Ce chemin était en contrebas de deux rives bien hautes. Assez long, il nous permettait de voir arriver, ou la maréchaussée (nous fûmes contrôlés une fois) ou les agriculteurs qui venaient dans leur champ, ce qui nous laissait le temps de nous rhabiller.
Il faisait encore beau pour la saison. Nous étions presque nus dans la voiture, elle me suçait à genoux sur le siège de droite, son cul bien relevé, ma main entre les cuisses. Et je le vis ! A plat ventre sur le haut de la rive il mâtait ! Depuis combien de temps ? Il était très peu visible, la tête derrière une touffe dherbe. Je lai vu parce quil bougea, cherchant certainement à en apercevoir un peu plus. Curieusement je ne dis rien et le laissait regarder ce cul, ces mains qui caressaient son entre-jambe et ses fesses. Cela augmenta mon désir et je jouis très vite dans sa bouche. Elle fut un peu surprise car généralement je finissais par exploser dans sa chatte.
Nous retournâmes régulièrement dans ce chemin.
Il y était presque chaque fois.
Je le laissais regarder et marrangeais toujours pour quil en voit un peu plus. Je lui écartais les fesses pour quil voit sa rosette, je la penchais bien en arrière, les jambes bien écartées pour que sa chatte soit bien ouverte. Et cela me faisait jouir doublement.
Se rendait-elle compte de quelque chose ? Je nen savais rien. Lavait-elle déjà aperçu ? Sétait-elle rendu compte que je jouissais plus fort ?
Un jour ny tenant plus je lui dis : il y a un voyeur là-haut ! Sa première réaction fut de se couvrir aussitôt. Elle chercha du regard celui qui violait notre intimité. Le voyeur, dès quil voyait que cela bougeait un peu trop dans la voiture, se cachait derrière sa touffe dherbe et il devenait invisible. Petit à petit il réapparaissait, vérifiant que personne ne lavait vu et il reprenait sa position.
Elle ne vit personne et me dit que je métais trompé. Nous recommençâmes nos caresses et je lui dis à un moment de regarder sans faire de mouvements brusques, le haut de la rive à lendroit où il était. Elle était très excitée par mes doigts, au bord du plaisir. Cela joua t-il un rôle ? Je ne sais pas, mais elle le vit et ne dit rien, se concentrant sur son plaisir et sur ma bite dans sa bouche. Je jouis en elle et elle recracha comme dhabitude mon jus dans un mouchoir en papier, montrant ainsi au voyeur ce quelle avait fait.
Nous retournions tous les jours dans ce chemin, nous demandant sil y aurait quelquun pour nous regarder. Cela lexcitait et moi aussi.
Nous nétions pas les seuls qui fréquentions ce chemin. Un autre couple, un peu plus âgé que nous, la bonne cinquantaine, y était aussi régulièrement. Parfois ils arrivaient avant nous et cétait eux qui « bénéficiait » du voyeur. Un jour en passant près de leur voiture, nous nous sommes arrêté pour leur dire quun voyeur était sur la rive et quil les mâtait. A leur expression nous vîmes quils le savaient et que cela ne les dérangeait pas.
Les mois et les années ont passé. Nous fréquentions toujours ces chemins, faute de pouvoir nous payer lhôtel régulièrement.
Et surtout ce chemin du voyeur, ainsi que nous lavions nommé.
Ce voyeur nous ne lapercevions plus. Il avait certainement trouvé un autre couple à regarder.
Souvent, surtout lété, nos rencontres avaient lieu en début daprès-midi. Lendroit où nous nous garions était à lombre, sous des arbres peu touffus. Et un jour je le vis. Un voyeur ! Pas le même, non ! Celui-ci était plutôt âgé, très âgé même. Elle ne lavait pas vu. Je ne dis rien et marrangeais pour que de la haut, il en vit le plus possible. Il faisait chaud ce jour là : je proposai que lon ouvre la portière pour aérer, pensant en même temps quil verrait beaucoup mieux. Sa chatte fut exposée, son cul, sa bouche me suçant. Je la pris en levrette sur le siège passager et papy (cétait un papy en effet) ny tenant plus finit par se montrer. Je le vis du coin de lil et aussitôt je jouais les offusqués, le traitant de pervers et de vicieux. Louise me demanda de le poursuivre pour lui mettre une raclée !!
Nous démarrons rapidement la voiture et regagnons le haut du chemin, seul endroit par lequel notre voyeur avait pu arriver. Il était encore dans le « sentier » qui longe le champ, raison pour laquelle nous ne lavions pas vu arriver, poussant son vélo. Il était très vieux, mais encore bien de sa personne, bien habillé. Nous lui demandâmes ce quil faisait là à nous regarder et aussitôt il se défendit : non il ne nous regardait pas, il était venu faire un tour et se reposait dans lherbe. Vu son âge, nous avons renoncé à la raclée.
A suivre