Bien qu’ayant déjà eu quelques aventures chacun de notre coté ainsi qu’une aventure trio avec un ami au début de notre mariage, c’est après 14 ans d’union que nous avons réellement débuté dans le candaulisme.
J’avais toujours apprécié qu’on la regarde, la désire. De temps à autres elle me racontait comment elle avait été draguée au travail ou ailleurs, les quelques attouchements dont elle avait été victime ravie.
Dés le début de notre relation nous nous étions promis que si l’un de nous dérapait il le dirait à l’autre. Et nous avons dérapé à quelques reprises (plus souvent moi, je l’avoue).
De mon coté, j’ai toujours eu un goût prononcé pour les femmes jeunes (moins de 25 ans), mince et à petite poitrine.
De son coté, ses goûts étaient un peu différents (vous les comprendrez dans quelques lignes).
A force de l’entendre me narrer ses histoires (drague, attouchements, relations sexuelles), une tentation a germé dans ma tête, celle de la voir avec ses hommes.
Avec beaucoup de tact je lui en ai parlé.
Elle m’a demandé quelques jours pour y réfléchir.
Un soir, alors que nous étions au lit, elle est venue sur le sujet et m’a dit qu’elle était d’accord mais avec quelques conditions.
Je lui ai demandé de me les dire et elle l’a fait.
1) Pas de personnes de notre ville.
2) Pas de connaissances.
3) (Et voilà l’explication de ses goûts) Pas d’hommes en-dessous de soixante ans.
Même si elle avait émis d’autres conditions je les aurais acceptées ! J’étais heureux qu’elle dise oui.
J’ai donc passé une annonce dans un journal et quelques jours plus tard j’ai reçu les premières réponses (37 !!).
Le soir venu, dans notre chambre, je lui ai montré le paquet de lettres et nous avons commencé à les lire.
Beaucoup de ces lettres nous ont déplues, elles étaient vulgaires ou le profil ne convenait pas. Seules 4 ont retenu notre attention.
Nous en avons sélectionné un et le lendemain j’ai pris contact avec l’homme. Je lui ai demandé de pouvoir me rendre chez lui afin d’en discuter et de définir nos souhaits et désirs respectifs.
Arrivé chez lui j’ai pu constater qu’il s’agissait d’une personne présentant bien et d’une hygiène parfaite. Je lui ai dit que bien que bi je ne participerai pas, me contentant de regarder.
Je lui ai alors expliqué comment nous souhaitions que cela se passe et voici le déroulé:
A) Je vous attendrai à tel endroit (sécurité, ne pas donner notre adresse de suite).
B) Lorsque nous arriverons chez moi ma femme viendra ouvrir puis montera directement (nous habitions un appartement au 1er étage).
C) Vous la suivrez dans les escaliers et pourrez directement vous rincer l’oeil car elle portera une jupe extra-courte.
D) Si elle vous plaît, arrivé en haut vous la prendrez directement dans vos bras et l’embrasserez.
E) Vous prendrez place à ses cotés dans le canapé puis ce sera à vous de jouer.
Vous serons autorisés: L’embrasser, la caresser, vous faire sucer, la pénétrer, la sodomiser.
Vous seront défendues: Toutes brutalités et toutes grossièretés.
Il a marqué son accord total, mais il m’a dit être étonné que en tant que bi je ne participe pas.
Je lui ai expliqué que c’était le coté voyeur qui m’intéressait, mais que peut-être mes mains accompagneraient mes yeux sur le corps de ma femme et le sien durant cette rencontre, rien d’autre.
Nous avons approuvé tous les 2 et rdv fut pris pour 2 jours plus tard.
J’avoue que cette discussion nous avait bien excité et que nous nous suçâmes avec plaisir avant que je ne reparte.
Le jour J, ma femme était dans un mélange d’excitation et d’angoisse. Moi aussi je dois le reconnaître.
Quand il est arrivé il avait amené avec lui une bouteille de champagne.
Nous en avons bu et cela a permis de nous déstresser complètement.
Dés qu’il l’a embrassée, il a mis sa main sur sa jambe et est allé aussi vite dans sa culotte. Je me suis dit qu’il voulait certainement s’assurer que tout était bien réel, que ma femme était disposée à être sienne l’espace d’une heure ou deux.
Tout s’est merveilleusement déroulé, il a pris son pied, elle a joui à 2 reprises et moi j’ai éjaculé dans mon slip tellement ce fut un délire de la voir ainsi prise par un autre.
De nombreuses autres rencontres s’en suivirent avec d’autres hommes, soit par petites annonces, soit par des rencontres que nous provoquions en l’exhibant sur des aires d’autoroutes, soit dans des sexshops au Pays-Bas où nous nous rendions (la plupart possèdent de petites salles de cinéma où des hommes sont présents).
Je vous en raconterai plein d’autres si vous le souhaitez et m’en faites la demande.
