Notre histoire est simple. Jai rencontré une belle blonde chez des amis communs. Pendant presque tout le repas, elle ne ma pas quitté des yeux, elle mespionnait sans doute. Les agapes duraient longtemps; trop sans doute pour elle, elle parlait, seulement à moi, à croire que les autres convives nexistaient pas. Je lui avais tapé dans lil certainement.
Jen étais presque gêné. Nos hôtes ont eu la bonne idée de mettre de la musique, justement un air à la mode que je fredonnais juste avant que les autre reprennent en chur. Si elle était charmante; belle et tout et tout, elle chantait épouvantablement faux. Je le lui disais, sa réponse me décontenançait:
— Vous savez, pour faire taire une femme, il ny a quuns solution.
— Je la connais, je ne vais pas lemployer comme ça devant les autres.
— Vous auriez honte de membrasser?
— Moi, Honte dembrasser une fille? Jamais.
Je lai embrassé sans provoquer de scandale, au contraire la maîtresse de maison sest mise à applaudir, suivie pas tous les autres. En plus sa bouche était douce, ses lèvres et surtout sa langue. Ce baiser nen finissait pas, elle tenait à le faire durer. Je navais rien contre.
Plus tard la musique devenait dansante: nous nous sommes levés et là dans mes bras elle sabandonnait. Cette fois cest moi qui avait envie dun baiser encore profond.
Nous sommes partis ensemble. Le lendemain matin trop tôt je reçois un coup de fil de lhôtesse:
— Alors raconte, vous avez couché?
— Pas du tout.
— Si tu avais voulu, tu aurais pu.
— Jaurais bien aimé, cest elle qui sest refusée.
Cétait vrai en sortant je voulais la faire venir chez moi pour la nuit, elle ma regardé dun air offusqué:
— Je ne couche jamais le premier soir. Rendez vous demain devant le restaurant RRRRRRRRR. A propos, je mappelle Gisou.
Je me suis tenu à ses désirs. Le lendemain jétais à la bonne heure devant le restaurant. Je ne tenais pas à la manquer, elle était trop belle, presque trop pour moi, pauvre garçon qui se trouve moche. Je mattends à patienter longtemps. Non, elle arrive pile à lheure. Je la vois venir, sa robe flottante sur ses hanches, un léger pull posé sur les épaules.
Elle est plus belle quhier. Jadresse des prière à Eros pour quelle accepte aujourdhui mon invitation. Il est tôt, elle minvite à entrer dans le restaurant. Le maître dhôtel, devinant une idylle, nous place dans un angle de la salle pour que nous ne soyons pas dérangés. Il fait bien, nous sommes assis en face dun de lautre, je prends ses mains. Elle me les abandonnent volontiers. Je les caresses comme je ferais à un petit chat. Je suis obligé darrêter quand on nous porte le menu. Je patiente jusquà ce quon serve. Gisou, elle nabandonne pas, cest elle qui prend une main; Je peux mieux la voir que la veille. Ce nest pas une belle fille, cest une très belle fille.
Jai raison de la désirer. Jespère quelle voudra de moi maintenant, ou tout au moins sur le tard. En fermant les yeux il me semble la voir nue, sur mon lit, par contre je ne vois pas son intimité. Je ne peux que limaginer.
Cest elle qui parle:
— Je suis trop sérieuse pour céder à la tentation, cest pour ça quhier je me suis dérobée. Jai bien réfléchi. Jai eu tort. Mais quest-ce que tu aurais pensé dun fille qui se donne facilement?
— Rien de particulier, sinon quelle en avait envie, comme moi.
— Tu me voulais?
— Bien sur, tu crois quune belle fille comme toi se refuse.
— Je ne suis pas un garçon pour juger.
Le dîner se sert, nous mangeons comme un couple de jeune marié dantan qui attend la fin du repas pour aller saimer dans une chambre.
Je demande au maître dhôtel sil a des chambres. Oui, il en reste une.
Quelle belle pièce: une chambre capable daccueillir une partouze. Je ne sais pas du tout ce que vaut Gisou dans un lit. Belle comme elle est, je suis certainement loin dêtre son premier. Reste à savoir jusquà quel degré elle sait baiser.
Nous sommes à peine entrés quand je la prend dans mes bras. Nos bouches reviennent samuser. Ce nest pas parce que nos bouches sont occupées que nous restons immobiles. Jai un bras contre ses épaules, et lautre sur sa taille. Elle se serre contre moi, surtout le pubis. Elle sens bien sur mon désir augmenter contre elle. Je descends une main sur ses fesses. Elles sont dures lune est lautre. Je cherche à passer entre elles. Je narrive pas, alors je lève le bas de sa robe. Je trouve vite le lieu daccès: facile: elle ne porte pas de sous vêtements. Je peux passer mon doigt derrière elle, sa raie souvre comme par magie. Je sens quelle pousse son arrière train vers ma main. Je suis sur son anus. En forçant à peine jentre facilement dans son cul. Elle manifeste en mordillant ma langue. Jentame le va et vient, elle accompagne le mouvement.
De son coté, son ventre est collé contre ma bite. Je la sens faire de légers mouvement autour de ma queue: elle sait bien manuvrer pour donner du plaisir à un homme. Juste au moment où elle se colle totalement à moi, je sens son anus avoir des crispations régulières. Cest son premier orgasme avec moi.
La suite logique est que nous soyons tout nu. Je peux facilement enlever sa robe, légère est boutonnée par de simples boutons. Quand je la fais tomber elle est comme Dieu l’a faite. Une nudité affolante pour un homme normal. Si je ne bandais pas encore, jexploserais. Elle sait parfaitement me rendre la politesse. Je suis moi aussi nu devant elle. Ce qui lintéresse cest seulement ma bite. Elle la prend dans sa main, me masturbe, ma foi fort bien avant de la lâcher:
— Je nai pas envie de te faire jouir sans que tu sois dans mon ventre, baise moi.
— Tu nas pas honte de faire une telle demande, toi un jeune fille si pure.
— Cest vrai jétais une jeune fille pure, il y a des années, avant que mon premier petit ami me mette sa queue, là où tu vas mettre la tienne.
— Jai le choix? Je peux te baiser et tenculer.
— Jaime les deux, alors fais moi les deux. Nous avons le temps jusquà demain.
Je la couche gentiment. Elle reste comme je lai mise, elle mattend en se touchant un peu la chatte, comme pour se branler devant moi. Je veux bien la baiser ou la sodomiser, avant je voudrai connaître sa mouille, son goût, la fraîcheur de son sexe et de son cul. Ma langue doit y suffire.
Après la bouche du haut je moccupe de celle du bas. Les lèvres ne sont pas dans le même sens, peu importe. Je la lèche avant de lui mordre le clitoris. Elle se venge en tirant légèrement les cheveux. Elle veux surtout que jaille ailleurs quà cet endroit. Je plonge ma langue dans son vagin. Elle appuie ses mains sur ma tête. Du moment quelle aime ce que je fais je continue. Je durcis la langue pour quelle soit comme une bite. Je la fait tourner autour delle. Je sens Gisou se tendre, se tordre même quand lorgasme que jattends arrive.
Elle me relève pour avancer dans notre relation. Jarrête en cours de route, sur ses seins, durs, aux aréoles foncées.
Sans rien demander, elle prend ma queue pour la poser juste à lentrée de son puits. Avant que je sois dans sa féminité, elle passe ses jambes autour des miennes. Jentre trop lentement à son gré. Elle donne un bon coup de rein. Je suis au fond de son ventre trop vite. Sans nous concerter, nous adoptons le même rythme. Ses gémissements commencent. Ils continuent jusquau dernier orgasme. Je crache mon sperme dans son ventre au moment ou elle aussi jouit. Nous restons bien lun dans lautre sans bouger. Je me fais léger sur elle, elle me veut ailleurs. Je me relève pour la mettre sur le ventre.
Je ne bande plus bien sur, mais la sensation de ses fesses autour de ma queue fait que lentement je bande. Je voudrais bien la baiser encore, Gisou nen veut pas, enfin pas encore. Jai la bite bien mouillée par mon sperme et sa mouille. Elle me guide vers son anus. Mon doigt y était bien juste avant, elle le remplace par ma bite. Je voudrai la sodomiser doucement pour ne pas lui faire de mal. Je suis juste dessus. Elle na quun geste à faire pour que je l’encule. Jhésite encore un peu: le geste cest elle qui le fait. Son large coup de rein me fait entrer au fond de son cul. Les gémissements reprennent. Cette fois plus forts. Je me surprends moi aussi à gémir, son cul est tellement agréable. Je ne crois pas avoir pris autant de plaisir dans un cul que dans le sien. Il faut croire que pour elle cest presque pareil.
Elle arrive à me faire retourner sur le dos, elle étant toujours avec ma bite dans lanus, pour faire elle-même les allers et venues. Je peux la branler lui donnant ainsi un plaisir supplémentaire. Elle caresse ses seins. Le nuit continue entrecoupée de rares périodes de sommeil et de longues périodes de baise. Elle est sacrément douée pour le plaisir.
Plus tard quand nos amis nous demandent comment nous avons vécu laprès dîner, nous ne répondons que par un sourire. Nous baisons toujours.