Etudiante en première année à la fac de droit, Annabelle avait réussi à se faire embaucher pour les mois de juillet et aout. C’était une brunette aux cheveux bouclés, avec une bonne petite frimousse, toujours souriante. Physiquement elle était comme on dit : un peu plate, portant toujours des pantalons persuadée qu’elle n’avait pas de jolies jambes.

Toujours est-il qu’elle avait quand même un beau petit cul. Le fait qu’elle soit " un peu plate ", suivant sa façon de se tenir et de porter toujours des pantalons serrés faisait bien ressortir le renflement de son pubis. Au lit avec elle, allongé entre ses cuisses à lui faire l’amour, l’expression " taper dans la motte " prenait tout son sens.

Dès le deuxième jour entre 12h et 14h nous sommes allés manger un sandwich dans la nature, toujours à l’ombre de mon bosquet d’arbres favori, à l’abri d’éventuels regards indiscrets.

Alors que nous discutions, que je n’avais fait aucune tentative d’approche, se tournant vers moi, Annabelle m’embrassa. Ses lèvres contre les miennes elle introduisit lentement sa langue dans ma bouche et m’offrit un long baiser alors que je ne m’y attendais pas, mais auquel je répondis immédiatement.

Je me penchais à mon tour sur elle faisant basculer le dossier du siège passager en position couchette. Tout en continuant cet échange de baiser ma main partit à la rencontre de sa poitrine en déboutonnant son chemisier. En la caressant, une main dans son dos je dégrafais son soutif et le remontais afin de mettre à l’air libre ses petits seins. Ils étaient petits mais chacun tenait quand même dans la paume de ma main. Ses tétons étaient petits et je prenais plaisir à les faire rouler entre le pouce et l’index lui arrachant au passage de petits gémissements.

Annabelle me laissait faire, j’en profitais pour faire courir mes doigts sur ses flancs provoquant une chair de poule et faisant saillir encore plus ses petits bouts de seins.

Délicatement en suçant ses tétons, de ma main gauche je déboutonnais son jean que je fis glisser jusqu’à mi-cuisses ne lui laissant que sa petite culotte blanche. Petite culotte sous laquelle se dessinait un beau triangle noir. Sous mes caresses son ventre se creusait faisant encore plus ressortir la bosse de son pubis.

En franchissant lentement la frontière de l’élastique de sa culotte je me retrouvais au contact d’une toison très fournie et très frisée. Je jouais du bout des doigts dans sa toison frisée, son ventre se soulevait à la rencontre de ma main. Annabelle était jeune, 19 ans, et ne devait pas avoir une grande expérience sexuelle. Ne voulant pas la brusquer je progressais lentement malgré mon envie d’explorer au plus vite l’intérieur de sa chatte afin de savoir si sa mouille était coulante ou gluante. La culotte suivit le même chemin que son jean, je repoussais le tout jusque sur ses chevilles. Ses jambes repliées me donnaient un accès plus facile à son entrejambe.

Les poils bordant ses lèvres étaient humides. Je commençais à insérer lentement mon index entre les bords de sa fente cherchant l’entrée de son vagin. L’intérieur de la corolle que formaient ses petites lèvres gonflées était gluant. Je faisais tourner le bout de mon doigt lentement à l’entrée de son vagin, Annabelle s’ouvrait et se soulevait pour une caresse plus intime et plus profonde.

Je glissais la première phalange, puis la deuxième, et enfin mon index tout entier dans son vagin. Annabelle gémissait, son ventre se soulevant au rythme du mouvement de mon doigt qui tournait dans son fourreau débordant de mouille. Retirant mon index je replongeais en elle toute la longueur de mon index et de mon majeur réunis élargissant au passage son fourreau. Annabelle émit un petit cri.

— Je t’ai fait mal ?

— Oh non

Je continuais à bouger mes deux doigts dans son vagin de façon lente et régulière, les repliant par moment pour toucher cet endroit que l’on appelle le point G. Annabelle respirait de plus en plus vite. J’avais une méchante envie de remplacer mes doigts par ma queue car je bandais comme un âne.

Sentant son plaisir venir, elle a saisi mon poignet m’empêchant de me retirer de sa chatte. Je bougeais mes doigts de plus en plus vite, Annabelle se mit à pousser de longs gémissements, jouissant en laissant échapper des

— Aaahhh ! Aaahh ! Aaahh !……………..

Après un moment de récupération elle rouvrit les yeux et déposa un baiser sur mes lèvres et je restais sur ma faim.

A son tour Annabelle se pencha sur moi déboutonnant ma chemise. Elle caressait ma poitrine du bout des doigts descendant lentement vers ma ceinture. A son hésitation pour ouvrir mon pantalon il était évident qu’elle n’avait jamais mis la main dans le slip d’un homme, encore moins tripoté une queue ou une paire de couilles.

Je l’aidais en faisant glisser mon pantalon sur mes chevilles. Elle n’osait pas plonger son regard vers mon sexe en érection alors que dans cette situation toutes les autres femmes que j’avais connues me prenaient la bite en main, jouaient un peu avec mon prépuce et regardaient l’engin qu’elles allaient se prendre ou sucer. J’ai guidé sa main autour de ma tige, elle a regardé furtivement mon gland décalotté, replongeant ses yeux dans les miens.

Elle avait perdu son pucelage avec un copain d’enfance, mais ce jour-là et les quelques fois suivantes elle n’avait dû qu’écarter les cuisses et se laisser prendre sans aucune initiative de sa part.

— C’est la première fois ?

" Oui " me répondit-elle, les joues rouges.

— Fais comme tu veux

Lentement son visage descendit vers mon sexe, elle me tenait la queue comme on tient un cierge, sans me branler. Elle déposa un petit bisou sur le gland, ouvrit un peu ses lèvres le caressant de la pointe de sa langue.

Main dans ses cheveux je n’attendais qu’une chose : qu’elle me prenne en bouche, je n’en pouvais plus. Après quelques secondes interminables sa bouche s’ouvrit enfin et se referma sur mon gland dilaté.

Elle était douce et délicate, faisant attention à ses dents, mais ne bougeait presque pas. Tout en caressant sa tête et son cou je commençais de lents mouvements de va-et-vient dans sa bouche. Elle ne bougeait plus et me laissait me servir de sa bouche comme je me serai servi de son vagin pour mon plaisir. Sa bouche était chaude et baveuse, un peu de sa salive coulait sur ma queue. Je profitais de la situation, baisant sa cavité buccale à mon rythme.

— Caresse-moi

De sa main en coupe entre mes cuisses elle me palpait les couilles un peu maladroitement, mais sa caresse restait agréable.

Je sentais mon plaisir venir, dans ces occasions là je prévenais toujours ma partenaire de l’imminence de mon éjaculation. Je décidais de ne rien dire, histoire de voir sa réaction de novice.

— Prends-moi un peu plus

Docile Annabelle s’exécuta, maintenant j’arrivais à toucher ses amygdales lors de mes va-et-vient. J’avais les couilles sous pression, dures et bien remontées, signe de mon éjaculation imminente.

Je caressais sa tête de plus en plus fermement, pas question qu’elle se dérobe au dernier moment et que ma semence jaillisse dans le vide.

Annabelle n’avait jamais sucé, donc elle ne connaissait ni le goût du sperme ni le nombre de giclées que je pouvais lâcher quand on me faisait une pipe. J’allais lui en faire la surprise.

Ne pouvant plus me retenir, dans un dernier va-et-vient je m’enfonçais dans sa bouche à lui toucher le fond du gosier et me laissais aller.

Annabelle esquissa un mouvement de recul à la première giclée, mouvement de recul que je maitrisais en appuyant sur sa tête afin de rester dans sa bouche et que mes testicules se vident de la totalité de leur contenu à fond de gorge. Ma queue tressauta encore quatre à cinq fois dans sa bouche libérant ma semence en jets saccadés.

Annabelle toussa, sétrangla, mais avala tout.

Lâchant mon sexe elle se redressa, s’essuya et :

— Salaud, t’aurais pu prévenir !

Je la regardais avec un petit sourire, satisfait de moi car elle ne devait pas s’attendre à se faire rincer les amygdales de façon aussi abondante.

Mais ce n’est pas parce qu’Annabelle fut surprise par mon éjaculation que le lendemain elle ne me fit pas une autre fellation. Au contraire elle prit goût à la chose, prenant plus de temps pour jouer avec mon sexe, me palper les testicules et me tailler chaque jour une pipe plus longuement en s’y prenant de mieux en mieux.

Je ne sais pas si elle a continué une relation avec son copain d’enfance et si elle l’a sucé, si c’est le cas il a dû trouver du changement dans le comportement d’Annabelle.

J’en étais arrivé à beaucoup plus qu’un simple doigté, avec toujours l’espoir de pouvoir la pénétrer. Je faisais tout pour exacerber ses sens. Chaque jour quasiment j’arrivai à lui retirer pantalon et culotte, chemisier déboutonné, soutif remonté, les pieds sur le tableau de bord, fente bien ouverte, ses petites lèvres formaient un entonnoir et je jouais avec les replis de sa vulve. J’y passais et repassais mes doigts, frôlais le petit bourgeon sorti de son cache, effleurais l’entrée de son vagin y trempant juste le bout de mon index pour lexciter, mais rien ny faisait elle refusait toujours d’être pénétrée.

Mon bras droit dans son dos, suçant ses petits bouts, son bras gauche autour de mon cou, main droite crispée sur l’accoudoir, avec parfois trois doigts enfoncés dans sa chatte je fouillais son ventre au plus profond de son intimité provoquant son orgasme.

Arriva le 14 juillet et son pont. Cette année-là, entre la dernière pipe d’Annabelle entre 12h et 14h et la suivante il allait se passer cinq jours complets. Je décidais de faire abstinence en espérant que ma femme n’ait pas envie de baiser.

Tout se passa comme prévu et c’est les couilles bien pleines que je retrouvais Annabelle.

J’avais et j’ai toujours une belle paire de couilles, à partir de trois jours d’abstinence mon éjaculation est plus abondante, ma semence est grasse et épaisse, presque de la gelée ; c’est dire ce que cela allait être après cinq jours complets d’abstinence.

Nous étions à notre endroit habituel, j’avais doigté Annabelle, à son tour elle allait me faire du bien. Pantalon sur les chevilles j’exhibais une belle érection.

— Elles me semblent gonflées, dit-elle, soupesant mes testicules.

Faisant l’innocent

— Mais non, c’est parce que ça fait cinq jours que tu ne les as pas touchées.

Sur ce elle commença à me sucer lentement, prenant tout son temps comme si elle dégustait une grosse boule de glace. Avec le bout de sa langue elle faisait le tour du bourrelet, revenait sous mon gland, me reprenait en bouche à fond de gorge, m’excitant au plus haut point. Je n’avais plus besoin de lui appuyer sur la tête, elle avait pris goût à me pomper et me gardait en bouche avalant ma semence jusqu’à la dernière goutte, d’autant plus que dorénavant je la prévenais avant d’éjaculer.^

— Je sens que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps, prends moi bien

J’ai senti qu’Annabelle se concentrait sur le plaisir qui montait en moi, elle avait dû sentir les prémices de mes contractions et me gobait entièrement.

— Annabelle, je……………………

Top tard, Annabelle m’avait pris à fond de gorge et je me vidais dans un râle de plaisir de cinq jours d’abstinence.

Elle déglutissait au fur et à mesure, je ne dirai pas mes giclées car mon sperme devait être très épais, mais plutôt mes longues coulées de semence.

Elle ne relâcha ma queue qu’après que plus rien n’en soit sorti. Elle y avait mis tout son savoir pour me donner du plaisir.

— Eh bien dit donc, t’as fait le plein en quelques jours

Elle posa sa tête sur mon épaule, satisfaite du plaisir qu’elle m’avait donné et de m’avoir pompé jusqu’à la moelle.

Chaque jour je doigtais Annabelle, chaque jour Annabelle me pompait, sauf les week-ends où je baisais avec ma femme.

Arriva le 15 aout et aussi son pont de cinq jours, avec un sourire malicieux après m’avoir sucé Annabelle me dit :

— À la semaine prochaine

Je lui fis encore cadeau de cinq jours d’abstinence, et en grande gourmande elle me récompensa par une pipe fantastique.

Annabelle est la seule femme que je n’ai jamais baisée, ce n’est pas faute d’avoir employé tous les arguments possibles.

Après ces deux mois je n’ai jamais revu Annabelle, elle a disparu de ma vie comme elle y était entrée, par hasard.

Je ne cache pas que pendant quelques jours Annabelle et sa pipe quotidienne m’ont manqué, mais c’est la vie et je suis très vite reparti en chasse d’une autre chatte à découvrir.

Après réflexion je pense qu’Annabelle a eu d’emblée un petit faible pour moi, sans pour cela être amoureuse, que se faire doigter et sucer nétait le même engagement que de faire l’amour, avoir des orgasmes et aimer sentir la semence de son partenaire se répandre dans son ventre.

Six ou sept ans après, par hasard j’ai croisé son frère dans la rue, nous avons un peu discuté, il s’était toujours douté d’un quelque chose entre sa sur et moi. Juste avant de repartir chacun de notre côté il m’a dit :

— Au fait, Annabelle est mariée, elle a deux enfants

En moi-même je souriais, la jeune fille étudiante en droit que j’avais connue, qui se voulait libre et indépendante, avait succombé à la tradition du mariage et était mère de famille !

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