Chapitre 6

: Le journal de Chloé 

Alex met un petit moment à reprendre ses esprits. Il est posé contre le rebord de la table, où quelques instants plutôt il était en train de culbuter sauvagement Chloé. Il a du mal à réaliser ce qu’il vient de se passer. A y repenser tout est arrivé si vite. Ils ne se sont pas revus depuis des années et voilà qu’en l’espace d’une semaine, ils couchent ensemble. Ça fait un an qu’il n’a pas eu de rapport avec une fille et le temps d’une soirée il expérimente des choses qu’il n’a jamais osé imaginer auparavant. Il se sent bien. Fragile d’une certaine façon, mais envahit par une assurance qui le gagne petit à petit. Sa rupture avec son ex l’avait atteint plus qu’il ne l’avait laissé paraître ces derniers mois, et sa confiance en lui c’était quelque peu envolée. Même si le temps avait atténué cette sensation, il restait inconsciemment marqué. Mais ce soir il se sent différent. Comme renforcé. Le mystérieux alcool que Chloé lui a fait boire n’y est surement pas pour rien. Il a l’impression d’être dans une forme d’ivresse très particulière, qui étrangement le rend plus lucide que jamais.

Mais la soirée n’est pas finie. Le bruit lointain de la douche, qui se met en route, le ramène à lui. Il se redresse et ne connaissant pas l’appartement se dirige au son de l’eau qui coule. Il sort du séjour, longe un petit couloir au mur noir et habillé de photos en grand format. Ce qui le mène à une porte entrouverte par laquelle se dégage un léger nuage de vapeur. Il la franchit. Alex se trouve maintenant dans une belle salle de bain, à l’image du reste de l’appartement : classe et design. Elle est séparée en deux partie, la première où se trouve un grand miroir accompagné de deux belles vasques en pierre faisant office de lavabo, la deuxième qui est une spacieuse douche à l’italienne. Déjà nu, il rejoint Chloé.

C : Viens, je t’attendais

Alex s’approche d’elle et vient se placer sous le jet d’eau chaude. Il est encore frappé par sa beauté. Elle lui demande de se retourner, ce qui le place dos à elle. Il sent alors ses mains recouvertes de savon se poser sur ses épaules et remonter vers sa nuque afin d’entamer un massage. Il ferme les yeux. Ses petits doigts délicats parcourent maintenant son dos, qu’elle pétrit avec habilité, puis descend vers ses fesses qui obtiennent le même traitement. Alex prend beaucoup de plaisir à se faire laver de la sorte. Une nouvelle érection le gagne quand il sent Chloé se coller à lui et ses seins s’écraser contre sa peau. Elle l’entoure de ses bras et prolonge ses douces caresses sur son torse. Son sexe a récupéré toute sa rigidité, il est de nouveau fièrement dressé vers le ciel. Elle l’empoigne avec tendresse et commence à exercer de légères pressions par à-coups. Les lèvres de la jeune fille s’approchent de son oreille, à laquelle elle murmure : « Deux fois ça ne t’as pas suffi ? ta petite bite en redemande ? Dans ce cas jouis pour moi une nouvelle fois ». Ses paroles sont crues et contrastent avec l’affection qui transparait dans ses gestes. Alex a presque un peu honte mais le désir est trop fort. Il se laisse entièrement faire.

De sa main droite elle malaxe son membre, quant à sa main gauche il la sent s’approcher de ses fesses. Elle les caresse dans un premier temps, puis vient approcher un doigt de son anus, qu’elle cajole à son tour. Alex a un sursaut, mais Chloé le détend instantanément par de petits baisers dans la nuque.

C Laisse toi faire tu vas aimer. (Chuchote t’elle)

Elle continue de le branler un moment. Sa deuxième main jongle entre ses couilles qu’elle vient attraper de temps en temps et son petit trou qu’elle continue de masser doucement. Elle augmente la pression par intermittence, et parfois, le bout de son doigt rentre légèrement mais elle ne va jamais plus loin. Alex ne cesse de gémir. Il adore ça. Il ne savait pas qu’on pouvait être aussi sensible à cet endroit. Encore un plaisir que Chloé lui fait découvrir. Au bout d’un moment elle se met à le mordre au niveau du cou, elle accélère son mouvement de poignet et les jambes du jeune homme se mettent à trembler. Il jouit encore très intensément et plusieurs jets de sperme s’échappent de son membre. Après cette nouvelle montée d’endorphine Alex se sent lessivé. Les mecs ont souvent envie de dormir après avoir jouis, et il en est déjà à sa troisième fois en quelques heures.

Les deux amants finissent de se laver mutuellement et Chloé le conduit à sa chambre. Il fait sombre et ses yeux lui piquent par la fatigue, ce qui fait qu’il n’en distingue que les contours avant de s’affaler dans un confortable lit deux places. Il ne prend pas la peine de remettre son caleçon et se glisse sous la couette. Chloé le rejoint peu après, dans son plus simple appareil, et se blottit contre lui. Tous deux enlacés, ils sombrent dans les bras de Morphée. Alex dort d’un sommeil lourd et sans rêve cette nuit-là. Il ne se réveille que le lendemain matin.

Les paupières toujours closes, il balaye de la main le lit à la recherche du corps dénudé de Chloé. Ne trouvant rien il ouvre un il, elle n’est pas là. Il se redresse, prend le temps d’émerger puis se lève. Il cherche son caleçon au pied du lit mais se rappelle avoir laissé ses affaires dans le salon. Tout en s’étirant, il se dirige vers la fenêtre et tire les rideaux afin de faire entrer la lumière du jour dans la pièce qui lui est encore inconnue. La chambre de Chloé ne laisse pas transparaître grand-chose de sa personnalité. Elle est peu décorée, mais à bien y regarder, tout objet occupant l’espace est placé avec soin. Les couleurs dominantes sont le blanc, le noir et le rouge. Un classique qui étonne un peu Alex. Légèrement déçu, il pensait en découvrir un peu plus sur cette énigme qu’est la jeune fille. En observant davantage ce qui l’entoure il aperçoit ses affaires posées sur le siège du bureau. Elle a dû les mettre là pendant qu’il dormait. Il enfile son caleçon, puis en refermant les boutons de son jean, est envahi par un élan de curiosité. Il tend l’oreille afin de vérifié qu’il n’entend personne arriver, et commence à ouvrir les tiroirs de son bureau, mais n’y découvre rien d’extraordinaire. Des vieux cahiers, quelques feuilles en vracs et stylos usés. Il continue alors ses recherches et s’approche d’un meuble en bois peint en noir, habillant un des angles de la pièce, qui apparemment contient une bonne partie de sa garde-robe. Mais toujours rien de croustillant à se mettre sous la dent. Chloé serait-elle en fait une jeune fille sage et sans histoire ? Il n’y croit pas.

Il sonde à nouveau la pièce, puis il a un déclic. Cette pensée lui fait un peu honte, mais il réalise qu’il n’a vu aucune trace de sous-vêtements jusqu’à maintenant. Certes hier elle n’en portait pas, et ce n’était surement pas la première fois, mais elle doit bien en mettre de temps à autre ! Il continue ses recherches et ouvre la grande armoire de l’autre côté de la chambre, mais n’y sont entreposées que des robes, des chemises ou des vestes suspendues à des cintres. Résigné, il décide de lâcher l’affaire en se disant de toute façon qu’il n’a pas à fouiller dans ses affaires. Ça ne lui ressemble pas. C’est alors qu’il voit que l’espace sous le lit est comblé par un grand tiroir. Laissant sa morale de côté, il s’agenouille et l’ouvre.

Bingo ! Il y découvre divers assortiments de lingerie, sexy pour la plupart. Son esprit ne peut s’empêcher de divaguer et de l’imaginer, sublime dans ces tenues. Soudain sa main rencontre un objet plus dur, qui n’est pas du tissu. Intrigué il écarte le linge afin d’atteindre le fond du tiroir et tombe sur un petit vibromasseur. L’excitation monte en lui. Mais son instinct lui dit que la pêche n’est pas finie. Il continue de tâtonner le fond et décèle un nouvel objet qu’il ramène à la surface. Il s’agit d’un petit carnet format A5, tout abimé, avec une couverture en papier de couleur rouge, délavée par le temps passé. Il l’ouvre et commence à lire. C’est une sorte de journal intime, qui daterait de son entrée à l’internat. Tout ceci l’intrigue énormément. Il aimerait tout lire mais il ne peut pas, il sait qu’il n’aura pas le temps. Il feuillète donc brièvement les pages qu’il saute par paquet. Il remarque que certaines sont datées, d’autre non.

« Mardi 10 novembre 2013 :

Cela fait maintenant deux mois que j’ai commencé mon année de première à l’internat. Je pense que je commence à m’y plaire ! Ici beaucoup de choses sont différentes, et j’aime ça. Le changement me fait du bien. Pour combien de temps, ça je l’ignore. »

« Les gens ici sont différents. Ou peut-être est-ce juste le lieu, le contexte qui les rend différents. Il est vrai que l’internat rapproche les gens. On vit tous ensemble, ça crée forcément des liens. On les voit au quotidien et les masques tombent. Ils se révèlent au fur et à mesure des semaines, se dévoilent. Je trouve ça intéressant. J’ai toujours aimé savoir ce qu’il y avait dans la tête des gens. Ce qu’ils cachaient au plus profond de même, leur petits secrets, leurs hontes, leurs désirs, leurs fantasmes. »

« Il m’a toujours été facile de me faire des amis, ou du moins d’être entourée et, je pense, appréciée des autres. Mais c’est plutôt superficiel. Je ne m’attache pas aux gens avec autant d’aisance que je le laisse transparaître. J’ai à ce jour une vraie amie. Une seule, avec qui je garde contact malgré la distance, et de qui je me sens plus ou moins proche. J’aime cette fille, d’une certaine façon. Mais le temps et la distance efface beaucoup de chose. Serons-nous toujours amies dans 5 ans ? dans 10 ans ? Ou ne serait-ce que l’année prochaine »

« 2 janvier 2014 :

Bonne année ma chère Chloé. Quelles résolutions pour l’année 2014 ?

Je veux tout voir, tout comprendre, tout vivre.

J’ai décidé qu’après le lycée je partirais, au moins un an, pour voyager. C’est surement trop cliché de dire que je fais ça pour découvrir qui je suis. Mais c’est en parti vrai. Je ressens ce besoin de partir, de me mettre en danger, afin d’assouvir une partie de moi. »

« Mai 2014 :

Je m’entends de mieux en mieux avec Yann, un mec de notre groupe d’ami. Ça reste de l’amitié mais j’aime parler avec lui, on se marre bien tous les deux. C’est simple et parfois le simple à du bon. Sinon bientôt les vacances ! j’attends ça avec impatience. »

« Nous sommes le lundi 28 juillet 2014, et aujourd’hui j’ai 18 ans. Mes impressions ? Aucunes pour le moment ! mais je compte bien fêter ça. Je suis en vacances avec mes parents et la famille de Léa. C’est une belle journée, et je me sens bien. Et que c’est bon de se sentir bien ! Ces rares petits moments de bonheur, qui arrivent sans qu’on ne sache comment ni pourquoi. Je les savoure jusqu’à la dernière goutte. »

« Jeudi 9 octobre 2014 :

Je m’ennuie. Ma liberté me manque. Plus que jamais. Je m’ennuie. Depuis ma rentrée en terminale, la vie à l’internat me parait bien terne. Je m’ennuie. J’ai encore le doux souvenir de mes vacances d’été, et cela me rend nostalgique. Je m’ennuie. Il est vrai que l’année dernière fut une bonne expérience. J’ai aimé découvrir cette vie de lycéenne à l’internat, au fin fond de la Normandie. Perdue au milieu des champs, de la nature, de disons-le clairement, de rien. J’étais dans une petite bulle. Mais aujourd’hui, y revenir me donne la nausée. Je ne serais dire ce qui a changé cet été, mais je n’ai plus envie d’être « enfermée » ici. J’étouffe. »

Alex croit avoir entendu un bruit, il interrompt sa lecture et tend l’oreille. Mais rien ne lui indique la présence proche de Chloé. Il reprend.

« Je me suis beaucoup rapproché de Yann cette année. C’est un garçon plutôt gentil, et je crois qu’il a un faible pour moi. »

« 24 Novembre 2014 :

Ce soir, pendant l’étude Yann m’a fait passer un mot qui disait de le retrouver derrière le gymnase une fois sortie. Je savais ce qu’il allait se passer, et je ne me suis pas trompée, nous nous sommes embrassés… Ça m’a fait bizarre, il est comme mon meilleur ami. Mais dans l’ensemble c’était plutôt agréable. Il était un peu maladroit, ce qui le rendait craquant. Nous nous sommes enlacés et on a continué à s’embrasser cinq bonnes minutes. J’étais bien dans ses bras. Il sentait bon, j’ai toujours aimé son odeur. Et puis j’ai commencé à sentir quelque chose de dur au niveau de son bas ventre. Au début je n’ai pas compris. Je me suis écartée et j’ai aperçu une petite bosse sur son jean. Gêné, il s’est empressé de s’excuser. Je le voyais devenir tout rouge malgré l’obscurité. C’était chou. Pour le rassurer, je me suis de nouveau approchée et je lui ai dit que ça ne me dérangeait pas. Mais j’étais très curieuse. Je n’avais jamais touché de sexe (masculin) de ma vie. Sans réfléchir j’ai déboutonné son jean et j’ai glissé ma main dans son caleçon. Du bout des doigts j’ai commencé à lui la caresser. C’était étrange ! Chaud et tout dur. Elle me réchauffait la main (les soirs étaient de plus en plus froids). Yann se trémoussait dans tous les sens. Ça avait l’air de lui plaire. Mais moi je voulais en voir plus alors je me suis accroupis et j’ai descendu son jean et son caleçon à ses chevilles. Il m’a dit de ne pas faire ça car on pourrait nous surprendre mais je m’en fichais. J’avais maintenant son sexe sous les yeux. Il était au garde à vous, comme un petit soldat. Je m’attendais à voir quelque chose de plus grand. Les rares que j’avais vu sur internet avaient l’air énorme. Et celui-ci ne devait pas dépasser les 13-14 centimètres. Yann avait l’air très vulnérable et embarrassé par la situation. Ça faisait un petit moment maintenant que nous étions cachés derrière le gymnase et il était plus que l’heure de rentrer dans nos chambres respectives, car les pions commençaient surement déjà à pointer. Je décidai cependant de dire bonne nuit à mon nouveau camarade de jeu qui ne faiblissait pas malgré le froid. J’approcha mes lèvres de son petit membre et lui fit un baiser. Soudain il se mit à trembler et Yann gémit. Une grosse giclé de sperme s’en échappa et atterrit par terre et légèrement sur mon visage. J’ai été très surprise mais aussi en quelque sorte fascinée. »

A ce moment-là, Alex est pris d’une grosse érection. Rentrer dans l’intimité de Chloé comme ça c’est mal. Mais terriblement excitant. Une irrésistible envie de se masturber le prend. Il retire les habits qu’il venait d’enfiler et s’allonge sur le lit. Son sexe dans une main, le carnet de l’autre, il reprend sa lecture.

« Cher journal, cela fait un petit moment que je n’ai plus écrit. Il s’est passé beaucoup de choses ces dernières semaines. J’ai enfin fait ma première fois. Avec Yann. C’était mignon. Je suis content qu’il est été le premier. Yann est doux et il m’a vraiment fait l’amour. Depuis nous sortons ensemble, et on essaye de faire l’amour le plus souvent possible. Mais à l’internat ce n’est pas chose aisé. Et pour l’instant ça ne se limite qu’au mercredi après-midi dans sa chambre ou la mienne. »

« Je l’ai sûrement écrit précédemment mais cette année je partage ma chambre avec trois autres amies : Claire, Manon et Fanny. Je suis la seule à avoir eu un copain jusqu’à présent. Et depuis que je suis avec Yann, nos sujets de conversation tournent beaucoup autour de ça. Je ne suis pas encore très expérimentée mais je leur apprends ce que je découvre petit à petit. Et elles suivent ça avec autant d’intérêt qu’un feuilleton télévisé du samedi soir ! Les coquines ! Au bout d’un moment, je me suis dit que le mieux serait peut-être de leur montrer. Je ne vais pas mentir, je le fais plus pour moi que pour elle, car bizarrement ça m’excite d’imaginer qu’on me voit en pleine acte. Et puis je voulais commencer à pimenter un peu notre relation. J’ai donc imaginé un plan. Yann et moi avions déjà évoqué notre envie de dormir ensemble une nuit. Sauf que naturellement, il est interdit aux mecs de pénétrer dans l’internat des filles, et encore moins d’y dormir. Mais on avait une solution. Le frère de Yann, qui a deux ans de plus que lui, est étudiant à la cité BTS à côté de notre lycée. Cela lui permet d’être pion à l’internat des mecs le mardi et le jeudi soir. Un petit boulot bien pratique pour se faire un peu d’argent. Bref, l’idée était que Yann vienne se cacher dans ma chambre juste après l’étude, avant l’inspection de notre pionne. Son frère (qu’il a longtemps supplié d’accepter) le couvrirait et le pointerait présent. Ses camarades de chambres étaient bien sur également de mèche.

C’est ainsi que le mardi au soir, Yann était sous mon lit, à attendre l’extinction des feux. Notre chambre est composée de deux lits superposés. Claire et moi sommes en bas, Manon et Fanny en haut. Ils sont de chaque côté de la pièce. Yann a dû rester caché une bonne heure, avec interdiction de bouger. Je sais qu’il avait la trouille de se faire prendre, mais je sais aussi qu’il était très excité. Dans la chambre tout le monde était au courant de la situation, mais ça n’a pas empêcher mes amies de laisser apparaître quelque partie de leur intimité en revenant de la douche. Je ne doute pas sur le fait que ça a dû beaucoup lui plaire. Une fois les lumières éteintes, il est sorti de sa cachette, s’est mis en caleçon et m’a rejoint. Nous avons parlé à voix basse tous les cinq pendant dix petites minutes puis les filles, apparemment fatiguées, nous souhaitèrent bonne nuit. Mais je savais qu’elles ne dormaient pas, et qu’elles tendaient l’oreille au moindre bruit pour savoir ce qu’il se passait. Yann et moi étions collés l’un contre l’autre. Nous nous embrassions avec beaucoup de tendresse et je commençais déjà à sentir son érection. En essayant de faire le moins de bruit possible, je lui retirai son caleçon et commençai à le branler. Le mouvement sous la couette étant trop peu discret, je décidai d’enlever celle-ci. Yann me chuchota qu’on risquait d’être vus et je lui répondis qu’elles s’endormaient vite et avaient le sommeil suffisamment lourd pour ne pas se réveiller. Mais je savais qu’il n’en était rien. Déjà bien excité, il ne protesta pas. Je dirigeai alors mes lèvres vers son sexe et commençai à le sucer du mieux que je pouvais. J’aime avoir sa bite dans ma bouche. Yann a gagné en endurance depuis la première fois, et moi en technique. J’ai dû cependant m’arrêter assez rapidement pour ne pas qu’il jouisse. Je lui chuchotai à l’oreille que le lit risquait de grincer et qu’il était plus prudent qu’on se mette par terre. Je crois que ma demande le surpris mais il ne broncha pas. Pensant surement que les filles dormaient à poing fermé.

Il s’installa alors sur le sol, au niveau du tapis, ce qui nous plaçait au centre de la pièce. Claire, Manon et Fanny pouvaient ainsi se rincer l’il sans aucun problème si elles le désiraient. Et J’en étais certaine. J’éprouvais beaucoup de plaisir à savoir que mon homme était nu aux yeux de mes amies sans qu’il le sache, et par ma simple manipulation. Elles l’observaient, je le savais. Elles n’avaient encore jamais vu un mec nu en vrai, et n’en perdaient sûrement pas une miette. Je me déshabillai à mon tour et allai le rejoindre. Une fois sur lui, nous avons fait l’amour silencieusement mais de façon très torride, même si cela ne dura que quelques minutes. Je sortis juste avant que Yann ne jouisse et je l’ai fini avec ma main pour que les filles assistent à ce spectacle, qui j’espère les fascina autant que moi la première fois. Le lendemain matin elles n’ont rien évoqué et ont fait comme si de rien n’était, et c’est surement mieux ainsi. Mais je savais qu’elles n’avaient rien rater de la scène et j’ai même cru entendre la veille quelques petits bruits provenant de sous leur couette. »

« 23 mars 2015 :

Maxime m’a encore fait des avances cet après-midi. Il sait pourtant que je suis avec Yann Je ne comprends vraiment pas son petit jeu. Son assurance accompagnée de son petit sourire arrogant le rendent certes très agaçant, mais en même temps terriblement séduisant. Je ne sais pas quoi faire avec lui. J’aime beaucoup Yann. Je ne suis peut-être pas aussi amoureuse qu’il le voudrait, mais je tiens énormément à lui. Mais Maxime m’attire un peu plus chaque jour Cependant je ne veux pas le laisser gagner. Je ne veux pas qu’il m’ait aussi facilement. Trop de filles se sont déjà laissées avoir et je ne souhaite pas m’inscrire dans sa liste en ne devenant qu’un chiffre. S’il devait se passer quelque chose, je veux avoir le contrôle. »

« 30 mars 2016 :

Aujourd’hui j’ai embrassé Maxime. Je n’aurais pas dû. Je m’en veux. Mais je n’ai pas pu me retenir. Sa bouche parfaite a agi comme un aimant. Et j’ai adoré ça »

« 6 Avril 2016 :

Je suis toujours en couple avec Yann. Mais je ne peux m’empêcher de voir Maxime en cachette depuis ce fameux baiser. C’est délicat, surtout en internat, on peut se faire prendre n’importe quand. C’est peut-être ça qui me plait autant. Le danger. Un méchant garçon, une vilaine fille, une relation secrète faîte de péché et de tromperie.

Oui j’aime ça

Notre chance est que le domaine de l’internat est grand et bordé de forêt. La plupart de temps on se promène dans les bois, on trouve un endroit bien isolé avec peu de chance d’être surpris et on passe notre temps à s’embrasser et à se toucher. Nous n’avons toujours pas couché ensemble, mais cela ne nous empêche pas de nous amuser. J’adore jouer avec sa bite. C’est un vrai gourdin. La première fois que je l’ai vu j’ai été très surprise. Elle n’a rien à voir avec celle de Yann. Elle est massive et très longue. Nous l’avons mesuré pour plaisanter et elle atteint presque les 22cm ! Je suis obligée de le branler avec mes deux mains et même comme ça je ne parviens pas à la recouvrir intégralement. Elle est si épaisse que je ne peux prendre dans ma bouche que son gland, de belle taille également, que je chouchoute du mieux que je peux avec ma langue. Sans oublier qu’il a aussi une très grosse paire de couilles que j’adore dévorer pour son plus grand plaisir. Plus les jours passent et plus je rêve la nuit de me faire prendre par ce bel étalon. Mais étant donné la taille de la chose, j’appréhende un peu. »

« 10 Avril 2016 :

Ce soir, vers 20h, alors que tout le monde était à la cantine, Maxime m’a prise dans la salle d’étude des terminales. Nous avons verrouillé les portes de l’intérieur et nous nous sommes mis nus tous les deux. On pouvait nous surprendre par les fenêtres mais la tentation était trop forte. Trop longtemps que le désir montait, j’en devenais folle. Je me suis assise sur le bureau de la surveillante, les jambes écartées. Il m’a léchée avec une férocité qui m’a encore plus excitée. On décida de ne pas perdre trop de temps sur les préliminaires. Il approcha sa belle poutre de ma petite fleur, qu’il tapotât doucement. Je pouvais sentir la lourdeur de la bête qui s’apprêtait à rentrer en moi. Il écrasa son gland sur ma fente et commença à entrer. Doucement. Très doucement. Par chance je mouillais énormément et il pouvait glisser en moi sans trop de difficulté. J’ai sentis au début que ça tirait un peu mais cette sensation disparue assez vite pour laisser place à l’extase. J’ai eu l’impression de faire l’amour pour la première fois. De me sentir remplit pour de vrai. Je jouis dans les 2 minutes qui suivirent. Mon premier orgasme vaginal. J’étais comme transportée. Par la suite il me souleva de ses bras musclés et me déposa sur le carrelage froid et sale, plein de trace de boue car il avait plu aujourd’hui, et il continua de me faire l’amour. J’eu encore deux orgasmes avant qu’il sorte et jouisse à son tour sur mon corps. Le jet fut très puissant et j’en reçu un peu partout. Après ça j’étais épuisée. »

Alex est captivé par ce qu’il est en train de lire et n’entend pas que quelqu’un arrive dans l’entrebâillement de la porte.

A suivre

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