Le mois de juin est le signal du retour en France. Je quitte ce pays est particulièrement attachant. Je reviendrai régulièrement. Je laisse les commandes de l’usine à Xiu Huang N’Guyen. Elle est une jeune femme particulièrement efficace.
Les roues de l’Airbus touchent le tarmac. Les formalités de douane passées, j’arrive à la salle des bagages. Un chariot, mes trois valises et en route vers la sortie ! Je ne sais pas si mes trois miss sont là. Je ne les vois pas dans les personnes qui se pressent contre les vitres. Je suis dans les derniers à sortir. Je pousse mon chariot dans le hall, cherchant du regard une personne connue. Soudain, deux bras prennent mes coudes. Je sursaute. Une voix féminine m’annonce :
— Bonjour Monsieur ! Vous venez de l’étranger et nous devons procéder à une fouille au corps en règle !
C’est la voix d’Andréa, je la reconnais par son accent particulier. D’un côté, Andréa de l’autre Nancy, je suis bien encadré. Derrière moi, Carole me suit. Andréa poursuit :
— Nous avons loué un véhicule adapté. Ne tentez aucune évasion, nous n’aurions aucune pitié…
Devant le satellite, un Espace dernier modèle attend. Nancy ouvre la porte. Je monte et Andréa me suit. Nancy fait le tour et s’assoit à mes côtés. Carole prend le volant et nous partons. Les vitres du véhicule sont teintées très foncées. A peine le véhicule quitte le trottoir, les trois furies éclatent de rire. Je suis embrassé, palpé, tâté. Quatre mains me déshabillent. Elles parcourent mon torse et s’aventurent dans mon pantalon. Elles se penchent et m’absorbent. Deux bouches chaudes et voraces me mangent le sexe. J’ouvre les yeux. Carole conduit en jetant un il dans le rétroviseur.
— Mes gourmandes, laissez-moi le temps d’arriver…
Nancy me prévient :
— Nous partons Andréa et moi demain, pour un mois alors tu dois nous satisfaire pour l’année passée sans toi et pour le mois qui vient…
Un éclat de rire ponctue sa tirade. Je les interroge :
— Et Carole ?
Andréa met fin au discours :
— Carole, elle va t’avoir pour elle toute seule pendant un mois alors elle attendra bien une nuit…
La nuit fut courte, agitée douce, violente. J’ai dû satisfaire les deux partantes. C’est seulement au petit matin que je me suis écroulé mort de fatigue et le sexe douloureux. Vers midi, j’ouvre un il. Carole me regarde, assise sur le coin de mon lit.
— Bonjour Carole…
— Bonjour Jérôme… J’ai conduit les deux furies à l’avion ce matin… Tu peux dormir…
— Merci, mais j’ai récupéré… Viens, je vais te faire un petit câlin…
— Mais nous n’avons pas le temps… Tu dois aller délivrer Charlotte de son esclavage avec Maître FX… Tu n’as pas oublié ?
— Non, mais je pensais que tu avais envie toi aussi…
— Oui, j’ai très envie, mais attendre c’est aussi mon plaisir… Va prendre une douche, je te prépare ton thé. Les sacs de voyage sont prêts et chargés dans la voiture…
— Tu es une admirable organisatrice… Pour Charlotte, je suis inquiet. Quelques semaines après mon départ, j’ai essayé de la contacter à son travail. Une secrétaire m’a annoncé qu’elle avait pris un congé sans solde d’une année. Pourtant, elle devait garder son travail…
— Nous en saurons plus ce soir…
Une demi-heure plus tard, nous sommes sur l’autoroute de l’ouest. Carole est au volant et respecte scrupuleusement les réglementations routières. Je la regarde. Elle se sent observée :
— Qu’est-ce que j’ai ?
— Tu es ravissante…
Elle rosit :
— Merci…
Elle est vêtue d’une petite robe de saison. De couleur sable, elle est boutonnée de haut en bas. Son col chemise est ouvert. Malgré cela, la poitrine orgueilleuse tend le tissu. Par les espaces entre les boutons, je peux constater que Carole ne porte pas de soutien-gorge. La robe est courte. Elle découvre ses cuisses à moitié.
— Carole, il serait bon que tu libères un ou deux boutons en haut et en bas de ta robe…
— Ce serait très dangereux…
— Pas pour mes yeux…
— OK mais, vous ne touchez pas, Monsieur mon Maître…
— OK, je ne ferais que regarder…
Elle obéit à mes demandes. C’est ainsi que j’ai une vue admirable sur ses deux seins ronds et sur sa chatte imberbe. Même aux différents péages, elle s’est fait un point d’honneur de ne rien changer à sa tenue. Les hommes dans leurs cabines en profitent, les femmes jettent un regard méprisant à cette jeune femme qui s’exhibe. Carole me tend une enveloppe. Elle est ouverte.
— C’est le courrier de Maître FX. Lit et tu sauras pourquoi c’est aujourd’hui que nous devons aller au château de François-Xavier.
Je déplie le bristol. Une partie imprimée m’informe d’une soirée organisée pour le changement de propriétaire d’une esclave. Il y aura différentes présentations d’esclaves mâle et femelle. Un petit mot de François-Xavier me demande de venir dès l’après-midi pour que nous discutions des modalités d’échange. Il me demande aussi de venir accompagner d’une jeune femme, docile si possible… Je questionne Carole :
— C’est pourquoi tout est prêt !
Elle sourit en rosissant :
— Vous n’êtes pas vexé, mon Maître adoré…
— Pas du tout, mais, je vais devoir composer avec deux esclaves…
— Je suivrai exactement votre choix, si vous ne voulez que Charlotte je m’éclipserai. Si vous me gardez je serais la deuxième de vos esclaves…
— Nous en reparlerons…
Nous quittons l’autoroute pour des petites routes départementales. Bientôt à l’horizon, flanqué sur le bord d’un coteau, un château nous apparaît. Carole m’annonce :
— Nous sommes arrivés !
En effet nous stoppons devant un grand portail métallique. Un homme sort de la maisonnette. Il s’approche de l’espace et Carole lui tend notre bristol. Il le parcourt des yeux et nous dit :
— Vous pouvez y aller… je vous ouvre…
Je regarde Carole et lui dis :
— C’est un vrai coffre-fort…
Le portail s’ouvre et nous laisse découvrir une magnifique allée de platanes. Tout au fond, nous apercevons, sous la frondaison, une deuxième grille. Carole roule lentement jusqu’à celle-ci. Un homme arrive. La grille s’ouvre électriquement. Le château est splendide. Une grosse tour carrée est flanquée de deux ailes terminées par deux nouvelles tours carrées. De chaque côté, des dépendances ferment la cour jusqu’à la grille monumentale que nous venons de franchir. L’homme nous guide sur les dépendances de gauche. Sous des arches, des portes larges sont fermées. Une seule est ouverte. Carole sous les injonctions de l’homme gare notre véhicule. Nous descendons. L’homme s’approche :
— Bonjour, Madame, bonjour, Monsieur… Soyez les bienvenus au château de Sauveterre. Donnez-moi vos bagages et je vous conduis à votre chambre… je m’appelle William.
Après lui avoir rendu la politesse, William saisit les sacs et monte l’escalier situé dans le fond du garage. Les murs épais garantissent du soleil. A l’étage, un petit appartement est aménagé : une chambre avec salle d’eau attenante donnant sur les champs et une pièce de vie dont la grande baie donne sur la cour. William nous explique :
— Prenez le temps de vous rafraîchir… Monsieur François vous attend dans le jardin. Si vous le souhaitez, vous pourrez vous baigner dans la piscine… Je vous attends en bas…
Il se retire. Nous prenons une douche. Carole ne peut s’empêcher de me faire quelques agacements. L’eau est à bonne température. Mon sexe a envie de Carole. Je bande comme un malade. Dès que nous avons terminé de nous laver mutuellement, Carole se met à genoux et empoigne ma queue tendue.
— Elle est belle ta queue quand elle est dans cet état…
Elle joue avec le prépuce, le faisant reculer jusqu’au frein, puis avancer jusqu’à recouvrir le gland. Elle me masturbe énergiquement, mais avec douceur.
— Je vois que tu n’as pas perdu la main…
— J’aime jouer avec la verge de mon Maître. J’aime la regarder, la sucer, et j’aime par-dessus tout la sentir vibrer dans ma bouche juste avant qu’elle ne me crache sa semence. Et mon Maître m’en a privé pendant une année entière…
Elle me tient ses propos tout en me suçant, en frottant mon gland sur ses joues, sur ses lèvres pulpeuses et pointant sa langue dardée sur le méat. Carole prend mon membre en main. Tout en continuant de me masturber, elle me suce, m’aspire. Je lui baise la bouche avec furie. Sans pouvoir me contrôler, j’enfonce ma queue tout au fond de sa bouche. Je suis incapable de faire autre chose que la baiser. Mes coups de reins sont tellement amples et puissants que je sens son nez cogner contre mon pubis. J’explose rapidement. Carole souffle. Je la regarde. Elle a du mal à avaler la quantité de sperme que lui envoie dans la gorge. Le plaisir qu’elle me procure est trop grand. Je ne peux pas me retenir. Je me vide, me répandre en elle… Je reste appuyé contre la paroi carrelée de la douche. Carole reprend elle aussi son souffle. Elle me lèche, me lave le sexe de sa bouche soyeuse. Elle met à profit mon temps de récupération pour caresser ma verge encore grosse et lourde, mais moins raide. Carole est première à rompre le silence.
— Mon Maître adoré, qu’est-ce que vous m’avez mis. J’ai cru mourir étouffée. Je ne pouvais plus respirer, je ne pouvais plus avaler… Merci du plaisir que vous venez de m’offrir…
Je lui dépose un petit baiser sur les lèvres et l’informe :
— William nous attend et "Monsieur François" aussi. Il serait incorrect de les faire attendre plus longtemps…
J’enfile une chemisette de soie et un costume de soie sauvage. Carole est ébahie.
— Vous êtes splendide…
— Toi aussi…
Elle porte une petite robe droite, écrue. Deux fines bretelles retiennent le fragile tissu à la limite de ses pointes des seins. Les aréoles se montrent si elle bouge. Le bas du vêtement s’arrête largement au-dessus de la mi-cuisse. Si elle se penche, tout le monde verra ses admirables petites fesses rondes. Nous descendons. William jette un regard admiratif sur le petit tanagra qui m’accompagne. Stoïque, il nous guide. Sous les arcades des dépendances, il fait frais. Nous traversons la cour gravillonnée. Un portail de bois et nous arrivons dans le jardin. C’est un doux euphémisme. C’est plutôt un parc. La piscine est construite dans une aile arrière, moitié dans le bâtiment, moitié à l’extérieur. Un grand nombre de personnes sont déjà arrivées. Fendant la foule des invités, François-Xavier arrive :
— Enfin vous voilà, Jérôme ! Vous nous avez beaucoup manqué…
Il s’incline devant Carole et lui fait un baisemain…
— Venez que je vous présente…
Il claque dans ses mains pour obtenir le silence
— Mes amis, je voudrais vous présenter mon ami Jérôme. C’est grâce à lui que nous sommes réunis ce week-end. Il revient du Vietnam et par la même occasion, il vient reprendre son esclave qu’il m’a laissé durant cette année. J’espère avoir été à la hauteur dans l’éducation que j’ai continué de donner à cette personne. Mais nous verrons cela ce soir… pour l’instant profitons de ce soleil et de la piscine…
Se retournant vers moi :
— Avez-vous fait un bon voyage ? Comment c’est là-bas ? Comme sont les jeunes vietnamiennes ? Sont-elles aussi expérimentées qu’on le dit ?
— Mon cher FX, comment vous répondre si vous m’assaillez de questions ! C’est un pays qu’il faut vivre. Il est impossible de le raconter. Quant aux jeunes vietnamiennes, elles sont identiques aux femmes françaises. Il y en a des sages, des gourmandes. Mais les femmes sont toutes pareilles dans le monde. Il suffit que l’homme soit un bon amant pour qu’elles soient de bonnes amantes. Ceci dit, je ne vois pas Charlotte. Où est-elle ?
— Vous la verrez ce soir. Elle se prépare pour vous.
Carole est appuyée contre moi. Il la regarde comme un marchand de bestiaux. Elle se colle encore plus contre moi, serrant mon bras.
— Mon cher Jérôme, vous avez là un très joli bijou… serait-il possible que vous me le cédiez ?
— FX, laissez-moi retrouver mes esprits. Il y a à peine quarante-huit heures que j’ai quitté Hanoï, alors soyez patient…
— C’est vrai, profitez du buffet et de la piscine…
Il vaque à ses occupations de maître de maison. Nous approchons de la piscine. Le nombre de jeunes femmes et de jeunes hommes qui se baignent entièrement nus est étonnant. Je propose à Carole de piquer une tête. Elle se met sur la pointe des pieds et me chuchote à l’oreille :
— Tu ne me laisses pas là, il me fait peur ton ami François.
— N’aie aucune crainte, demain nous repartirons de ce merveilleux château à trois, Charlotte, toi et moi…
Je lui dépose un baiser sur les lèvres. Elle me rend mon baiser en violant littéralement ma bouche. Puis elle vise un fauteuil. D’un seul geste, elle retire sa robe, de ce mouvement gracile qui enflamme tout homme normalement constitué. Elle saisit le bas de la robe et en croisant les bras remonte lentement et laisse découvrir les fesses, le pubis épilé de frais, la taille souple, les seins ronds aux tétons arrogants et le cou long et fin. Les hommes présents qui ont assisté à cet effeuillage se sont tus. Ils contemplent le bijou qu’est Carole. Je la regarde de loin. Elle est très belle. Elle s’approche du bord de la piscine et d’un bond gracieux, plonge dans l’eau bleue. Comme tous les hommes, j’attends son retour à la surface. Un homme m’accoste. Cinquantaine bien sonnée, calvitie très avancée, bedaine copieuse, il transpire à grosses gouttes…
— Monsieur, excusez-moi de vous importuner…
— Je vous en prie…
— Cette jeune fille est-elle votre amie ou bien votre esclave ?
— Les deux, cher Monsieur, pourquoi donc ?
— Je suis prêt à vous monnayer cette perle pour qu’elle devienne mon esclave… votre prix sera le mien…
— Cher Monsieur, je vous remercie de votre offre, mais je ne pense pas que votre compte en banque ne soit suffisamment gonflé pour vous offrir cette jeune personne…
— Dites, je suis prêt à une somme très importante…
— Cher Monsieur, cette jeune demoiselle n’est pas à vendre, c’est la seule et unique raison…
— Quel dommage !
— Désolé…
Il s’en va l’air très chagrin… Je n’ai aucune envie de laisser Carole à des inconnus. Je ne pense pas qu’elle le souhaite elle-aussi… La fatigue du décalage horaire me prend. Je m’assois dans un large fauteuil, à l’ombre d’un tilleul. Je sirote un long-drink. J’ai une vue imprenable sur la piscine et la fête. La piscine est assaillie des jeunes gens. Tous sont entièrement nus. C’est assez joli à voir. Plusieurs jeunes hommes se sont rapprochés de Carole. Elle discute avec eux. Au bout d’un moment, deux commencent à la serrer de près. Elle s’écarte et me montre du doigt. Les deux courtisans s’écartent et vont chercher ailleurs d’autres jeunes femmes. Le buffet est installé au dos du château. Quatre personnes s’affairent : deux jeunes femmes très légèrement vêtues et deux hommes très bien bâtis.
— Je ne vous dérange pas, Jérôme ?
François-Xavier est auprès de moi. Il m’a surpris le bougre.
— Non, non ! Que me vaut le plaisir de vous avoir près de moi ? Auriez-vous viré casaque ??
— Non pas du tout… Je viens pour Charlotte…
— Que voulez-vous ?
— Accepteriez-vous de me la vendre définitivement ? Je m’y suis attaché. Je ne vais pas pouvoir m’en passer…
— Cher ami, Charlotte est "MON" esclave et "MA" chose… Pour l’heure, il n’est pas question que je vous la cède. Nous verrons par la suite. Elle et elle seule jugera si elle souhaite me quitter pour vous !
— Je comprends. Elle sera le clou de la soirée. Dès que sa prestation sera effectuée, vous pourrez la récupérer. Sa maison a été remise en état, le jardin entretenu, le frigo rempli ainsi que le congélateur. Vous pourrez la reconduire chez elle aussitôt quitter mon château.
— Je vous remercie de cette bienveillance…
— Je… je veux vous donner cette enveloppe. Elle contient des documents appartenant à Charlotte ainsi que les DVD que je vous avais promis. Ils retracent l’évolution de Charlotte dans la soumission…
— J’espère qu’ils sont uniques et que vous n’avez gardé aucune trace ni copie de ces films ?
— Bien entendu, ils sont uniques…
Le soir tombe lentement. Le personnel de service allume des torches éclairantes. Le buffet propose des aliments plus consistants. François-Xavier m’invite à me restaurer. Je me dirige vers les tables. Elles croulent sous les victuailles toutes plus appétissantes les unes que les autres. Carole sort de la piscine. Elle s’enroule dans une serviette blanche. Elle la noue juste au-dessus de ses seins. Elle est à croquer. Sa poitrine tend le tissu et laisse apercevoir la vallée entre les deux dômes jumeaux. La serviette s’arrête juste sous les fesses. Je peux voir le pli de la fesse. Elle se frotte contre moi.
— Alors mon Maître adoré, vous ne vous baignez pas ?
— Je suis assez fatigué…
— Venez manger !
— Je n’ai pas très faim… Et la nourriture française m’apparaît bien lourde à digérer après la cuisine Viet…
Elle me traîne par la main. Je grignote tandis qu’elle s’empiffre.
— Mangez mon Maître, vous allez être épuisé…
La nuit est tombée. François-Xavier demande le silence :
— Chers amis, j’espère que vous vous êtes bien restaurés… Je vous invite à vous préparer pour notre grande soirée. Il est 23 heures. A minuit, nous nous retrouvons dans le hall du château… A tout de suite…
Carole me prend la main :
— Venez-nous allons nous préparer pour Charlotte… Nous devons lui faire honneur…
Nous regagnons notre studio. Carole se précipite sous la douche. Quelques minutes et elle ressort.
— Prenez votre temps, Maître, que j’ai le temps de me préparer pour vous…
Je reste un grand moment sous le jet vivifiant. Cela me réveille. Je pense à Charlotte. Comment vais-je la retrouver ? Dans quel état ? Je sors de la douche et m’enveloppe dans un grand peignoir. Le spectacle que j’ai devant moi me fige. Carole est debout face à moi. Elle regarde le sol. Sa tenue est belle. Je reste ébahi. Un collier noir et clouté lui ceint le cou. Une laisse pend entre ses seins. Sur son corps, un serre taille de cuir noir est son seul vêtement. Il remonte haut et englobe ses seins en les laissant libres. En bas, il laisse le bas-ventre libre et accessible. Des jarretelles courent sur ses cuisses pour soutenir des bas résille très fins. De hautes bottes de cuir fin noir la chaussent. Sur le côté des chevilles des anneaux métalliques brillent. En haut des jambes, dans la portion de chair douce et soyeuse laissée libre par les bas, une sangle entoure chaque cuisse. Des anneaux métalliques brillent aussi. Les poignets sont aussi ceints de larges bandes de cuir noir. Elle se tient les jambes écartées.
Mon regard parcourt le corps de Carole. Je suis émerveillé, comme un gosse devant le sapin de Noël.
— Tu es merveilleuse, superbe…
— Je vous remercie, mon Maître adoré. Vos compliments me vont droit au cur. Mais pour terminer ma tenue, il fait que vous m’attachiez les poignets à mes bracelets de cuisses…
— Tout de suite ? Tu peux attendre que nous partions à la soirée…
— Non je veux que vous m’immobilisiez dès maintenant !
— Bien !
Je m’approche d’elle. Elle n’a toujours pas relevé les yeux. Je verrouille les poignets aux cuisses.
— Merci Maître… Je suis à votre entière disposition…
Je passe ma main entre ses cuisses. Elle facilite l’accès à son ventre en basculant son bassin vers moi. Elle a le sexe légèrement proéminent. Il est très harmonieusement dessiné. Ses grandes lèvres charnues et épaisses cachent jalousement leurs petites surs rosées, très peu ourlées. Au sommet de sa fente bien close et serrée, le capuchon de son clitoris se devine à peine. Son sexe est chaud et humide. Je cherche son clitoris. Elle écarte encore plus ses cuisses. Il est là caché sous son capuchon. Je l’extrais. Je le roule entre l’index et le pouce. Elle gémit et serre les cuisses…
— C’est bon, c’est trop bon……
J’arrête la caresse. Je saisis de la main gauche ses cheveux. Je tire en arrière sa tête. Je découvre son visage. Elle grimace devant cette douleur subite. Je veux voir son visage. Bloquant tout mouvement velléitaire par mon coude dans son dos, de la main droite je lui lève le visage. Ses yeux sont fermés. Aux coins des perles brillent.
— Ouvre les yeux !
Les taches d’eau bleu marine me regardent, légèrement embuées.
— Embrasse-moi, esclave !
Je ne fais aucun effort pour lui faciliter la tâche. Elle se hisse sur la pointe des pieds. Sa bouche s’ouvre et attrape mes lèvres, sa langue s’enroule autour de la mienne. C’est un baiser ventouse, pieuvre auquel j’ai droit. Je lui rends amoureusement. Je lâche ses cheveux. Mes mains passent sur sa poitrine. Les pointes tendues frottent sur mes paumes. Je saisis les pointes entre l’index et le pouce. Je les malaxe, les tourne, les pince. Elle se tortille tout en prolongeant son baiser. Je quitte ses seins. Mes mains prennent ses fesses. Je les écarte. Carole se cambre pour m’offrir mieux son cul rond. J’écarte les rondeurs et cherche de l’index, une rondelle fripée. Je viole de l’index sa pastille brune. Elle se laisse pénétrer.
— C’est bien, tu es encore souple et accueillante…
— Merci Maître…
Je la laisse et me change. Il est l’heure. Je prends la laisse et tire. Nous partons vers la soirée et retrouver Charlotte. Sous les arcades, j’oblige Carole à marcher devant moi.
— Balance ton petit cul !
Instantanément, les fesses entament un mouvement de droite à gauche. C’est hyper-bandant. Je la rattrape et lui claque très fort les fesses…
— Salope…!
— Merci Maître…
Elle me tend la poignée de sa laisse que j’avais posée sur son épaule.
— Je veux entrer ici comme une vraie esclave, comme une chienne…
Dans le hall, presque tout le monde est arrivé. Carole fait sensation. Le petit vieux qui voulait me l’acheter cet après-midi est stupéfait. Ses yeux sortent de ses orbites comme le loup dans les dessins animés de Tex Avery. Sur toute l’assemblée, il y a environ une dizaine d’esclaves mâles. Leurs tenues sont toutes identiques, sans aucune recherche : entièrement nus, un collier autour du cou et un étui pénien en cuir ou en métal. J’espère qu’ils ne vont pas flasher sur Carole, sinon bonjour la douleur… Quant aux esclaves féminines, leur nombre est légèrement inférieur à celui des mâles. Carole est la plus belle femme. Une femme d’un âge certain conduit une jeune fille. Elle doit avoir juste la majorité légale. Elle a des seins en cône, surmontés de pointes roses. François-Xavier fait son entrée. Il est accompagné d’une jeune femme brune. Elle arbore une guêpière rouge vermillon et des bas de la même couleur. Elle est perchée sur les talons hauts vertigineux. François-Xavier s’adresse à la foule :
— Nous partons vers la nuit la plus chaude de l’année. Suivez-moi, mes amis…
Il prend sa belle brune par la main et sort dans la cour. Nous nous dirigeons dans les bâtiments situés juste en face de nos studios. Ce sont les écuries. Un homme ouvre un grand portail. Il fait chaud dans le couloir. FX nous arrête :
— Mes amis, ceux qui souhaitent mettre à l’épreuve leurs esclaves respectifs, venez avec moi. Virginie va vous faire patienter.
Carole avance vers FX. Je ne bouge pas. Au contraire, je tire la laisse vers l’arrière. Elle est arrêtée net. Elle tourne son visage fin et régulier vers moi :
— Pourquoi ne voulez-vous pas me mettre à l’épreuve, Maître ?
— Parce que je l’ai décidé ainsi…
— Pourtant je suis prête…
— Nous verrons cela…
Une grosse majorité des personnes présentes suivent FX. La dénommée Virginie nous interpelle :
— Voici ce que je vous propose : Dites-moi vos désirs et je les exécute…
Dans la foule un murmure parcourt les lèvres. Aussitôt que le public a assimilé la proposition, les désirs fusent :
— Montre-nous ton cul !
— Fais voir tes nichons !
— Ecarte tes cuisses et montre ton abricot !
Virginie stoppe les demandes :
— Chacun a son tour… Je vais vous montrer mes seins… Mais je préfère que quelqu’un s’en charge… qui ?
Les "moi" fusent…
— Bien puisque vous ne vous décidez pas, c’est moi qui vais choisir…
Elle passe dans la foule. Elle s’arrête devant plusieurs hommes, puis repart. Elle stoppe devant moi. Je ne pense pas qu’elle en reste là vu que Carole s’est rapprochée de moi. Virginie va plus loin, puis revient :
— C’est toi qui vas montrer mes seins à tous…
— Je ne me contenterai pas que de cela…
— Tu demanderas et je t’obéirai…
— Je suis sûr que tu n’oseras pas…
— Chiche !
— OK !
J’avance vers le simulacre de scène. Je jette un coup d’il à l’assistance. Carole est là au premier rang. Ses yeux bleus me fusillent. Je passe derrière Virginie. Mes mains se posent sur ses hanches. Lentement je remonte sur sa taille… puis empaument les deux dômes enchâssés dans la dentelle. Je masse les rondeurs lourdes et fermes. Virginie se fait plus lourde, s’abandonne aux caresses. Mes doigts franchissent la barrière haute de dentelle. D’un coup sec, je baisse les bonnets de dentelle de la guêpière. Les seins apparaissent aux vues de tous les spectateurs. Un "Oh" de plaisir jaillit. C’est le petit grand-père ! Il va finir par péter une durite avant la fin de la soirée. Les seins ont sauté hors de leur prison et pointent fièrement sur le torse gracile de Virginie. Je palpe les deux masses chaudes. Mon regard se porte sur l’assistance. Carole, face à moi se cambre pour faire saillir sa poitrine. Il faut bien dire qu’elles ont des seins identiques, jumeaux. Tout en continuant le massage d’un sein ma main s’aventure dans son dos.
Je trouve les rondeurs de son cul. Mon majeur trouve le sillon. Il glisse puis trouve l’anus. Deux ou trois caresses légères puis une entrée nette, sans aucune hésitation. Virginie se cambre et crie face à cette agression inattendue. Une fois la surprise passée, je sens les fesses s’épanouir, s’écarter pour faciliter l’entrée de mon majeur. Il est rapidement accompagné de mon index et de mon annulaire. Virginie souffle et tente de reprendre respiration. Elle commence à apprécier le traitement que je lui fais subir. Elle se déchaîne. Elle rue du cul comme une pouliche en rut. Mes doigts pénètrent son petit trou du cul jusqu’à la paume. Je lui pince le mamelon. Son orgasme explose. Elle crie dans le couloir. Son hurlement résonne. Elle se prend les fesses à pleine main et s’écarte les globes au maximum. Il n’y a plus de vallée entre ses fesses. Son anus est au même niveau que le gras de ses fesses. Elle s’empale à fond avant un dernier râle. Puis elle s’effondre sur ma main, encore fichée dans ses entrailles.
— Putain que c’est bon ça, c’est quand tu veux pour recommencer, où tu veux et quand tu veux !
— Nous verrons cela salope !
Je rejette le paquet en avant et libère ma main. Un évier est là.
— Virginie, nettoie tes saloperies, cochonne…
Elle s’empresse de me nettoyer les doigts et la main. Une fois le lavage terminé, elle m’embrasse la main. C’est à ce moment qu’ FX revient :
— Eh bien, cher ami, qu’avez-vous donc fait subir à Virginie, pour qu’elle beugle à réveiller tout le département et ensuite qu’elle vous suce la main comme une esclave ?
— Cher ami, vous devriez savoir que les femmes m’adorent et que je leur rends bien !
— Bien après cet intermède frivole, je vous guide dans les affres du diable.
Il avance, ouvre une porte et disparaît de notre vue. La petite troupe le suit. Une première salle nous accueille. Une grille nous isole d’une scène en bois. Elle est dans le noir. Nous nous installons sur des gradins face à la scène. La lumière du couloir s’éteint. La scène s’illumine. Les esclaves mâles sont tous ici. Ils sont suspendus par les bras et les pieds attachés au sol. FX nous explique le jeu :
— Les esclaves femelles vont exciter les esclaves mâles. Ces derniers doivent résister. L’esclave qui perdra sera le mâle qui bandera ou la femelle qui ne fera pas bander le mâle. Précisions : chaque femelle devra faire bander deux mâles, le tout en moins de cinq minutes.
— Esclave, prêt, partez…
Les cinq femmes se jettent sur les hommes à leur merci. Il y a différentes approches. Une esclave d’une quarantaine d’années cajole un jeune mâle. La femme s’y prend bien et en quelques secondes le sexe, malgré sa cage de métal a un soubresaut. L’homme ne regarde pas. Il serre les dents, pense à autre chose… malheureusement, la femme ne s’arrête pas. Le sexe gonfle. Il se redresse. FX annonce :
— Esclave mâle numéro 7, tu as perdu ! Esclave femelle 2 tu as gagné la moitié de ton gage…
Les femmes s’acharnent sur leur esclave. Une autre réussit.
— Top !
FX vient de crier la fin du jeu. Il vérifie les gagnants et perdants :
— Les esclaves mâles qui ont perdu sont les numéros : sept et trois ! Ils seront fouettés. Vingt-cinq coups par celles qui les ont vaincus. Pour les femelles, il s’agit des cinq, car aucune n’a pu faire bander les esclaves mâles. Seules les esclaves femelles 2 et 4 verront leur punition réduite de moitié… leur punition sera… non vous verrez bien… que leur maître viennent les récupérer.
Des femmes et des hommes avancent et détachent les hommes et les tirent vers le passage. Nous franchissons une nouvelle porte. Le même décor est planté. Les maîtres conduisent leur esclave mâle au milieu de la scène. Des anneaux pendent du plafond. Ils sont attachés. Les esclaves femelles officient. Les coups pleuvent. Certains bandent de nouveau. Leurs maîtres les libèrent. C’est au tour des esclaves femelles. Elles sont toutes les cinq sur la scène. Un homme leur attache les mains à leur collier derrière la tête. Deux esclaves apportent des supports et de longues barres métalliques. Elles sont triangulaires. Les supports ressemblent à des tréteaux. Ils sont disposés devant et derrière chaque soumise. L’organisateur de la punition place une barre sur chaque support. Il demande à chaque femme d’enjamber la barre. Chaque femme se retrouve avec la barre à la hauteur des genoux. Les hommes sur la scène lient leurs chevilles aux anneaux des supports. L’organisateur annonce :
— Bien voilà les soumises prêtes ! Les esclaves mâles vont suivre vos indications… Esclaves remontez les barres pour qu’elles affleurent les chattes de ces femelles…
Les hommes soumis, remontent les barres. L’organisateur annonce :
— Je vais vous annoncer le numéro de l’esclave et je choisirais une personne de l’assemblée. Elle me donnera un chiffre de 1 à 10. Prêt ?
Des OK et des oui fusent…
— Esclave N° 2…
L’organisateur cherche dans l’assistance la personne qui va donner un chiffre…
— Vous, Madame !
Une femme d’une trentaine d’années très mince, brune s’interroge :
— Moi ?
— Oui, vous, donnez un chiffre…
— Sept !
— Bien ! Cette esclave a droit à un régime de faveur ! Elle a fait bander un mâle.
— Esclave, remonter de trois crans et demi les supports.
Les hommes s’affairent autour des supports. Des "clic-clic" signalent la montée de la barre. L’arête tranchante est placée au niveau du sexe féminin. La femme grimace un peu. Elle tente en se mettant sur la pointe des pieds de soulager la douleur sur ses lèvres.
— Esclave N° 4…
— Vous Monsieur !
— Neuf !
— Nous ne monterons que de quatre crans.
Le même manège s’en suit.
— Esclave N°6…
— Vous Mademoiselle !
Il montre Carole d’un doigt inquisiteur. Elle hésite :
— Heu…
— Allons Mademoiselle, vite, un chiffre…
Je la vois inquiète. Elle sait qu’elle va pour la première fois infliger une punition. Que va-t-elle faire ? Elle me regarde et m’interroge du regard. Je la laisse dans son choix. Elle se lance :
— Zéro !
— Bien Mademoiselle ! Vous êtes charitable, mais vous vous êtes trompée… Le zéro ne compte pas seul… il compte avec le "un"… donc vous avez demandé "dix" !
— Non ce n’est pas cela !
— Esclaves, montrez de dix crans !
La jeune femme soumise regarde Carole. Ses yeux sont pleins de larmes. Elle sait que la punition va être dure, très dure. Plus les crans montent plus elle est en équilibre. Ses pointes de pieds effleurent le sol. Elle tangue d’un pied sur l’autre. La barre s’incruste dans sa raie. Les larmes coulent sur ses joues. Carole ne peut en supporter plus. Elle se jette dans mes bras en pleurant et en criant :
— Non ! Non ! Arrêtez, je ne veux pas ça !
L’organisateur vient auprès d’elle et la saisit par les cheveux, lui tourne le visage et lui crie à la face :
— Tu n’as qu’à prendre sa place si tu le veux.
Je saisis le poignet de l’homme. Il me regarde. Il est étonné de la pression qui lui serre l’avant-bras :
— Lâchez-la immédiatement !
Surpris, il cède en crachant :
— Soumise d’apparat…
Carole est secouée de gros sanglots. Je la cajole, lui flatte les épaules. Son chagrin s’amenuise. Les punitions continuent. François-Xavier nous invite à laisser les esclaves en pénitence et de continuer notre soirée d’exception. Une nouvelle salle, une nouvelle scène nous attend. Sous un spot, une jeune femme attend. Elle est vêtue d’une cape noire qui l’enveloppe entièrement. FX passe derrière elle. Il annonce :
— Cette jeune personne souhaite être éduquée. C’est la première fois qu’elle est face à ses envies. Aussi pour la guider, la former pour cette première fois, je fais confiance à une personne. C’est un Maître, un vrai ! Il est capable de convaincre toute femme à la soumission. Je vais donc lui demander de venir officier maintenant ! J’appelle Jérôme sur la scène !
Je suis surpris. Je ne m’attendais pas à cette demande.
— Croyez-vous cher ami que je vais savoir m’acquitter de cette tâche ?
— Non seulement je crois, mais j’en suis sûr !
Carole me chuchote à l’oreille :
— C’est vrai ! Va la former, elle fera comme moi, elle sera à toi et pas à ce malade !
— OK ! Je veux bien essayer !
Je m’avance sur la scène. Je tourne autour de la jeune femme. Elle cherche à me suivre des yeux.
— Relève la tête et baisse les yeux !
Elle obéit. Je libère le lien qui tient la cape fermée sur ses épaules. Elle ne porte qu’une paire de chaussures hautes. Elle est entièrement nue. Très franchement, je dois reconnaître que cette fille est tout à fait ravissante, avec sa croupe bien pleine, mais sans lourdeur, et sa poitrine rebondie. La belle a le minou glabre. Elle a coiffé ses cheveux en une queue-de-cheval. Je pivote autour d’elle. Je suis derrière elle. Je la saisis par les cheveux.
— Aïe ! Vous me faites mal !
— Tu es là pour ça, non ?
Elle transpire, pas de chaleur mais de peur. La trouille la prend au ventre. La tenant toujours par les cheveux en arrière, je la pousse vers l’avant-scène. Du plafond, pend une corde unique, terminée par le mousqueton en métal. Je l’oblige à l’agenouiller sur le sol, au centre de la scène improvisée. La jeune femme, frêle et consentante me laisse attacher à ses poignets et à ses chevilles, des bracelets de cuir noir doublé de feutrine. Je lui lie les poignets dans mon dos en passant une cordelette dans les anneaux des bracelets. Je la fais s’agenouiller. En appuyant des deux mains sur ses épaules, je la fais basculer sur le dos. Elle tombe. Je la retiens par la nuque. Elle est sur le dos, les jambes recroquevillées sous elle. Je la contourne, attrape ses pieds et les soulève. Je fixe les mousquetons des bracelets de ses chevilles à la barre horizontale qui pend à la corde. Ses jambes sont écartées et offrent une vue imprenable sur le sexe de la jeune femme. Je tire sur la corde. La jeune femme est soulevée.
Son cul est bien visible maintenant. Sur un guéridon, un tube métallique contient les instruments de son éducation. Elle tourne la tête vers moi. Elle a vu le tube. Elle comprend en découvrant plusieurs poignées gainées de cuir qui dépassent. Elle sait que dans ce tube, les cravaches, les martinets et d’autres objets de dressage attendent. Son visage trahit la peur et l’inquiétude. Sa position présente bien ses fesses. Elle ne peut pas bouger. Son petit cul ainsi placé est idéalement offert aux coups qui vont s’abattre inexorablement sur lui. Je la contourne. Je l’enjambe. Je m’agenouille au-dessus de son corps. Je caresse l’arrière de ses cuisses puis les rondeurs de son fessier. J’empaume les deux globes et les écarte. Je découvre la raie. Toute l’assistance peut découvrir l’intimité féminine offerte. La position de mes pouces accentue l’écartement de sa raie. Je montre à tous son illet fripé brun. Des deux majeurs, je masse cette région particulièrement sensible. Aussitôt, la rondelle s’effraie d’une caresse aussi intime, aussi sale.
Mais la sensualité l’emporte rapidement. L’anneau s’assouplit et se laisse aborder. Les deux phalanges tour à tour pénètrent l’endroit. Je laisse un majeur prodiguer la caresse scandaleuse. Un index revient sur l’avant de l’entrejambe offert. Un gémissement trahit le plaisir de la rencontre furtive entre la pulpe du doigt et le capuchon de mon clitoris. J’enfonce mon doigt entre ses grandes lèvres, l’insinue dans la fente moite de son sexe, l’explore doucement et s’arrête à la commissure inférieure de sa vulve. L’index est rejoint par le majeur et ensemble, ils s’introduisent d’un coup dans son vagin. Son corps est parcouru des frissons. L’autre main ne reste pas inactive. Mon majeur profite de la détente de la rondelle bistre pour se frayer un passage. L’entrée n’est pas violente. L’anus cède doucement mais résolument. La double pénétration ne semble pas gêner la donzelle. Bien au contraire, malgré sa position inconfortable, elle ondule du bassin. Son sexe et son cul viennent à l’encontre de mes doigts inquisiteurs.
Mes doigts s’activent. Le viol simultané de ses deux orifices commence à faire leur effet. Elle souffle très fort. Elle a clos ses yeux et son visage se crispe. La jouissance n’est plus très loin. J’arrête donc immédiatement le traitement. L’auditoire reste silencieux. Il se demande à quelle sauce, ce joli tendron va-t-il être dégusté ! La soumise laisse échapper :
— Oh non !… Continuez… Ne me laisse pas en chemin ! Encore tes doigts !!
— Petite dévergondée, tu ne sais pas encore qu’il ne faut rien demander et attendre ce que ton Maître voudra bien te donner ! Et que tu ne dois en aucun cas tutoyer ton Maître !! Tu ne bouges pas !
Dans le tube, je choisis une longue tige de bois, de 5 à 6 millimètres de diamètre. Elle est souple à souhait. Je me replace comme avant. Elle a une vue sur l’entrejambe de mon pantalon ! De l’extrémité de la badine, je parcours la peau des fesses. L’extrémité s’aventure dans le vallon des fesses, flirte avec la rondelle brune, repart vers son sexe. Elle écarte les lèvres, comme pour voir puis repart. Elle découvre tout en haut une arrogante crête écarlate. Je reviens sur l’anus et le frotte de la longueur de la badine. Je la regarde. Elle a fermé les yeux, mais son visage respire l’inquiétude du premier coup qui doit venir mais qui ne vient pas. Je positionne le bout de la baguette sur l’anneau de son cul. Je presse légèrement sur celui-ci. L’anus se laisse conquérir sans aucune difficulté. Il s’ouvre et engloutit la tige. Je pratique de petits mouvements de va-et-vient de la badine. Le cul apprécie cette caresse. Il s’humecte et mouille la baguette. J’annonce aux spectateurs :
— Elle mouille du cul cette petite salope !
Elle s’abandonne complètement et tire sur ses jambes pour offrir encore plus son petit trou à la pénétration.
— C’est bon ! Encore ! N’arrête pas ! Continue !
Elle est mûre pour la découverte de la soumission. C’est l’instant que je choisis pour de l’autre main commencer la fessée que je me suis promis de lui donner. Le premier coup claque sur sa fesse gauche, avec un bruit sonore. Elle sursaute. Elle n’a pas le temps de crier sa douleur, qu’un deuxième coup s’abat sur sa fesse droite. Je laisse planter dans son anus la baguette de bois. Des deux mains, je la fesse. Je pleure très vite, mais je ne cède pas à la tentation d’indulgence. Elle gémit et elle crie. Rien ne me fera changer dans la correction prévue. La baguette remue selon les soubresauts de son cul. C’est assez comique ! Son petit cul commence à changer de couleur. Il rougit et les traces de mes mains commencent à se dessiner. Tout en continuant à la manière d’un métronome, je constate que la chipie se tortille toujours autant. Mais son sexe est de plus en plus luisant. Sa mouille bave de sa chatte et dégouline de chaque côté. La baguette se trouve humidifiée par l’afflux de cyprine.
Son clitoris, arrogant baigne dans son capuchon. Si son cul est aux enfers, sa chatte est au paradis. Dans le tube, je choisis deux objets qui me semblent convenir à la jeune écervelée. Deux godes de bonne taille, l’un noir l’autre chair vont clore la séance. J’ôte la baguette et pointe le noir sur sa pastille brune. Je pousse. Elle se refuse :
— Non, arrêtez ! C’est trop gros !
Je ne tiens nul compte de ces jérémiades. Le second trouve l’entrée avant. Je l’enfonce. Il est muni d’une languette qui vient appuyer sur le clitoris de la belle. Elle se cabre et conserve les deux objets dans son ventre. J’attends sa réaction. Et là je suis surpris d’entendre une petite voix, au ton presque suppliant me demander :
— Frappez-moi encore, s’il vous plaît.
Elle na pas joui. Mais je m’aperçois qu’elle aime la fessée. Dans le tube, un martinet, un vrai comme ceux que les enfants du début du dernier siècle connaissaient bien, me nargue. Je m’en saisis.
— Puisque tu me le demandes si gentiment, je ne peux pas te le refuser…
Les lanières claquent sur les fesses encore rouges. Cette fois, je n’y vais de main morte. Bien au contraire, je cherche réellement à lui faire mal. Son sexe n’est pas épargné. Elle ne crie plus. Elle s’offre aux lanières de cuir. Elle va à leur rencontre. Le dixième coup est le dernier. Je l’applique avec grand soin sur le sexe béant. Elle ne peut pas retenir un cri ! Mais à peine ai-je fini, qu’elle hurle son plaisir. Elle jouit comme une salope devant l’assistance médusée. Je retire les objets de son ventre. Elle halète. Ses genoux s’écartent autant qu’ils le peuvent malgré ses chevilles entravées. Son ventre se creuse. Son corps se tétanise. Une onde de jouissance part du plus profond de son vagin contracte son ventre. L’orgasme la secoue, j’ai l’impression que son sexe va exploser. Elle éjacule sa mouille comme une petite fontaine. Quelques minutes plus tard, son corps est toujours agité par les spasmes résiduels de l’orgasme.