Giséle s’ennuyait.
A 64 ans, seule, retraitée, elle n’avait plus beaucoup d’occasions de se délurer.
Elle avait utilisé des sites de rencontre pour de brèves rencontres la plupart du temps sans saveur. Les types la baisaient une ou deux fois à la va vite et puis plus rien.
Elle était là, devant la glace à s’observer. 1M65, 50 kgs, le cheveu gris taillé au carré, elle était « fit » selon le terme à la mode. Un 85B avec des seins en pommes, des hanches fines et un petit cul rebondi sur des jambes savamment entretenues par le jogging qu’elle s’imposait quotidiennement. Elle rêvait de quelque chose d’original, de spécial, qui pourrait lui procurer du plaisir.
Lassée des sites classiques elle surfait maintenant sur des sites pornos et découvrait ainsi sans cesse de nouvelles bizarreries sexuelles. « C’est fou ce que les gens vont imaginer » se surprenait-elle à penser souvent. Voyeuse, elle mettait en scène divers fantasmes mélangeant inconnus, lieux publics et exhibitions pour se masturber régulièrement.
Sa recherche évolua naturellement vers des forums qui traitaient de ces sujets. Elle découvrit ainsi des personnages qui partageaient les mêmes secrets. Parmi eux Walter retint son attention. Il se disait voyeur, cérébral et semblait bien connaître ce milieu où pouvaient se réaliser les rêves les plus secrets. Il écrivait avec détail des endroits et des scènes auxquelles il avait assisté.
Cela plaisait à Gisèle et nourrissait copieusement son goût de fantaisie. Ils devinrent ainsi amis sans se connaître, puis décidèrent de se rencontrer. Walter l’invita au restaurant, c’était un vieillard charmant . Il lui avoua qu’il ne cherchait aucune relation de quelque nature et que son plaisir passait uniquement par les visions qu’il avait de la vie privée d’autrui. Gisèle lui confessa quant à elle son envie de faire vivre quelques uns des fantasmes que sa curiosité lui avait fait découvrir.
« Je connais quelqu’un dont je ne vous ai pas encore parlé qui pourrait peut-être… » il n’alla pas plus loin.
«Dites ! » osa Gisèle en se sentant rougir
« Disons qu’il pourrait sans doute vous aider dans votre démarche…»
C’était assez énigmatique mais finalement cela plut à Gisèle. Elle lui signifia qu’elle souhaitait rencontre la fameuse personne. Ils finirent leur repas et Walter sortit de sa poche une carte de visite qu’il lui glissa dans la main en prenant congé : «Si vous voulez franchir le pas, téléphonez lui de ma part »
Gisèle jeta un regard à la carte « Roger Blanquart, PRIVATE PRODUCTIONS » et un numéro de téléphone. C’était tout. Gisèle rangea la carte et rentra chez elle. curieuse, elle rechercha sur internet et ne trouva rien.
Le lendemain matin elle retrouva la carte et, toujours fortement intriguée, composa le numéro et tomba sur le répondeur. Elle laissa le message se terminer et signifia qu’elle appelait de la part de Walter. Une heure plus tard Roger Blanquart la rappela, lui demandant comment allait ce vieux Walter et se disant malheureusement pressé lui proposa un rendez-vous. Ne sachant toujours pas de quoi il s’agissait mais, prise au jeu, elle accepta.
L’endroit était hors d’âge, un peu à l’écart, une bâtisse qui avait dû servir d’entrepôt, maintenant reconverti en bureaux bon marché. Au milieu des sonnettes de l’interphone Gisèle reconnut le nom de son interlocuteur. Quelques secondes plus tard elle se trouvait devant la porte de PRIVATE PRODUCTIONS, un peu intimidée. Elle respira amplement et toqua ; Roger Blanquart était un homme fort quelconque, commun, il la salua et la fit entrer dans son bureau, lui signifia le fauteuil face à lui et lui proposa un verre qu’elle accepta.
« Walter vous a dit ce que je faisais ? » lança t-il devant l’air perplexe de la sexagénaire.
»A vrai dire non » répondit-elle. Elle n’allait pas non plus lui révéler si soudainement le contenu de la conversation qu’elle avait eu avec son nouvel ami.
« J’ai une agence qui propose des photos de charme à des clients privés, pas de magazine ou ce genre de choses. Disons que je connais le goût des personnes pour lesquelles je travaille et je leur propose ce qu’ils souhaitent pour un prix, ma foi, assez élevé. C’est du sur mesure en quelque sorte, rien de vulgaire, bien entendu»
Gisèle savait où elle en était, l’explication était fort claire. Elle ne répondit rien.
«J’ai quelques clients que votre profil pourrait intéresser » Puis il lui demanda si elle travaillait. Elle lui répondit qu’elle était à la retraite ; il rajouta alors que cette activité pouvait l’aider à compléter son revenu sachant de plus qu’il s’agissait toujours de liquide .
Gisèle ne répondait toujours rien perplexe. Le type sortit alors un press-book remplie de photos la plupart fort sages. Elle le feuilleta, il y avait là toutes sortes de filles et de femmes posant dans des décors les plus factices. La particularité venait des tenues : mariées, avocates, hôtesses de l’air,… Gisèle était songeuse. L’homme n’insistait pas. Il lui dit simplement de le recontacter si la proposition l’intéressait. Elle lui répondit qu’elle allait réfléchir et prit congé.
Une fois rentrée, elle pensa la chose. D’un côté c’était complètement loufoque pour elle, mais en même temps cette opportunité de vivre quelque chose de spécial, de nouveau au regard de sa vie si terne… Et puis il y avait aussi la possibilité de gagner facilement de quoi arrondir ses maigres revenus. Elle téléphona à Walter qui lui confirma que le personnage était clean et ses propositions honnêtes .Deux jours plus tard elle rappelait Roger Blanquart. Elle se dit susceptible d’être intéressée et lui demanda la marche à suivre. Elle lui demanda également si son anonymat serait garanti. Blanquart la rassura en lui disant que si ses clients payaient si chers les clichés, c’était pour être les propriétaires et que l’opération se faisait toujours sous contrat.
Pour le reste il lui donna à nouveau rendez-vous. Cette fois-ci il la reçut dans la pièce attenante au bureau, qui se révéla être le studio qui servait à ses prises de vues. Il lui expliqua qu’il fallait constituer un book avec quelques photos fort sobres, lui choisir un prénom, diffuser le tout et attendre qu’un client se manifeste. A partir du souhait du client on établissait un contrat avec un prix et on effectuait la prise de vue. Il lui demanda si elle était d’accord et elle se surprit à répondre oui.
Les photos qu’il prit d’elle furent quasiment anthropométriques, face, profil, debout assise, Elle était venue vêtue d’un pull et d’un jean, qui visiblement ne posaient pas problème pour la séance. Pas d’obligation de sourire, pas de maquillage, nature…Une fois ce travail achevé ils se mirent d’accord sur « Clarisse » pour le prénom et il lui dit qu’il la tiendrait au courant dés qu’un client se manifesterait.
Pendant une semaine, rien. Puis un coup de fil. Une touche, un client. Cela excita Gisèle. C’était un peu comme la pêche à la ligne, ce job là. Elle fila au studio. Blanquart l’accueillit en lui disant que son book avait séduit un de ses vieux clients et qu’il y avait 500 à la clé pour une séance qui lui prendrait au plus une heure. La condition voulue par le client était qu’elle apparaisse en écolière. Gisèle sourit tellement c’était saugrenu. Elle accepta.
Blanquart possédait une garde robe impressionnante. Il aurait pu alimenter un théâtre. Il lui trouva une tenue complète qu’il posa dans une cabine. Gisèle garda ses sous vêtements et passa une jupette, un chemisier blanc, un blazer, des mi-bas blancs et des chaussures vernis rouge. Le tout à peu près à sa taille. Quand elle eut fini elle passa au maquillage, rouge carmin pour la bouche, et bleu pour les paupières, plus quelques fausses tâches de rousseur et une perruque à nattes blonde.
Pendant ce temps là, le photographe avait créé un fond de bouquins, grâce à une photo projetée sur l’écran et installé un banc et une table de bois, sur laquelle il avait posé quelques crayons et un cahier. Gisèle découvrit le tout d’un air amusé.
Il la fit asseoir et commença à prendre des clichés. L’air studieuse, un crayon à la main, la tête penchée sur le cahier. Le crayon porté à la bouche, le regard plongeant dans la caméra. Les jambes légèrement écartées, un sourire aux lèvres. Une jambe remontée sur le banc, la veste échancrée. La même, avec deux boutons ouverts pour le chemisier. Assise sur la table, face à l’objectif les jambes ballantes, le regard rêveur. Et pour finir allongée sur la table, ventre puis dos, la jupette relevée.
Gisèle, pardon Clarisse, se surprenait à suivre docilement le photographe qui la menait à sa guise. Elle pensait au type qui allait recevoir bientôt sa commande et cela l’excitait que son image passe entre les mains d’un voyeur. Elle se demandait quel âge il avait et à quoi il pouvait bien ressembler. La séance finie, Gisèle se démaquilla, se changea, encaissa son fric et rentra chez elle. C’était vraiment cool, pensa t-elle.
Quelques jours plus tard, Blanquart lui téléphona à nouveau. Le type avait aimé et voulait une autre série de photos.
« Cette fois-ci il y a plus d’argent à prendre lui annonça t-il, mais c’est plus osé comme photos » dit Blanquart en l’accueillant. «Mon client veut en voir plus, toujours la même tenue mais avec seins et sexe apparents. C’est mille euros » Gisèle tergiversa. 1000 euros, c’était pas mal d’argent mais on s’éloignait de la photo de charme… Blanquart reconnut les faits, mais il ajouta qu’il connaissait bien ce client et qu’il y avait pas mal d’argent à se faire avec lui en passant à des clichés plus hards.
Comme elle était toujours ambivalente, Gisèle demanda à réfléchir. Mais finalement le fait de penser qu’un étranger allait la mater et sans soute se masturber sur son image l’émoustillait et emporta la décision. Celle de s’exposer au photographe aussi.
Elle avait l’impression qu’elle connaissait maintenant la routine du studio. On reprit les mêmes ingrédients que pour la première prise, même décor, même déguisement. La séance commença par des prises banales puis Blanquart lui demanda d’ouvrir son chemisier tout en regardant fixement l’objectif ; un à un elle dégrafa les boutons. Elle dut ensuite écarter les pans de la chemise pour montrer sa poitrine, enlever son soutien gorge et prendre ses tétons entre ses doigts en baissant les yeux. Bonne élève elle exécutait fidèlement ce que lui demandait le photographe.
Elle était assez gênée au début mais peu à peu la situation, le fait de suivre ces ordres et de se dénuder peu à peu l’ excita. Elle se mit torse nu, de dos puis tourna sur elle-même, fit glisser sa culotte sur ses genoux, passa sa main entre ses cuisses pour masquer son sexe et finit face caméra les jambes écartées, la tête penchée en arrière. 1000 euros et une demi-heure plus tard elle était libre.
Cette expérience l’avait émoustillée et elle se caressa longuement avant de s’endormir. Il lui avait fallu toutes ces années pour découvrir à quel point elle était exhib.
Il y eut d’autres séances pour un ou deux clients supplémentaires, soubrette une fois, flic la seconde. Elle avait compris le manège de Blanquart; il vendait d’abord une série soft pour aguicher le client puis une hard quand cela marchait. Gisèle empocha 1300 euros dans sa tenue de fliquette, mais pour
çà, elle dut sucer la matraque après s’être complètement dénudée, puis la faire aller et venir entre ses ses seins et ses jambes.
Cela durait maintenant depuis un peu plus de trois mois quand Blanquart l’appela. Nouvelle proposition.
« Gisèle, j’ai une proposition plus importante à te faire : Un film ! J’ai un copain qui est spécialisé dans les films amateurs avec des matures. Je lui ai montré ton book et ça l’intéresse. C’est tourné en quelques heures et il est prêt à mettre 3000 pour t’avoir. Il travaille pour un producteur aux USA, c’est projeté là bas, qui va te reconnaître ? » ils se tutoyaient maintenant. Giséle se demanda déjà qui pourrait la reconnaître ici, à part sa coiffeuse et sa boulangère… « Si tu acceptes, tu pourras faire pas mal de fric. Les films avec des cougars sont recherchés »
Une semaine plus tard, Gisèle allias Clarisse rencontrait le responsable de « Granny productions ».
Il lui expliqua rapidement que son business tournait essentiellement avec des femmes au delà de 60 ans. C’était son créneau et les nouveaux modèles étaient bienvenus. On était sur de petits scénarios, autour de thématiques telles que grand mère et jeune (fille ou garçon), groupes et éventuellement sadomaso. Là, il cherchait un modèle pour un film avec plusieurs jeunes. A elle de dire si ça l’intéressait.
Gisèle posa des questions. Sur les maladies. « C’est toujours avec capotes » répondit le gars. Sur ce qui était demandé. «Pénétration, fellation et éventuellement sodomie, pour cela il y a un bonus » précisa t-il. Sur le tournage. « Il y a un scénario minimum, après on laisse faire les acteurs. Il faut que ça est l’air vrai donc ils peuvent improviser. Dans la journée c’est tourné. Dans le cas présent l’idée c’est une femme BCBG qui s’ennuie dans son appart. Un gars passe réparer la machine à laver, il a une aventure avec elle et un ou deux de ses copains arrivent ensuite. »
Les questions épuisées Gisèle demanda quand il fallait répondre. Le gars lui dit qu’elle avait la journée. Le tournage était pour le surlendemain et il devait contacter une autre fille si ça ne marchait pas. A 17 Heures elle donna son accord.
Le studio dans lequel avait lieu le tournage reproduisait fidèlement le scénario prédit. Un coin cuisine, qui servait par ailleurs à l’équipe et une chambre sommaire dans laquelle une des cloisons avait été trouée pour laisser passer une caméra. Gisèle arriva vers huit heures, nerveuse. Equipe réduite, un cameraman et un assistant pour le reste, éclairage, décor…
Le gars qui devait jouer le plombier, Ahmed, était déjà arrivé, les autres pas encore. Il avait dans les 20 ans, était petit et sec, le regard fuyant. Gisèle le salua du regard, nerveuse. « Bon, on va commencer. Les autres arriveront plus tard. On tourne sans son, on fera ça après au montage. Comme ça je peux vous guider. C’est bon on y va. Clarisse va t’habiller stp » L’assistant lui fit passer un chemisier et un tailleur jupe , pas de sous tif, un string noir et des chaussures à talons sur des bas couleur chair. Un coup de rimmel et du rouge à lèvres carmin. On y était.
« Ca tourne. Clarisse, tu lui ouvres la porte, vous vous serrez la main, tu lui montres la machine. Ahmed, tu poses la boite à outils et tu ouvres la machine. » Les deux acteurs fraîchement promus s’exécutèrent.
« Pendant qu’il bosse, tu te places près de lui en souriant et tu te penches en ouvrant ta chemise pour qu’il voit tes seins. Ahmed, tu lèves la tête et tu mattes sa poitrine. Tu laisses ta clé et tu passes ta main dans son corsage. » Tout se passait comme il disait. Gisèle tressaillit quand le jeune lui toucha les seins. « Clarisse tu te penches en avant et tu déboutonnes ta chemise. Ahmed tu continues la peloter, suce lui les mamelons. » Le gars ne se fit pas prier. Il lécha gloutonnement les frêles seins de Gisèle qui frissonnait en fermant les yeux.
« Ahmed tu te redresses et tu l’embrasses. Clarisse, tu lui masses l’entrejambe. Gisèle qui n’avait pas baisé depuis belle lurette, prit contact avec un membre déjà tendu à travers le tissu de la salopette. « Ahmed pareil, tu lui mets la main entre les jambes. Voilà, masse ! Clarisse écarte les jambes et ouvre sa braguette. » Gisèle était devenue une marionnette aux ordres du scénariste. Elle sortit le membre et commença à le branler. Le jeune maghrébin avait glissé sa main dans son string et farfouillait sa chatte. Elle mouillait, à la fois à cause de la situation ou aucune pudeur n’avait place et du manque de sexe qui avait rythmé ses dernières années.
«C’est bon continuez comme çà. Ahmed tu la soulèves et tu l’assieds sur la machine à laver. Voilà, écarte ses cuisses et enlève le string. Ok, lèche lui la chatte ». Gisèle s’appuya aux angles du meuble tandis que le jeune la broutait. Elle se sentait chosifiée mais elle dégoulinait. «Ahmed, tu la retournes maintenant. Clarisse, tu t’appuies à la machine. Voilà c’est bon ! Ahmed tu lui caresses la chatte et puis tu la prends quand tu veux. Cambre bien, Clarisse, montre que tu as envie de sa queue. Parfait, continue comme ça toi. Quand tu sens que ça vient, tu te retires et tu pars sur ses fesses, qu’on voit bien le sperme.
Gisèle était remplie par la queue du type, elle sentait des spasmes monter dans son ventre. Soudain le gars sortit sa bite et envoya tout son foutre sur les reins de la vieille, la laissant au bord de l’orgasme. « C’est bon on coupe ; on a tout c’est nickel. Vous pouvez souffler, on attend les autres pour la deuxième scène » ; Ils eurent droit à une douche et un coca. Les types arrivaient au fur et à mesure. Pas deux mais cinq. Gisèle s’en étonna. Le gars lui répondit qu’il avait pris la liberté de les faire venir, car ça se vendait mieux quand c’était un groupe plus important. Il lui annonça une rallonge. Elle accepta en faisant la moue.
Son air donna une idée au cameraman. «Les gars, venez ici » ils avaient tous entre vingt et trente ans, il y avait un marocain, deux algériens et deux blacks. Visiblement des gars de la banlieue venus là pour quelques euros. « Les gars, on va reprendre avec les deux dans la chambre. Ils sont à poil, ils viennent de baiser, ils dorment. Vous, vous glissez dans la chambre sans bruit et vous vous dessapez. A ce moment là, Clarisse vous voit. Elle est pas d’accord. Après c’est à vous de jouer. Toi, Clarisse tu te débats au début, puis tu acceptes. Ok, on y va ! »
Tout se déroula comme prévu, une fois tous les types à poil dans la chambre, Gisèle fut saisie par les quatre membres et contenue fermement sur le lit. Elle se débattit réellement sous la violence de l’assaut et se mit à leur crier. D’arrêter. Comme c’était dans le scénario personne n’y prit garde. Des mains fouillaient ses mamelles, d’autres ses reins, son ventre. Les types étaient réellement excités de se taper une vieille ça se sentait. L’un des noirs lui mordait les tétons, un autre lui léchait le cul et la chatte. Deux lui écartèrent les jambes en les relevant à la verticale. Gisèle hurlait maintenant, pour la grande joie du cameraman. Un des types branla son clito, puis il cracha sur son vagin et profita de la position la pénétra brutalement. Un autre se branlait sous son nez cherchant à lui enfoncer sa bitte dans la bouche. Elle finit par céder et aspira le gland épais. Pendant ce temps elle sentait deux doigts se glisser dans son anus. Bien sûr il n’y avait pas de capotes. Elle reçut une première rasade de sperme,pendant que l’autre se vidait sur son bas ventre. Le relais fut vite pris, une bitte succédant frénétiquement à une autre. Dans les intervalles, elle prenait des doigts dans la chatte, dans la bouche, des claques sur les seins, les cuisses et les fesses. Tour à tour ils se vidèrent sur elle. Certains se branlaient pour remettre çà. Le dernier la prit par l’anus à quatre pattes pendant que les autres la tripotaient dans tous les sens.
Elle se dit que c’était sa dernière expérience, trop c’était trop. Elle avait récolté en une matinée plus de spermatozoïdes qu’elle n’en espérait pour le reste de sa vie et elle décida de s’en tenir là. C’était sans compter sur le succès important du film dans le milieu des gérontophiles. « Mamie prise dans la tournante" fit le top des ventes pendant 6 semaines. du coup les propositions s’accumulèrent. mais ceci est une autre histoire…