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Les amants de Lady Schneckerley – Chapitre 1




Cette histoire a pour cadre le royaume d’Angleterre et ses possessions aux Amériques dans les premières des années du règne du roi George III (1760-1820).

Pour faciliter la compréhension de nos aimables lecteurs, les mesures utilisées dans le récit ont été converties à partir des unités britanniques selon le système métrique introduit en France par la loi du 1er vendémiaire de l’an IV (23 septembre 1795). A titre d’exemples les mensurations d’un sexe en érection seront exprimées en centimètres et non pas en inches (pouces) comme dans les pays anglo-saxons. Ainsi un pénis en érection de 8 inches est exprimé comme faisant 20,32 cm (On écrira "à peu près 20cm" dans le récit).

Mon père, un homme sans cur et n’ayant pour amour que l’argent m’annonça peu avant mon 19 ème anniversaire que j’allais épouser lord Schneckerley.

Il n’y avait rien à dire, rien à faire. Si ma mère avait encore vécu, peut-être m’eût-elle protégée. Mais elle était morte depuis longtemps. Du reste j’espérais secrètement que mon époux m’apporterait un bonheur que je ne connaissais pas chez mon père.

Je demandai donc à la vieille Ann, ma camériste, de se renseigner sur cet homme que je ne connaissais pas et dont j’aurai désormais à partager l’existence.

Mon père m’avait dit que le comte, dont la fortune était considérable dans le Surrey, le Middlesex, le Kent et le Sussex, avait également de grands biens dans les îles à sucre, de quoi m’assurer une position enviable dans le monde.

Mon futur époux m’avait aperçue lors de mon premier bal pour ma présentation officielle et mes charmes l’avaient séduit. Quant à moi, n’ayant d’yeux que pour les belles toilettes et les jeunes gens, je ne l’avais pas remarqué. Sans me dire un mot, il avait demandé ma main dès le lendemain. Conquis par sa fortune et la réputation de son nom, mon père avait immédiatement accepté

Ann m’appris que l’homme était un vieil aristocrate de grande famille, ancien officier de marine et qu’il avait plus du triple de mon âge.

Je ne fis la connaissance de mon époux que le jour des noces. Dès le premier abord il me répugna. C’était un homme plus petit que moi, très droit pour son âge de 70 ans à peu près et d’une affreuse maigreur. Il était toujours flanqué d’un ancien matelot qui était l’opposé physique de son maître, un homme d"une quarantaine d’années, nommé Calldick, grand comme le sont les gallois, gros et roux qui me fut d’emblée aussi antipathique que son maître.

Il y eût peu d’invités comme il était traditionnel quand un veuf se remariait, et veuf il l’était trois fois, sans aucune descendance. Mais il se faisait fort prétendait-il en se croyant galant qu’avec une telle épouse, il serait bientôt père.

Quand les invités furent partis, je me retrouvai seule dans ma vaste chambre. Ann avait été assistée des domestiques du comte mais elle n’avait été autorisée à rester près de moi et on c’était arrangé pour éloigner sa chambre de la mienne.

J’avais dû passer une chemise de nuit en gaze très légère et très transparente. J’appréhendais cette nuit de noces, encore que je ne fusse pas tout à fait innocente. J’avais, chez mon père, surpris plusieurs fois les ébats des domestiques entre eux, surtout celle d’un valet magnifique, Robby, qui plaisait à toutes les femmes qui vantaient, sous le secret, ses volumineux appâts et dont j’avais eu honte de ressentir en moi qu’il m’attirait et plus honte encore quand ce désir m’avait fait découvrir les plaisirs solitaires.

Mais j’étais toujours vierge.

Dans le fond, la dureté de mon père m’avait donné une certaine force de caractère grâce à laquelle la tristesse qui m’envahissait ce soir ne tournait pas au désespoir.

Mon mari entra dans la pièce. J’étais debout auprès de la cheminée et la lueur du feu éclairait mon corps qui se dévoilait sans peine sous la légèreté du tissu.

Le vieil homme, vêtu d’une grande robe de chambre me dévisagea : "Ah, des formes parfaites. Foutre Dieu, la belle femelle… Ah, Madame, nous allons bien nous réjouir ensemble".

Je ne partageai pas son optimisme.

Il s’ouvrit alors sa robe de chambre. Sa nudité était hideuse. On ne voyait que sa peau très pâle qui recouvrait ses os qu’on eût pu dénombrer un à un. Il était couvert de quelques touffes de poils blanchis sur les épaules, les bras, les cuisses et le torse, ainsi que sur son bas-ventre où pendait, minable, une petite grappe informe.

Il m’approcha.

Il m’embrassa. Il puait. Puis il me caressa les seins et mit sa main entre mes jambes. Je frissonnai de dégout. Il dut prendre cela pour un encouragement: "Hmmm on dirait que vous m’attendiez Madame…"!

Alors il me prit par la main et me jeta sur le lit.

"Ecartez le jambes". Je m’exécutai. Il y plongea la tête, déchira plus qu’il n’écarta la frêle robe de gaze qui me recouvrait. Alors je sentis son haleine fétide sur ma toison et sa langue fouilla mes entrailles. Je fermai les yeux pour penser à autre chose. Il remonta sur mon corps et me mordit le bout des seins à me faire mal. Je me retins de  hurler et de le frapper mais je priai pour que ce cauchemar s’arrête.

Puis il me couvrit de tout son corps.

Ses doigts étaient ceux d’un squelette et je sentais ce corps sans chaleur et sec comme du cuir craquelé tenter de s’emparer de moi.

Cependant la petite chose molle qui se frottait contre mon sexe restait absolument inerte.

"Allons Madame, mettez-y du vôtre. Ne faites point votre mijaurée". Je répondis que je faisais de mon mieux et que je ne savais pas comment m’y prendre.

"On va vous apprendre ma belle…"!

Et aussitôt il se releva et vint plaquer son organe contre ma bouche.

"Allez, sucez " !

Je tournai la tête et répondit que je trouvai cela répugnant" Il me saisit par les cheveux brutalement à deux mains et m’ordonna presque en criant : ’Sucez vous-dis-je"!

Je n’eus d’autres choix que d’avaler cette ridicule coquille repoussante.

Il eut beau s’agiter, il eut beau exiger de moi que je remue ma langue en tous les sens, son sexe restait désespérément flaccide.

Il rentra dans une forte colère : "Ah petite putain, vous refusez donc ce que votre mari vous demande" ! Il hurla : "Redressez-vous, à genoux…"!

Je me disposai donc ainsi qu’il le voulait. Il s’approcha du mur près du lit. Il appuya sur une moulure et le panneau s’ouvrit qui cachait un placard secret dans lequel je devinai plusieurs objets. Il se saisit d’un cravache et aussitôt il me cingla les fesses de plusieurs coups très vifs. Je me mordis les lèvres pour ne pas crier me promettant à moi même qu’un jour il me paierait cette humiliation.

"Et maintenant, nous allons voir si vous voudrez encore atermoyer et vous dérober à vos devoirs"!

Malgré ce traitement qui me mit les fesses au bord du sang, il ne bandait toujours pas. Alors il se dirigea à nouveau vers la cloison et ouvrit une porte dérobée que je n’avais pas remarquée et qui donnait sur un palier ou s’arrêtait un étroit escalier. Il cria : "Calldick ! Calldick !". Il n’eut pas a attendre longtemps. J’entendis une porte s’ouvrir puis des pas lourds dans l’escalier et, enfin le factotum apparut.

"Yes Mylord "?

— Voyez Calldick ! Regardez-moi ! La bougresse ne veut faire aucun effort.

— C’est regrettable Mylord.

— Il faut s’en occuper Calldick, entendez-vous ?

— Yes Mylord !

— Bien. Allez- y ! N’est-ce pas une agréable jument ?

— Si fait Mylord.

— Ah tudieu!  Il faut qu’elle me fasse jouir. Montez-la, Préparez-la moi! Mettez-la en train !

— Bien Mylord.

La brute galloise vint vers moi, défit sa chemise et baissa son pantalon. Il était dans des dispositions plus glorieuses que son maître et me semblait même dépasser le membre de Robby que j’avais aperçu quelques fois avec des palpitations non équivoques  qui me faisaient comprendre que j’eusse bien voulu en tâter. A ce que je pus en juger, ce vit bandant qu’il exhibait sans pudeur devant une femme encore innocente pouvait approcher les 20 cm.

Il fut en un instant sur moi, me retourna et me mit le dos sur le lit. Ses doigts aussi gros et gras que ceux de mon mari étaient secs et minces me saisirent les mollets. Il plia mes jambes les ramenant vers moi et il se mit à me lécher la vulve.

Il faut dire que tout en m’inspirant la plus profonde répulsion, je dus reconnaître l’extrême délicatesse de son toucher qui contrastait sans peine avec les manières de soudard de lord Schneckerley. Il y mit un tact dont je ne l’aurais pas cru capable et, malgré, moi, malgré les efforts que je faisais pour fixer mon esprit vers autre chose, je me mis a frissonner de plaisir… et rapidement je trouvai cela plus qu’agréable. Je me mis à rêver de Robby. Néanmoins je ne voulais pas laisser croire que j’y prenais un quelconque plaisir, aussi retins-je mes cris, mais pas mon bassin qui commença à onduler sous le feu qui commençait à me dévorer.

"Regardez Mylord, la monture commence à se débourrer".

— C’est bien Calldick ! Mouille-t-elle ?

— Affirmatif Mylord !

— Ah Foutre Dieu, Calldick, vous n’avez pas votre pareil pour allumer le cul d’une femelle !

— Eh, eh, on le dit Mylord!

— Parfait parfait, nous allons la déflorer maintenant Calldick.

— A vos ordres Mylord.

E t il se redressa pour mettre son gros nud sur ma raie.

"Non pas vous Calldick ! c’est à moi que cela revient"!

— C’est trop juste Mylord, mais, sauf votre respect,t vous n’êtes pas encore en état.

— Eh, cornes du Diable, je le sais bien. La gueuse me résiste mais je sens que tout à l’heure elle gouttera de ma trique. Mais en attendant, voyons ce qu’elle dira de cela.

Et il prit dans le placard un énorme phallus en bois.

"Que pensez-vous de cela Calldick"?

— Je dis de cette pine qu’elle a dû être sculptée d’après un étalon Mylord.

— Allons -y.

Alors mon époux et seigneur introduisit l’énorme masse en moi. Je la sentis écarter mes chairs et malgré mon courage, je ne pus laisser échapper un cri de douleur.

"Enfin Madame, nous y voilà"!

Puis il se mit à faire aller et venir cet instrument à toute vitesse, me meurtrissant le fond. Enfin il le retira, entraînant avec lui un mince filet de sang et de mouille.

"Regardez Calldick. La garce m’a bien été vendue pour ce qu’elle était, une pucelle".

— C’est heureux pour Monseigneur.

Et mon mari suça le trophée de bois.

"Hmmm délicieux Calldick, délicieux… voyez, je commence à bander".

— En effet Mylord.

— Alors allez-y. Excitez-moi bien cette pouliche, mais attention! n’allez pas vous répandre à l’intérieur, ne me faîtes pas un bâtard, réservez-moi la place.

— Ce sera fait Mylord.

Calldick me remit sur les genoux au bord du lit et lui debout derrière. Ses mains puissantes agrippèrent mes hanches et sa verge me pénétra. Le godemiché, plus gros, avait ouvert la voie aussi n’éprouvai-je que peu de douleur.

"Elle est à vous Calldick. Fourrez-la sans retenue mon garçon. Vous savez que cela me stimule"

— Comptez sur moi Monsieur.

et il se mit à me rudoyer.

"Alors petite catin, on ne veut pas satisfaire son maître! Prends cela! Tiens, prends ma queue salope"!

Je protestai auprès de mon mari : "Monsieur, comment pouvez-vous tolérer de prostituer ainsi votre femme et de me laisser insulter comme la dernière des femmes de rue par un domestique. Je suis comtesse de Hemlessex ".

Pour toute réponse de mon mari je reçus une immense gifle qui m’eut fait tomber si je n’avais pas été maintenue par les mains puissante de Calldick.

"Et bien, madame, la comtesse, votre mari vous dit de vous taire et de le satisfaire selon son droit. Maintenant sucez ma queue et rendez hommage à ce brave garçon qui m’est un serviteur fidèle"!

La bite avait enfin commencé son ascension et il se mit à aller et venir dans ma bouche.

Calldick me maltraitait du verbe et du geste. Ses cuisses tapaient sur mes fesses qui claquaient à un rythme soutenu. Je sentais ses testicules balloter et toucher ma vulve ou l’intérieur de mes jambes. Ses mains frappaient  parfois mon postérieur avec violence tandis que les insultes pleuvaient.

"Toutes des chiennes et les petites vierges plus que les autres! Avoue que ça te plait, avoue que tu aimes la bite, t’aimes être prise par nos deux queues petite pute. T’aime ça, hein, hein t’aime çà. Alors elle est pas bonne la grosse queue de Calldick ? Tu n’en veux du bon gros chibre de domestique traînée ? On fait sa fière? Je vais t’en donner, putain" !

Ma bouche était prise et je ne pouvais répondre mais si je l’avais pu j’aurai dit qu’ils me faisaient horreur tous les deux mais que pourtant oui, j’éprouvais un grand plaisir à ce qu’il me faisait dans la chatte. Quand à mon mari, il bandait maintenant tout à fait. Sa verge était courte et menue, ridicule et je pouvais l’avaler tout à fait, jusqu’aux poils pubiens et ceux des couilles que je sentais sur mon menton.

Le vieux râlait de plaisir.

" C’est bon Calldick,  j’y suis ! Vous faites toujours des merveilles. Ah Ventre-Dieu, quel jouissance".

Mais mon mari s’excitait vite. Il se retira de ma bouche : "Vite Calldick, faites place, la garce m’a fait monter la semence"!

Calldick se retira juste à temps pour que le vieux satyre prenne sa place. Il se secoua violemment contre moi trois ou quatre moi et je sentis quelques gouttes de liquide chaud se répandre en moi alors qu’il éructait tous les jurons qu’il pouvait connaître.

Calldick avait pris la place de son maître et je connus une sensation très différente. La douceur de l’énorme gland sur ma langue et le goût de cyprine dont il était imprégné, le volume ample du vit qui écartait mes mâchoires à m’en faire mal et l’impossibilité de l’avaler en entier me surprirent.. disons-le, agréablement. Calldick me saisit la main pour la poser sur la hampe en m’ordonnant : "Branle-moi" et je touchai de ma main un sexe d’homme pour la première fois.

Mais cela ne dura pas longtemps. Dès que mon mari eut fini, il dit : "Venez Calldick, allons nous coucher";

Il semblait harassé en effet, souffllant comme si l’effort physique avait été trop intense.

"Bien Mylord".

Et toujours bandant il se rhabilla avec une déception palpable.

"J’espère Madame que vous êtes satisfaite ! Quant à moi je ne le suis que de moitié. J’espère que vous saurez à l’avenir m’entraîner plus vite. Et j’espère aussi que vous serez bientôt grosse de mes uvres. Je vous souhaite la bonne nuit. Venez Calldick"!

Et ils disparurent par l’escalier dérobé.

A suivre.

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