— J’aurais aimé avoir une mère comme la vôtre, commenté-je.
— Ma mère m’a alors demandé de m’agenouiller devant le gardien et m’a appris à faire une masturbation et une fellation puis elle s’est offerte devant moi au gardien. Elle rugissait de plaisir à chaque assaut. Moi je me masturbait frénétiquement pendant les deux heures où ils ont enchaîné leurs différentes positions. Le gardien semblait infatigable.
Wilma regarde l’horloge qui orne la cheminée de la salle à manger.
— Mais je crois qu’il est temps pour Petite-Louve d’être offerte à la meute. Je reprendrai donc mon récit un peu plus tard. Es-tu prête à être saillie, Petite-Louve ?
— Je n’attends que cela ! S’exclame Sabrina.
— Très bien ! Valéria ?
La jeune noire entre dans la salle à manger.
— Valéria, nous avons cette jeune chienne qui s’ennuie, dit-elle en désignant Sabrina, penses-tu pouvoir l’occuper cette après-midi ?
— Avec plaisir Madame ! Je la mets en laisse ?
— Oui, s’il te plaît.
Valéria ressort puis revient au bout de quelques instants avec un collier et une laisse en acier, une cravache et une série d’objets que je ne distingue pas. Wilma sort d’un tiroir une caméra numérique et commence à filmer
— À genoux, sale chienne, ordonne-t-elle à Sabrina ! Et je ne veux pas t’entendre, sinon tu tâteras de ma cravache !
Interloquée, Sabrina lance un regard interrogateur vers Wilma qui acquiesce. Sabrina, docile, se met alors à genoux. J’ai du mal à contenir mon appréhension mais l’érotisme de la situation exacerbe mon désir de voir ce qui va se dérouler sous mes yeux.
Valéria passe alors un masque de cuir autour de la tête de Sabrina. Ce masque comporte deux languettes simulant les oreilles pendantes d’un chien, ou plus exactement d’une chienne. Elle ajuste ensuite sur ce masque un bâillon sous la forme d’une balle qu’elle place entre les deux mâchoires de Sabrina.
Elle place enfin un sur-masque ayant la forme d’un museau de chien afin de couvrir le nez et la bouche de Sabrina dont la tête ressemble maintenant à s’y méprendre à celle d’une chienne Cocker.
Le collier de métal est ajusté au plus près du cou et je remarque qu’il s’agit d’un collier étrangleur. Je voudrais protester mais je n’ose pas.
— À quatre pattes, sale chienne ! Et lève bien ton cul !
Sabrina s’exécute. Valéria passe une main sur le sexe de son esclave puis enfonce brutalement deux doigts dans le vagin offert et effectue une série d’allers et retours. Le gémissement de Sabrina est étouffé par le bâillon.
Valéria retire ses doigts couverts de cyprine, les porte à son nez et donne son diagnostic.
— Elle est effectivement en chaleur, Madame. Il faut la faire couvrir de toute urgence !
— C’est bien, n’oublie pas de lui poser sa queue.
— N’ayez crainte, Madame. Lève plus ton cul, sale chienne !
Sabrina décolle ses genoux de façon à relever son bassin. Valéria pose alors ses doigts toujours recouverts de cyprine sur l’anus de Sabrina puis force le sphincter. Un hurlement étouffé trahit la réaction de Sabrina. Valéria effectue quelques allers et retours dans le rectum afin de le lubrifier.
Elle prend alors de sa main gauche une sorte de queue dont la base est constitué d’un gros plus anal qu’elle introduit brutalement dans le fondement de Sabrina. Malgré qu’elle soit habituée à se poser un plug lors de ses saillies avec Monster, Sabrina réagit vivement à l’irruption de l’engin dans son cul.
— Voilà, elle est prête, Madame !
— C’est bien, conduit là au chenil, nous te suivons, répond Wilma
Valéria donne un léger coup de cravache sur la croupe de Sabrina qui commence à avancer à quatre pattes. Nous sortons du manoir pour emprunter l’aller de graviers qui le contourne.
J’ai du mal à marcher pieds nus sur ses cailloux pointus et je pense à la douleur que Sabrina doit éprouver sur ses mains et ses genoux.
