Lara, je l’admire. Malgré toute notre amitié, je ressens souvent un peu de jalousie envers elle. J’arrive à le dissimuler car elle a toujours été là pour moi. Chez elle, j’admire et je hais sa capacité à mettre toujours du piment dans ses relations avec les hommes. Elle a un don pour ne rien leur promettre et tout obtenir d’eux. Elle promet assez, par un sourire, une tournure de phrase, une posture, pour se faire payer un verre, se faire inviter au restaurant ou en vacances. Mais sa promesse est suffisamment subtile pour qu’elle ne s’engage à rien, pour qu’elle reste maîtresse de la situation et qu’elle soit en mesure de décider à tout moment de la suite à donner à la relation sans avoir à respecter un engagement assez clair.
Peu importe comment je m’habille, peu importe comment elle se maquille, quand nous sortons le week-end c’est toujours avec elle que les hommes se retrouvent à jouer à ce jeu. Les pauvres, ils perdent toujours. Pourtant je sais que je suis attirante.
Ce soir-là, dans ce bar dansant où nous aimions aller, cette situation s’est encore répétée. Je me retrouvais seule à notre table, à garder nos affaires, pendant qu’elle dansait un rock des années 80 que nous aimons toutes les deux. Qu’est-ce que je déteste ces moments, seule dans un bar, je ne sais pas où me mettre, où regarder. En plus c’est généralement le moment où les loosers viennent tenter leur chance avec moi. Ceci dit, ils m’occupent, mais on tire rarement des beaux poissons dans ce genre de situation.
J’avais repéré dans le bar deux beaux mecs. L’un était en train de danser avec Lara et l’autre parlait avec le barman. Il avait auparavant esquissé quelques pas de danse qui avaient attiré mon attention. Tout naturellement, sans exagérer, ses hanches bougeaient sensuellement avec le rythme en faisant ressortir ses belles fesses rebondies. Je n’ai pas l’habitude de prendre les devants. Selon moi, c’est une forme de présélection, celui qui me mérite doit avoir les couilles de venir me voir et la créativité pour attirer mon attention. Mais ce beau mec ne semblait pas du genre à venir faire le premier pas et ne semblait pas m’avoir remarquée. J’hésitais à aller prendre un verre au bar, juste à côté de lui, mais mon cocktail était encore plein et je ne voulais pas déroger à mes principes.
Alors qu’il va sortir du bar, il passe à côté de moi et je sens les effluves de son parfum. Cette odeur lui allait très bien. Mais sa chemise s’agrippe sur le haut de ma chaise et se déchire légèrement. Très vite, la discussion s’engage, puis il m’invite à danser. La petite déchirure de sa chemise laisse entrevoir ses abdos. Il a l’air plutôt bien foutu celui-là. Et qu’est-ce qu’il danse bien, ses hanches ondulent avec une sensualité étonnante, ses pas et ses mouvements défient la gravité. Les bouts de ses doigts me guident et me font tourner avec une autorité, une délicatesse et une précision incroyable. A la fin de la chanson je me retrouve collé à lui, ma poitrine contre son ventre. Il fait une petite vague avec le haut de son corps qui laisse entrevoir sa musculature, pendant que sa main glisse sensuellement sur le haut de mes fesses. J’ai envie qu’il m’embrasse, et que je feigne de me détourner, pour pouvoir jouer un peu avec lui, comme Lara a l’habitude de la faire. Il passe sa main sur ma nuque, ses doigts caressent la base de mes cheveux, sa bouche se rapproche de ma joue, je sens son souffle dans mon cou. Vais-je pouvoir résister s’il m’embrasse ? Mais il me dit à l’oreille qu’il veut m’inviter à prendre un verre sur la terrasse du bar. Il connaît les lieux et est ami avec le patron qui n’ouvre la terrasse au public que lorsqu’il y a assez de monde, ce qui n’était pas le cas ce soir.
Nous buvons nos verres tranquillement, admirant les lumières de la ville. Sa main se balade dans le bas de mon dos. Qu’est-ce que j’ai envie qu’il m’embrasse, j’essaye de cacher que je suis absolument surexcitée.
Il me prend enfin la main, mais c’est pour m’inviter de nouveau à danser. La musique est plus romantique, nous dansons plus serrés. Son petit mouvement de hanche me rend folle. Je fais de mon mieux, je souris, je sais que je ne danse pas trop mal. Il me fait faire doucement un demi-tour, je colle alors mes fesses sur lui, je les bouge sensuellement, au rythme des siennes et de la musique. Je sens que je lui fais de l’effet, son membre est dur sous son jean, ça m’excite que mes fesses frottent sa bite en érection, ça l’excite aussi. Quand la chanson arrive à sur la fin, je me retourne vers lui, il me sourit avec ses dents blanches qui lui donnent un charme fou. Il s’approche de mon cou, me baise avec la pulpe de ses lèvres humides dans le creux du cou. Un frisson me parcourt. Il remonte vers mon oreille qu’il me mordille légèrement, puis qu’il me lèche langoureusement.
Il se présente à ma bouche, nos langues et nos salives s’entremêlent pendant qu’il me sert fort contre lui. J’avais déjà abandonné l’idée de lui résister encore. Qu’est-ce qu’il est puissant, j’ai l’impression d’être une si petite chose dans ses bras musclés. Pendant de longues minutes, on s’embrasse, j’aimerais que cet instant dure toute l’éternité. Ses larges mains qui avaient déjà parcouru mes fesses, mon dos, mon ventre et mon cou, se rapprochent de mes seins. Il arrive à envelopper ma poitrine dans un geste protecteur, sensuel et viril. Je suis extrêmement excitée, je sens que mon vagin est déjà humide. J’ai envie qu’il me pénètre, j’ai envie de sentir sa bite dans mon vagin, dans ma bouche, dans mon anus, j’ai envie de jouir serrée entre ses bras pendant des heures. En même temps je ne veux pas aller trop vite. Il me retourne avec une violence bienveillante. Ma jupe est remontée, mon string ondule avec mes fesses que je bouge sur sa queue en érection à travers le jean. Il ouvre la fermeture de mon haut, passe sa main dans mon soutien-gorge et ses doigts délimitent le contour de l’auréole de mon sein qu’il masse avec une grande habileté. Mes mains touchent ses fesses, je suis passée sous le caleçon pour sentir sa peau et les muscles de son petit cul presque aussi durs que sa bite.
Toujours dans la même position, il enlève mon soutien-gorge et se met à caresser l’intérieur de mes jambes. Je mouille, c’est incroyable. Je voudrais qu’il me baise directement mais me remets face à lui et m’embrasse de nouveau le cou. Il descend peu à peu vers ma poitrine. Sa langue prend de plus en plus de place dans ses baisers. Il visite mes deux seins avec sa bouche, partout, mais évite mes tétons. Tout comme ses doigts qui se rapproche de mon vagin tout en l’évitant. Il caresse mon mont de Vénus, le haut de mes jambes, le bas de mes fesses. Je veux qu’il me baise, qu’il me morde les tétons, me masturbe le clitoris, me doigte le vagin. Mais il prend son temps, il joue avec moi. C’est délicieux. Mon clitoris est désormais touché par le creux de sa main, mais pas par le bout de ses doigts. Mes tétons sont effleurés par son souffle et ses joues mais pas par sa bouche. Je suis impatiente, jusqu’à ce que l’extase arrive. Au même moment, il me caresse le clitoris et me suce vigoureusement les tétons. Son rythme s’accélère, il se délecte désormais de mon excitation et de mes deux tétons, avec les deux doigts d’une main sur mon clitoris et l’autre main sur l’entrée de mon vagin. Puis rentre un doigt dans ma chatte, qu’il incurve légèrement. Je vole. Mon souffle s’accélère. Je passe ma main dans son pantalon et commence à le branler. Sa bite est chaude, droite, dure et déjà humide. Quand il me mordille le téton j’ai déjà envie de jouir. Il le sent, et répète le mouvement avec encore plus de sensualité. Il met un deuxième doigt dans mon vagin qui caresse ce que je crois être mon point G. Je jouis, qu’est-ce que c’est bon. Il continue à promener sa langue sur mes tétons.
Quand je reprends mes esprits, je bloque sa tête avec mes deux mains et je l’embrasse. « J’ai envie de toi, baise-moi », lui dis-je en lui enlevant son pantalon. « J’ai envie de te faire jouir avec ma bite dans ton vagin, tu me fais bander comme jamais », répond-il. Il retire mon string et ce qu’il me restait d’habits, mais au lieu de me baiser, il commence à embrasser mon mont de Vénus, l’extérieur de ma vulve chaude et humide. Avec ses lèvres, il serre les miennes. Puis il passe sa langue sur mon vagin, c’est exquis. Mon clitoris ne demandait qu’à ce qu’on s’occupe de lui et il ne l’a pas oublié. Il commence à recouvrir mon clitoris et le haut de mon vagin avec sa bouche grande ouverte. Sa langue se balade dans mes liquides ce qui met littéralement ma tête dans les étoiles puisque je regarde le ciel. Il me lèche le clitoris de bas en haut, comme j’aime. Ma main caresse ses cheveux et au lieu de lui indiquer le rythme avec lequel il doit me lécher je ne fais que suivre ses mouvements puisqu’il devine avant moi ce que j’aime. « Baise-moi, j’en peux plus… » Pour me faire patienter il me remet deux doigts dans ma chatte. Sa langue continue de lécher mon clitoris et parfois pénètre l’entrée de mon vagin. Ses mains me prennent vigoureusement les fesses. Je sens le plaisir monter, il reste vaillant sur mon clitoris pendant que je jouis de nouveau. Je sens la chaleur de sa bouche sur mon clitoris sensible alors que je suis en train de gémir.
Enfin, il se relève, m’allonge sur une des tables qui se trouvaient là. Quelqu’un pouvait venir à tout moment ce qui m’excitait encore plus et n’avait pas l’air de l’inquiéter. Il va me baiser. Il est trop sexy comme ça, avec sa bite en érection, nu avec sa chemise ouverte sur son torse. Mais il caresse l’entrée de mon vagin avec sa bite toute chaude, puis mon clitoris, à peine remis de ses dernières émotions. J’ai envie de sentir sa bite dans mon corps. Il rentre lentement son gland dans ma chatte, puis le ressort pour caresser de nouveau mon clitoris, mon vagin, l’entrée de mon anus. Sa bite rentre de nouveau dans moi, totalement cette fois-ci. Je ne sens plus mon corps, ce moment que j’attendais depuis ces longues minutes qui m’ont semblé des heures est enfin arrivé. Son rythme est lent, sa bite explore toutes les parties les plus sensibles de l’intérieur de mon vagin. Ses coups sont de plus en plus vigoureux. Je sens toute sa force à travers l’impact de ses hanches entre mes jambes et de sa bite de plus en plus profonde dans ma chatte. Il se penche vers moi, me baise le cou, me mordille les oreilles, les lèvres, les tétons alors que sa puissance semble se décupler.
Après de nombreux allers-retours, je décide de changer de position, de l’allonger sur le dos alors que je m’assois sur lui. Sa bite me rentre profondément, mes hanches bougent sur son beau corps. Son visage se perd dans mes seins. J’aime contrôler le rythme du mouvement, mais j’adore quand il me surprend et remet un peu plus de force dans ses coups de hanche. Je sens l’orgasme venir, le plaisir se répand partout de mon corps, depuis mon vagin, mon clitoris qui se frotte contre lui. Je ne sais plus d’où vient le plaisir, mais il est là. Je vois dans ses yeux que le plaisir est partagé, mais je ne peux pas tenir le regard car l’orgasme s’empare de moi et mes yeux se perdent, comme révulsés. Cet orgasme est puissant, comme le corps de cet homme. Il est long, j’essaye de profiter et de me laisser aller totalement. Mes mouvements se ralentissent, alors il prend le relais, c’est lui qui me baise alors que je suis sur lui.
Puis il m’enlève avec autorité et commence à me prendre par-derrière. Je dois me rendre totalement, devant ce dieu du sexe qui me baise vigoureusement. Ses mains prennent mes fesses et mes poignées d’amour comme s’il voulait s’emparer de mon corps tout entier. Je pousse un petit cri à chacun de ses coups. Il me touche de nouveau les seins, et, avec l’autre main caresse mon clitoris. Il me domine totalement, je n’ai rien d’autre à faire que me faire baiser et me centrer sur les plaisirs qu’il me procure. Il accélère son rythme et son souffle, il va bientôt jouir. Je ressens de même, l’orgasme est en train d’arriver. Dans un feu d’artifice final il se met à crier. Je sens ses liquides qui se mélangent aux miens dans mon vagin et l’orgasme le plus puissant que je n’ai jamais eu se produit. Je ne sais pas ce qui se passe, nous sommes entremêlés, en train de jouir en même temps avec cet inconnu, je ne sais plus si ce sont mes doigts ou les siens qui le griffent, qui m’agrippent le sein, ma langue se perd dans sa bouche. Nous restons de longues secondes dans cette position, à nous embrasser, alors que petit à petit je commence à reprendre contrôle de mon corps.
Ce fut délicieux.