LA RECOMPENSE DE BERNARD

Le lendemain Line sonne chez Marjorie. Elle ne voulait pas venir. Quest-ce que ces manières de disposer de son temps ! Il ne faudrait pas que Bernard simagine quil peut tout exiger ! Elle est sortie se promener se promettant de ne pas aller chez sa tante, mais comme un fait exprès, à trois heures moins cinq elle tourne dans lavenue et quelques minutes après elle sarrête devant la porte tremblante dappréhension et dimpatience. Elle réalise que la veille, il na pas profité delle ni de ses compagnes tant quil y avait de la visite. Quest-ce que Bernard demandera ? Jusquici, il ne la pas baisée, se contentant de son cul et de sa bouche.

Elle sonne à la porte palière.

— Entre, cest ouvert !

La voix de Bernard ! Elle pénètre chez sa tante.

— Referme à clé sil te plait.

Elle obéit. Du vestibule, elle a vue sur le salon. Marjorie entièrement nue, est agenouillée entre les genoux écartés de lhomme. Les mouvements de haut en bas de sa tête trahissent son occupation.

— Déshabille-toi Plus vite que ça et rejoins ta cousine Tout ! ordonne-t-il quand Line en petite culotte fait mine de sapprocher Bien, viens aider Marjorie.

Celle-ci cède la place avec empressement. Ce nest pas dans sa bouche que Bernard va éjaculer, tant mieux ! Line docile, empoigne la verge frémissante et la lèche à petits coups.

— Aah ! Cest un plaisir de se faire sucer par daussi jolies personnes !

Il tire sur les cheveux de Marjorie, loblige à se lever et lattire contre lui.

— Continue à me sucer toi ! lance-t-il à Line qui sactive sur la hampe raide.

Il serre entre ses lèvres le téton proche.

— Aaah !

La jeune fille avance la poitrine. La main de Bernard descend sur les fesses, sintroduit dans la raie. Un ongle gratte lanus tente de sintroduire.

— Aaah ! soupire Marjorie en remuant pour que le doigt pénètre.

Line avale le gland pour en extraire la semence.

— Doucement ma toute belle, doucement Mmmh ! Oui ! Aah !

Tout à coup, Bernard se redresse et pousse Marjorie à plat ventre contre le canapé. Il guide sa queue luisante de salive entre les fesses. La jeune fille qui a compris ce quil désire, bombe le cul.

— Line ! Aide-la !

Bien que dépitée de voir son jouet lui échapper, celle-ci tire sur les lobes fessiers et fait saillir lanus. Le directeur pose le bout du sexe dessus. Il pousse.

— Aaah !

Double gémissement lorsque le gland senfonce et disparaît à la vue.

— Caresse-la en même temps, ordonne-t-il en amplifiant ses coups de rein.

Line glisse la main sous le ventre de Marjorie et samuse à titiller le bouton sensible.

— Aaah ! Ouiii ! encore ! Ouiii !

— Tu aimes ça Han ! te faire Han ! trouer Han ! la rondelle.

— Ouiii !

— Dis-le Han ! que tu aimes Han ! ma queue.

— Ouiii !

— Dis-le Han !

— Jaime Aah ta queue.

— Où ça ?

— Jaime Aah ! ta queue Aah ! dans Aah ! dans le cul Aaah !

— Aaagghh !

Bernard donne les derniers coups de rein avant de saffaler sur le dos de Marjorie. Line le repousse et libère sa cousine quelle entraîne dans la salle de bain.

A leur retour, lhomme essuie son sexe avec des mouchoirs en papier.

— Excuse-moi, Line de te laisser tomber aujourdhui. Jai encore Lucille et Daphné à visiter, je dois me ménager. Je te promets que la prochaine fois je me consacrerai entièrement à toi Peux-tu me passer mon porte-documents ?

Il louvre et extrait deux enveloppes.

— Voilà pour toi Line, et pour toi Marjorie, dit-il en les tendant aux deux filles.

— Quest-ce que cest ? demande celle-ci.

— Ouvre, tu verras.

— Oh ! sécrie-t-elle en découvrant des billets, un, deux trois, quatre, cinq ! Cinq cents euh Quatre cent cinquante euros ! Pourquoi ?

— Cest la récompense pour votre participation moins lamende de cinquante euros pour mavoir obligé à sévir. Vous en aurez autant à chaque après-midi récréative.

— Samedi prochain aussi ?

— Samedi et les fois suivantes.

— Tu entends Line ! On va pouvoir se payer ce quon veut ! Merci Bernard !

La jeune fille saute au cou du directeur et inflige deux baisers sonores.

— Bon, ça va, ça va. Le meilleur remerciement sera de bien vous comporter quand je vous demanderai de venir.

Il récupère son slip et son pantalon.

— Je vous quitte. Comme je vous lai dit, je dois passer chez Lucille et Daphné Non, inutile de vous rhabiller, jaime bien vous voir ainsi, puis, Marjorie, je compte sur toi pour dédommager Line. Elle a été brimée, fais-la jouir. Cest un service que je te demande.

Line est perturbée.

— Tu te rends compte de ce que cela veut dire ? dit-elle en agitant lenveloppe quelle na pas ouverte lorsquelles ont refermé la porte à clé.

— Tes pas contente ?

— Nous sommes des prostituées !

— Mais non ! On ne fait pas le trottoir.

— Recevoir de largent en échange de services sexuels, tappelles ça comment ?

— On la pas demandé ! Cest un cadeau. Oh ! Puis fais ce que tu veux ! Moi je le garde.

Marjorie court dans sa chambre et pose lenveloppe dans le tiroir de la table de nuit.

— Tas pas peur que ta mère le découvre ? demande Line qui la suivie.

— Tas raison, il faut que je le planque.

Elle glisse la liasse dans un classeur de son bureau. Sa cousine lenlace par derrière et caresse la poitrine.

— Excuse-moi pour tout à lheure, je ne voulais pas te faire de la peine Dis Tu devais pas me faire jouir ?

Marjorie se retourne et tend les lèvres

— Que comptes-tu faire de tout cet argent ? demande Line qui se rhabille.

— Je sais pas Si ! Me payer la jolie robe que jai vue en vitrine dans une boutique.

— Faut pas que tata ni maman la voient, elles pourraient se poser des questions.

— Tas raison, je ferai gaffe. Et toi ?

— Moi ? Je le garde pour plus tard.

Les deux cousines se séparent.

— Je te vois avant samedi ? demande Line en embrassant Marjorie.

— Je crois pas. On se donne rendez-vous à lentrée de limmeuble à deux heures ?

— Si tu veux.

La séance du samedi ressemble à sy méprendre au premier après-midi. Même nombre dinvités mâles, même discrétion de Bernard qui se garde de participer, même succès des deux cousines qui subissent avec vaillance huit ou neuf étreintes successives, même fatigue en fin de séance. Seules leurs deux partenaires féminines sont différentes. Elles navaient jamais vu auparavant Renée et Josiane. Par la suite, elles sont convoquées une à deux fois par semaine. Elles apprennent à se ménager, à simuler la jouissance au lieu de se laisser aller. Au courant du mois daoût, Bernard les fait participer séparément, mais les retrouvent ensembles chez lune ou lautre pour la distribution des enveloppes précédées par une sucette ou une sodomie ou les deux lorsquil est en forme.

Line ne se pose plus de question, elle accepte la situation. Elle vend ses charmes ? Et alors ? Elle nest pas la première ! A part une fois où elle na pu se libérer, elle na refusé aucun rendez-vous à Bernard. Cela ne lui fait plus rien doffrir son corps devant et derrière aux sexes des participants pendant les après-midi récréatives comme les nomme Bernard. Elle en a connu des verges, soupire-t-elle, des courtes, des longues, des fines, des grosses, mais aucune natteignait les proportions de celle de Désiré. Quand aura-t-elle cette chance ?

Cest courant septembre en plein milieu de laprès-midi, pendant quelle se faisait sodomiser quelle la aperçu

A suivre

Related posts

Un gentil garçon – Chapitre 4

historiesexe

Marilyn, ma jolie nièce – Chapitre 7

historiesexe

Marie, ou la vie d'une femme de chambre – Chapitre 3

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .