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Lilly et sa famille. – Chapitre 15




Chapitre 15 : Lilly allume son oncle et son père.

Un après-midi, je rentre à la maison et je ne trouve que mon père et mon oncle en grande discussion dans le salon. Dès mon entrée dans la pièce, il arrête de parler et ils me fixent tous les deux avec de grands yeux.

Faut dire que je reviens dune partie de tennis et que je ne me suis pas changée. Je porte une petite jupette ultra courte qui dévoile largement mes cuisses et sûrement mon slip si je me baisse légèrement. Le haut ne vaut pas mieux, T-shirt décolleté et moulant parfaitement mes seins.

-Bonjour Ne vous interrompez pas pour moi. De quoi parler vous ?

— De rien, ma puce. De la familleDe nos exploits récents

— Jespère que vous ne dites pas du mal de moi

— Non, que du bien

— Que du bien, renchérit mon oncle Paul.

— Je vous laisse. Je vais prendre une douche.

Ils ont quand même un drôle dair. Vautrés dans un fauteuil, juste en short, torse nu, sortant probablement du jacuzzi, ils me reluquent comme si ils voulaient me bouffer. Jai deux loups affamés devant moi et il me semble que leur short est bien gonflé.

Je vais prendre ma douche et joublie de verrouiller la porte de la salle de bain.

Quelque minute après japerçois dans la glace deux têtes dans lentrebâillement de la porte qui me regarde, nue sous la douche. Je fais semblant de ne rien remarquer et je frotte mon corps en insistant bien sur mes seins que je masse longuement, puis mon ventre, mes cuisses, avant de me retourner et de me laver la chatte en me baissant et en passant ma main entre mes cuisses.

Ils doivent avoir une vue splendide sur ma chatte et mon trou du cul. Vicieusement jenfonce un doigt dedans et je le fais aller venir.

Je crois entendre un gémissement mais quand je me retourne, plus personne. Je me doigte un peu en pensant à ces deux pervers qui sont venus me mater sans vergogne.

Je remets une mini-jupe rouge sans mettre de slip et un haut qui montre mon ventre et la moitié de mes seins et je les rejoins dans le salon.

Je minstalle sur le divan, face à eux et jimite une artiste en croisant mes jambes après les avoir bien écartées.

Ça ne loupe pas, les deux mâles en face de moi ont les yeux fixée sur mon entrejambes pour se rincer lil et sûrement constater que je ne porte pas de slip. Ils narrivent même pas à détourner les yeux de mes cuisses largement découvertes.

— Venez près de moi tous les deux. Jaimerais connaître vos pensées en ce moment. Dis-je en tapotant le divan de chaque côté de mes fesses.

Ils obéissent comme de gentils garçons et une fois assis près de moi je lâche.

— Alorson cest bien rincé lil pendant que je prenais ma douche

Papa sourit et tonton Paul rosit en bégayant.

— Cnest pas moi qui ai eu lidée

— Papa ! Tu nas pas honte !

— Ma chérie tu es tellement belle que jai dit bêtement à Paul « Elle doit être sous sa douche et jaimerais bien être une petite souris. »

— Et moi jai réponduChiche ! Jouons à la souris. Dit Paul en souriant.

— Ouais, vous êtes des beaux cochons ! Non, plutôt des gros chats qui voudraient croquer la petite souris.

Ils me regardent en souriant, un peu contractés, et jajoute.

— Mais jai bien envie de jouer au chat et à la souris avec vous. Détendez-vous

Et je me tourne vers mon oncle pour lui tendre mes lèvres quil embrasse doucement au début puis avec plus de passion quand sa main se retrouve sur une de mes cuisses et glisse vers le haut.

Je brise son baiser et me retourne vers mon père en lui disant.

— Et toi Papa, tas envie de faire le gros chat

Papa se penche vers moi et membrasse gentiment en passant sa langue sur mes lèvres et avec sa main sur un de mes seins, il me le caresse doucement avant de passer à mon téton rose.

Mes mains se retrouvent sur le renflement qui déforme leur short et je leur dis.

— Je crois que ce jeu vous plait. Mais vous devriez vous mettre à laise.

Je me lève et en deux secondes je me déshabille, puis je magenouille, et je tire leur short pour libérer les deux belles queues de mes gros chats.

Celle de mon oncle est moins grosse que celle de mon papa chéri, mais cest une belle bite bien longue.

Je prends en main ces deux sexes en cours dérection et je les branle doucement pendant quils se relayent pour membrasser, que papa joue avec mes tétons et les suce quen sa bouche est libre, et que Paul caresse ma chatte et me fait gémir quand il introduit 2 doigts dedans.

Sous mes mains je sens que leurs bites sont maintenant en pleine érection, bien dures avec de belles boules pendantes.

Je continue de branler la bite de Paul pendant que je lèche le gland de Papa. Puis jinverse. Je mesure mon savoir-faire aux gémissements ou aux soupirs de chacun deux.

Je suis heureuse. Jaime faire plaisir aux hommes de ma famille et sucer leurs bites bien raides est une chose que jaime particulièrement car cest moi qui mène le jeu. Plaire à plusieurs hommes en même temps mexcite et jadore leurs belles bites. Je suis sûrement une salope pour certains ou certaines, mais je men fous complétement car je me régale quand jai une queue bien dure et toute chaude dans ma bouche.

Et ça ne va pas tarder car mon papa damour me soulève et dit.

— Fais-moi une belle pipe, ma puce. Tu es meilleure que ta mère à ce jeu-là. Et toi Paul tu toccupes de sa petite chatte.

Je reste debout et je me baisse pour avaler la grosse bite de mon papa. Je descends ma tête jusqu’à ce que je sente le beau gland de sa queue qui glisse sur ma langue, passe mes amygdales et frappe le fond de ma gorge. Je tiens le plus longtemps possible en déglutissant pour masser son nud dans ma gorge. Quand je relâche sa bite brillante de salive mon père sexclame !

— Lilly ! Tes la reine de la pipe et des gorges profondes !

Assieds-toi papa, je nai pas fini.

Mon père se laisse aller en arrière et quand je le reprends en bouche je sens une main sur ma hanche et une langue fureteuse. Je regarde entre mes jambes pour voir mon oncle qui sest agenouillé derrière moi.

Il me sourit et me demande.

— Je ne te dérange pas trop ?

— Jamais ! Et surtout pas à cet endroit.

Paul lèche les lèvres de ma chatte et moi la bite de mon papa. Cest formidable comme sensation.

Je suce la bite de mon papa jusqu’à ce que je sente quil va jouir, mais je bloque sa jouissance en serrant fortement la base de sa queue. Mon oncle fait la même chose avec ma chatte et mon clito et me torture aussi en sarrêtant dès quil sent ma chatte frémir et se resserrer sur ses doigts.

Papa gémit et gueule quil va jouir en prenant ma tête pour enfoncer sa grosse bite dans ma bouche avec son gland de nouveau dans ma gorge. Et avec des pulsations qui font tressauter sa bite, il menvoie des jets de spermes au fond de ma gorge. Heureusement quil se retire pour finir déjaculer car jai failli étouffer sous cet afflux de sperme. Le reste va sur ma langue et ma figure et ce que je nai pu avaler coule aux commissures de mes lèvres.

Paul a verrouillé ses lèvres sur mon clito et une décharge électrique traverse mon corps puis des vagues de plaisir menvahisse de la tête aux pieds, pour finir dans ma chatte qui palpite de jouissance.

Mon père sécroule sur le canapé en criant.

— Mon Dieu, c’est incroyable. Je n’ai pas eu de fellation comme ça depuis des lustres.

— Ta fille est incroyable, Jacques. On voit quelle adore le sexe Tout son corps vibre quand elle jouit. Peu de femme prennent autant de plaisir quelle et en donne autant ! Et jai envie de mettre ma bite dans sa petite chatte si trempée.

— Il serait temps que tu y pense tonton ! Elle nattend que ça !

Toujours penché sur mes coudes sur Papa et mon cul en l’air, Paul, derrière moi, glisse sa bite entre mes jambes. Il passe son gland entre mes lèvres de chatte avant de le pousser à lintérieur.

Je mouille tellement quil na aucun mal à me pénétrer et je gémis de plaisir quand je sens sa bite me remplir.

Pendant quil va et vient avec douceur jen profite pour nettoyer la bite de papa et recueillir le sperme qui a coulé de ma bouche sur son sexe et ses couilles. Du coup la bite de mon papa redevient dure.

Paul sait se servir de sa queue. Elle est peut-être moins grosse que celle de papa mais il me baise formidablement. Il ne se contente pas daller-venir, il sort pour ainsi dire sa bite de mon sexe pour se déplacer sur mes lèvres glissantes et agacer de son gland mon clitoris. Puis il revient dans ma chatte par petit coup successifs en montant et descendant son cul pour frotter différemment les parois de mon vagin en feu.

Son gland et chaque veine de sa queue me comble de plaisir. Mais je sens quil va jouir car son rythme devient plus rapide et irrégulier. Je laccompagne en poussant mon cul vers lui et jarrête de sucer papa pour me concentrer sur la queue de mon oncle qui fouille ma chatte. Quand je sens mon oncle au bord de lorgasme, je passe ma main entre mes cuisses et je frotte mon clito pour jouir avec lui.

Mais je calcul mal mon coup car je jouis avant lui et Paul reste enfoncé en moi en me maintenant serrée contre ses hanches pendant mon orgasme et profiter des spasmes de mon vagin en disant.

— Ouiii, ma puce. Jouis, jouis oui je sens bien ta chatte qui jouit sur ma bite.

Une fois calmée il me reprend de nouveau pour le plus grand plaisir de ma chatte surexcitée mais ça ne dure pas longtemps.

— Putain, Lilly je vais jouir ! Laisse-moi jouir dans ta bouche Lilly.

Paul retire sa queue de ma chatte et je fais vite demi-tour pour me mettre à genoux. Paul enfourne sa bite dans ma bouche grande ouverte et saisissant ma tête, il baise ma bouche comme si c’était ma chatte. Après quelques coups de bite il éjacule ! Son sperme envahi ma bouche. J’avale aussi vite que je peux mais jen laisse quand même échapper une petite quantité qui coule sur mon menton.

Quand mon oncle retire sa bite de ma bouche, il ramasse avec un doigt le sperme sur mon menton et le met dans ma bouche. Huuuummm, cest tellement bon que je prends sa queue et la nettoie comme une bonne pute.

Quand jai fini je les entoure de mes bras pour dire.

— PapaTonton Jadore votre sperme. Mais jespère quon ne va pas sarrêter là !

Mon oncle souri franchement et regardant mon père déclare.

— Lilly tes une sacrée salope et je taime comme ça. Que voudrais-tu quon fasse maintenant après une si bonne baise.

Je me tourne vers mon père et je lui dis.

— Papa je te veux en moi. Et jaimerais bien une bite dans mon petit cul.

-OK, chérie. Je vais moccuper de toi, de ta petite chatte jamais rassasiée et pour ton cul on improvisera. Paul, viens avec nous, on pourrait avoir besoin de tes services.

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