Pascale: Anniversaire bien embouché.
Le onze novembre approche, c’est l’anniversaire de Pascale. Cette conversation me revient. Mais comment amener cela délicatement?
Je l’invite pour ce soir-là à sortir en boite. Elle me dit que ce sera difficile avec sa famille de ne pas être là le soir de son anniversaire. Je lui demande:
"La veille alors?
— Je ne sais pas! Les après-midi c’est plus facile."
Deux jours après elle m’appelle:
"C’est Ok pour vendredi soir, j’ai dit que je prenait la garde de "Gene": elle me couvre pour la soirée.
— Merveilleux, la remerciai-je"
En pensant, in-petto, que "Gene" ne sera pas la seule à la couvrir ce soir-là!
"Nous irons à "l’Agrippina" à N.
— Ok, c’est une boite?
— Oui c’est diner-spectacle, ensuite on peut danser.
— Merveilleux, tu es adorable!"
C’est bien une boite de nuit mais le spectacle est érotique avec sexe-live sur scène et j’espère que Pascale sera émoustillée par l’ambiance et les beaux mâles présents.
Vendredi soir arrive, vers 7h elle me retrouve dans un bar discret en ville. Son chignon blond porté bien haut avec des mèches rebelles sur les deux tempes, les yeux assombris par le mascara, avec son long manteau soulignant sa fine silhouette, elle ne manque pas d’attirer les regards.
Après une boisson, nous prenons ma voiture pour nous rendre à l’Agrippina. Avant d’entrer dans la salle, nous nous débarrassons de nos manteaux, je la vois alors dans sa splendeur, mini-robe noire sans dessous, talons hauts et bas noirs. Ses seins avantageux tiennent haut perchés, sans soutien, et sous le décolleté vertigineux, les tétons tendent l’étoffe. en dessous sa taille fine est mise en valeur par la robe fourreau.
Ses cuisses sont plus qu’à demi découvertes et l’absence de dessous est patente, la fine robe ne montre aucune marque de culotte. Quand elle bouge elle découvre le haut des bas et les jarettelles noires. J’adore quand elle s’asseoit apercevoir ses cuisses, dont l’arrière, très musclé par le vélo, s’arrondit en relief. L’impression est brûlante.
Nous nous asseyons. j’ai réservé une table avancée, vers la gauche, juste sous la scène, qui consiste en une estrade, en demi cercle, peu élevée, de soixante centimètres, couronnée d’une couche circulaire de deux mètres de diamètre, recouverte d’un tissu écarlate, émergeant d’une sorte d’alcove. Nous faisons retirer deux des chaises rouges foncé. Je m’installe le plus à gauche si bien que Pascale verra le mieux étant à moins d’un mètre de la scène.
La salle se remplit bientôt entièrement. Pascale semble très à l’aise avec les regards nombreux qui ne cachent pas leur intérêt pour elle. Avec un sourire en coin elle me questionne:
"Drôle d’endroit! C’est quoi ça? Un lit?
— On dirait bien …
— Sacré coquin, blague-t-elle."
Assis côte à côte afin de voir la scène, nous commandons un repas fin avec une bouteille de champagne brut, "Pour ton anniversaire!" lui dis-je. Elle se penche pour m’embrasser. Nous trinquons à son anniversaire, puis à sa beauté, car tout le monde te regarde, lui dis-je. Le serveur nous apporte les entrées et nous informe: "Il y a un spectacle entre chaque plat, ainsi les gens sont patients."
En effet alors que nous finissons notre salade de foie gras, la salle s’assombrit, une musique entrainante retentit et une jeune femme, brune, vêtue en acrobate entre sur scène en faisant la roue plusieurs fois. Très souple, elle atterrit sur ses pieds devant nous et se courbe en souplesse pour saluer l’assistance. Deux hommes sont entrés à sa suite et l’encadrent en posant leurs mains sur chacune de ses hanches. Ils saluent aussi, torse nus, en collants tous les deux, leurs anatomies moulées démontrent une belle nature. L’un brun, semble très jeune, moins de trente ans, l’autre chatain, cheveux bouclés, porte une barbe coupée courte et une moustache, à la mousquetaire, plus près de quarante, dirait-on. Une main relevée, ils saluent plusieurs fois se courbant et se redressant, ne manquant ni de sourire, ni d’adresser des clins d’yeux aux femmes de l’assistance en les lorgnant bien en face. Pascale étant la plus proche, elle reçoit leur hommages avec un rosissement des joues. Le Champagne sans doute.
Une danse s’ensuit et la jeune femme va de l’un à l’autre, semblant hésiter, se collant de plus en plus, faisant quelques passes langureuses pour se précipiter vers le second cavalier.
Je jette un oeil vers Pascale, elle est absorbée, contemplant les trois danseurs. Maintenant la fille se fait embrasser par l’un, il la serre contre lui, appliquant son bassin sur elle, elle acceptant. L’autre soupirant semble furieux, la saisit et l’attire vers lui, mimant un coit avec son bassin conre ses fesses, la fille répond en se cambrant en arrière à la rencontre de ses mouvements. Le premier veut la reprendre, mais saisissant son maillot dont le corsage le déchire et une belle poitrine dénudée aux larges tétons bruns apparait à nos regards ébahis. Pascale ne peut retenir une exclamation étouffée: "Ah!" J’emplis sa coupe de nouveau, elle me remercie en silence les yeux brillants, d’un hochement de tête et retourne au spectacle. Je suis tout près, ma main droite autour de son cou, négligemment pelote son sein, tandis que l’autre, sur sa cuisse relève sa mini-robe et cherche son pubis, elle rit, ses cuisses s’écartent pour laisser mes doigts s’insinuer. Elle n’a pas de culotte et je peux presser son clitoris, elle soupire d’aise, les yeux fixés sur la scène. Dans la clarté diffuse, ses fesses nues posées sur la chaise, ses cuisses claires tranchent sur la robe relevée ainsi que sur la chaise sombre.
Le jeune homme baise maintenant les seins offerts et la fille gémit à haute voix. Bien sûr c’est du théatre mais cela fait son effet.
Torse-nus tous les trois, les artistes bondissent soudain sur le devant de la scène, nous saluent avant de s’enfuir vers les coulisses. Un soupir désabusé emplit la salle qui s’illumine de nouveau: "Il est temps pour vous de vous régaler gustativement! Et ne craignez rien , ils reviennent!" nous promet le maitre d’hotel au micro.
Dommage! dit Pascale, elle rit et vide sa coupe d ’un trait.
C’est avec une espèce d’impatience ravie que nous prenons notre magret de canard. les coupes de champagne se suivent, Les yeux de Pascale, brillants croisent les miens, nous nous sourions. Je dois commander une seconde bouteille.
La musique, reprend, la pièce s’assombrit de nouveau. Pascale de profil scrute l’obscurité. Les trois acolytes, bondissant ré-apparaissent en string maintenant.
Ils nous saluent, vivement mais davantage avec des mouvement du bassin, agitant avec vigueur leurs pubis en direction de la salle, et lançant des baisers avec leur doigts vers l’assistance, qui applaudit avec chaleur.
Nous ne prêtons pas attention aux serveurs qui débarrassent nos assiettes et nous servent le dessert.
Alors que la jeune femme adresse ses meilleurs baisers, un des deux garçons, le plus jeune, fait glisser sur ses hanches le string léger: la voici en tenue d’Eve, chatte épilée bien sûr. Prétendant être mécontente, elle le gifle, tandis que la salle éclate de rire. Elle a abandonné le string au sol, penchée elle abaisse celui de son "tourmenteur". Un beau pénis bandé jailli à la lumière, lui aussi est entièrement épilé. A chaque fois je me demande s’ils prennent du Viagra, tant l’érection est forte et bien à propos. Pascale, penchée en avant, ne perd rien de la scène, une moue appréciatrice sur les lèvres..
Le second, le moustachu, qui se frotte toujours sur les fesses de la fille inclinée en avant, fait glisser d’un seul geste son propre string pour dévoiler des attributs, eux-aussi érigés droit au midi. Doté comme un étalon, il possède une tige longue et épaisse garnie d’un gland violacé turgescent du plus bel aloi. Un murmure parcourt la salle à sa vue. Pascale est comme fascinée. Une femme du fond crie: "Bravo!"
D’autres voix suivent. Un sifflet d’amiration retentit, je m’aperçois que c’est Pascale qui les deux doigts entre les lèvres siffle de toute ses forces. Le danseur, flatté lui lance un baiser avec ses doigts. Elle reste ébahie et lui, goguenard, la verge flamboyante à un mètre d’elle, la scrute en ricannant en mimant un coit. Ses testicules balottent, la verge bien droite, fait mine de pénétrer un sexe dont on comprend bien, au vu de sa vigueur, que chaque femme présente rêve d’être le sien. Il lui lance son string avec adresse: Pascale le reçoit dans les mains. Toute la salle est hilare, siffle et applaudit. La poitrine de Pascale se soulève rapidement, la bouche entrouverte, ses tétons pointent sous le tissu, ses joues sont si rouges, que je peux le voir dans la faible lumière. Elle se tourne vers moi et sourit avec un air béat.
La fille suce l’autre garçon qui, debout cambré, les yeux fermés, semble apprécier. Elle a trouvé des préservatifs et en déroule sur sa queue. L’autre, le gaillard s’applique sur son dos, ses fesses et fait mine de la pénétrer. Elle se retourne et prestement lui passe une capote rose, puis en se déchachant elle s’allonge sur la couche, cuisses écartées, un doigt dans la bouche.
Pascale figée contemple en silence, trempant ses lévres dans sa coupe. Quand elle finit de boire, sa langue vient passer sur les lèvres avec gourmandise. J’ai peu de doutes sur son excitation. Ma main est revenue à son entre-jambe depuis un moment et sa mouille enduit mes doigts inquisiteurs. Par moment elle donne une ou deux secousse du bassin, serrant sa chatte et ses cuisses sur ceux-ci.
Nous avons avalé la mousse au chocolat et reprenons du champagne.
La suite est un peu téléguidée, les deux gars, prenant la fille à tour de rôle tandis qu’elle masturbe celui qui attend son tour en gémissant. Tous les trois connaissent la musique, font durer le plaisir de l’audience, varient les positions, pendant de longs moments. Pour finir elle se fait prendre en levrette pendant qu’elle suce le plus jeune lequel lui pince les seins. Elle cesse soudain, semblant jouir sous les coups de boutoir elle rejette la tête en arrière en gémissant, tandis que le satyre qui la transperce, poursuit avec des hans de bûcheron. elle s’affale en avant sous son poids. Lui, se retire alors, la verge toujours érigée, de profil à genoux derrière elle.
Le "mousquetaire" se relève et se tourne vers la salle. Les applaudissement fusent. Il savoure pendant un instant. Pascale applaudit à tout rompre. Il tourne vers la droite son instrument triomphal, puis revient droit vers notre table et là, tout proche, nous surplombant sans vergogne de sa virilité insatisfaite, il demande: "Qui m’aidera à finir? Une volontaire?"
La salle trépigne, siffle, encourage …
Et lui, à Pascale: "Toi! Comment t’appelles-tu?
— … P… P … Pascale …" Balbutie-t-elle "Moi c’est Karl! Viens! Monte!" Le public l’encourrage:
"Vas-y, Pascale! Vas-y, Pascale! Vas-y! !"
"Vas-y, Pascale! Vas-y, Pascale! Vas-y! !"
Elle me jette un regard éperdu. Je fais oui de la tête, excité et curieux de voir ce qui va arriver. D’un coup elle se lève et saisit la main tendue, sa robe très relevée dévoile à tous l’arrière de ses longues cuisses et cache mal la naissance de ses fesses tandis qu’elle enjambe l’estrade et se retrouve au coeur du spectacle. L’espace d’un instant je crois même voir sa chatte.
L’enthousiasme est à son comble, cris et sifflets, applaudissements sont assourdissants. Le cavalier de Pascale lève les deux mains, réclame le silence, qui se fait haletant. Toujours bandant il s’approche d’elle et la saisit à bras le corps, colle à elle sa virilité exigeante et l’embrasse pleine bouche. Il fait durer le palot, elle le reçoit les yeux fermés, collée à lui, je ressens un pincement au coeur, mais en même temps je bande. Puis laissant sa bouche il lui parle à l’oreille, elle acquiesce de la tête. Sa main se dirige entre eux saisit la bite dressée, toujours couverte de sa capote, et entame une masturbation. Il lui parle encore, elle accélère le mouvement. La salle silencieuse apprécie la surprise. Elle s’essaye à aller plus vite, il la regarde fait non de la tête et lui dit à voix haute: "Suce, suce-la"! Elle hésite … continue de le branler, et lui insite: "Suce-la, Pascale, suce -la, fais moi gicler"! Elle cède et devant tout le monde se met à genoux devant le chibre, retire la capote, ferme les yeux, ouvre la bouche et doucement pose ses lèvres en corolle sur le gland boursouflé. Elle léchouille et le suce en s’appliquant, une minute avec des mouvements arrondis de la tête et du cou. Ils sont à moins d’un mètre de moi de profil, lui coté droit, elle coté gauche, les fesses tournées vers l’assistance.
C’est surréaliste, je les vois à moins d’un mètre légèrement au-dessus de moi. Elle a du mal à l’emboucher, mais je vois ses lèvres qui l’englobent, puis l’avalent puis coulissent enfin sur la hampe. L’homme ferme les yeux, goûte au plaisir qu’elle lui procure. Il tient sa tête à deux mains, je ne vois que son menton et sq bouche sur la bite.
Les deux autres inoccupés regardent. Le jeune homme demi-bandé, en profite pour venir derrière Pascale et relève sa robe à la taille dévoilant ses fesses aux yeux de tous. Il mime ensuite une pénétration, mais elle est assise sur ses talons, et il ne peut y arriver. Il se contente de lui caresser les fesses et de glisser sa main entre elles, il reste ainsi agitant son poignet en rythme, j’ignore ce qu’il lui fait. Elle concentrée, continue d’aspirer l’autre et enfourne la plus grande longueur possible jusqu’au fond de sa gorge. Puis elle commence des allées et venues, replongeant rapidement vers le pubis, elle lui soutire de gémissements de bonheur.
Elle y va franchement, la salle se met à l’applaudir et elle se déchaine, faisant des bruits d’aspiration, glissant et dansant littéralement avec sa bouche sur le mât de cocagne, elle arrive au bout d’un long moment, à vaincre son amant qui se décharge en laissant échapper une sorte de sanglot. Il lui tient toujours la tête à deux mains.
La salle est debout crie et frappe des mains sans arrêt. Pascale très digne avale tout, puis avec une sorte de tendresse lèche et nettoie soigneusement la verge qui se détend. Elle gobe les testicules rasés. Il se retire en lui jettant un: "Tu es vraiment bonne". Comme elle se relève, repousse la main du jeune toujours entre ses fesses, redescent sa robe et fait mine de redescendre vers moi, il la prend par la taille l’embrasse à pleine bouche, goulûment, lui masse les fesses à deux mains et lui dit assez fort pour qu’on entende: "Quel cul! Faut que je le baise, rejoins-moi en coulisses"! Elle saute à pieds joints, ses talons à la main et revient à notre table. Un serveur nous apporte une troisième bouteille de champagne: "Avec les compliments de la maison messieurs-dames"!
Cela fait quelques minutes, la lumière est revenue, nous buvons en silence ma main sur sa cuisse. Les couples dansent sur la petite piste devant l’estrade et l’alcove. On échange des sourire, je la bécote dans le cou, sur les joues. Je presse son entrejambe, ses cuisses restent serrées, elle est un peu lointaine. je lui demande:
"Tu vas bien?
— Oh oui bien, très bien.
— A quoi penses-tu?
— A rien.
— Tu es fatiguée?
— Un peu.
— Tu veut rentrer?
– Non pas tout de suite
— Tu es belle, j’ai envie de toi …
— Moi aussi j’ai envie … de faire l’amour …".