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De Papillon De Nuit à soumise – Chapitre 5




Il était tard et j’étais morte de fatigue, agenouillée à attendre le retour de ma Maîtresse. Mes genoux me faisaient mal, mais j’avais une tâche à accomplir : suivre scrupuleusement les ordres que ma Maîtresse m’avait donnés. Enfin, lorsqu’elle entra dans sa chambre, se déshabilla, prit une douche, se sécha et s’allongea sur le lit, cuisses écartées.

Eh bien, tu attends une invitation, ou tu ne sais plus ce que j’attends de toi ? me dit-elle sèchement.

Je m’avançai vers son intimité en contemplant son pubis rasé, plaçai mon visage entre ses cuisses, les entourai de mes bras et écartai les lèvres de ma Maîtresse. Sa couleur rose pâle était la plus jolie couleur que j’avais eu l’occasion de voir ; sa fente était brillante, douce, et belle à croquer.

On peut dire que tu m’as foutue dans un bel état, ma soumise ; alors t’as vraiment interêt à être à la hauteur.

Je sortis ma langue afin de la déguster délicatement, comme si je voulais me donner du plaisir à moi-même. Son petit goût délicieusement relevé était un régal. Je la léchais avec beaucoup d’application, suçotais son clito, buvais son nectar, et je la voyais se déhancher, danser sous ma caresse en gémissant. En effet, elle était sensible parce que je la sentais couler le long de mon menton, malgré mes efforts pour la boire entièrement. Son parfum était raffiné ; nous nous régalions chacune à notre manière.

Je sentais une de ses mains me caresser les cheveux. Nos regards se croisèrent : le sien était fièvreux, et le mien celui d’un animal qui se repaissait de sa proie fraîchement capturée. Pendant cet instant, il n’y avait ni soumise, ni Maîtresse : juste une femme qui faisait ce qu’elle pouvait pour procurer le maximum de plaisir à sa partenaire. Elle transpirait, haletait, poussait des gémissements doucement plaintifs.

Je lui mordillais le clito, l’aspirais ; je la mangeais, je jouais avec son plaisir, et si je n’avais pas été autant épuisée par mes deux amants simultanés de tout à l’heure, jaurais moi aussi été en train de mouiller. Son bassin sursautait. Elle prit les draps du lit dans ses mains et les tordit. Elle se raidit. Sa tête sinclina en arrière, et elle cria son orgasme qui m’aspergea le visage. Je la nettoyais entièrement, et lapais les dernières gouttes qui s’échappaient de son orifice. Je me relevai en baissant les yeux.

J’espère que cela vous a plu, Maîtresse. Avez-vous besoin d’autre chose ?

Non. Bonne nuit, soumise ! me dit-elle, haletante, les yeux clos, totalement épuisée.

Alors bonne nuit, Maîtresse.

Je retournai dans ma chambre, et une fois allongée je ne fus pas longue à m’endormir.

La semaine suivante, ma Maîtresse entra dans ma chambre alors que je rangeais mes nouvelles tenues de soubrette ; les anciennes ayant été terriblement malmenées. Elle était comme à son habitude habillée d’un pantalon de tailleur des plus chic. Je l’accueillis dans ma position habituelle.

Ma soumise, je viens t’avertir que ma sur va arriver tout à l’heure ; je compte évidemment sur toi pour lui faire les honneurs de la maison.

Vos désirs sont des ordres, Maîtresse.

Elle sera ici dans environ une heure. Je pense que tu sais ce qu’il te reste à faire, non ?

Je ferai le maximum pour que vous ne soyez pas déçue, Maîtresse, je vous le promets.

Bonne chienne ! me dit-elle en me caressant la joue.

J’avais une boule au ventre. Je devais me dépasser si la sur de ma Maîtresse nous faisait l’honneur de sa présence. Je filai immédiatement à la douche, enfilai ma tenue de soubrette sans rien oublier, et me maquillai légèrement. Il me restait très peu de temps, mais la sonnette retentit. Le temps de bien vérifier ma tenue et je sortis de ma chambre pour accueillir notre invitée. J’entendais ma Maîtresse discuter avec elle, et je fis mon apparition. Je remarquai une femme assez grande, habillée d’un jean, d’un débardeur et d’une paire de chaussures ouvertes. Elle ressemblait beaucoup à ma Maîtresse, brune, fine, mais elle avait l’air un peu plus jeune. Je m’inclinai et souris comme je le faisais maintenant pour chaque invité que ma Maîtresse reçevait.

Bonjour, Madame ; je vous souhaite la bienvenue dans…

Une gifle terrible m’interrompit, me faisant basculer en arrière. Je me massai la joue, les larmes aux yeux. Je la regardais, et elle me dévisagea avec un air des plus sèvères.

Non mais, c’est comme ca qu’on s’adresse à moi ? hurla-t-elle. Déjà d’une, petite incapable, pour toi, ce n’est pas "Madame", mais "Maîtresse Louna". De deux, on baisse les yeux quand on s’adresse à moi. Et de trois, on m’accueille de la même manière que ta Maîtresse !

O… Oui, Maîtresse Louna… dis-je en balbutiant et en baissant les yeux.

Alors comme ça, c’est toi la soumise de ma sur ?

Oui, Maîtresse Louna, dis-je en prenant ma pose habituelle.

Puis-je ? demanda-t-elle en s’adressant à ma Maîtresse.

Je t’en prie, fais comme chez toi, répondit-elle.

Viens ici, toi ! me fit-elle en me tirant par le bras. Tu vas recevoir une bonne correction pour t’apprendre les bonnes manières !

Elle m’entraîna au salon, prit son sac à main qu’elle posa à côté d’elle, s’assit sur un des canapés et me fit basculer en travers de ses genoux. Un des genoux me coupait légèrement la respiration, mais je ne me débattais nullement, de peur d’aggraver mon cas. Elle releva complètement ma jupe et flatta mes fesses de sa main.

Dis donc, mais t’as un beau petit cul ! Les Chinoises ont toujours eu de plus beaux culs que les autres, pour moi.

Je suis Viêtnamienne, Maîtresse Louna.

Ta gueule ! aboya-t-elle. Depuis quand tu l’ouvres quand t’y es pas autorisée ? Je sais parfaitement corriger les petites insolentes de ton genre ; attends un peu !

Pardon, Maîtresse Louna.

Je vais t’apprendre le respect, moi ! Tiens !

Un choc terrible me martela les fesses. Je laissai échapper un cri de surprise. Elle me frappait avec quelque chose de dur.

Maintenant, tu vas compter chaque coup reçus jusqu’à 10 ; c’est ta punition. Et si tu en oublies, je double la peine ! Compris ?

Oui, Maîtresse Louna.

Plus les coups pleuvaient sur mes fesses, plus la douleur devenait intense. Je ne savais pas trop avec quoi elle me frappait, mais c’était dur et plat. Elle frappait sèchement avec férocité. Mes fesses me brûlaient, mais bien vite je commençai à ressentir une chaleur bien familière ; je savais qu’elle allait s’en rendre compte. La honte me gagna. Une fois ma punition achevée, elle me releva ; mes fesses devaient être rouge vif. Je baissai les yeux, voulus prendre ma position habituelle, mais elle me fit rester debout et me fit écarter les cuisses pour au final constater mon état d’excitation en me touchant l’abricot du bout des doigts.

Eh ben, dis donc, je pensais que tu exagérais ; mais en fait non, grande sur : tu es bien tombée sur une petite masochiste.

Tu vois que je ne te mentais pas ! Qu’est-ce que tu prévois pour elle ? demanda ma Maîtresse.

J’ai bien envie de la prendre… dit-elle en me regardant. Je peux ?

Je vois où tu veux en venir, répondit ma Maîtresse.

Me prendre ? J’eus un choc. C’était une femme, et à moins que je ne me trompe, elle était dépourvue d’appareil génital masculin. J’étais morte de honte ; je voulais me dérober, mais ma condition de chienne soumise me l’interdisait formellement. Mon corps me trahissait une nouvelle fois. J’éprouvais du plaisir dans la souffrance, et je m’apprêtais maintenant à me faire prendre par une femme.

Tu l’as apporté avec toi ? demanda ma Maîtresse.

Évidemment !

Alors fais-toi plaisir, p’tite sur !

Toi, allonge-toi par terre et écarte les cuisses, salope ! m’ordonna-t-elle en me montrant le sol du doigt.

J’obéis, nerveuse. Le sol était froid malgré ma tenue, et rafraîchissait bien mes fesses. Je me sentais bien, mais de quoi allais-je encore être victime ? Elle se leva du canapé, enleva son jean, son string, et je la vis sortir de son sac à main un gode de couleur vive, assez volumineux ; mais en regardant de plus près, je constatai des lanières. Elle l’enfila comme un sous-vêtement, et je compris que c’était un gode-ceinture. Mes yeux devinrent ronds comme des soucoupes; ils ne pouvaient pas se détacher de l’engin. Elle sortit un tube que j’imaginai être du lubrifiant et en badigeonna généreusement l’engin. Elle le plaça à l’entrée de ma chatte et commença à pousser. Il commença à se frayer un chemin en moi, et je me sentais pleine lorsqu’il heurta mon utérus.

On dirait que je suis arrivée au bout. Maintenant, tu vas voir ce que tu vas prendre, sale petite putain !

Elle commença à bouger en moi. Elle me baisa avec force pendant plusieurs minutes, et malgré tout, je ne pus retenir bien longtemps mes gémissements. Chaque jour depuis que je métais mise au service de ma Maîtresse, je me faisais prendre par un ou plusieurs hommes, et je jouissais à chaque coup. À chaque fois je perdais la tête. Ensuite, quand ma Maîtresse se trouvait bien excitée, je la satisfaisais du mieux que je pouvais. Mais en l’occurence, j’étais prise par une femme dotée d’un gode-ceinture. Mais pas n’importe quelle femme : la sur de ma Maîtresse, avec laquelle je prenais mon pied, je le reconnais. Et qui me donna un premier orgasme.

Puis je me joindre à toi ? demanda ma Maîtresse à sa sur. Elle m’excite, à gueuler comme ça.

Bien sûr. Tu veux la baiser ?

Non, merci. Pour le moment, je te la laisse, dit-elle en s’accroupissant sur mon visage.

Ma Maîtresse avait enlevé son pantalon, et je léchais sa chatte trempée comme je savais si bien le faire. Enfin, d’habitude, parce que les coups de reins que je prenais m’empêchaient de m’appliquer. Je ne sais pas si c’était le fait que je me fasse prendre devant elle, mais elle était si excitée qu’elle me jouit dans la bouche assez rapidement. Je sentis alors le gode se retirer de moi.

Allez, toi, fous-toi à quatre pattes, et plus vite que ca ! aboya ma seconde Maîtresse.

Oui Maîtresse Louna, dis-je, haletante.

J’obéis, me mis en levrette, et ma position se révéla évidemment très inconfortable, comme ça, à même le sol.

Ta proposition de la prendre tient toujours, j’espère ?

Je savais que tu ne pourrais pas résister, grande sur !

Elles inversèrent les rôles, et c’est ma Maîtresse légitime qui enfila le gode, mit ses mains sur mes hanches et se planta sans pitié en moi. Ma seconde Maîtresse s’allongea sur le sol, cuisses écartées, et il aurait fallu être la dernière des connes pour ne pas comprendre ce qu’elle attendait de moi, pendant que ma Maîtresse me défonçait avec une frénesie dingue.

Une suite ?

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