…. le déjeuner c’était fini dans une ambiance à couper aux couteaux.

Papa était comme à l’accoutumer – quand nous n’étions pas d’accord avec lui – d’une humeur massacrante et comme à chaque fois que Maman émettait une idée ou un suggestion, il la contrecarrait aussitôt, prenant un malin plaisir à lui faire du mal et dans ces moment la, je le haïssais. Il ne fallait pas toucher à ma mère et encore moins maintenant avec tout ce qui se passait entre nous.

Jamais je ne les avais vue dans cet état tous les deux et je me demandais encore pourquoi Maman restait avec un sale type comme lui. Pourtant c’était mon père, mais aujourd’hui il venait de dépasser les bornes avec elle et par la même occasion avec moi. Le pauvre ne pouvait pas savoir qu’elle et moi avions des projets pour la nuit et qu’il venait de tout foutre en l’air avec sa décision de partir vers la fin de l’après midi pour aller voir sa famille. Normalement ils ne devaient partir que demain matin mais ça, il s’en balançait : c’était lui, point.

Pourtant tout avait bien commencé ! Maman était sortie de la douche pimpante, ses fesses moulées par une jupe arrivant à mi cuisses sous laquelle elle devait porter un string si léger, qu’on eu dit qu’elle était cul nu. Radieuse, souriante comme à son habitude lorsqu’elle était heureuse, passait tout près de moi, mimant un baiser qu’elle m’envoya des bouts des doigts.

Moi je m’étais occupée à mettre la table en chantonnant et à chaque fois que nous le pouvions, évitant de trop se faire remarquer par Papa, nous nous faisions des clins d’oil, complices jusqu’aux bouts des ongles. Lorsque nous nous croisions, sa main glissait sur mes hanches pendant que les miennes se posaient sur ses fesses. Nous nous caressions autant avec les yeux qu’avec les mains. Nous étions heureuses !

Mambo comme à son habitude était allongé de tout son long sur le carrelage, nous regardant aller et venir et comme à chaque fois que nous passions près de lui, il remuait la queue comme s’il comprenait que toutes les deux, nous l’aimions comme des folles et aussi comme pour nous faire comprendre que c’était lui notre mâle.

Le repas avait traîné un peu en longueur, mais je crois qu’elle l’avait exprès pour que l’on puisse rester ensemble le plus longtemps possible. Une ou deux fois, j’avais senti son pied frôler le mien puis glisser doucement le long de ma jambe. Caresses que je lui avais rendues en agissant comme elle. Une fois même, j’avais osé aller plus loin, glissant mes orteils jusqu’au liséré de sa jupe qu’elle avait très haute sur ses cuisses dorées, mais qu’elle avait aussitôt resserrées, les joues toutes rouges, comme une enfant qui avait eu peur de se faire prendre. Je pense qu’elle n’avait pas imaginé que je puisse être aussi hardie en présence du maître de maison.

Et Elle n’avait encore rien vue !

A un moment je fis exprès de faire tomber ma fourchette pour me glisser sous la table. A genoux sur le sol, ma main frôlait son mollet, remontant le long ses cuisses serrées jusqu’à ce que mes doigts touchent sa culotte. Je sentais qu’elle résistait mais vu sa position, elle ne pouvait me repousser et malgré sa réticence, inexorablement mes doigts avançaient, essayant d’écarter le semblant de tissu, dernier rempart de son fruit humide.

J’y étais, mes doigts étaient dessus son sexe, mais qu’elle ne fut pas ma surprise, de ne plus sentir le duvet soyeux de son pubis. Elle avait décidé de s’épiler, moi qui aimait tant l’abondance de ses poils sur ses lèvres ourlées. Quand mon doigt toucha le capuchon de son clitoris, je la sentis se raidir, reculant sur sa chaise, se levant de la table, comme si une guêpe venait de la piquer. Mon deuxième regret après celui de son sexe nu, fut de ne pas avoir put voir l’expression de son visage quand mes doigts la caressaient.

Me redressant, je regardais maman fixement, profitant que Papa regardait la télé pour lui demander doucement :

— Pourquoi t’as fait ça !

— Je t’expliquerai ! tu ne trouves pas bien ?

— De quoi parlez vous toutes les deux ?

Le nez dans notre assiette, pour ne pas éclater de rire, toutes les deux à l’unisson

` – Rien ! Laisse tomber ce sont des histoires de filles.

Tout avait été parfait, jusqu’au moment où il dit à Maman qu’ils partiraient ce soir et qu’elle lui répondit que demain ce serait mieux, prétextant que ça suffisait amplement pour faire l’aller retour dans la journée et que ce n’était pas bien de toujours laisser leur fille (moi) toute seule, &,&,&,&.Alors il c’est mis à hurler comme un fou et le voyant dans un tel état je me posais même la question de savoir s’il ne l’était pas vraiment.

Il venait de tout gâcher en deux secondes. Quel mufle !

Je rejoignis Maman quand elle se retira dans la cuisine, les larmes coulant sur visage, me retournant comme une furie vers mon père, lui demandant de la laisser tranquille. Il ne prit même pas la peine de me répondre, le nez toujours dans son assiette.

Je la retrouvais assise, pleurant à chaudes larmes. Je m’approchais, me mis à genoux puis posais ma tête sur ses cuisses.

— Je ne veux pas que tu pleures ! Quel con !

— Ne parle pas comme ça ! C’est ton père !

— Un père comme ça, j’en veux pas. Tu es trop malheureuse avec lui, tu devrais partir. Il y a assez longtemps que cette comédie dure entre vous deux. Moi à ta place, il y a longtemps que je me serais tirée et que j’aurais pris un amant.

— Un amant ! Mais pour quoi faire.

— Ben, je sais pas moi ! je te disais ça comme ça et au moins tu t’éclaterais.

— Tu aimerais si j’en avais un? Et puis tu sais, Je n’ai pas besoin d’un amant pour m’éclater, j’ai ce qu’il faut. Tu sais ma chérie ! Les hommes, j’en ai par dessus la tête. J’en ai ma claque. Tu comprendras quand tu seras plus vieille.

— Franchement, je n’aimerais pas si t’avais un mec ! Je serais hyper jalouse. Une femme pourquoi pas !

Je me mis à rire en lui avouant ça, mais au fond de moi même, je préférais de loin cette solution, qu’à celle d’un amant.

— Pour le reste, Je t’ai déjà dit que je n’aimais pas les hommes et quand je vous vois tous les deux, je ne pense pas que ça me fasse changer mes goûts. Mais pourquoi ne divorcez vous pas ?

— Nous avons failli le faire il y a dix ans déjà, mais pour toi, nous sommes restées ensemble. Nous n’avons plus aucun rapport et c’est très bien comme ça.

— Mais alors si vous n’avez plus de rapports, tu crois qu’il a une maîtresse ? Et toi ! Comment fais tu ? Tu ne peux pas rester chaste toute ta vie.

— Qu’il ait une maîtresse, ça m’importe peu, quant à moi, ne t’en fais pas pour moi, un jour je te raconterais comment est ma vie sentimentale.

— C’est ça ! A chaque fois tu me dis la même chose et à chaque fois tu t’esquives quand je te pose des questions.

— Je te promets. Cette fois, je suis bien décidée, je te sais assez mature pour que je te raconte tout. Ça ne va pas être facile, mais je le ferais. Quand à ton père et moi, nous nous sommes fixés des règles que je n’admets pas qu’il les transgresse. C’est ce qu’il fait aujourd’hui et je ne le supporte plus et si ce n’était qu’il n’y ait que deux chambres dans cette maison, il y a longtemps que nous ferions chambre à part

— Ben alors viens coucher avec moi ! Ce serait super. On serait bien toutes les deux.

— Je te vois venir toi : me dit elle le sourire de nouveau sur son beau visage. Et changeant de sujet !

— Tu as déjà eu un copain ?

— Oui un seul. Et j’en veux plus. Il ne savait rien faire d’autre que de passer ses mains sur mes fesses et d’essayer de m’enlever ma culotte

— Il ne faut pas dire ça ma chérie. Tu as été déçue, moi aussi, mais ils ne sont pas tous pareils. Et puis tu sais il y a autre chose que les hommes pour que nous les femmes soyons pleinement heureuses.

— Ah oui ! A part toi et Aurélie, je ne vois rien d’autre. Quoi d’autre par exemple ?

Mambo nous avait suivi et le regard de Maman était rivé à lui pendant qu’elle me parlait. Je croyais que le moment était venu, où elle allait me parler, m’avouer enfin ce qu’elle faisait avec lui. Son regard allait de lui à moi. Je voyais sa bouche trembler, ses lèvres bouger mais aucun son ne sortait de sa bouche, hésitante, cherchant comment m’annoncer tout ça, mais reprenant ses esprits, par une pichenette comme elle en avait l’habitude, elle changea de sujet et me prit dans ses bras :

— Oui, je sais que tu m’aimes ! Mais je suis ta mère et tout ça nous mènera à rien.

— C’est vrai ! Et ça te gêne toi ? Alors moi pas du tout. Au moins nous prenons notre part de bonheur. Bon ! Tu ne m’as pas répondu qui d’autre à part toi et Aurélie pourraient aussi me rendre autant heureuse ?

— Laisse tomber ! Je t’expliquerai tout la semaine prochaine. Tu te rappelles que nous ne sommes que toutes les deux ! Zut ! Tout les trois. Je l’oubliais celui là.

— Maman ! Je ne me rappelle plus si je te l’ai dit, mais Aurélie vient demain et elle reste avec moi toute la journée, si tu savais comment je suis heureuse. C’est sa mère qui l’amène. Tu la connais sa mère ?

— Oui, je la connais très, très bien ! Et elle va rester toute la journée?

Elle ne m’avait jamais dit qu’elle connaissait si bien la maman d’Aurélie. Ses mains tremblaient, je la sentais très nerveuse, si nerveuse comme si elle essayait encore de me cacher quelque chose, me demandant même si elle n’était pas entrain de me faire une crise de jalousie, ou je ne sais quoi. Ma mère jalouse, je n’y croyais pas.

— Qui ! Aurélie ou sa maman ? C’est parce que je t’ai parlé de la maman d’Aurélie que tu te mets dans ces états ? Tu es jalouse ? C’est ça !

— Mais tu es bête ! Où vas tu chercher tout ça. Mais non ! Nathalie, j’ai fait sa connaissance à une réunion de parents d’élèves : tu ne te rappelles pas ?

Non, je ne me rappelais pas et je ne savais même pas son prénom. Cette fois, elle paniquait grave, le ton n’y était plus, comme si la panique la submergeait. Pendant qu’elle essayait de m’expliquer, je la sentais trembler contre moi.

— Je ne savais même pas qu’elle s’appelait « Nathalie ». Par contre, je la trouve très belle, pas toi ? Aurélie m’a même avoué que je lui plaisais beaucoup : tu te rends compte ! Je t’aime Maman ! Avec Aurélie, ce n’est pas le même amour. Toi, tu es tout ce qui comptes pour moi et je regrette que ce soir nous ne puissions nous voir à cause de lui.

— Moi aussi je la trouve très belle et elle a dit ça sur toi ? Tu ne vas quand même pas tomber amoureuse de sa maman quand même ! Me dit elle en riant aux éclats.

— Et pourquoi pas ! Moi ! Si elle veut, je suis d’accord.

Elle riait mais je sentais que le cour n’y était pas et la façon qu’elle me serra dans ses bras, me fit comprendre qu’elle n’aurait pas aimé. Moi, dans ma tête, je me disais que si l’occasion se présentait avec la maman d’Aurélie, je ne la laisserai pas passer et au fond de moi même, je le désirais ardemment. J’étais vraiment une belle salope et je me plaisais à l’être.

Et maman de changer de sujet :

— Tu demanderas à Aurélie de ne pas trop te fatiguer car je la soupçonne d’être championne celle là. Je me demande même si….

— Quoi ?

— Rien ! Laisse tomber. Alors comme ça, tu n’aimes pas ce que je me suis faite ?

— Pourquoi ? J’adorais tes poils. Ça m’a fait tout drôle de ne plus rien sentir tout à l’heure. La vérité ! tu es encore plus belle comme ça

— Je l’ai fait pour quelqu’un. Je le lui avais promis.

— Qui ! Un mec ?

— Pas du tout ! Je t’ai dit que les mecs, ras le bol.

— Alors qui, une femme ! Je la connais ?

— Oui ! Mais je ne te dirais pas qui c’est. A toi de trouver.

— Super ! T’as une femme dans ta vie ? T’es géniale Maman. Fais moi confiance, je trouverais

Il fallait que je l’embrasse, il fallait que je sente sa bouche contre la mienne. Alors, doucement je posais mes lèvres sur ses cuisses, relevant doucement sa jupe qui ne demandait qu’à être enlevée.

— Tu es folle ! Arrête ! Et si ton père rentrait ?

Je ne l’écoutais pas, je ne l’écoutais plus. Mes doigts plus audacieux que jamais avait déjà franchi le lisière interdite et doucement, écartaient le semblant de tissus qui protégeait son minou, dernier rempart avant de trouver son trésor. Au contact de mes doigts, elle se tut, avançant ses fesses sur le bord de la chaise pour faciliter le passage de mes doigts. J’y étais presque sentant la moiteur du haut de ses cuisses contre mes doigts, quand une lueur de lucidité la fit se relever pour me repousser doucement.

— Pourquoi !!!!!!!!!!

— Pas maintenant, tu es folle.

— Mais tu en as envie. J’en ai envie !!!!!!! Reste !

— Non !

Elle regardait dans tous les sens, tirant sa jupe vers le bas, comme si elle avait peur que quelqu’un surgisse de je ne sais où car à part mon père qui avait du se mettre devant sa télé pour faire sa sieste comme toutes les fois après le déjeuner, il n’y avait personne d’autre que Mambo et Moi dans cette pièce.

— Maman !

— Chantal ! S’il te plait ! Tu me rends folle ! Oui j’ai envie, mais pas ici. Monte dans ta chambre et dans deux minutes je te rejoins.

— Viens vite, je t’attends.

Je lui sautais au cou en posant ma bouche sur le sienne, forçant ses lèvres avec ma langue.

Allongée sur le dos, les jambes relevées et écartées pour qu’elle puisse voir mes fesses nues quand elle rentrerait, j’attendais avec impatience qu’elle vienne me rejoindre.

C’est à peine si je l’entendis ouvrir la porte. Elle était debout au pied de mon lit, ses yeux fixant mon entrejambe.

— Tu ne mets plus de culottes ? me dit elle en donnant un coup de clef pour que personne ne nous dérange.

— Je crois que je n’en mettrais plus jamais, sauf pour dormir, car j’adore me caresser au travers de ma culotte. J’aime sentir mon sexe au travers du tissu, surtout quand il est bien trempé. Pas toi ? Et puis c’est tellement plus pratique tu ne trouves pas.

Doucement, elle descendit son string le long de ses cuisses, laissant apparaître son pubis qui me rappelait le mien avant que je ne commence à avoir des poils. Moi qui avais tant aimé passer mes doigts sur les boucles de son pubis et malgré la déception de le voir comme ça, je ne pouvais qu’admirer la beauté de son sexe.

Je voyais ses lèvres nues, lisses et niché tout en haut, j’apercevais le capuchon qui cachait son clitoris. Tout en continuant à lui parler, je me rendais compte que ses lèvres gonflaient et que son ventre bougeait comme pour m’inviter à m’avancer vers elle. Ce que je fis.

— Aurélie voulait aussi que je m’épile, car elle aussi est comme toi, mais je voulais te ressembler. J’aime en me caressant sentir mon duvet humide sous mes doigts. Comment tu te sens au juste?

— Drôle ! ça me fait tout drôle et ça va être terrible quand je vais devoir mettre un pantalon. Tu aimerais que je te fasse pareil ?

— Oui, pourquoi pas ! ça doit être marrant. Elle sera contente depuis le temps qu’elle me la demande. Mais pourquoi quand tu vas mettre un pantalon ?

— Parce que souvent, je ne mets pas de culottes. Comme toi, n’est ce pas

— Tu as raison ! On est tellement bien sans rien sur les fesses. Rappelle toi dans quel état était ma culotte l’autre soir avec les chiens. Comme ça je suis prête. Regarde Mambo ! Il a la truffe en l’air : tu crois qu’il nous sent et qu’il a compris pour nous ?

Elle me fixa sans rien dire, la réponse était dans ses yeux qui reflétaient tout l’amour qu’elle avait pour moi et aussi pour lui. Mais encore une fois elle se défila.

Cette fois, elle n’allait pas s’en tirer comme ça !

Je ne pouvais pas rester comme ça, j’en avais marre qu’elle se défile à chaque fois que j’amenais le sujet sur lui. Je pris donc la décision d’attaquer, de lui inventer un énorme mensonge, profitant de la jalousie qu’elle avait ressenti envers Aurélie et aussi pour que son week end passé loin de moi lui soit le plus pénible possible. J’allais la rendre jalouse et Je savais que sa marcherait. Il fallait que je lui fasse comprendre qu’il n’y avait pas qu’elle et que je ne résisterais pas longtemps à mes envies et que si elle ne se décidait pas, je me ferais aider par quelqu’un d’autre.

— Maman ! Il faut que je t’avoue quelque chose. Tout à l’heure je t’ai menti quand je suis sortie de la salle de bains. Viens ! Assieds toi près de moi.

— C’est si grave que ça !

— Surtout écoute et ne m’interromps pas sinon je ne pourrais et n’oserais plus te raconter. J’ai déjà assez honte comme ça.

Voilà :

« Quand tu m’as demandé pourquoi ces marques sur mon dos ! La vérité est que l’autre chien est revenu vers moi ce matin et je n’ai pu m’empêcher d’aller le retrouver. Tu le sais puisque qu’il t’a laissé et que tu l’as vue revenir ici. J’étais avec Aurélie au téléphone lui racontant ce qui m’était arrivée la veille avec lui et Mambo quand je l’ai vue tourner en rond devant le portail. A croire que j’avais laissé autant d’odeur que « Nalla » et qu’il me croyait en chaleur moi aussi

— Parce que tu lui as raconté tout ça ! et bien vous promettez toutes les deux.

— Maman !!!!! laisse moi finir.

« Quand je l’ai vue qui regardait dans ma direction, je n’en croyais pas mes yeux, réalisant enfin qu’il était là pour moi et qu’il m’attendait. J’avais déjà eu de la peine à m’endormir, de trop penser à ce qu’il avait osé me faire et mon cour c’est mis à cogner très fort dans ma poitrine. Je ne voulais pas le voir, je voulais m’enfermer dans la maison, mais j’avais le ventre qui me faisait mal, tu sais comme quand on va avoir ses règles.

En fait, ce n’était pas ça, c’était surtout envie de me retrouver par terre comme hier, avec sa langue entre mes cuisses. Tu comprends ce que j’essaie de t’expliquer ?

— Oui je te comprends ! Et alors ?

— Je ne savais plus quoi faire, je paniquais complet. Dans ma tête ma conscience me disait « ne sors pas, reste là, c’est pas bien » et mon cour et mon corps me disaient « allez ! va le voir, il est revenu pour toi. Tu en crèves d’envie alors pose ce téléphone et va le rejoindre ». En plus j’expliquais ça à Aurélie et elle me disait exactement la même chose, tu te rends compte.

— T’avais qu’à lui dire de venir à ta place. Quelle petite vicieuse celle là. Au juste ! Aurélie a bien un chien ?

— Oui, elle en a un. Mais comment le sais tu ?

— Nathalie ! Surement Nathalie sa mère. Je pense qu’elle a du m’en parler un jour qu’elle était avec moi et qu’elle avait du voir Mambo.

— Ah ! Parce que sa mère est déjà venue chez nous. Tu ne me l’avais jamais dit et Aurélie non plus.

Elle cherchait des mots pour me répondre et comme tout à l’heure et la panique qui s’emparait d’elle était telle quand elle parlait de Nathalie, que je me commençais ma poser des questions sérieuse à son sujet.

— Tu me demandes çà, parce que tu penses qu’elle et son chien…tu as peut être raison ! Tu sais, je crois que si elle avait été plus près, je reste persuadée qu’elle serait venue et pas seulement pour le voir. Bon ! Tu veux que je continue ou pas ?

— C’est bon, je t’écoute. Mais avec toi, je m’attends à tout.

— Tu ne vas pas être déçue, crois moi.

« J’ai écouté ma mauvaise conscience et je suis allée vers lui.

Je me suis approchée pratiquement à le toucher et au travers de la barrière, je lui ai laissé lécher mes doigts. . J’avais honte, je savais que je faisais mal tu sais, mais je ne pouvais pas me retenir, c’était trop excitant et c’est là que je me suis vraiment rendue compte que j’avais envie d’aller plus loin avec lui.

Maman ! Je deviens folle depuis qu’il a essayé de me violer dans la rue et depuis que Mambo m’a glissé son sexe entre les cuisses. Il ne se passe pas un moment, pas une seconde : même quand je suis près de toi, sans que je pense à eux, à leur langue, à leur sexe tout rouge qui pointait sous leur ventre. J’ai toujours l’impression de sentir le chien et d’avoir leur sperme sur moi.

Ensuite, comme une somnambule, je lui ai ouvert le portail et je l’ai laissé rentrer puis je me suis assise sur le gazon. Là, il a recommencé comme l’autre fois mais cette fois, je l’ai laissé faire sans le repousser. Dans la position où j’étais, j’ai vue son sexe qui était presque tout sorti car il s’excitait sur ma jambe et je le laissais faire. J’étais toute excitée, tellement excitée que je me suis mise à quatre pattes pour voir ce qu’il allait me faire et s’il allait essayer comme Mambo de me monter dessus.

Il me tournait autour, glissant sa langue entre mes fesses nues et puis il m’a sauté sur le dos, accrochant ses pattes sous mon ventre. Heureusement que j’avais gardé mon tee short sinon il m’aurait arraché le dos avec la force qu’il avait pour me prendre contre lui.

Il donnait des grands coups de reins pour trouver l’entrée de mon sexe et j’ai cru défaillir de bonheur quand sa tige à commencer à frapper contre mes fesses : le bout est même rentré un peu me faisant crier de douleur. Je ne savais plus où j’étais, ni ce que je faisais. Les yeux fermés, j’attendais qu’il me prenne comme ça, comme la chienne que j’étais devenue. Mais quand son sexe a trouvé l’endroit où se nicher, quand sa tige a commencé à cracher et bien au dernier moment, je me suis dégonflée. En ressortant de mon ventre, il continuait à cracher et j’en avais partout et j’ai même passer un doigt dessus son sperme pour savoir la goût que ça avait. Je n’ai même pas été écourée tu te rends compte !

C’est de là les marques que tu as vues sur mes cuisses et sur mon dos. J’ai aimé tu sais.

Ensuite avec Mambo, juste avant que tu rentres, l’autre soir ! Vraiment ce n’était pas de sa faute, ni de la mienne. Je sentais le chien et j’avais toutes les odeurs de la chienne de Monique sur moi en plus de celle de l’autre: alors il faut le comprendre et là encore, tout était de ma faute, car je n’ai rien fait pour l’en empêcher. Nous étions excités lui et moi. Ce qui est terrible, c’est que je t’en ai voulue d’être arrivée, car il était pratiquement dedans mon ventre et je l’aurais laissé me monter dessus.

Tu m’écoutes ?

— Oui je t’écoute ! Dis moi franchement! Tu as aimé ?

— Oh oui, j’ai aimé ! Le soir dans mon lit, je me suis caressée et j’ai joui comme une folle en revivant la scène. Si tu savais combien j’ai honte Maman.

Dis moi ! Est ce que j’aurais risqué quelque chose s’il était resté en moi ? Quand il est ressorti, il avait un sexe énorme et une grosse boule qui commençait à grossir. Ça m’a fait tout drôle de la sentir grossir en moi.

— Non ! Je ne pense pas que tu aurais risqué quelque chose. Enfin, je ne sais pas. Et puis, Honte de quoi ! D’avoir joui, mais tu es folle. Ce n’est pas si grave que ça.

Tout ce que je lui racontais, l’excitait, je le savais: ça marchait mieux que ce que je n’avais osé espérer. Je la sentais frémir contre moi, j’avais posé ma tête sur ses cuisses comme à mon habitude et je me rendais compte par les tremblements de son corps, que ce que je lui racontais continuait à faire son chemin dans sa tête.

On aurait dit qu’elle était assise sur une pelote d’aiguilles et de part ses doigts posés dans mes cheveux, je pouvais sentir son cour taper à 200 à l’heure, certaine que si j’avais osé la toucher, j’aurais trouvé son sexe trempé.

— Depuis ce moment, comme je te dis, j’en suis malade, obsédée par ça. Je sais que ce n’est pas normal, que ça ne se fait pas mais c’est plus fort que moi. J’ai même lu sur internet que les rapports zoophilies existent depuis la nuit des temps mais que l’on brulait les gens quand ils se faisaient prendre.

J’ai tout raconté à Aurélie, mais la seule chose qu’elle voulait savoir, c’était comment ça c’était passé avec lui

— Et elle t’a répondu quoi ?

— N’importe quoi !

Que si ça me travaillait à ce point et bien j’avais qu’à me laisser faire par lui ou Mambo. Qu’il n’y avait pas de mal à ça, du moment que personne ne le savait. Que de se laisser lécher par un chien, ce n’était pas si grave que ça, que la même chose lui était arrivée à elle, que son chien avait tenté un jour de la lécher et que par amusement, elle l’avait laisser faire et qu’elle avait eu beaucoup de plaisir,&,&,&,&.

— Elle avec son chien ! Tu vois, je m’en doutais, c’est pour ça que je t’ai parlé de son chien.

— Je ne sais plus où j’en suis Maman, je me demande si je suis malade, obsédée, nympho ou je ne sais quoi et si je ne devrais pas aller voir un psy, mais j’ai peur qu’en lui racontant ça, il me fasse enfermer.

— Non tu n’es pas malade, ni tout ce que tu dis. Tu es jeune, tes hormones travaillent et je ne te dirais pas que c’est normal mais c’est pas grave en soit.

— C’est ce que tu dis, mais je ne peux plus passer devant Mambo sans le regarder d’une étrange façon et j’ai peur d’aller seule chez la voisine. Je ne sais pas comment je réagirais cette fois si les chiens étaient encore devant chez elle.

— Dis moi la vérité ! Tu l’as fait où pas ?

— Quoi ! l’amour avec Mambo ou avec l’autre ?

— Oui !

— Non ! je te jure, mais pourquoi cette question ? Je te l’ai déjà dit et je viens de t’expliquer : j’en crève d’envie, j’en suis obsédée grave, mais seule je n’oserai pas et ce n’est pas à Aurélie ou à sa mère que je vais demander de m’aider ; tu ne penses pas ?

— Non ! Surement pas. Il ne manquerait plus que ça.

— Mais toi Maman ! Réponds moi franchement.

— A quoi ! Je ne t’ai jamais menti ma chérie

— Je sais, mais tu ne m’as jamais rien dit, tu t’es toujours esquivée quand j’essayais d’aborder le sujet avec toi. Par contre, quand j’ai vue ta réaction et de la façon que tu regardais Mambo l’autre soir, depuis je me pose certaines questions

— Quelles questions ? Et te dire quoi ! Je suis ta mère, pas ta copine n’oublie pas et je ne suis pas obligée de te dire tout ce que je fais.

Cette fois je la sentais paniquer completement. Elle commençait à se rendre compte que les évènements prenaient une autre tournure. Qu’après les aveux (mensonges bien entendu) que je venais de lui faire, elle allait devoir me dire la vérité ou bien comme d’habitude se défiler et dieu sait quand on pourrait reprendre cette conversation.

— Voilà ! Mambo ! Il n’a jamais essayé avec toi ? Tu n’as jamais eu envie de le laisser faire ?

Ouf !!!!!! J’étais soulagé de l’avoir provoquée. Peinée de lui raconter tous ces mensonges, mais heureuse de voir la panique qu’il y avait dans ses yeux, car maintenant elle me devait la vérité. Ça y était, j’avais osé ! Je lui avais demandé et le tremblement qui secouait ses mains me faisait comprendre que ça bouillonnait dur en elle.

— Tu ne réponds pas ? Tu as honte de me dire si c’est oui ou non ! Au point où nous en sommes toutes les deux, je pense que nous n’avons plus rien à nous cacher. Si c’était non, ce serait dommage, car je le sens très proche de toi et toi de lui et si c’était oui, ce serait génial pour vous deux.

— Tu es affreuse avec toutes tes questions. Tu as raison ! Tu es une obsédée ou nympho. Et bien oui tu es folle, oui il a essayé et oui je l’ai laissé faire et oui j’ai aimé. Comme toi ! C’est bon maintenant avec tes questions, tu es contente.

J’avais enfin gagné. Me relevant, je posais un baiser sur le bout de son sein qui était dur comme de la pierre, tout en glissant une main entre ses cuisses qu’elle écarta sans aucune résistance. Elle était à moi, elle m’appartenait. Son sexe était une vraie fontaine « comme le mien d’ailleurs », car tout ce que je venais de lui raconter, m’avait beaucoup émoustillée. Puis ramenant mes doigts gluants à ma bouche, je finalisais

— Et c’est tout ?

— Comment ça, c’est tout !

— Et bien je ne sais pas ! Tu n’as jamais eu envie d’aller plus loin, il n’a jamais essayé de te faire comme à moi ? Et les autres chiens ce matin ! Ils n’ont pas essayé de te sauter dessus ?

— Que veux tu que je te réponde !

— Tout ! toute La vérité Maman !

— Et bien oui il a essayé ! Et c’est oui aussi pour les autres chiens.

Maintenant laisse moi tranquille, je ne répondrais plus à aucune de tes questions.

Maintenant j’étais face à elle, les yeux au fond des siens pour lancer la dernière estocade.

— Tu m’as dit que tu ne mentais jamais ! Et bien moi, je suis sur qu’en ce moment tu le fais, mais comme dit le proverbe « qui ne dit rien consent ». J’en déduis donc que tu es allée plus loin. T’es trop « top » toi, Je t’aime Maman

Elle était à ma merci et elle le savait. Elle n’avait plus aucune réaction, alors m’avançant pour poser ma bouche sur la sienne, dans un souffle je lui dis

— Tu m’aiderais à le faire si je te le demandais ?

Le coup de grâce !

Le souffle court, ses lèvres collées aux miennes, sa langue cherchant la mienne :

— Comment ça t’aider ! A faire quoi ? Toi et Mambo ?

— Oui ! Toi, lui et toi : moi et lui. toutes les deux avec lui, ce serait super non !

Je sais que je ne résisterai plus longtemps et un jour, je me laisserai faire par lui ou par les autres. Alors ce serait bien si c’était toi qui m’aiderait à le faire , sinon je pense que je demanderai à Aurélie de le faire. Elle se fera une joie d’accepter depuis le temps qu’elle m’en parle. Mais après ça, je serais toute à elle, je serais sa chose, son objet et elle pourra faire de moi ce qu’elle voudra, je ne pourrai plus rien lui refuser. Tu aimerais que je lui appartienne ?

Maman ! Je voudrais être cette chose, ta chose. Obéir à tous tes caprices, toutes tes envies. Etre là quand tu aurais envie de prendre du plaisir, te donner du plaisir.

— Oui ! que tu sois mon esclave !

C’est le mot que j’entendis, sa bouche collée à mon oreille et la seule réaction qu’elle eut, ce fut celle d’enjamber mon corps, posant son sexe trempé sur mon ventre.

— Attendre attacher à mon lit que tu rentres pour que tu jouisses de moi à ta guise. Que tu me donnes à qui tu veux, à tes amants, à tes maîtresses.

— Oh oui ! à toutes mes amies

Ses seins contre les miens, elle me bécotait la bouche doucement et dans un souffle elle me dit :

— Oui continue !

Sa bouche descendait le long de mon corps, happant au passage un téton, le mordillant, léchant le mamelon et quand ses lèvres se posèrent sur le bouton turgescent de mon sexe, je savais que je venais de gagner.

Sa langue léchait mes poils trempés, fouillait, avalait le nectar qui coulait de mon vagin. Mon dieu comme c’était bon

Relevant son visage, la bouche dégoulinante de cyprine :

— Parle moi encore mon amour !

Le corps arqué, les cuisses ouvertes, le ventre en feu à la limite de l’explosion, je répondis à sa demande :

— J’ai besoin de ton aide pour me faire prendre par Mambo ou les autres. Ce serait super si tu m’aidais. Avec toi je ferais n’importe quoi, je ferais ce que tu voudras, je serais ton esclave tu seras ma maîtresse. J’accepterais tout de toi. Alors ?

Je lui disais ça, mais en fait c’était elle qui allait être mon esclave si c’était gagné et je savais que je venais de gagner. Son corps était recouvert de sueur, elle tremblait de froid, de peur.

Elle était perdue, elle ne résistait plus, elle était à moi, j’avais gagné.

— Oui ! Je le veux. Oui il m’a léchée, oui il m’a baisée, Oui je vais te donner à lui. Si tu savais depuis le temps que j’ai envie de te voir avec lui, tu me maudirais de ne pas l’avoir fait avant.

Sa réponse se confondit au cri de jouissance qui venait de sortir de ma gorge : cri qui aurait réveillé mon père si elle n’avait pas poser sa bouche gluante sur la mienne. Bouche que je m’empressais de lécher.

— Je t’aime mon bébé.

Je fondais d’amour à chaque fois qu’elle m’appelait « son bébé »

— Quand ?

— Quand quoi !

— Quand me donneras tu à lui ! Maintenant, regarde il est au pied du lit et il n’attend que ça ! Je t’en prie, rien que sa langue sur ma chatte en feu

— Mais tu es folle. Il y a ton père. La semaine prochaine, encore deux jours de patience.

— Non ! Maintenant, s’il te plait

Elle se décolla de moi, appela Mambo qui se fit un plaisir de sauter sur le lit et écartant mes cuisses de ses deux mains, elle offrit ma chatte gluante de sa salive et de cyprine à sa gueule affamée. Sa langue avide, me léchait, happait le jus qui coulait, glissait entre mes fesses que Maman tenait fortement écartées et quand elle se posa sur mon bouton aussi dur que de la pierre, je ne pus retenir plus longtemps la jouissance qui ma taraudait le ventre.

Le plaisir était encore plus grand, par l’offrande que Maman faisait de mon corps à son amant.

Je n’en revenais pas avec quelle vitesse il m’avait faite jouir. Je pense que la présence de Maman près de moi y était pour beaucoup

— Maman ! je t’aime. Je le voudrais dans le ventre.

— Non ! Ce serait beaucoup trop long et il faut que je te prépare pour ça. Tu ne peux pas savoir à quel point c’est long et bon avec lui.

Tout en continuant à me parler, elle avait repoussé la gueule de Mambo et avait posé sa bouche là ou il y a deux secondes il y avait sa langue.

Pendant qu’elle me lavait le sexe avec sa bouche, je la caressais, tripotais ses fesses et quand ma bouche vint enfin se poser sur les lèvres trempées de son sexe, elle se laissa aller à une jouissance longtemps retenue, inondant ma bouche du nectar divin qui coulait abondamment de son ventre

C’est dans cette position, ma bouche collée à son ventre, la sienne enfouie entre mes cuisses, que je l’entendis haleter, tentant de me repousser de toutes ses forces, qu’elle se mit enfin à jouir

— Non ! attends lundi, Je veux qu’on soit tranquille

La bouche recouverte de cyprine, je ne l’écoutais plus, je n’avais qu’une envie, celle de la boire encore et encore et de la faire jouir dans ma bouche. Il fallait que j’éteigne le feu que j’avais allumé dans son sexe. Je regardais son ventre trembler, à la limite de l’explosion.

— je t’aime ! me dit elle dans un râle, le corps secoué par les spasmes de la jouissance. Arrête !!!!!!! Je n’en peux plus

— Moi aussi je t’aime.

Ma tête posée contre son ventre recouvert de sueur, je la sentais qui cherchait son souffle. Moi je n’en pouvais plus d’avoir autant joui.

— Tu m’épileras aussi la semaine prochaine ?

— Oui, promis ! Allez, je te laisse. Il va falloir que je me prépare. Tu n’es pas trop déçue quand même ?

— Non ! elle est trop belle toute nue. J’ai hâte de savoir l’effet que ça fait. Je ne vais pas en parler à Aurélie, sinon elle va vouloir m’épiler elle même et je veux que ce soit toi

— Merci ma chérie. Tu ne tentes rien avec Aurélie. Promet moi !

— Tu as peur ! pour Mambo, je te promets Maman que je me réserve pour toi, que c’est toi qui me dresseras, rien que toi. Tu verras, je serais une très bonne élève et je sais que tu seras une bonne enseignante. Par contre pour le reste, je ne te garanti rien, Aurélie en veut toujours plus et je l’aime. Alors !

— D’accord pour le reste ! Au juste, as tu déjà eu des rapports avec un garçon ?

— Pourquoi ! C’est important. Oui, un seul et c’est amplement suffisant! Et je ne recommencerais jamais.

— Oui c’est important. Très important même. Tu verras pourquoi je t’ai demandé ça.

Je me doutais bien pourquoi elle me posait cette question. La pauvre !!!!!! S’il elle savait. Même par derrière, je n’étais plus vierge et j’allais en profiter un « max »…

Elle allait sortir de la chambre, quand elle se retourna vers moi :

— Chantal ! J’oubliais de te dire d’aller aider Monique cet après midi et demain. Tu sais, elle n’est pas encore valide et elle a encore besoin de nos services et surtout n’oublie pas de ramener le jouet que tu lui as emprunté avant qu’elle ne s’en aperçoive et fait attention aux chiens. Tu peux encore attendre n’est ce pas

— Ok ! Avec joie, lui répondis je en lui faisant un clin d’oil, regardant Mambo qui la suivait comme son ombre. Heureusement que tu m’en parles, j’ avais complètement oublié. J’avais l’impression qu’il m’appartenait

— Maman, encore une chose ! Celle pour qui tu t’es épilée !!!!!! C’est Nathalie ?

Elle m’avait donné tout ce que j’attendais d’elle. Elle m’avait donné tout ce que je pouvais désirer et moi je continuais à la persécuter. J’étais salope à fond, mais il fallait que je sache.

Le visage aussi blanc que de la craie, elle me regardait bien en face

— Je ne te dirais plus rien.

— Rappelles toi du proverbe Maman. Lui dis je en rigolant

— Tu penses ce que tu veux.

— Alors c’est oui.

Elle ne me répondit pas, enfila sa jupe sans remettre sa culotte, qu’elle me jeta du pied en plein visage. Je l’attrapais, la portais contre mon nez pour humer les odeurs que son sexe avait déposé et je lui envoyais un baiser avant qu’elle ne referme la porte

J’allais retrouver « Nalla » et j’allais pouvoir me frotter de nouveau contre elle, me recouvrir de ses odeurs et qui sait !

Si la chance était avec moi, peut être que mon violeur serait encore là ce soir et malgré la promesse faite à Maman, je le ferais rentrer à la maison et je me donnerai à lui. A défaut, ce sera avec Mambo, non pas qu’il le méritait, mais je savais qu’avant d’aller dormir il me faudrait quelque chose de dur et très gros dans mon ventre. Pour le moment mon anus était encore trop fragile pour que j’envisage quelque chose avec lui. Pourtant ce n’était pas l’envie qui me manquait, j’avais tellement aimé ce matin avec l’autre.

Avant de partir, profitant que Papa était déjà dans la voiture, Maman me prit dans se bras, posa sa bouche sur la mienne, me prit la main pour la poser sur le devant de son pantalon et tout en me caressant mes fesses, elle me dit qu’elle avait laissé une surprise dans le tiroir de sa commode.

— C’est quoi ?

— Tu verras !

— Et alors ! Comment tu es sous ton « jeans » : tu as une culotte ou pas ?

Elle avait posé un « jeans » super moulant sur ses fesses et quand je la regardais virevolter devant moi, je ne pouvais m’empêcher de penser à son sexe frottant le tissu rêche.

— Rien ! C’est trop bon. Le tissu contre mes lèvres, c’est divin. En plus je ne me suis pas lavée et je suis encore toute excitée par ta faute ! J’espère que je ne le mouillerai pas.

— Si Papa, s’en aperçoit, il va te sauter dessus : lui dis je en éclatant de rire.

— Il peut se taper. Il ne faut pas qu’il rêve. Elle n’est plus à lui il y a belle lurette tu sais ! Il a sa vie, j’ai la mienne et tout et beaucoup mieux comme ça

— Elle est à moi ?

— Entre autre oui !

— Tu me diras à qui d’autre tu la donnes ?

— Oui ! Je t’ai promis ma chérie.

Mes parents partis, je me précipitais dans sa chambre, ouvrais la commode pour voir sa ceinture god posée sur ses sous vêtements avec un petit mot collé dessus.

— Pour vous deux, pour ne pas que tu aies d’autres idées! Amusez vous bien en pensant à moi. Je vous aime

Ce n’était pas la même ceinture que celle que j’avais trouvée. Combien de jouets avait elle donc !

Celle là avait un autre godemiché plus petit à l’intérieur, juste à l’emplacement du sexe avec des picots qui étaient placés juste là où devait se trouver le clitoris. Me rappelant ce que m’avait dit Aurélie concernant Maman, je compris qu’elle ne devait pas s’ennuyer avec « sa » ou ses « copines ». D’ailleurs elle me l’avait avoué elle même

Maman était un amour : Elle avait pensé à Aurélie et à moi, n’ayant pas oser me la montrer avant, de peur que je veuille l’essayer avec elle ou que je lui demande qu’elle me fasse voir comment m’en servir.

Vite, j’appelais Aurélie, espérant qu’elle serait la. J’avais besoin de lui dire que pour Maman et moi c’était dans la poche. Que j’avais réussi à lui faire avouer ce qu’elle faisait avec Mambo et certainement avec d’autres chiens aussi. Il fallait que je lui raconte aussi qu’elle avait aussi une autre femme dans sa vie, mais j’éviterai de lui dire que je pensais que c’était peut être sa mère.

Dommage! Elle n’était pas chez elle. Je regrettais ! J’aurais tant voulu qu’elle puisse voir ce que Maman nous avait prêté.

Toute nue devant la glace de l’armoire de Maman, je me mis la ceinture autour de la taille, positionnais le petit dans mon ventre gluant d’envie. La main autour du Priape, je n’arrivais pas en faire le tour avec mes doigts, tellement qu’il était gros. Et quelle longueur !!!!

Je riais, me promenait avec cet énorme sexe entre mes jambes imaginant la tête qu’allait faire Aurélie quand elle me verrait accoutrée de cet engin. Je me demandais qu’elle sensation on pouvait ressentir en se faisant défoncer par une telle queue.

Tenant fermement le « god » de mes deux mains, je faisais glisser mes mains le long de la hampe, comme si c’était le sexe d’un homme, imaginant Aurélie derrière moi, présentant le gland devant mon anus. Mon clito frottait aux picots et la sensation était féroce. Cette situation nouvelle pour moi, me rendait hystérique, je la voyais accrochée à mes hanches, s’enfonçant brutalement entre mes reins et mimant la pénétration je me mis à trembler, laissant le d&eacute

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