Branle-le, il est pour toiet applique toi !!! » Lola sexécuta sans un motmais les tremblements de son corps mindiquaient que leffet recherché était bien làProfitant de ce premier instant de surprise, ma main glissa au creux de son entrejambe dune douce chaleur et dune moiteur tout juste perceptible il y a quelques instant, son sexe était devenu humide et ruisselait comme jamais ses lèvres gonflaient, son clitoris était maintenant bien visible.
Alors quelle continuait ses lents va et vient sur le membre raide de notre hôte, je lui dis :
« Vas-y ma belle branle le encore, je vais te léchermais avant ça, je vais te branler » Ecartant ses cuisses de mes mains, les deux doigts de ma main droite se posèrent sur sa vulve. Elle mouillait à souhait, et mes doigts neurent aucune difficulté à entamer de petits mouvements circulaires, tantôt larges sur ses grandes lèvres, tantôt resserrés ciblant au mieux son clitoris
Sa respiration sétait accélérée, sa peau frissonnait, son corps tremblait mais je ressentais son plaisirmes doigts glissaient et virevoltaient sur sa vulveelle écartait de plus en plus ses jambes afin que je puisse au mieux caresser le fruit défenduson clitoris était maintenant gonflé à son maximum et chacune de mes pressions lui donnait cette petite impulsion électrique qui la faisait sursauter de deux doigts jécartais ses lèvres trempées, et tout en caressant son ventre et ses seins, mon majeur la pénétra. Elle ne put retenir un soupir de bonheurmon doigt allait et venait maintenant dans sa fente. Thomas jouait le jeu.il ne disait rien, profitant du spectacle et de cette caresse que lui donnait ma femme. Elle allait et venait sur sa hampe, serrant parfois plus fortement ou relâchant pour varier la sensation. Sa main faisait coulisser la peau de son prépuce sur son glandelle donnait ce quelle pouvait de mieux et lui semblait lapprécier.
Remontant un instant près de son oreille je lui dis :
« Alors ma petite chiennetu aimes ? » chaque mot cru amplifiait son plaisir et cest non sans mal quelle arriva à me répondre, étourdie par la surprise et le plaisir
« ouiiiii jaime »
« Thomas, caresse lui les seins maintenant » « et toi Lola, maintenant tu vas le sucer »
Il se rapprocha un peu plus pour quelle puisse le prendre dans sa bouche. Son sexe nétait pas imposant mais correct. Epilé tout comme nous, ça lui donnait une belle allure. Sa langue hésitante au début, passa du gland à la verge, de la verge au glandsa main le branlait, caressait ses testicules
De mon côté, je plongeais au creux de ses cuissesjavais envie de gouter cette mouille, happer cette cyprine chaude et sucréema bouche aspira sa vulve, ma langue glissa sur ses lèvres et se fraya un passage jusquà lentrée de son vagin. Cétait bon de lentendre gémir, de sentir son plaisir monterde goûter ce sexe chaudmes lèvres enveloppant son sexe, je les refermais sur son clito. Il nattendait que çaêtre sucé, aspiré, malaxé, mouilléje le baladais de droite à gauche, de gauche à droitealternant mouvements rapides et lents, glissant de lentrée de son vagin à ses petites lèvres, puis ses grandes et reprenant mes aspirations clitoridiennes. Lola, elle, continuait à sucer Thomas. Sa bouche avalait cette belle bite raide.
« Thomas, attrape sa tête et enfonce lui ta queue bien au fond de la gorge. Vas-y, elle aime çaelle aime être baisée comme une chienne » je savais que ces quelques mots allaient déclencher une tornadeIl lattrapa par les cheveux et senfonça dans sa gorge de toute sa longueur. Lola faisait mine de se débattre un peu, gémissait mais elle aimait.
« Vas-y, fais toi lécher les couilles maintenant » Il se retira, puis lui repris la tête afin de lemmener vers son entrejambeLola ouvrit la bouche et absorba ses testicules pendants et lisseselle les léchait, les caresser du bout de ses doigts. Ces quelques mots et quelques directives lui avaient resserré le ventre
Je continuais à la lécher, insistant de plus en plus sur son clitoris. Lola avait maintenant repris Thomas dans sa bouche
Je sentis ses jambes se crisper et dans un râle elle jouit une première fois
Ne souhaitant pas permettre à la tension de se relâcher, je dis à Thomas :
« Prends un préservatif, tu vas la baiser maintenant ». Ni une ni deux il attrapa le petit objet sur la table de nuit et lenfila pendant que je continuais à caresser Lola
Elle était transpirante, toujours aveugle, abandonnée à mes gestes, à mes paroles. Je pris position sur le lit, allongé, et la fit se mettre à 4 pattes, afin quelle lui offre ses belles fesses. Il se positionna derrière elle, pendant que jattrapais sa tête afin quelle me suce. Il la pénétra dun coup sec et entama des mouvements de va et vient, de plus en plus profond. Elle se cambrait pour mieux soffrir, et moffrait une pipe dont elle seule avait le secret. Sa bouche allait de mon gland à mes couilles. Elle les aspirait, les léchait, les suçait. Une main appuyée sur ma cuisse, lautre enserrant mon membre allait et venait à un rythme plus ou moins rapide. Sous leffet des coups de rein de Thomas, ses mouvements étaient parfois saccadés mais elle faisait de son mieux. Thomas allait et venait sans relâche. Il remplissait la tâche pour laquelle je lavais invité de belle manière. Ses mains agrippées aux hanches de ma belle, il la limait, ressortait de temps à autre sa queue trempée pour mieux la pénétrer à nouveau. Il positionnait son gland sur ses lèvres, les écartant par petits mouvements de bas en haut et sintroduisait à nouveau en elle.
Lola me pompait toujours avec envie. Ses lèvres allaient et venaient sur ma queue dressée par lenvie, sa main saccrochait à mon membre et donnait le rythmesa langue tournait dans sa bouche, me caressait le gland et sa bouche maspirait toujours plus intensément. La main posée sur larrière de sa tête, mes doigts agrippés dans ses cheveux, je lui donnais la cadence. Elle respirait fort, gémissait.
« Suce moi bien ma petite chienne. Tu aimes ça hein ? Te faire baiser comme une petite salope Thomas te bourre bien ? Hein… On va te baiser toute la nuitje veux que tu jouisses sans cesse et que tu nous vides bien les couilles » Elle ne pouvait pas répondre, mais les mouvements de sa tête acquiesçaient.
