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"Il venait d'avoir Dix-huit ans…" – Chapitre 10




— Dis maman, tu aimes les blondes ?

Fabrice avait profité d’un petit moment calme avec sa mère, pour la mettre à l’épreuve, et tenter de la convaincre pour le scénario, que son copain Raphaël, avait imaginé…

— Non, tu sais très bien que l’alcool et moi ça fait deux, alors la bière ! En plus ça fait grossir !

— Mais tu sais bien maman que tu n’es pas grosse, juste un peu gironde et cela te va très bien d’ailleurs ! (Fabrice s’est rapproché de sa mère, et lui fait un gros câlin, comme quand il était plus jeune…) ce n’est pas de cela dont je voulais parler !

— Tu es gentil mon amour ! Mais alors de quoi ? Tu sais très bien que je ne fume pas non plus !

— NON ! Je voulais parler de femmes ! Alors tu aimes les blondes ?!

Interloquée, la mère de Fabrice, Josiane regarde son fils, qui a un rictus très hideux sur le visage. Elle ne comprend pas ce qu’il veut dire, ou plutôt, une idée impossible, mais qui commence à lui tenailler le ventre, se forme dans son esprit. Son fils ne pourrait quand même pas savoir pour …

Elle balaie cette intuition d’un revers de main, mais une sueur froide commence à s’écouler le long de sa colonne vertébrale. D’autant plus que le comportement de son fils est de plus en plus bizarre. Ce qu’elle prenait pour de l’affection, d’un fils envers sa mère, commence à ressembler à autre chose ! En effet son fils est toujours plaqué contre elle, dans une étreinte "maternelle", néanmoins l’une des mains de son fils s’est dangereusement rapprochée de son sein droit et se met à l’enserrer. Josiane sent cette main qui possède son sein et se recule.

— Mais qu’est-ce qui t’arrive, bon sang ? Je ne comprends pas ta question, elle est odieuse !

— Ah bon ? Pourtant, cela ne te paraissait pas aussi odieux quand tu as bouffé la chatte rousse de notre voisine, Madame Lamy !

Son regard inquisiteur se fait plus dur, quand il voit sa mère bafouiller des explications inintelligibles, s’écrouler sur le sofa, et ses yeux se brouiller.

— Mon Dieu, tu sais ? Comment est-ce possible ?

— Oh, rien de plus facile. Hier, je me suis planqué dans la grande armoire de votre chambre à coucher, à papa et à toi. Juste avant 15h00, pour être exact. Et putain, ce que j’ai vu m’a trop fait bander ! J’ai été obligé de me branler. Tu n’as pas remarqué la tache de sperme sur le sol ? Le spectacle ! Putain, quand tu lui as déboutonné sa longue robe, et qu’elle est apparue en porte-jarretelles avec ses seins qui pointaient, et sa belle touffe roux acajou ! Et que tu t’es agenouillée pour mettre ton visage dans sa chatte ! Putain comme j’aurais aimé être à ta place, et lui bouffer aussi la chatte, à cette salope !

— Comment cela ? Je pensais que tu étais encore puceau ? Je ne t’ai jamais vu avec une fille, et même ton père m’a souvent demandé si tu n’étais pas, heu…"inverti" ! (Josiane, alors transie de honte face à la découverte de son fils, quant à sa liaison avec la voisine, fulmine quand elle comprend que son fils chéri, qui devait n’avoir aucun secret pour elle, a lui même une liaison avec une fille !)

— Ah ! Mon père pense cela de moi, je vais lui prouver le contraire bientôt ! Ah, au fait, c’est ma prof de physique qui m’a dépucelé, devant son mari !

— Attends, tu peux répéter, j’ai pas bien compris !? Tu as fait quoi avec cette salope ?! Et devant son mari ?! C’est quoi ce couple de libidineux ! Je pensais qu’ils étaient religieux jusqu’au bout des ongles ?

— Ben non, tu te trompes ! Elle m’a dépucelé et depuis on n’arrête pas de baiser ensemble ! Putain de bon coup cette gonzesse ! Et en plus, le mari filme tout, et nous prend en photos, il y a de super K7 vidéos où on me voit en train de baiser la femme du proviseur, il n’y a pas que moi d’ailleurs, qui la baise ! Ah, un autre truc, leur fils Raphaël, mon meilleur copain est au courant de ta liaison "honteuse", c’est lui qui m’a tout expliqué, il vous a vus, il y a quelque temps !

Devant toutes ces révélations, Josiane n’a plus envie de pleurer, mais elle est très proche d’une rage folle ! D’abord parce que Raphaël a trahi le petit secret qu’elle avait avec sa voisine de palier, la trésorière, Jocelyne Lamy. Mais qu’en plus, il en a parlé à son fils et que celui-ci a tout vu. Elle lui en veut beaucoup pour cela. Tout marchait si bien. Josiane pouvait profiter d’une relation très épanouissante et sexuellement très riche, en toute quiétude et sérénité ! Maintenant tout cela est fini.

Mais en plus, elle en veut à mort à Anne, la si prude, la si "donneuse de leçons de morale" femme du proviseur ! Mais quelle hypocrite celle-là ! Elle n’avait pas le droit de prendre la virginité de son fils chéri, cette salope, cette pute lubrique ! Et en plus devant son mari. Mais quel couple de détraqués !

Il faut qu’elle se venge, qu’elle humilie cette salope d’Anne, et puis elle est pas mal la garce, blonde cheveux courts, comme elle les aime…

Quel goût peut bien avoir sa petite chatte ? Après tout, si son fils chéri y a goûté, pourquoi pas elle ?

Josiane ne perdait pas le nord, elle propose tout de suite un deal à son fils, pour sauver sa réputation et son mariage, et au moins prendre une revanche sur sa rivale. Elle joue les mères humiliées et furibondes.

— Elle n’avait pas le droit !

— Quoi ?

— Elle n’avait pas le droit, ta salope de prof, cette putain de grenouille de bénitier, de te déniaiser ! Tu te rends compte, elle a mon âge ! C’est comme si, moi, je couchais avec toi ! Et que dirait-elle si je lui rendais la pareille ? Si je dépucelais son petit Raphaël ? Tu crois que je pourrais me le faire, qu’il aimerait mes cuisses à la peau si blanche et si douce ? Mes seins si opulents, que tu sembles tellement aimer, maintenant que tu connais les femmes, et ma chatte ? Elle lui plairait ma chatte ? Et toi ? Elle t’a plu ma chatte, maintenant que tu m’as vue à poil, en train de me gamahucher avec cette petite vicieuse de Jocelyne ?

En disant cela, Josiane ne regarde plus son fils de la même façon, elle a le regard brillant, les joues rouges, le souffle court. La tonalité de sa voix a perdu deux octaves, elle parle tout bas, avec une lenteur bien étudiée, en prononçant bien chacun de ses mots. Elle a relevé subrepticement sa jupe noire au-dessus de la lisière de ses bas, et Fabrice peut voir les jarretelles blanches. Puis s’étant assise sur le sofa, elle a placé ses deux mains sous ses seins pour les présenter à son fils, en faisant gonfler leur galbe. Enfin elle a écarté les cuisses autant que le lui permettait sa jupe noire un peu serrée, montrant de ce fait sa culotte blanche à son fils.

Fabrice a compris, sa mère l’aguiche pour acheter son silence, jusqu’où pourrait-elle aller ? Fabrice sent une boule dans son estomac, il se rend bien compte que sa mère ne se comporte plus comme une mère, mais plutôt comme une femme en manque de sexe ; et qu’elle le considère, lui, comme un homme, partenaire sexuel potentiel. Il n’en revient pas, son meilleur copain avait raison, leurs deux mères sont définitivement de vraies salopes, toutes les deux …

Il semble bien que le plan ourdi par Raphaël commence à fonctionner à plein régime.

Sans aucune honte, sa mère lui propose alors un arrangement à l’amiable. Se trémoussant pour enlever sa culotte sous la jupe noire, et la jeter au visage de son fils, elle lui dit :

— Tiens, tu donneras cela à ton copain. Il comprendra le message. Tu crois qu’il aurait envie de me baiser, devant toi ? Comme sa mère l’a fait avec toi, devant son mari ? Cela pourrait être excitant non ? Tu vois, je commence à mouiller , tu veux vérifier ?

Et d’un seul coup, relevant sa jupe étroite au-dessus de son porte-jarretelles, Josiane, la mère de Fabrice, écarte toutes grandes ses cuisses, révélant sa fente luisante, en dessous d’une toison de boucles très brunes …

Assis sur sa chaise, comme pétrifié, le jeune homme a du mal à saisir la scène qui se passe devant lui. Sa mère qui s’exhibe sans aucune pudeur, son sexe grand ouvert et bien lubrifié. Il sent son slip devenir trop étroit, sa bite commence à lui faire mal, tellement il bande !

Il ne pensait pas cela possible, sa mère qui s’exhibe devant lui, et lui fait une proposition pour le coup encore plus indécente, si c’était possible !

— Viens, baisse ton pantalon et ton slip, je vais te sucer pendant que tu me doigteras la chatte. Ensuite, tu pourras dire à ton copain qu’il pourra me baiser, et me faire tout ce qu’il voudra quand il le voudra. Mais chez lui, dans son salon devant son magnétoscope. Je vous sucerai tous les deux pendant que tu me montreras les exploits de cette salope d’Anne. Je sens que ça va me faire monter au septième ciel. Vous pourrez me faire tout ce que vous voudrez, et comme ça, je me vengerai de sa traînée de mère ! il pour il, dent pour dent !

Ainsi ce jour-là, Fabrice se fit sucer pour la première fois par sa mère, tout en lui doigtant généreusement la chatte. Josiane s’en donna à cur joie pour faire parvenir le jeune homme, son propre fils, au plaisir. A un moment gardant la queue qui pulsait dans sa main, elle le regarda pendant qu’il lui pinçait la pointe de ses seins, et elle lui dit :

— Elle mouille beaucoup ta copine ? J’aimerais vraiment connaître le goût de sa chatte ?!

Sur ce, elle reprit très vite le sexe de son fils dans sa bouche, alors que celui-ci, surpris par la lubricité de la question de sa propre mère, et tous les scénarios que cela augurait pour un avenir pas si lointain, éjacula, se libéra d’un seul coup de toute l’excitation accumulée. Sa mère avala tout, satisfaite d’elle-même.

Fabrice avait gagné ! Raphaël serait content : la soirée s’annonçait très très explosive et bandante !

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