Pour comprendre mon histoire, je retourne 27 ans en arrière. Sarah, ma mère venait davoir douze ans quand pour la première fois elle prit le bus et rentra seule de lécole. De larrêt du bus à son domicile, il y a quelques centaines de mètres, à travers le petit parc communal. Cest à cet endroit, à lombre dun épais fourré quelle subit les outrages dun pervers. Violée, à demi étranglée, elle ne dut la vie quà un petit groupe de gamins qui par leurs bruits mirent en fuite le satyre. Elevée par des parents stricts et rigoureux au point de vue des convenances, il ne fut pas question débruiter la chose et encore moins de porter plainte. Peu de temps après, elle se retrouva enceinte et fut envoyée chez une tante dans le Périgord où elle me mettra au monde 7 mois plus tard.

Ma mère reprit le chemin de lécole et moi je fus confié à la nourrice qui sétait déjà 13 ans plus tôt occupée de ma mère. Les années passèrent, ma mère décrocha son doctorat en médecine et sinstalla à 200 kms de sa ville natale. Pendant toutes ces années détude, ses loisirs métaient consacrés, jamais je ne lai vue en compagnie dun garçon. Pourtant, elle était très belle, un visage dange, entouré de longs cheveux noirs qui retombaient en boucles sur ses jolies épaules, des seins petits mais fermes dont les tétons se dressaient fièrement, des jambes fuselées, surmontées dune paire de fesses rebondies et fermes à souhait. Son pubis était recouvert dun fin duvet noir taillé en triangle, et les grandes lèvres de son sexe ornaient parfaitement lentrée de son vagin.

Si je décris si bien son corps, cest que nous ne nous étions jamais caché lun de lautre. Jétais son fils, cétait ma mère.

Dès que son déménagement fut terminé, elle vint me chercher et nous habitâmes ensemble. Javais 16 ans, ma mère 29, cest à cette époque que mes sentiments changèrent du tout au tout. Je me mis à lépier dans la salle de bain, dans sa chambre, jentrais en érection en pensant à elle, jétais jaloux des hommes avec qui elle parlait, jétais inquiet de ses retards, jétais amoureux.

Un samedi soir, devant la télé, j’ai voulu en savoir plus, sur sa vie de femme et après plusieurs hésitations je me lançais.

« Dis maman tu nas jamais eu dhomme dans ta vie ? »

Elle hésita puis me répondit :

« Ecoute mon chéri, lhomme de ma vie, cest toi. Tu sais ce qui mest arrivé, ta grand-mère ten a parlé. Depuis lors, jai toujours évité le contact des hommes. Il ny a que toi qui peux me toucher sans que jen ressente du dégoût. »

Levant la tête, je vis les larmes couler sur ses joues. Je la pris dans mes bras pour la serrer contre moi, et lui déposer des petits baisers sur ses joues, son nez, ses yeux. Elle rejeta la tête en arrière en souriant et quand son visage revint vers moi, je ne pus mempêcher de lembrasser sur la bouche. Pendant quelques secondes, nous restâmes les lèvres soudées, sa bouche sétait entrouverte et ma langue tentait dy pénétrer. Elle me repoussa et furieuse me dit :

« Enfin Michel, quest ce qui te prend, tu deviens fou. Je ne suis pas une de tes copines, je suis ta mère ! »

« Oui, je suis fou, fou de toi, je nai jamais eu de copine car je suis amoureux de toi. Il ny a que toi qui mintéresse, je ten prie, ne me repousse pas. »

Ma mère se leva, les mains sur les oreilles et se sauva dans sa chambre où elle senferma. Monté également dans ma chambre, étendu sur mon lit, je lentendis longtemps sangloter. Le lendemain matin, je descendis tout penaud et la trouvais dans la cuisine. Mon déjeuner était prêt, je lui dis bonjour et massis à la table.

« Je nai pas droit à un baiser ce matin ? »

« Excuse-moi maman. » Elle me donna sa joue et je lembrassais tendrement.

Pendant plusieurs mois, je rentrais de lécole et je menfermais dans ma chambre. Plusieurs fois par semaine, je me masturbais en pensant à maman. Je pensais de plus en plus à elle, je la voyais dans mes bras, mes mains lui caressant son corps, mes doigts titillant ses tétons ou ségarant sur son pubis, jouant avec son sexe. Je ne pouvais plus la voir que dans mes souvenirs car depuis que je lavais embrassée, elle fermait systématiquement la porte de la salle de bain ou de sa chambre quand elle sy trouvait.

Les grandes vacances approchaient, un soir maman me dit ;

« Jai réservé pour la Martinique, à nous la mer et la plage privée de lhôtel, quen dis-tu ? »

« Pas pour moi, je vais retourner vivre chez papy et mamy, et à la rentrée, je terminerais mon secondaire dans mon ancien collège. »

« Mais pourquoi, on nest pas bien tous les deux, tu vas me laisser toute seule, que tai-je fait ? »

« Oh tu sais, depuis le soir du fameux baiser, tu es devenue distante, je ne peux plus le supporter, jai trop mal, il faut que je méloigne de toi. »

« Je ten prie Michel, ne fait pas cela, je nai que toi. »

« Si je reste maman, je vais devenir dingue, chaque fois que tu es dans la même pièce que moi, jai envie de te serrer dans mes bras, jai envie de tembrasser amoureusement, jai envie de caresser ton corps, jai envie que tu mappartiennes. »

Maman me regarda avec un visage si triste que je ne pus résister. Voyant les larmes couler doucement sur son si joli visage, je fis marche arrière.

« Daccord maman nous irons en vacance tous les deux, mais après je partirais. »

Les vacances furent pénibles, de la voir en bikini sur la plage où à la piscine de lhôtel ne fit quaugmenter mon calvaire. Elle essayait dêtre gentille et attentionnée, mais dès que je mapprochais un peu trop delle où que je posais ma main sur son bras ou sur son épaule, je la sentais tressaillir et aussitôt, elle trouvait un prétexte pour séloigner de moi. Cest avec soulagement que je vis arriver la fin des vacances et que nous rentrâmes chez nous.

Une fois rentré, j’ai agi, je dois lavouer, avec lâcheté. Je lui écrivis une longue lettre dans laquelle je lui décrivais lamour que javais pour elle, la douleur que javais ressentie pendant les longues vacances que nous avions passées ensemble, vacances pendant lesquelles elle avait pris ses distances au point de me repousser, lorsque je mapprochais delle. Par frustration plus que par méchanceté, je lui écrivis que je comprenais quelle repousse un enfant, que somme toute elle navait jamais désiré, et qui avait gâché sa vie au point, quelle haïsse les hommes, son fils y compris.

Je posais la lettre sur la table de ma chambre, javais préparé un sac et une grosse valise et dès quelle se retira dans sa chambre, je descendis sans bruit et partis vers la gare sans un au revoir, sans me retourner. Je sentis les larmes me monter aux yeux, je profitais dun endroit plus sombre pour me laisser aller à mon chagrin, davoir laissé lêtre que jaimais le plus au monde.

Jarrivais vers minuit chez mes grands parents, Étonnés de mon arrivée tardive et imprévue, ils me posèrent mille questions, auxquelles je répondis évasivement. Je leur dis cependant que maman, prise par son boulot, nétait jamais là et que je me sentais, plus comme un meuble dans la maison, que comme son fils.

Tout heureux de retrouver leur petit fils, sans autre question, ils minstallèrent dans mon ancienne chambre et firent ce que tout grands parents doivent certainement faire, ils furent immédiatement aux petits soins et à lécoute du moindre de mes besoins.

Le lendemain matin, vers 9 heures, le téléphone sonna, cétait maman, ma grand-mère confirma que jétais bien arrivé et me tendit le téléphone.

« Bonjour maman. »

« Bonjour mon ange, jai lu ta lettre, je dois te dire que tu es lêtre que jaime le plus au monde, jamais je nai regretté ta naissance et tu nes pour rien dans mon état desprit vis-à-vis des hommes. »

Elle marqua un temps darrêt puis, la voix entrecoupée de sanglots, elle me dit que javais bien fait de partir, quelle comprenait mon désarroi et que loin delle, je pourrais vivre normalement, avoir des copains, une petite amie. Tu verras mon chéri, tu oublieras ton amour incestueux et qui sait plus tard, tu pourras me donner lamour maternel qui est en toi.

« Je tembrasse très fort, à bientôt mon ange. »

Je raccrochais sans un mot ni un au revoir, je remontais dans ma chambre et éclatais en sanglots.

En septembre, je rentrais dans mon ancien collège. Pendant deux ans je poursuivis mes études secondaires et les terminais avec fruits. Je métais investi complètement dans mes études, je ne sortais pas, je ne fréquentais pas les filles de mon âge, je vivais en retrait des autres. Mon corps athlétique bien musclé par le sport et ma taille imposante (192cm) me protégea. Pendant ces deux années, je ne revis pas ma mère, quand elle téléphonait, je marrangeais pour ne pas lui répondre et aux vacances scolaires, je métais inscrit dans les plaines de jeux où les colonies de vacances pour surveiller les enfants. Le temps passa, à force dignorer ses appels, elle ne se manifesta plus, je rentrais à luniversité pour marcher sur ses traces et fis médecine. Cest six ans plus tard, pendant mon internat, que je revis ma mère.

En entrant dans une chambre, jai eu du mal à reconnaître dans cette personne allongée sur le lit la femme si belle, quétait ma mère. Elle avait les traits tirés, des cernes très marqués sous les yeux, la peau parcourue de griffures, des traces de piqûres dans le creux des bras. Elle était attachée par les poignets et une sangle entourant son ventre la maintenait fixée au lit. Le responsable des internes nous expliqua quil sagissait dune femme découverte inanimée dans la rue, sans pièce didentité, droguée et avec un taux dalcoolémie très important. Elle ne parlait à personne et avait été attachée car elle était très difficile.

« Qui veut soccuper de cette patiente ? »

« Moi ! » A ce simple mot, tous les regards se tournèrent dans ma direction. Je mapprochais du lit et cest alors que la surprise puis la honte se marqua sur le visage de la malade, qui dans un souffle, dit : « Oh Michel, mon Michel » avant de perdre connaissance.

Après plusieurs minutes de soins, elle revint à elle et son regard balaya la pièce à ma recherche. Elle resta les yeux fixés sur moi et des larmes coulèrent sur ses joues.

« Vous connaissez cette personne Monsieur R. »

« Oui docteur, cest ma mère. »

« Ah très bien, laissons les Mesdames et Messieurs. Monsieur R., cest votre patiente maintenant. »

Resté seul, je détachais ma mère, baissais les protections du lit et la pris dans mes bras. Nous nous serrions très fort et ne pouvions maîtriser nos larmes.

Elle mexpliqua sa déchéance, restée seule et ne pouvant plus me voir, elle sétait réfugiée dans lalcool, puis les médicaments et lalcool et enfin la drogue. Vu son état, elle avait perdu sa clientèle, elle avait vécu pendant un temps avec ses économies puis avait accepté des petits boulots qui lui payaient sa drogue et le peu quelle mangeait. Elle vivait toujours dans son appartement mais sans eau ni électricité et cétait en sortant pour quérir un peu de nourriture et sa dose de drogue quelle sétait effondrée au beau milieu de la rue.

« Quai-je fais, pourquoi tai-je laissé, pourquoi lamour que jai toujours pour toi na-t-il pas suffit à vaincre ta résistance. Pourquoi nas-tu jamais compris que mon amour pour toi était plus fort que tout. Je vais moccuper de toi, je vais te soigner, tu vas te reprendre en main et je vais taider, je vais quitter la cité universitaire et minstaller avec toi. Il me reste un an pour obtenir mon doctorat et ensuite nous partirons tous les deux, nous nous installerons ailleurs et ouvrirons un cabinet ensemble. »

Les premiers temps de sevrage furent particulièrement pénibles et je pus heureusement compter sur laide de trois autres internes. Nous nous relayions pour quelle ne soit jamais seule. Après plusieurs mois, elle fut sortie daffaire, elle recommença à soccuper delle. Javais demandé une importante somme dargent à mes grands parents sous prétexte dachat de matériel médical pour mon futur cabinet, et cet argent servit à remettre ma mère sur ses pieds.

Elle était redevenue la femme que javais laissée huit ans plus tôt, elle avait repris un travail dans un dispensaire et je finissais mon internat.

Le jour de la remise des diplômes, elle maccompagna et après la cérémonie, elle voulut partir pour, selon elle, me laissait fêter lévènement avec les copains. Je la pris par le bras, me dirigeais vers la sortie et hélais un taxi. Je montais à côté delle et vu son étonnement je lui dis :

« Ce soir cest la fête, mais je ne la conçois quavec toi, tu sais que je taime, que je tai toujours aimé, mes sentiments pour toi nont pas changé. »

Je lui pris les mains, elle tremblait, japprochais mes lèvres des siennes, elle ne se déroba pas et enfin je pus lembrasser tendrement, amoureusement, sa bouche sentrouvrit et nos langues se caressèrent. Elle répondit à mon baiser et se blottit dans mes bras.

« Tu as gagné, je ne veux plus me battre, jai été trop malheureuse sans toi et je taime autant que tu maimes. Quallons- nous devenir ? »

« Tout dabord, je temmène dans un des plus chic restaurant de la ville, ensuite nous irons.. non, cest une surprise, mais maintenant je veux une chose. »

« Ah oui, quoi ? »

« Que tu membrasses, que toi tu membrasses. »

Elle hésita un peu puis sa main se posa dans ma nuque et doucement ses lèvres vinrent se coller sur les miennes, sa langue pénétra timidement ma bouche, je glissais la main sous son chemisier et caressais son dos de sa taille jusquà ses omoplates. Une chaleur intense envahi mon corps et mon sexe commença à se sentir à létroit.

Nous étions arrivé, nous prîmes notre repas les yeux dans les yeux, nos mains timidement se touchaient, nous étions seuls au monde. Une fois terminé, je lemmenais dans un night club où nous prîmes une coupe de champagne et où je pus la tenir dans mes bras sur la piste de danse. Pendant un slow, serrée contre moi, je me mis à bander, mon sexe durci pressait contre sa cuisse, elle me regarda et je vis la gène empourprer son visage. Je me rendis compte alors que malgré son diplôme de médecin, malgré son âge, elle réagissait comme une jeune fille qui tombe amoureuse pour la première fois. Jen étais ému et je comprenais encore mieux ses réticences à mon égard, et la souffrance qui avait dû lhabiter depuis tant dannée, elle qui vivait avec ce manque damour passion depuis plus de 25 ans.

Vers deux heures du matin nous rentrâmes à lappartement, une fois dans le salon, tous deux intimidés, nous ne savions quelle attitude prendre.

« Jai passé une merveilleuse soirée, merci mon chéri, je vais me coucher maintenant, bonne nuit. »

« Attends maman, prenons un dernier verre avant de nous coucher ! Tu veux bien ? »

Elle opina de la tête et sassit dans le divan. Je lui servis un verre de porto et pris un verre de whisky pour me donner du courage.

Je vins masseoir à côté delle et lui pris la main.

« A ta santé maman chérie, à toi mon amour »

« A toi chéri »

Nous bûmes notre verre puis elle se leva, membrassa sur les lèvres et rougissante se dirigea vers sa chambre. Après un moment dhésitation je la suivis, elle était debout au milieu de la chambre, immobile, me tournant le dos. Japprochais et me collais contre elle, mes mains se posèrent sur sa poitrine, elle tressaillit, lentement je déboutonnais le chemisier puis je défis son soutien gorge et glissais les mains dessous, prenant pour la première fois ses seins, dont les tétons commencèrent à durcir entre mes doigts. Lentement, je caressais ce corps qui sétait pendant si longtemps refusé à moi, une main sur ses seins, lautre main défit le fermoir de sa jupe, celle-ci tomba à ses pieds et je pus me glisser dans son slip ou encore hésitant je me contentais de caresser son pubis. Nous restâmes un très long moment collé lun contre lautre, je lui avais enlevé son chemisier et son soutien gorge et je continuais à la caresser, passant sur ses flans, pétrissant la base de ses seins, pinçant entre deux doigts ses tétons dressés fièrement. Je sentis son corps sabandonner à mes caresses et pour la première fois jentendis ma mère soupirer de plaisir. Elle se retourna, le bras replié sur sa poitrine, me regarda et me dit ;

« Jai peur, je ne sais pas si je pourrais te donner ce que tu désires, ne vas-tu pas me considérer comme une mère dénaturée si je me donne à toi. »

Sans un mot, je la repris dans mes bras, je lembrassais sur les yeux, le nez, la bouche. Je la pris par la main et la fis sétendre sur le lit. En quelques secondes je fus en slip à côté delle.

« Je sais que tu pourras me rendre heureux et je vais te donner ce que toutes les femmes ont le droit de demander à la vie, le bonheur, la joie dêtre aimée, le plaisir charnel, tout mon amour. »

Je lembrassais à nouveau, ma main caressait ses seins, ma bouche descendit lentement sur son corps et vint prendre le téton déjà dressé. Je me mis à le sucer doucement en le titillant du bout de la langue pendant que ma main descendait sur son pubis. Je forçais un peu et un doigt se posa sur son clitoris. Frottant lentement, elle écarta doucement les jambes me permettant de prendre son petit minou à pleine main. Jentendis maman gémir doucement, sabandonnant enfin à mes caresses. Elle se mit à me caresser le dos, je glissais entre ses cuisses, lui enlevais sa culotte et comme je lavais vu sur des sites pornos, ma bouche se posa sur son sexe, ma langue sinsinua entre ses lèvres et je pus goûter enfin à son doux élixir. Je la sentis tressaillir, son bassin se mit à bouger, sa main se posa sur ma tête et la poussa contre son vagin. Son clitoris était dressé comme une petite verge, je le pris en bouche pendant quavec deux doigts je mintroduisais dans son puits damour.

Ma mère poussa un petit cri de douleur, elle était très étroite, avec le temps, elle était pratiquement redevenue une jeune fille, jattendis quelques instants en bougeant lentement les doigts. Elle commença à mouiller plus abondamment et je pus alors augmenter le va et vient de mes doigts. Elle se mit à gémir de plus en plus fort puis se mis à parler,

« Oh ouiiiii ! Cest bon mon ange, continue, ouiiiiiii !, ça fait drôle dans mon ventre, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! »

Elle se détendit, ses bras reposèrent de chaque côté de son corps, ses yeux encore un peu dans le vague cherchaient à retrouver la réalité du moment. Je compris alors que javais fait jouir ma mère pour la première fois. Un sentiment damour immense envahit mon esprit, je mallongeais à côté delle et caressais ce corps qui maintenant mappartenait. Petit à petit, maman refit surface, elle se tourna et vint se blottir de dos contre moi. Mon sexe bandé à lextrême, vint se loger entre ses fesses, je lempoignais et le frottant doucement de lanus au clitoris, je lenduisis de ses sécrétions puis le présentais à lentrée de son vagin pour dune petite poussée y introduire le gland turgescent. Ma mère poussa de nouveau un cri mais différent du premier, il révélait tout le plaisir quelle ressentait. Ny tenant plus, je poussais plus fort et entrais entièrement, butant au plus profond de son sexe. Je restais plus de deux minutes sans bouger et cest alors que maman se mis à faire des mouvements du bassin de plus en plus rapide, sempalant avec force sur mon sexe qui ne pouvant plus résister se mit à envoyer au plus profond de ses entrailles plusieurs giclées de sperme. En sentant ma semence tapisser les parois de son vagin, ma mère se mit à trembler de la tête au pied, son cri devint un hurlement et son corps fut envahi par une onde de plaisir tellement intense quelle se laissa aller pour la première fois.

« Ohhhh !, quest ce que tu mas fait, jai jouis comme une folle, jamais je naurais cru cela possible. Je taime mon amour, je suis à toi et tant pis pour la morale, jai trop besoin de ton amour. »

Jétais aux anges, ma mère était à moi, ce que javais imaginé dans mes rêves les plus fous était devenu réalité, je me rendis compte que je l’ aimais encore plus et que je ne pourrais plus imaginer vivre loin delle.

Le lendemain matin, en me réveillant, je me dressais dans le lit et tournant la tête, je la vis, encore endormie, entièrement nue, dune beauté à couper le souffle, je navais pas rêvé, javais possédé cette femme et une vague de bonheur avait envahi mon esprit. Je me levais doucement et descendis dans la cuisine où je mis le percolateur en route. Vêtu simplement dun training, je me mis à courir à la boulangerie toute proche où je pris des croissants, des petits pains au chocolat, une tarte aux fruits. Revenu à la maison, jattendis son réveil. Cest une heure plus tard quelle passa la tête dans la cuisine, une certaine gène marquait son joli visage, elle sétait malgré la chaleur ambiante, emmitouflée dans un long peignoir de bain, qui me cachait ses formes harmonieuses. Je me levais, mapprochais delle et la prenant par le menton, je déposais un long baiser sur ses lèvres pulpeuses.

« Bonjour maman. Bien dormi ? »

Son visage sempourpra et en baissant la tête, elle me répondit dune façon qui dénotait à la fois le plaisir et la honte :

« Oh oui trésor très bien, merci. »

Je posais mes mains sur ses joues et relevais sa tête, lembrassant de nouveau, je la sentis tressaillir et répondre à mon baiser. Mes mains glissèrent sur son cou, passèrent sous le peignoir et glissant sur ses épaules dénudèrent son torse. Ses seins se dressaient fièrement et ses tétons pointaient, se faisant fis de son émoi. Je défis la ceinture du peignoir et enlevais complètement celui-ci.

Michel, je ten prie, çà me gène, laisse moi passer quelque chose.

Non maman, assieds toi, nous allons déjeuner en amoureux, tu es trop belle pour te cacher, je veux te regarder, tadmirer, je veux pouvoir te caresser partout et jespère quil en sera de même pour toi. Plus de tabou, je veux que tu me voies comme ton amant, plus comme ton fils.

Les jours passèrent, maman sétait libérée, elle resplendissait de bonheur, elle venait elle-même membrasser, elle me caressait le sexe, elle riait, cétait le bonheur.

Je la surpris un soir sur mon ordinateur, visionnant un film x dans lequel on voyait des fellations, de la sodomie, lutilisation de différents jouets. Elle me regarda, se mit à genou devant moi, baissa mon boxer et sans aucune hésitation prit mon sexe en bouche. Elle avait bien appris car ce fut pour moi un moment de pure extase, mon sexe disparaissait presquentièrement, buttant au fond de sa gorge dans un gargouillis de salive qui coulait sur son menton et tachait son teeshirt, à la hauteur des seins. Je ne mis pas longtemps à jouir, je pensais me retirer mais lenvie de décharger dans sa bouche fut la plus forte et alors que mon gland touchait le fond de sa gorge, jenvoyais plusieurs jets de sperme bien chaud. Maman marqua un moment de surprise puis je la vis déglutir. Un sourire apparu sur ses lèvres où un peu de ma liqueur perlait.

« Cétait très bon mon chéri, je ny avais jamais gouté mais jaime. »

Elle reprit mon sexe en bouche et recueillit les dernières gouttes.

A partir de ce jour là, nous commençâmes vraiment notre vie de couple homme/femme et non plus mère/fils. Totalement libérée, elle chercha tous les moyens pour nous réunir dans des relations sexuelles intenses. Sa lingerie changea, elle shabilla plus jeune et beaucoup plus sexy, nhésitant plus à faire admirer ses jolies jambes en portant des jupes beaucoup plus courtes ou ses magnifiques seins, en les laissant apparaître sous des décolletés plongeant.

Nous étions heureux, maman était devenue insatiable, elle voulait maintenant rattraper tout le temps quelle avait perdu, elle voulait tout connaître de lamour. Sur mes conseils, via internet, elle commanda plusieurs jouets, un gode, un plug, du lubrifiant, des boules de geisha et un petit vibro. Le jour de la réception du colis, elle hésita puis ouvrit le paquet et étala les objets sur la table basse du salon. Assise dans un des fauteuil elle sempara du gode et en le manipulant je la vis se frotter les cuisses lune contre lautre.

« Tu as envie de lessayer ? »

« Je nose pas, ça me gène surtout devant toi. »

« Tu sais maman, nous sommes pratiquement toujours ensemble que ce soit ici ou au cabinet, alors jaimerais bien que tu ne les utilises que quand nous sommes ensembles. Te voir te masturber sera nouveau pour moi et je dois te lavouer, rien que dy penser mexcite au plus haut point »

Elle me regarda avec un petit sourire, enleva sa culotte, remonta sa jupe jusque sur son ventre, écarta les jambes posant une cuisse sur laccoudoir du fauteuil et glissa deux doigts entre les lèvres de sa chatte qui déjà devenait gluante de ses secrétions. Elle fit plusieurs va et vient à lintérieur de son vagin, commença à gémir et semparant à nouveau du gode, se lenfonça profondément poussant un long cri de jouissance. A la voir ainsi se pistonner, je ne pus mempêcher de sortir mon sexe pour me branler à son rythme. Pendant quelques minutes intenses, nos gémissements emplirent le living. Maman poussa un long cri et tendue comme un arc, se mit à jouir. Elle fut agitée de tremblements, ses yeux se révulsèrent et un peu durine sécoula entre ses fesses déjà remplies de sa mouille. Je ne pus me retenir et poussant un cri de bucheron je soulevais mon tee-shirt et éjaculais sur mon ventre. Maman ayant reprit ses esprits se leva, sagenouilla entre mes cuisses et vint laper mon sperme et nettoyer mon sexe.

« C’à ta plu, je ne tai pas dégoûté ? »

« Non, au contraire jaime te voir te donner du plaisir »

« Cest bien vrai, je peux te demander nimporte quoi alors ? »

« Oui, à part me demander de te partager avec quelquun dautre, tu peux tout me demander. Que veux-tu mon amour ? »

« Eh bien !!!, je voudrais connaître la sodomie, la double pénétration, je voudrais que ce soit toi qui memplisse avec le plug ou les boules de geisha et je ne sais pas si tu las remarqué tout à lheure mais jai dû me retenir duriner quand jai joui et malgré mes efforts jai laissé échapper quelques gouttes aussi si cela ne te dérange pas, jaimerais mettre une alèse et un gros essui éponge pour pouvoir me laisser aller complètement. Ouf !!!, tu vas me trouver vraiment dévergondée ! »

« Non, tu me fais rêver, déshabille-toi et vient moffrir ton joli petit cul pour que je le prépare au plaisir. »

Pliée en deux, les mains écartant ses fesses, elle me présenta son petit illet, je me mis à la lécher et à entrer ma langue dans son anus, après quelques minutes de ce traitement je pris la bouteille de lubrifiant, jen mis sur deux doigts, en fis couler entre ses fesses et doucement menfonçais dans son rectum. Elle poussa dabord un petit cri de douleur puis, lentement, elle souvrit. Je présentais alors mon gland et le fis entrer. De ses mains elle écarta encore plus ses fesses, poussa un énorme soupir et projeta son bassin vers moi sempalant complètement, ses fesses venant buter contre mon pubis. Jamais ma bite navait été aussi bien, serrée dans son rectum je ressentais un immense plaisir et ce plaisir était partagé. Elle se faisait coulisser sur ma hampe, poussant des gémissements de plus en plus sonore, sa main avait repris le gode pour lenfoncer au fond de son vagin. Nous étions debout au milieu du living et nos mouvements du bassin étaient devenus rapides et intenses.

« Je vais jouir Michel, cest trop fort ! »

« Laisse-toi aller complètement, ne te retient pas je ten prie ! »

Elle se retira et me fit coucher sur le sol, le gode au fond du vagin, elle vint sempaler sur mon sexe et alors, par des mouvements du bassin elle nous donna un plaisir fou. Elle se raidit tout à coup et poussant un cri, elle jouit, libérant le contenu de sa vessie qui inonda mon bas ventre. La chaleur de son urine provoqua chez moi une intense jouissance et je déchargeais de puissants jets dans son rectum ce qui provoqua chez elle un nouvel orgasme. Elle sétendit sur moi, mon sexe sortit de son anus et se coucha sur ma cuisse, jétais vidé mais heureux de partager ces moments de bonheur avec la femme que jaimais par-dessus tout. Nous restâmes un long moment couchés lun sur lautre puis elle se redressa et retira le gode tout en faisant la grimace.

« Cest mieux quand on le met que quand on le retire »

« Tu veux que je te le remette ? »

« Non chéri, laisse moi récupérer, je suis vidée. Assieds-toi dans le canapé, jai besoin dun câlin blottie entre tes bras. »

Serrée contre moi, sa main caressait ma poitrine puis tout à coup retomba sur mon sexe et ne bougeât plus. Jécartais légèrement la tête pour la regarder, elle sétait endormie. Je me détendis et profitais de ce moment merveilleux où javais nue contre moi la femme que jaimais le plus au monde.

Ma mère a maintenant quarante trois ans et est toujours aussi ravissante, lamour a provoqué son épanouissement, notre relation est toujours aussi intense, nous nous sommes installés dans une grande ville dAfrique du nord où nous avons ouvert grâce à lhéritage de mes grands-parents un centre médical durgence. Nous pouvons nous aimer librement, son annulaire gauche est orné dun magnifique diamant que je lui ai offert, comme bague de fiançailles et, nous portons tous les deux une alliance, pour marquer notre attachement. Il nous manquait un enfant pour que notre bonheur soit complet et cest maintenant chose faite. Quelques mois après notre installation, on déposa dans le hall du centre médical deux bébés que nous avons après quelques longues démarches, pu adopter.

Hormis les quelques années où nous étions séparés, nous ne regrettons pas ce que nous avons vécu ni ce que nous vivons, je suis heureux, ma femme est heureuse et elle le mérite.

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