Dimanche treize heures, je suis dans la grange, impatient, je me mets nu, ouvre un battant de la porte. Il est trop tôt, mais j’attache le poids à mes couilles. Je fouille dans les tiroirs et les caisses. Être nu, un poids aux testicules, m’excite, je suis en érection. Les minutes s’écoulent, treize heures trente. Je lubrifie mon cul et le gode, que je m’enfonce dans l’anus, il est vraiment gros j’ai des difficultés à le faire entrer entièrement, j’insiste, ça y est, il est en moi.

J’avance sur le chemin, les jambe écartées, pour éviter le poids, qui cogne sur mes tibias, je suis à l’endroit où j’étais hier, je mets la cagoule, ferme les menottes sur mes poignets. J’attends, c’est long, j’entends des pas, quelqu’un me bouche les oreilles, je suis dans le silence total. On tire sur mes couilles, j’avance je ne sais pas vers quoi. Je suis complètement coupé du monde, Quelque chose me pique les jambes, le ventre, le sexe et les fesses, je suis dans les orties, le poids est lâché brusquement, mes testicules balancent, entraînées par le poids.

Je n’ose pas bouger, si j’avance je me pique, quelqu’un me saisit un bras, m’aide à sortir des orties, j’ai tout le bas du corps, jusqu’au milieu du ventre, qui me pique. Mes mains sont détachées, Je suis poussé, pour m’obliger à me mettre à quatre pattes. On me place un collier et une laisse, quelqu’un tire pour me faire avancer, quelques coups de baguette sur les fesses et les couilles, m’oblige à aller plus vite, quelqu’un monte à califourchon sur mon dos, me donne quelques coups sur les fesses avec le plat de la main.

On me fait asseoir sur l’herbe, les jambes allongées et écartées. Le gode s’enfonce à fond en moi, mon sexe est soulevé, par une traction sur la corde, qui supporte le poids. Un objet froid est placé sous mon sexe (certainement une pierre plate) puis il est piétiné, la corde est maintenue tendue, pour empêcher mes couilles de s’échapper quand un pied s’appuie dessus. Ces humiliations durent un long moment.

Enfin on me met debout, j’ai les mains attachées en hauteur, une de mes jambes est soulevée et la cheville est attachée à hauteur de ma tête, la deuxième jambe subit le même sort. J’imagine le spectacle que je donne devant des inconnus. Un poids aux testicules, l’anus distendu par un gode. Quelquun me palpe les couilles, le poids est remplacé par un plus lourd. Le gode est retiré brusquement, je me sens ouvert. Emilie vient de me retirer la cagoule, mais pas les bouchons dans les oreilles.

Trois jeunes filles, du même âge qu’Émilie, sont devant moi et m’observent. À cette vue, j’ai une érection, Une des filles s’avance, prend mon sexe et me masturbe, lentement. Émilie enfile un gant de latex, enfonce un doigt dans mon anus, palpe l’intérieur à la recherche de la prostate, la fille qui me masturbe lâche mon sexe. Émilie trouve et commence me masser la prostate, quelques instants plus tard, elle passe le relais a une autre fille.

Dix minutes plus tard, un plaisir diffus m’envahit, je suis surpris de voir mon sperme s’écouler sans orgasme. Cela coule lentement, sans saccade. Émilie prend mon sexe à la base, serre et fait coulisser sa main, le long de ma bite, le reste de sperme sort, elle me trait comme elle le ferait avec le pis d’une vache. J’ai éjaculé sans véritable plaisir physique. L’humiliation est totale, devant ces quatre jeunes femmes, habillées, QUEL PLAISIR, mais où ont-elles appris cela ?

Elles discutent, je n’entends rien de ce quelles disent. Je les vois partir, me laissant seul, oreilles bouchées, suspendu sur la charpente de la grange, avec la porte grande ouverte. Le temps passe, je commence à douter de les voir revenir, mes couilles pendent a plusieurs centimètres sous moi, elles me font mal, j’aimerais enlever le poids, les mouvements que je fais pour me détacher les mains, ne font que le faire balancer. Je tourne la tête vers la porte, Marie apparaît dans l’encadrement, elle me parle, je n’entends rien. Elle débouche mes oreilles, enfin j’entends !

Comment trouves-tu les copines de ma fille, elles sont belles, tu as eu de la chance, Émilie les avait invitées pour deux jours. Malheureusement, Martine devait être rentrée pour dix huit heures et elles ont une heure de route. Tu as aimé le massage de ta prostate, c’est moi qui leur ai expliqué comment faire.3. «

« S’il vous plaît, détachez moi, mes couilles font mal ! »

« Émilie dit au revoir à ses copines, elle revient, on va attendre un peu, je vois que ton cul est libre, je vais remédier à cela ! »

Elle met un gant, enfonce deux doigts, va et vient, met ses doigts en forme de cône et enfonce, lentement, avec un mouvement de recul, avant chaque progression, Emilie arrive, au moment où la main de Marie entre entièrement.

« Tu est longue, tes copines, vont être en retard ! »

« Sabine n’en revenait pas de l’avoir vu éjaculer de cette façon, simplement en lui caressant l’intérieur du cul, elles sont partantes pour une autre séance ! »

Marie, la main toujours enfoncée en moi, se retourne et dit :

« Si Paul veut bien, on peut organiser une autre séance, mais pas dimanche prochain, j’ai d’autres projets ! »

« Tu as réussi à enfoncer la main entièrement, je peux essayer ? »

Marie retire sa main, Émilie met un gant et commence l’intromission, sa main entre au premier essai. Il est vrai que maintenant, je suis grand ouvert.

« Il a osé me demander de retirer le poids de ses couilles, cela mérite une punition, Emilie, as-tu une idée ? »

« Si on lui donne des coups de baguette, sur sa verge et ses couilles, dans la position où il est, ça va être facile ! »

Émilie sort sa main de mon cul, prend la baguette que j’ai coupée hier et commence à frapper mes couilles distendues et mon sexe qui pend lamentablement, ce qui provoque le balancement du poids, cela devient insupportable. Jaimerais arrêter, mais je n’ose rien dire, car cela aurait pour conséquence de prolonger mon supplice.

« Tu peux arrêter (Et s’adressant à moi) Pour la fin de semaine prochaine, j’ai invité quelques copines, c’était prévu de longue date, je n’imaginais pas te rencontrer, je vais profiter de toi pour leur faire une surprise, es-tu d’accord ? »

Pressé d’être détaché, je dis oui, elle vient vers moi, elle va me libérer. Non, elle relance le poids et part rassembler ses affaires, ferme son sac, revient vers moi, me détache une jambe, puis la seconde, ouf, j’ai les pieds qui posent sur le sol. Elle va s’assoir dans la paille près d’Émilie et dit :

« Tu penses qu’il plaira à mes copines, j’aurais préféré qu’il soit plus jeune ! »

« Il est pas mal, il a un gros sexe et il aime être humilié ! »

« Il bande dur et avec une petite pilule, il tiendra toute une journée ! »

Elles font exprès de faire durer le plaisir (pour elles). Leur conversation est humiliante, plus que de me faire enculer en public, en attendant, j’ai les couilles qui supportent quatre kilos. Elles s’avancent toutes les deux, elles me détachent les bras. Mes mains se dirigent vers mon bas ventre.

« Non, attends que nous soyons parties, samedi, mes copines arrivent vers seize heures, sois-là une heure avant pour te préparer, tu es bon bricoleur, fais-moi plaisir, fabrique quelques objets de torture à utiliser sur toi

Elles sont parties, je libère enfin mes testicules et je pense déjà a samedi, j’ai une semaine pour essayer de résoudre mes problèmes et fabriquer les objets demandés.

Le lundi soir, je trouve dans ma boite à lettres, un mot de Marie.

Mes copines seront sept, tu va aimer, imagine neuf femmes pour te faire souffrir. Fabrique de quoi te comprimer les couilles et de les étirer avec une vis réglable, pour le reste, fais comme tu veux… !

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