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Souvenir d'une enfance heureuse tome2 – Chapitre 2




Chapitre 2 le snack.

Je passais dagréables vacances sur mon île. Le beau temps était présent et les femmes légèrement vêtues . Tout était réuni pour assouvir mon côté voyeur.

Avec ma petite amie cétait aussi plutôt intéressant. javais pris goût à la mater, à la toucher et surtout à lui lécher sa belle chatte rousse. Elle me le rendait bien et me laissait me caresser devant elle.

Mais, il y avait un endroit où jaimais traîner par dessus tout cétait au snack bar "les embruns". Ce petit cabanon près dune plage fréquentée vendait de la restauration rapide et des boissons. Tout les jeunes de l îles sy retrouvais. Cétait en quelque sorte le lieu de rendez-vous.

Cette année là, il avait été repris par deux jeunes hommes : Luc et Laurent. Ils avaient 22 et 23ans. Il mesuraient dans les 1m80 ; tout les deux bruns et bronzées. Cétaient des navigateurs du club de voile local. Ils jouaient à fond la carte aventurier et se donnaient des airs de Corto Maltesse. Les cheveux nonchalamment décoiffés et la barbe de trois jours ajoutaient à leur charisme beaucoup de charme. Ils ne laissaient pas les femmes (toutes générations confondues) indifférentes. Cest vrai quils étaient de très beaux garçons et ils le savaient. Jen étais à la fois jaloux et admiratif.

Comme tout les autres jeunes moi aussi jaimais passer du temps là-bas. On y rigolait bien. Les bières et les cigarettes plus ou moins magiques y tournaient. Même si je nétais pas un grand adepte de cela, il marrivait de prendre quelques gorgées et bouffées.

A cette époque là, Lucia végétait souvent au snack. Jen étais follement et surtout secrètement amoureux. Mais vu sa beauté je nétais pas le seul. Elle avait 19ans et dans mes souvenirs ressemblait à Vanessa Demouy. Brune aux cheveux long et lisses, elle avait une silhouette de femme fatale. ses yeux bleus, son regard profond et ses lèvres pulpeuses faisaient de son visage un havre de délicatesse. Sa poitrine généreuse devait facilement porter du bonnet D. Ses hanches et sa chute de reins lui donnaient un cul rebondie mais ferme. Elle était vraiment très sensuelle et tellement désirable. Vraiment, rien que de la regarder dans ses maillots de bain où ses tenues détés suffisaient à mon bonheur .

Lucia séjournait dans le même camping que moi. Je lespionnais de loin. Je limaginais sans ses petits shorts et ses tops moulants. Je me branlais souvent en limaginant nue.

Je la suivais aussi à la plage mais malheureusement pour moi, elle ne faisait jamais de topless. Cependant, mon imagination me suffisait pour me donner une érection de tout les diables.

Enfin, Les fois où elle me faisait la bise et où je pouvais, tout en sentant son corps me frôler, menivrer de son parfum me troublaient ;me donnaient énormément de désirs.

Cette après-midi là, le ciel était couvert et la marée haute. Lîle privée de ses touristes journaliers soffrait aux insulaires.

Comme à laccoutumé, je me trouvais "aux embruns" avec Luc, Laurent et Lucia. Nous rigolions tout les trois tout en écoutant la radio. Les ondes jouaient "Mangez-Moi" de Billy the Kick. Je ne comprenais pas tout le sens des paroles. Mais avec laide dune cigarette artisanale je riais tout autant que mes camarades.

Les bières coulaient à flots. Je me sentais dans un état second qui me rendait euphorique au plus haut point.

Les autres aussi semblaient quelque peu éméchés. Et je regardais Luc et Laurent taquiner Lucia.

Les mains baladeuses des deux garçons sur son corps navaient pas lair de la déranger. Même si elle leur adressait des refus de circonstance quand ils lui touchaient sa poitrine où ses fesses, elle ne leur distillait pas moins de gros et grands sourires.

Au fur et à mesure de leurs jeux de mains ( qui commençaient à mexciter fortement), ils arrivèrent à lui faire retirer retirer son chandail rose qui lui moulait à la perfection ses deux gros seins .

Elle se retrouva en haut de maillot blanc à rayures bleues. Je ne pus me résoudre à retirer mon regard de sa pulpeuse poitrine bronzée. Il est vrai que le tissus avait du mal à contenir lensemble de ses globes. Et, aux trois quarts, on voyait la peau et les courbes de ses seins.

Je commençais sérieusement à sentir mon sexe se tendre dans mon short. Ne portant pas de slip, jarborais une belle et grosse bosse visible de tous au niveau de mon entre jambe.

Luc le remarqua.

Tout en caressant le sein gauche de Lucia et en lembrassant dans le cou pendant que Laurent mordillait par dessus le maillot son téton droit, Luc me proposa de mettre ma main sur ce qui me rendait dans cet état.

Je devins tout rouge et refusa sèchement.

Il insista et demanda à Lucia si je pouvais les toucher un peu.

Tout en me faisant un clin dil et en lui souriant elle dit oui. Que cela ne la dérangeais pas. La seule chose quelle voulait cétait de fumer sur le joint que je tenais.

Je me levais. Ma queue toute dure me faisait mal. Je mapprochais delle et lui tendis le pétard. Jhésitai un instant.

Luc et Laurent mencouragèrent. Ils me dirent dy aller;dêtre courageux. Lucia me souriait et aquiesça de la tête.

Jouvris alors ma main et la penchai vers elle. Jeffleurai son seins gauche. Je sentis alors sous létoffe le bout de son téton tout dur. Jamais je naurais cru cela possible. Et dans mon élan, je posai ma paume sur sa poitrine. jallais et venais sur les deux seins. Je les soupesais;les malaxais. Je pouvais sentir toute leur lourdeur et douceur.

Laurent dégrafa le haut de maillot de Lucia et le fit tomber par terre. Il prit alors mes deux mains et les posa sur les seins nus. De voir ses deux auréoles sombres et imposantes ainsi que de le toucher me troubla fortement et je redevins tout rouge.

Cest alors que je pris mes jambes à mon coup et partis en courant. Je me sentais honteux. Je voulus tout de suite aller voir Gwenaëlle pour me rassurer.

Je remontais dun pas rapide lallée qui séparait les caravanes des appartements. Couvert de sueur je sonnais à la porte de sa location. jentendis "enter" et je me précipitais dans les escaliers. Jentrais et criais :

"Gwen, Gwen ! Il faut que je te dise !"

Elle, était assise à table. Elle mangeait une crêpe au Nutella. Quand elle me vit, elle fut étonner de mon état. Mais, ce qui la troublait davantage cétait le bosse dans mon short. Je navais guère débandé depuis mon départ précipité du snack.

"dis moi, tu as lair tout fou fou XXX. Calme toi. Me proposa-t-elle.

_ Il faut que je te raconte.

_Cool Raoul ! Détends toi dabord. Elle me disait ça avec un sourire malicieux. Cette terrible bosse ne te fait pas mal ? Tu ferai mieux douvrir ta braguette et de la laisser respirer."

Je ne pouvais rien dire. Je voulais lui raconter ce que je venais de vivre. Mais elle avait dautres idées en tête.

Soudain, elle se leva. Elle portait une petite robe en coton blanche à bouton. On devinait quelle ne portait pas de sous-vêtement. Les trois boutons ouverts laissaient entrevoir un décolleté pigeonnant qui attira mon regard inexorablement.

Se rapprochant de moi, elle descendit brusquement mon short. Comme moi aussi je ne portais pas de slip, ma verge se dressa immédiatement devant ses yeux grand ouverts.

Dinstinct, elle la prise en main et commença à me branler tout doucement. Ce nétait pas la première fois quune fille me faisait cela. Mais comme je narrivais pas à retirer de mon esprit les seins de Lucia, je sentais mon excitation à son paroxysme.

"Oh la  la! Tu es bien dur aujourdhui mon cur. Je ne lai jamais vu aussi grosse et grande. Cest pour ça que tu es venu me voir en courant. Tu es trop gentil ! Cest un beau cadeau. Tu veux te caresser cest ça ?"

Elle mentraîna alors dans sa chambre en me tenant par la verge. Sournoisement, elle avait levé sa robe et je pouvais admirer ses fesses. Des fesses un peu grosses, un peu grasses, mais dune blancheur laiteuse qui me donna encore plus dexcitation.

Arrivé dans sa chambre, elle me fit masseoir sur son lit. Je me retrouvais nu. Ma main avait remplacé la sienne sur ma verge. Elle sassit en face de moi et me dit :

"Vas-y maintenant caresses toi devant moi.

Tout en déboutonnant sa robe elle rajouta :

-Je sais que tu aimes mater mes seins. Profite mon cur, moi jaime te voir quand tu bandes."

Je ne me faisais pas prié. Je mastiquais consciemment devant elle. Javais posé un main sur sa poitrine. Elle était moins belle que celle de Lucia. Ses deux très gros globes tombaient légèrement. Les mamelons bien plus gros prenaient plus de surface sur les seins. Mais avec toutes les images que javais à lesprit sa poitrine me comblait. Mais jen voulais quand même plus et josais lui demander :

"Gwen chérie, sil te plaît laisse moi voir ton minou. jai envie de mater tes poils roux.

_ Tu veux que te montre ? Pas de problème pour une queue comme la tienne je veux bien."

Elle retira intégralement sa robe. Elle avait une toison bien fournie. Mais, on devinait ses petites lèvres gonflées par lexcitation.

_Tu veux que je me caresse en même temps que toi ? Me proposa-t-elle.

_Oh oui Gwen sil te plaît fais comme moi. Jaime quand tu es coquine aussi.

Elle se remit alors sur le lit tout en écartant ses jambes. Elle ouvrit ses lèvres. Je voyais le rose de lintérieur de sa vulve et le clitoris se dessiner. Je me branlai encore plus fort.

Elle titilla son clitoris. Le frotta ; le tapota ; Il commençait lui aussi à se durcir et à grandir. Elle poussa quelques gémissements de plaisir. De mon côté j haletais aussi. On se regardait dans les yeux. Les petits bruits qui émanaient de sa vulve me fit comprendre quelle devenait très humide. Dans nos attouchements et dans nos petits cris se formaient une communions de nos êtres.

Je repris alors lun de ses siens dans ma main libre et lui pinçai le téton. Il était tout dur.Je fis de même sur lautre pour le même résultat. Par la suite, je les léchais, les mordillais, elle suçais… Sous mes gestes et grâce à ses caresses, elle poussa un grand cris de plaisir puis membrassa longuement sur la bouche.

Alors que je pensais quon allait arrêter là nos caresses car elle venait de jouir. Et que jallais devoir me finir seul. Elle agrippa ma verge et la plaça au milieu de sa poitrine. Comme dans les films elle me fit une branlette espagnole. Elle allais et venais de bas en haut. Je sentais en moi le désir monter. A ce régime jallais vite jouir.

Puis, tout en me souriant elle approcha sa bouche de mon gland. Elle lembrassa puis le goba. Je sentais sa langue jouer avec mon uretre .elle me suçait tout en me branlant avec ses seins. Jadorais ça. Cétait la première fois quon me prodiguait se genre de traitement. Hormis la nudiste qui mavait fait jouir en deux aller retour sur la place aucune autre femme navait mit sa bouche sur mon gland.

Puis retirant ma verge dentre ses seins, elle mavala entièrement. Elle léchait ma queue de tout son long. Accélérant le mouvement, puis le ralentissant subitement pour mieux ré-accélérer après. jétais aux anges. Jallais jouir je le sentais. Je criai mon bonheur. Je voulus lavertir ; Mais elle ne se retira pas. Et dun coup je lâchai de longs jets de sperme dans sa bouche. Elle les avala difficilement. Une fois tout ingurgité elle revint me rouler une pelle et reprit la parole.

"Hum, comme cest bon. Je voulais y goûter depuis longtemps. Merci mon chéri. Tu ma bien fait jouir en jouant avec mes seins et daprès ce que jai reçus toi aussi tu as apprécié mon traitement.

Je fis oui de la tête.

_Comme jai tout avalé tu nas plus besoin de te laver. Dit-elle en souriant. La prochaine fois jen mettrais sur une crêpe ça doit être très bon."

Nous rigolâmes de bon cur. Puis, elle se rhabilla. Je fit de même. Lorsque je me présentai devant la porte pour repartir elle me demanda ce que javais à lui dire tout à lheure.

Je lui répondis alors :

"Rien mon ange… Juste que…Je taime."

Elle me sourit de nouveau, membrassa chaleureusement et me glissa à loreille

"Moi aussi je taime mon cur."

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