C’était une belle journée d’été, le soleil chauffant les plages du sud. J’étais en couple avec un garçon que j’appellerais Max. Nous étions jeunes, et bien qu’il soit d’un an mon aîné, j’étais presque plus coquine que lui, bien qu’encore vierge. Il était plutôt timide et plutôt introverti, et nous avions peur de sauter le pas de "faire l’amour", bien que nous en ayons tous deux très envie. Étant plus libérée que lui au niveau de tout ce qui était plaisir et luxure, je m’étais fixé un objectif en tête : le faire jouir en ma présence, et cette idée me tentait bien. Bien entendu, je ne m’attendais pas à faire les positions du Kamasutra mais j’espérais quand même faire quelques folies…

Nous avions très souvent l’occasion de nous voir car nous avions la chance d’habiter près l’un de l’autre. Une après-midi où le climat était doux sans être écrasant, je le persuadais de sortir avec moi. J’avais tout prévu. Habillée d’un chemisier léger qui laissait entrevoir mon maillot de bain par transparence et d’un short en jean, c’est cheveux en queue-de-cheval que j’allais toquer chez lui. Je le trouvais en t-shirt blanc et en jean noir déchiré, Converse aux pieds, prêt à sortir. En lui prenant la main, nous nous sommes dirigés vers un petit canoë pneumatique, afin d’aller vers notre endroit, un peu éloigné du reste des plages balnéaires.

Une fois arrivés, il m’aida à descendre de l’embarcation et nous nous installâmes sur les galets et rochers. Évidemment, c’est ici que je comptais mettre mon plan à exécution… Comme à chaque fois, nous nous embrassions, en premier lieu, simplement sur les lèvres, et en général, ça dégénérait en "French Kiss" digne des comédies à l’eau de rose dégoulinantes d’amour. Je commençais à me déshabiller quand je vis à ce moment-là qu’il ne me regardait plus de la même façon, comme absorbé. Je souriais intérieurement. Je retournais l’embrasser avec gourmandise quand, par "inadvertance ", ma main vint se glisser entre ses cuisses, caressant lentement son entrejambe. Je le sentis se tendre un peu, sans que pour autant il ne fasse le moindre bruit de protestation. Je me détachai et en le regardant, jouant avec ma bretelle.

— Je fais quoi de ça ? Dis-je en le regardant malicieusement, des étoiles plein les yeux.

Sans me répondre, il la baissa immédiatement et fondit sur mes lèvres. J’avais désormais la poitrine à l’air, sentant une légère brise caresser mes seins. Nous n’arrêtions plus de nous échanger des baisers enflammés, tandis qu’il le caressait allègrement le dos, ses mains me faisant l’effet de mille ailes de papillons venant titiller ma peau brûlante. Je sentais que j’étais excitée par le fait que le simple frottement de mon short contre mon intimité me faisant frissonner. Nous nous écartions légèrement:

— Tu veux faire quoi maintenant ? Lui demandais-je en reprenant mon souffle.

— Je sais pas, à toi de me le dire…

Coquine, je pris sa main et la posais sur mon sein qu’il commença à malaxer tandis que je lâchais un léger soupir de contentement, lui mordillant la lèvre inférieure. Nous sommes restés ainsi quelques secondes lorsque je le regardais dans les yeux.

— Tu veux que je fasse quoi ?

— Je sais pas…

— Réponds ou je fais rien…

— J’en sais rien, fais ce que tu veux.

— Tu penses que je vais faire quoi ?

— Bah… Me sucer ? Dit-il en rigolant, quasi-certain que je ne ferais rien.

— Oh… Intéressant… dis-je en passant une main sur son jean.

Pour être honnête, je ne voyais rien et étais persuadé qu’il ne ressentait pas un désir aussi intense que le mien. D’une main, j’ôtais sa ceinture et défaisais ses boutons, rompant le contact pour baisser uniquement son pantalon. Je dois avouer que lorsque j’ai eu l’audace de passer ma main sur son membre, je fus surprise de le sentir tendu, bien plus que la simple mi-molle à laquelle je m’attendais ! Ivre de désir, je commençais en premier à caresser par-dessus le sous-vêtement.

— Tu veux que je continue ? Demandais-je innocemment.

— Fais ce que tu veux, répondit-il, désireux de ne pas me brusquer et de toujours me laisser le choix, mais je voyais bien à son regard et à la dureté de ce que j’avais sous la main qu’il mourrait d’envie d’aller plus loin.

Je baissais alors de peu son boxer et vis le soldat au garde-à-vous, bien que le gland ne soit pas tout à fait sorti. Je commençais mes mouvements de va-et-vient tandis que nous nous embrassions. Il me regarda avec ses yeux marron débordant de luxure, avant de les refermer, profitant du moment et de toute la passion qui en découlait. Du pouce, je caressais l’extrémité, faisant descendre le prépuce sous le renflement si sensible. Avec une lenteur calculée, je descendis mon visage de plus en plus bas, rabaissant encore plus le sous-vêtement, de manière à avoir le vice en son intégralité. Je commençais par lécher, comme un petit chat lapant du lait, la tige de haut en bas, m’attardant sur le bout, tournant ma langue autour, tandis que je sentais toujours mon désir couler entre mes jambes. Une fois le tout bien lubrifié, je commençais à prendre la chose en bouche, faisant mes allées et venues.

Après quelques minutes de ce manège, je remontais, continuant à masturber mon partenaire, l’embrassant. Je le sentis pincer mes tétons, l’un après l’autre, s’attardant plus sur le gauche, le faisant rouler entre ses doigts pendant qu’il le mordillait les lèvres.

— Tu sais… Commença-t-il, je peux aller plus bas…

— Vas-y…

Il se réappropria mes lèvres pendant que sa main quitta ma poitrine pour aller chercher quelque chose d’encore plus défendu. Totalement mouillée, son majeur commença à coulisser le long de ma fente trempée alors qu’il m’embrassait du cou à la naissance de l’épaule, me faisant vibrer de plaisir. Il rajouta un doigt, et, alors que ma main coulissait toujours le long du vice, il toucha un endroit particulièrement sensible, le faisant lâcher un gémissement un peu plus fort que les autres.

— On dirait que j’ai touché un point sensible…

— Peut-être.

Il agita ses doigts à l’entrée de mon vagin alors que je continuais mon investigation. Je redescendis et me remis à le sucer, pendant qu’il effectuait une pression à l’arrière de mon crâne, caressant mes cheveux, et réappuyant dès que je remontais. Je m’attardais sur le haut et l’embrassais de nouveau. Il posa sa main sur mon sein.

— Tu veux que je fasse quelque chose ? Me demanda-t-il.

— Je sais pas… Tu peux faire plein de choses avec ta main droite…

Suivant la courbe de mes globes, il repassa ses doigts sur mon clitoris sensible.

— Ça te plaît de savoir que c’est toi qui m’excites à ce point…?

— Hum… oui…

Je sentais son sexe palpiter entre mes doigts.

— Je vais venir…

Je me hâtais alors de reprendre son membre dans ma bouche et lui appuyais, toujours doucement, sur ma tête.

— Aaaaaaaah… Fit-il alors que je le sentais se déverser dans ma gorge.

Je me retirais, continuant toujours à la masturber doucement afin de faire durer le plaisir, pendant qu’il m’embrassait. Après cela, nous nous sommes rhabillés pour rentrer car cela faisait bien une heure que nous étions en train de faire nos amusements sexuels, sans compter le déplacement. Alors qu’il remettait son t-shirt, puis qu’il vient m’échanger un ultime baiser, je lui dis:

— Tu sais maintenant ce que je vais faire en pensant à toi ce soir…

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