La voisine agite sa croupe, je suis toujours en elle, ses yeux sont rivés sur les deux adultères, elle marmonne entre ses dents. Je retire mon membre gluant de son temple, et le fais monter doucement contre son anus, je la cramponne fermement par les hanches et pousse, brusquement, elle se retourne face à moi et me dit:
Non, je veux pas !
Allons punir ces deux salauds !
Nous rajustons nos vêtements puis nous nous dirigeons vers les deux amants. La voisine les apostrophe sèchement :
Alors, pendant que le chat n’est pas là les souris dansent !
Le couple sursaute, ma femme, abasourdie, tente de cacher sa nudité avec ses mains, pendant que son amant tente de s’expliquer vainement.
Linda, tu sais, ma chérie, c’est la première fois, je ne sais pas ce qui nous a pris ; un coup de folie sûrement ; je te demande pardon !
Nous ferons tout ce que tu veux pour nous faire pardonner !
Ne m’appelle pas chérie, vous êtes deux saligauds, vous allez le payer chèrement !
Les deux coupables, pris en flagrant délit, ne savent plus que dire.
Suivez-moi ! ordonne Linda.
Les deux récupèrent leurs vêtements, puis, ensemble, nous nous rendons chez Linda.
Allez continuer ce que vous faisiez ; et au trop ! commande Linda, les nerfs à vif.
Ma femme confuse, cherche mon regard, je la foudroie du mien, un petit air narquois éclaire mon visage. Timidement, elle fait tomber le peu de vêtements qu’elle porte, Paul limite sans ronchonner. Linda me regarde avec ses yeux noirs, sa respiration est bruyante. Elle sort d’un tiroir plusieurs objets qu’elle devait utiliser au cours de ses ébats avec son mari. Elle oblige ma femme à s’allonger sur la table du salon.
Elle tend un Plug monstrueux à son mari et dit méchamment.
Dilate le cul à cette salope, allez, vas-y !
Oui oui ma chérie ! répond Paul.
Paul demande à sa maîtresse qui n’est autre que ma femme de replier les jambes sur son ventre. Il approche l’objet monstrueux de l’anus de mon épouse et fait une poussée continue ; ma femme grimace, elle s’agrippe à la table. L’anneau s’ouvre, et avale petit à petit le monstre de silicone, une moue affreuse déforme le visage de ma femme qui souffle comme un animal. Maintenant, l’objet est bien en place, le cul de ma femme est distendu à l’extrême, elle geint en faisant une grimace. Linda prend une petite badine bien flexible, ses yeux brillent, elle donne plusieurs coups sur la chatte de ma femme, elle vise particulièrement le clito.
A chaque coup, ma femme pousse un cri de douleur.
Alors sale pute, tu aimes ça ? interroge Linda.
Ouh la vache que ça fait mal ! répond la suppliciée.
Le bouton devient rapidement rouge vif, et a triplé de volume ; ma femme le frotte pour en atténuer la douleur.
Allez, bouffe-lui la chatte à cette pute, elle n’attend que ça !!
Paul pose sa bouche sur la chatte et aspire le bouton martyrisé, ma femme se cambre et pousse un grognement lors de la puissante aspiration. Le bougre suce et tète le clito voracement, il y prend même un certain plaisir à le faire. Ma femme agite son bassin, la cochonne prend son pied. La langue habile de son amant la fait pâmer. Linda s’installe dans un profond fauteuil et regarde le couple avec un grand sourire, et dit:
Putain ! Ce qu’ils m’excitent ses deux salauds ; j’ai la chatte qui mouille !
Mécaniquement, elle remonte sa jupe, et écarte son string. Ses doigts fins agiles triturent merveilleusement son clito, elle a la bouche ouverte et ne perd pas de vue le couple d’amants. Sa chatte devient une fournaise, suinte de plus en plus ; elle s’enfonce profondément trois doigts et les fait tourner en elle ; elle geint comme une furie. Elle me fait un signe d’approcher, je m’agenouille entre ses jambes, elle me plaque brutalement la tête contre sa chatte en feu.
Bouffe-moi, bouffe-moi !
Ma langue s’enfonce dans sa gaine trempée, la fouille longuement, j’aspire avec gourmandise le jus suave qui la remplit. Paul, quant à lui, s’acharne sur la vulve de ma femme, la coquine se cambre et pousse un cri de jouissance ; elle lui remplit la bouche de son jus abondant. Paul se délecte de ce nectar précieux avec des:
Hum hum ! gourmands.
Linda ordonne à son mari de défoncer ma femme, il ne se le fait pas dire deux fois. Il place sa bite contre la chatte noyée et veut donner un coup de reins.
Linda l’arrête.
Non, pas encore Paul ; prends la badine et fais-lui plaisir, je sais qu’elle y a pris goût la salope, ne la déçois pas !
Il saisit la baguette fine, et commence à taquiner le clito de ma femme ; elle s’arc-boute, il donne plusieurs coups rapides sur la cible. Ma femme grince des dents :
Ouah, c’est bon, encore un peu Paul !
Linda a vu juste, ma femme adore se faire massacrer le clito.
Fais ce qu’elle te demande ! ajoute Linda.
Paul accède aux délires de ma femme, il lui donne plusieurs coups très violents sur la chatte. La gourmande se cambre en poussant des râles d’enfer. Sa queue est tendue, il la frotte contre les grandes lèvres marquées par la badine, et il pousse ; la bite noueuse s’enfonce jusqu’aux couilles dans le réceptacle brûlant. La chevauchée peut commencer. Linda appuie sur ma tête, elle pousse un gémissement terrible, et me remplit la bouche de sa cyprine visqueuse.
Baise-moi, baise-moi ! me dit-elle.
Je place ma queue raide contre son temple insatiable, je pousse, et enfonce mon engin tant désiré dans les entrailles en fusion. Elle ouvre la bouche et agite son bassin, elle s’accroche à ma taille en grognant des mots inaudibles. Ma queue coulisse aisément dans le puits lubrifié naturellement par l’abondante cyprine qui lui coule sur les cuisses. Mes coups de boutoir sont violents, Linda grimace à chacun des coups de reins que je m’évertue à lui donner. Paul a déversé sa semence dans la chatte gourmande de sa maîtresse, elle agite sa croupe pour extraire tout le jus de ses couilles.
Elle le repousse brusquement, saisit sa queue gluante et gobe le gland épais ; elle le suce comme une affamée, ses coups de langue font gémir Paul de plaisir. Jamais je naurais imaginé ma femme si salope ; elle qui avait du mal à me sucer la queue, elle a bien changé la garce. Linda se cambre sous mes assauts répétés, elle gicle comme une fontaine, ses cris stridents resonnent dans la pièce.
Ouah, c’est trop bon, j’aime ta grosse queue qui me fore la chatte, prends-moi par le cul maintenant, oui par le cul !
Je ne peux qu’obéir. Linda prend la pose, je crache sur son anus et enfonce un à un mes doigts dans la gaine étroite. Je la ramone longuement avec trois doigts avant d’enfoncer ma queue au plus profond de ses entrailles. L’enculage est sévère ; elle couine comme une chienne, rugit comme un animal, se cambre et explose de jouissance, sa cyprine est expulsée avec force de sa chatte et s’étend sur le sol.
Paul, encule-moi aussi ! commande ma femme.
Il retire le Plug, le cul reste affreusement ouvert. Il passe sa main sur le trou béant, glisse ses cinq doigts dans le trou et pousse fortement. Ma femme hurle, la main s’enfonce entièrement dans le cul de ma femme.
Mon Dieu, mon Dieu, je suis trop remplie, je vais éclater !
Linda intervient.
Ramone-la bien à fond avec ta main, éclate-lui le cul comme tu sais si bien le faire !
Ma femme subit le ramonage violent, ses yeux sont révulsés, sa bouche est déformée par un rictus affreux. Paul connaît son affaire, il sait quand il faut accélérer ou ralentir. Ma femme agite sa croupe, la cochonne prend du plaisir à se faire ramoner le cul. Elle grogne, pousse de râles terribles, enfin elle se cambre et gicle fortement sur le sol, Paul serre le poing et augmente le pilonnage ; cela a pour effet de faire jouir ma femme davantage. Je libère Linda, Paul, ma femme.
Linda n’a plus l’air fâchée, elle propose de prendre un verre puis de reprendre nos ébats après.