On discutait par sms depuis une semaine. J’avais rencontré Karim sur un site de tchat, et ç’avait tout de suite accroché entre nous.
J’ai 21 ans et je n’assume pas ma bisexualité… ma copine et moi avons rompu j’étais de nouveau célibataire, libre d’expérimenter de nouvelles sensations.
Je flashe sur les rebeux, je les trouves très sensuels, très machos. ’Rebeucho51’ : le pseudo de Karim.
Je mesure 1m80 pour 97 kilos, je suis un peu enrobé, et j’ai un peu de seins… mais j’ai un cul très bombé ! (Karim adore les rondeurs)
Le feeling passait bien et on décidait de se rencontrer chez moi dans la soirée, assez tard car il voulait rester discret, ça m’arrangeait aussi !
je vis dans une résidence pour étudiants, grand immeuble, ouverture avec badge….
"Je suis en bas, tu viens m’ouvrir?!"
"Je descends…"
Ce coup de téléphone m’avait perturbé, Karim était en bas de chez moi, il m’attendait. Même si ma chambre était bien rangée, je trouvai encore quelques trucs à changer de place. je mis ma veste et je descendis par l’escalier… je paru terriblement long.
Arrivé en bas il était devant la porte vitrée.
Mieux que sur la photo!!!
J’ouvre la porte et il me lance un de ses sourires qui vous disent : ’Ce soir tu vas prendre cher’
Il me sert la main;
"Salut, comment tu vas?"
"Très bien et toi?"
"Bien, on monte?"
Direction l’ascenseur, arrivés dedans il me plaque contre la paroi, il m’embrasse, passe les mains sur mes fesses et les prend en mains…..
Les portes s’ouvrent sur mon étage, on descend et on arrive dans ma chambre.
On décide de se poser sur mon lit, je mets un film (tout en sachant que je n’en verrai même pas la moitié). On se cale dans mon lit, une couette sur nous, et moi aux creux des bras de Karim. Il sentait le mâle, les épices…. le sexe
Il était nettement plus grand que moi, 1m90/95, musclé, il faisait du foot et de la natation. Cheveux courts, mais pas rasés, j’aimais passer ma main dans ces cheveux crépus. Il avait des yeux rieurs, pas noirs comme la plupart des rebeux que je connaissais, il avait les yeux marron doré, ils brillaient. Et sa bouche…. pulpeuse a souhait, je le trouvais parfait.
J’ai posé ma main sur sa braguette, et je sentais déjà une grosse bosse.
"Elle est gonflée depuis ce matin, j’avais trop envie de te voir".
On s’est déshabille, et il ma mis sur le dos… il ma embrasser tout en me caressant l’anus…. j’étais humide…
Il a sucer mes tétons, m’a empoigné les seins, j’étais à lui.
Il est descendu plus bas et m’a demandé de me retourné. Je me retrouve sur le ventre, le cul relevé par un oreiller placé sou mon ventre. Je sens son nez se glisser entre ma raie… il hume mon petit trou. Je sens la chaleur de son souffle. Ses mains écartent mon cul en deux,et sa langue commence à me pénétrer, il dévore mon cul, le dilate, le prépare pour après.
Il me dit de me mettre à genoux. Je me retrouve la face collée contre son boxer qui puait la bite…Un boxer qui avait servit à l’entrainement de foot d’aujourd’hui. Je léchai son gros paquet. J’avais faim.
"Tu le veux mon zob petite chienne!?"
Pour réponse j’écartai son boxer pour laisser pendre son sexe. <<<ENORME>>>
Malgré le fait que j’avais sucé son boxer il ne bandait pas, et pourtant j’avais un sexe énorme devant moi, bien marron avec un gland plus clair et une circoncision rosée bien effectuée.
"Suce"
J’ai du sucer ce zob pendant au moins 15 min avant qu’il me dise de me remettre dans le lit. J’avais mal au mâchoires et ma gorge souffrait des nombreuses gorges profondes qui m’avaient donné la nausée.
Je me suis allongé sur lui, je l’embrassais, et il écartait mes fesses, je sentais son gland frotter contre mon trou. Je lui ai enfilé une capote et je montais dessus.
"Je vais y aller doucement avec ton petit cul de vierge, je veux pas te faire mal bébé." J’étais rassuré et j’avais peur en même temps, je savais très bien que malgré sa douceur j’aurais très mal.
Il m’embrassait et d’un coup de rein son dard s’est enfoncé en moi, il mit sa main devant ma bouche pour me faire arrêter de crier, j’avais trop mal.
"Chut bébé, ça va aller, regarde je vais la bouger un peu pour que tu t’habitues".
Il me faisait rebondir sur sa queue, j’avais plus mal, et je gémissais de plaisir… Je me faisais dépuceler par un rebeu.
"A quatre pattes maintenant, tu vas kiffer", j’étais à 4 pattes, le visage collé au sol et le cul bien relevé, il m’a démonté, je sentais sa paire de grosses couilles claquer contre mon cul, il y allait à fond… La douleur était toujours présente mais j’adorais être défoncé de la sorte. Il me tirait les cheveux pour me relever la tête et m’embrasser.
Nos langues se mêlaient, j’adorais le goût qu’il avait, il embrassait très bien.
Après un long moment de baise, il se retira de moi, et retira la capote, je sentais alors 6 gros jets enduire ma raie de foutre, il était tellement excité que j’ai reçu du sperme dans les cheveux.
Je revenais sur sa queue pour la nettoyer de son jus, je pompais les dernière gouttes tout en le fixant du regard.
Il était essoufflé et il souriait, encore se sourire de prédateur….
"Tu t’es bien débrouillé pour une première fois !"
"Je suis content, au moins j’ai pu tenir jusqu’au bout"
On est allé se doucher, en s’embrassant, et moi en suçant une dernière fois sa queue.
Il est resté chez moi cette nuit là, on est resté nu enlacé jusqu’au lendemain matin….
La suite à venir
