On demeurait dans une maison d’appartements dans les années 87, ma femme Lise ne travaillait pas, pour l’appartement on avait un bail au mois. Le concierge de l’immeuble, un homme dans la cinquantaine, s’occupait de faire le ménage et de menus travaux, mais aussi de la collecte des loyers (son frère était le propriétaire). Une fin de mois que je n’avais pas sufisament d’argent pour payer le loyer, j’ai demandé à Roger, le concierge, s’il pouvait attendre quelques jours, mais il m’a répondu:
— ’Le premier du mois je passe pour le loyer et si t’as pas d’argent tu déménages.’ Impossible de trouver l’argent pour le lendemain. J’ai dit à ma femme d’essayer de convaincre Roger d’attendre un jour ou deux.
Le lendemain Roger sonnait à la porte pour son loyer, Lise l’attendait. Elle s’était faite séduisante pour essayer de le convaincre. Avec une jupe un peu courte, souliers à talons hauts bas de nylons, blouse un peu décoltée; Elle l’a fait entrer.
— ’Je viens pour le loyer.’
Un peu gênée elle lui a dit qu’elle n’avait pas l’argent pour le payer. Roger était un peu ivre il est devenu furieux;
— ’Vous avez un bail au mois, vous devez déménager avant la fin de semaine.’
Lise a commencé à pleurer. Roger l’a regardé puis lui a dit:
— ’Je pourrais peut-être parler à mon frère pour qu’il vous attende, si tu veux être gentille avec moi.’
Comme ma femme ne répondait pas, Roger s’est levé et lui a mis une main sur l’épaule.
— ’Qu’en dis-tu?’
Lise lui a dit:
— ’Je ne sais pas.’
Roger avait fait glisser sa main et lui caressait un sein. Comme ma femme ne disait rien, alors il a dit:
— ’Tu sembles avoir de beaux seins.’ et tout en continuant à la poigner il l’a embrassé. Après un moment elle lui rendait son baiser, avec son autre main il a commencer à lui caresser les cuisses tout en continuant à l’embrasser.
Maintenant il ne se gênait plus, il avait une main sous sa jupe et il tentait de lui poigner le cul. Lise n’avait pas le choix et elle a écarté ses cuisses pour lui faciliter les choses. Il avait arrêté de l’embrasser et il la regardait tout en lui caressant la chatte. Lise lui a demandé:
— ’Vous allez en parler à votre frère pour le loyer?’
Roger a retiré sa main de sous la jupe de ma femme, puis lui a dit:
— ’Tu crois t’en tirer a bon conte salope, tu as fait exprès pour m’exciter, deshabille toi je veux voir tes gros seins.’
Comme Lise hésitait..
— ’As-tu compris salope? A poil!’
Jamais personne ne lui avait parlé de cette façon, et cela l’excitait. Elle a obéi, elle a commencé a déboutonner sa blouse, puis elle la enlevée,
— ’le soutien-gorge aussi je veux voir tes nichons’.
Ma femme était très excitée à la pensée de montrer ses 100 D au concierge, elle a retiré son soutien gorge. Roger lui a dit:
— ’Pas mal, viens ici que je les poigne.’
Lise s’est approchée et elle lui a tendu ses tétons. Il a joué avec eux un peu puis les a sucés tout en laissant errer ses mains sous sa jupe. Ma femme commençait à gémire doucement.
— ’Tu aimes ça, salope.’
— ’Ah oui c’est bon.’
— ’Continue à te déshabiller, je veux te voir toute nue.’
Ma femme a retiré sa petite jupe. Maintenant elle gardait seulement sa petite culotte qui cachait sa chatte.
— ’Enlève-la maudite salope! je veux tout voir, as-tu compris?’
Alors elle s’est retournée et elle l’a enlevée. Comme elle lui tournait le dos, il lui a dit d’écarter les jambes et se pencher.
— ’Je vais te fourrer.’
Ma femme s’est retournée pour regarder Roger, qui avait baissé son pantalon ainsi que son slip. Elle n’avait jamais rien vu de pareil. Il était bandé et il mesurait au moins 25 cm de long et très gros. Roger lui a dit:
— ’C’est avec ça que je vais te fourrer.’
— ’Vas-y, mais fait attention, t’es si gros, je ne sait pas si je suis capable de la prendre toute.’
Lise s’est retournée puis elle a écarté ses cuisses et elle c’est penchée.
— ’Tu la veux, hein salope?’
— ’Ah oui fourre-moi, fais-moi jouir… je t’en prie!’
Il la pénétrée sans ménagement et à grands coups de va-et-vient. Il la fourrait et Lise gemissait de plaisir:
— ’Ah fourre-moi, c’est bon, encore! encore! je vais jouir… Ah Ah Ah… c’est bon!’
Et elle a joui comme jamais elle n’avait joui. Son langage l’excitait terriblement, quand il s’est retiré et il lui a dit:
— ’Viens me sucer maudite putain.’
C’est sur les genoux et les mains qu’elle s’est dirigée vers lui. Elle lui a pris la queue, qui était toujour bandé, et l’a prise dans sa bouche et elle l’a sucée. Il lui a dit:
— ’Prends-la dans la gorge, je vais décharger.’ et il lui a donné beaucoup de crème épaise que ma femme a avalée.
Par la suite il attendait toujours pour le loyer, mais en échange il fourrait ma femme comme il voulait et quand il voulait.