Cela faisait trois jours que l’événement (Paul avait vu sa femme, sa fille et son fils s’envoyer en l’air dans le lit de Nino) s’était passé.

Ce samedi matin, il était encore tôt. Paul restait à la maison, Léa était levée aussi, il faisait trop chaud pour rester au lit. Ils étaient tous les deux assis autour de la table de la terrasse pour prendre le petit-déjeuner. Paul regarda Léa, celle-ci lui dit :

Quoi ?

Je vous ai vus tous les trois, jeudi, dans la chambre de Nino ; j’étais rentré, vous ne m’avez ni vu ni entendu.

Ah… fit Léa.

Léa dit :

Je vais être très franche et claire avec toi, Paul. Nino et Manon baisent ensemble. Nino, notre fils, me baise aussi ; il me baise dans la bouche, il me pilonne la chatte et le trou du cul. Alors, que dire ? Soit tu acceptes et tu fermes les yeux, soit tu acceptes et tu participes, soit tu nacceptes pas, et on se sépare.

Paul resta interloqué :

Mais, c’est de l’inceste Léa !

Oui je sais, mais on est tous majeurs et tous consentants, et on y prend un énorme plaisir, voilà ! A toi de voir.

Il avala son petit-déjeuner et se leva et se dirigea vers son bureau.

Ah ! Encore une chose, dit Léa. Tu demanderas aussi à Mélanie et Louis, mais surtout à Mélanie des prestations sexuelles pour ton fils.

Ah bon ? C’est qu’il y a aussi Mélanie et Louis ?

Oui, et aussi leurs enfants, et les copains et copines de leurs enfants.

Paul partit dans son bureau.

Nino et Manon descendirent prendre leur petit-déjeuner. Léa leur dit que leur père était au courant ; qu’il les avait vus jeudi dernier dans la chambre de Nino !

Dans la matinée, Paul appela Léa dans son bureau, elle s’assit en face de Paul derrière le bureau :

Léa, j’ai réfléchi, et je te propose un compromis : j’accepte ce qui se passe dans cette maison et en retour tu acceptes de céder à tous mes caprices et fantasmes sexuels, quels quils soient.

Léa le regarda, réfléchit et dit :

OK, banco pour tous tes caprices et fantasmes sexuels quels qu’ils soient.

Paul lui dit :

Cela prend effet immédiatement.

Léa sortit du bureau, laissant Paul méditer à sa petite vengeance. Paul partit en ville et revint vers midi pour déjeuner. Il monta dans son bureau et il appela Léa.

Elle entra dans le bureau.

Tiens ! Je t’ai acheté un petit cadeau, lui dit-il.

Il prit un petit sac cadeau et l’offrit à Léa, elle l’ouvrit, retira la boîte de type bijou, ouvrit celle-ci et découvrit un rosebud magnifique ; bijou anal de belle taille, déjà de couleur violette.

Mets-le tout de suite sil te plaît, devant moi.

Léa qui portait une robe d’été courte sans dessous écarta les fesses et dit :

Non, toi ! Mets-le.

Paul se saisit du bijou, Léa se mit à quatre pattes par terre, écarte ses fesses avec ses mains ; Paul mouilla ses doigts pour la doigter, et une fois dilaté, il enfonça le plug dans le cul de Léa, elle émit un petit gémissement.

Parfait, magnifique, dit Paul.

Léa se releva et sortit du bureau. Elle croisa Nino dans le couloir, et lui dit :

Tu vas être content, ton père m’a offert ce que tu m’as dit d’acheter pour mon cul.

Et elle descendit au rez-de-chaussée.

Une fois le déjeuner pris en commun, sans que personne ne fasse rien paraître, on se dispersa un peu dans tous les coins de la maison.

Manon et Nino se couchèrent sur les transats ; Manon avec son mini deux pièces ; Nino en short de bain. Léa se posa dans le hamac, à l’ombre, avec sa petite robe et son plug, Paul se posa sur un fauteuil en short, et lut le journal. Paul se leva et se dirigea vers Léa :

Enlève ta robe et mets-toi sur le côté pour que l’on voie ton rosebud.

Léa se leva, retira sa robe et se coucha dans le hamac, dos à Nino et Manon, pour qu’ils puissent voir ce qu’elle portait dans le cul. Nino le vit aussitôt, il fit signe à Manon qui le vit aussi ; ils se regardèrent et sourirent. Paul donna un ou deux coups de fil, et passa devant Manon, il la regarda de la tête aux pieds et lui dit :

Fous-toi à poil, de toute façon, avec ou sans ; cela ne changera pas grand-chose.

Manon ne pipa mot. Elle se leva et enleva son mini-maillot de bain et se recoucha sur le transat. Paul alla se rasseoir.

On sonna. Paul se leva et donna un ordre, en regardant Léa et Manon,

Vous, vous restez comme cela, à poil, compris ?

Elles ne bougèrent pas.

Paul ouvrit la porte et se trouva face à deux hommes, 25 ans environ, athlétiques, blonds, yeux bleus, pantalon de ville, chemisette blanche, souliers de ville noirs.

Entrez, Messieurs. Vous allez bien ? Je vous ai demandé de venir un samedi, parce que j’ai un dossier à vous soumettre.

Il les fit entrer, passer dans le couloir et ils entrèrent dans le bureau, au rez-de-chaussée, sans voir personne.

Messieurs, ce que vous allez voir et entendre ici doit rester dans ces murs.

OK, OK, firent les deux hommes.

Ne vous inquiétez pas, rien de grave, asseyez-vous.

Paul prit son smartphone et appela Léa :

Tu peux venir dans mon bureau sil te plaît ? Tu restes comme tu es. Tu frappes avant d’entrer.

On frappa à la porte.

Entre, fit Paul.

Léa entra et se retrouva nue face aux deux hommes assis.

Messieurs, je vous présente Léa, mon épouse qui est le dossier urgent à traiter tout de suite.

Les deux hommes se regardèrent, surpris, Léa était là devant eux, nue, debout avec son rosebud dans l’anus.

Messieurs, ne posez pas de questions, faites simplement ce que je vous dirai.

Léa monta à quatre pattes sur le canapé, les mains posées sur le dossier.

François, encule ma femme, dit Paul au premier mec.

Le jeune se leva, se posta derrière Léa, baissa son pantalon et son boxer et en sortit une queue monstrueuse de 30 centimètres de long pour 5 centimètres d’épaisseur. Il sortit le rosebud du cul de Léa et présenta son gland à l’entrée de son petit trou et poussa d’un coup sa queue, s’engouffra jusqu’à la garde ; elle hurla de douleur. Le mec commença à pilonner le cul de Léa. Elle reprit sa respiration. Il la limait, poussa sa queue au maximum, il la bourra pendant 30 minutes puis se retira et finit en se branlant sur les fesses de Léa où il éjacula plusieurs jets de sperme puissants.

BERTRAND, dit Paul en s’adressant à l’autre mec, toi, tu vas baisser ma femme dans la chatte. Léa, mets-toi en levrette par terre.

Elle s’exécuta. Le jeune se mit à genoux derrière Léa, enleva son pantalon et caleçon, présenta une queue aussi grosse que celle de François et la fourra sans hésitation dans la chatte de Léa, qu’il commença à limer fort et de plus en plus vite en tapant ses couilles contre celle-ci, il la lima pendant 20 bonnes minutes puis se retira et éjacula sur les reins et sur les fesses de Léa.

Les deux hommes étaient nus, debout devant Léa qui se releva,

Bien ! Parfait ! dit Paul. Léa, tu peux aller prendre une douche avec ces messieurs, ils en ont bien besoin.

Du bureau de Paul, on pouvait entrer directement dans la salle de bain commune, les deux hommes suivirent Léa. Une fois lavés et habillés, Paul les raccompagna jusqu’à la porte :

Bonne fin de week-end, leur dit-il.

Il redonna le plug à Léa pour qu’elle se le remette dans le cul.

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