en continuant à l’embrasser à pleine bouche, mes deux mains tremblantes déboutonnent fébrilement son chemisier puis détachent son soutien-gorge. J’extrais enfin ses deux énormes mamelles. La blancheur lumineuse de ses deux énormes boules contraste avec le teint pêche de son bustier. Je suis fasciné par ses seins je le regarde longtemps bouche bée. Puis je les caresse, je les soupèse, je les malaxe. Elle gémit de plaisir en penchant la tête en arrière, les auréoles noires autour de ses tétons deviennent énormes. Je les titilles, je les suce, je dépose avidement ma bave sur toutes les rondeurs de ses seins, je les déguste, elle continue à gémir elle me caresse les cheveux et passe sa main sur la bosse de mon pantalon

Je veux aller plus loin encore, mes mains glissent sous sa jupe à la recherche de sa culotte

Mais là, Elle ne se laisse plus faire ! « Non ! Non ! arrêtes ! NON ! Elle me repousse. NOOON ! Arrêtes ! Non pas comme ça pas tout de suite !

Elle me repousse de ses bras, j’insiste, je force, je veux lui arracher son slip à cette salope. Sa voix devient aigue, moi je grogne, elle se débat. Las ! Elle me distribue une MONUMENTALE GIFLE sur la joue !

« Sale cochon ! Je ne suis pas ta pute ! Je ne vais pas me faire baiser comme ça ! »

Je suis arrêté net, je sens la douleur et la rougeur ! Je suis tout penaud de honte, je n’ose plus rien faire, je suis pétrifié. Elle me regarde avec un grand sourire. Alors, elle s’approche doucement de moi en fixant mon regard, un peu comme le serpent s’approchant d’une petite sourie apeurée.

« Oooh, ne fais pas la tête mon petit chat. Tu me plais tu sais ! Je veux bien être ta chatte ! Je veux bien que tu me donnes du plaisir, et je veux bien t’en donner ! Mais c’est moi qui décide, où, et quand et comment tu m’as compris mon petit chat ? Tu me plais tu sais, elle va t’en donner du plaisir l’arabe ! »

Tout en me parlant, elle me bécote doucement, et de ses doigts agiles, elle ouvre mon pantalon et extrait mon sexe qui se dresse tout de suite à la verticale. Elle le caresse doucement et longuement. Elle accélère doucement en continuant à me fixer droit dans les yeux

« Oh Ouuuuiiii c’est bon ça te plait mon petit chat !

Elle sent que je ne vais pas tenir longtemps, elle ouvre sa bouche et aspire mon gland. Seulement trois aller-retour. Elle se retire bien vite et je lâche deux chaudes giclées qui souillent le fauteuil de la voiture et mon pantalon.

C’est tout ce que tu auras aujourd’hui mon petit chat, maintenant tu me ramènes et je ne veux plus rien d’autre »

Je la ramène sur le parking du carrefour Market. Sans dire un mot de tout le trajet. A l’arrivée elle prend mon numéro de téléphone et refuse de donner le sien. Je lui demande de m’appeler la journée et pas en soirée pour pas tomber sur ma femme.

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