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Ou comment le jardinier est devenu "le Défricheur" – Chapitre 4




Ou comment le jardinier est devenu le « défricheur ». 4

Les femmes sont toutes les mêmes, même les nonnes !

Comme une trainée de poudre, l’information est passée de bouches de novice à oreilles de novice.

Suite :

Mais sur Madeleine avait si peur qu’elle refusait ma pine à chaque fois qu’elle effleurait sa vulve.

— Il va t’aider, mets-toi à genoux, pose les mains au sol et laisse-le uvrer, et toi beau jardinier, sers-toi de ton plantoir pour défricher cette jeune vierge mais sois délicat avec cette chair fraîche et innocente!

J’acquiesçai à sa demande et me mis entre les cuisses de la demoiselle, Je posais mes mains sur ses hanches et m’enfonçais lentement dans cette chatte si étroite. Sur Madeleine lâcha un petit cri.

Je continuai ma progression jusqu’à sentir la résistance de l’hymen. Son corps réagit à ma tentative de forçage et elle essaya de fuir devant l’intrus.

Contrairement à sur Marie et sur Henriette, le vagin de sur Madeleine était aussi étroit que son embouchure. Je décidai d’y aller franchement sans lui laisser le temps de réagir.

Mes deux mains tenant fermement son corps, je donnai un grand coup de reins perforant la barrière et m’enfonçai le plus loin possible avant de m’immobiliser.

 Sur Madeleine poussa un hurlement de douleur, essayant de fuir devant l’obstacle mais je la tenais fermement.

— AAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHH, AHHHHH Saint Mère de Dieu!!!! Ahhhh , ça fait trop mal, tu es trops gros! Ooohhh aïe aïe arrête, tu me fais mal! Oh je t’en supplie, ne bouge plus Oooh c’est terrible Pas tout de suite.

— C’est pas possible ! Tu vas la déchirer ! S’inquiéta Henriette pendant que je commençais à bouger dans ce vagin si étroit.

Mais en même temps, elle regardait fascinée ma grosse queue aller et venir dans l’étroit fourreau de son amie. Sa chatte s’était enfin adaptée à la pénétration de mon dard hors-normes ! Elle hurlait sans retenue maintenant.

Henriette la rassura en lui caressant la poitrine:

-Respire fort, ça va passer, la douleur va s’atténuer. Tu n’es plus vierge maintenant.

Madeleine respirait fort et son corps réagissait instinctivement quand ma queue venait buter un peu trop fort au fond de sa grotte.

Elle poussait un nouveau gémissement, suivit aussitôt par un petit cri à chacune de mes poussées. Je ressortais ma queue laissant réapparaître mon gland puis la pénétrais à nouveau très doucement.

 Elle était toujours crispée mais n’essayait plus de fuir devant mon bélier.

-Attend, laisse-moi m’habituer à ton boutefeu, tu es si gros, tu viens de me dépuceler pour toujours! Laisse monter mon plaisir, mon ventre commence à accepter ton formidable pieu et en redemande.

— Tu aimes, mon amour ?

— Oui Oh oui ! C’est bon, trop bon ! Je n’aurais jamais cru m’habituer si vite, tu me fourres maintenant avec facilité. Mon vagin accepte sans difficulté ton rostre.

 Mes mains sur les hanches voluptueuses, j’accélérais légèrement le rythme dans la chatte dilatée.

Le visage de sur Madeleine s’était transfiguré. Les grimaces de douleur s’étaient transformées en rictus de bonheur.

Henriette s’était rendu compte du changement et l’interrogea:

-C’est bon maintenant, tu ne regrettes rien?

Madeleine pris son temps avant de lui répondre dans un souffle :

-Oh non.Oh Mon dieu comme c’est booonnn !

Henriette m’encourageait de la voix.

— Vas-y, baise-la bien ! Défonce-la à fond! Elle ne connaîtra peut-être plus aucun autre homme après toi !

Et s’adressant à sa complice, se délectant à observer ainsi l’étonnante colonne de chair coulisser lentement, s’enfonçant et ressortant d’entre les lèvres enflées de la chatte si étroite:

-Pour ta première queue, j’espère que tu te régales ! Il a un tel calibre qu’il en reste un sacré bout en dehors !

Les cris de plus en plus forts de sur Madeleine rythmaient mes coups de reins. Elle s’était cambrée davantage, pour accueillir plus aisément l’énorme biroute ! Son corps était parcouru de multiples orgasmes. Le dernier fut si violent qu’il l’avait secouée toute entière et qu’elle se serrait écroulée si je ne la maintenais pas aussi fermement.

La main de sur Henriette s’activait dans sa chatte pour en récolter son jus et en enduisait copieusement le petit trou de sa rivale avant de lui enfoncer deux doigts dans le cul et c’est à peine si sur Madeleine s’en était aperçu

Elle me glissa alors à l’oreille :

-Il n’y a plus que du cul qu’elle soit encore vierge et là tu pourras de défouler à loisir et te vider les couilles !

Puis elle attrapa ma queue en me regardant bien droit dans les yeux et me prît en bouche après avoir craché dessus, ses mains montaient et descendaient avec virtuosité le long de ma hampe.

Elle s’activait de plus en plus rapidement sur ma colonne tendue et de temps en temps ses lèvres s’égaraient sur mes couilles gonflées. Je l’ai supplié :

-Ahhhh ! Si tu continue je vais tout lâcher au fond de ta gorge !

Elle m’a abandonné et sa bouche a prît la place de ma pine sur la chatte de sur Madeleine en s’égarant régulièrement sur son petit trou. Elle l’a léchée encore pendant quelques minutes puis m’a regardé :

-Tu es prêt à le faire ? Mais vas-y doucement », jeta-elle. C’est une vraie « novice » aux 2 sens du terme !

Je lui répondis dans un souffle que j’étais prêt à ramoner son petit postérieur. »

Elle sourit et enduit copieusement de sa bave mon poireau et explique à son amie.

-Madeleine, tu vas découvrir qu’il existe plusieurs façons de trouver le plaisir.

Henriette se saisit de ma verge tendue au maximum et la frotta plusieurs fois contre la rosace ridée

puis la maintien contre l’anus. Je reprends Madeleine par les hanches et pousse lentement …

-Ooouuuaaahhh !! Que fais-tu ? Tu es trop gros arrête !!!

 Je poussai encore plus fort.

-Aaaaaaaaahhh !!! Mon dieu que ça fait maaaaaal noooooooon !!!

Sous la puissance de ma poussée, le sphincter céda et lentement laissa pénétrer le gland trigonocéphale.

Sa bouche grande ouverte ne laissa plus sortir aucun son.

Son anus était tellement serré que j’avais l’impression que mon gland était broyé dans un étau.

Une fois à l’intérieur, il regonfla dans ses intestins, elle gémissait et marmonnait des mots sans suite, ivre de douleur. Je demeurai immobile, pour la première fois j’avais enculé une femme et la sensation était étrange. Je sentais une saveur inouïe, le nirvana, la béatitude. Mon sexe était si serré dans ce lieu pas créé pour ça.

 Je commençai à remuer en elle.

-Arrête j’ai trop mal !! Tu me casses le cul avec ton engin !!!

Je donnai un coup de reins m’enfonçant au trois quart.

— Wouaaaaaaaah!! Hurla Madeleine, je t’en supplie!!!

Je commençai un lent va et vient, ressortant et renfonçant mon mandrin toujours un peu plus loin,

gagnant 2 a 3 cm à chaque fois pendant un long moment jusqu’à ce que mes couilles frappent enfin les fesses de Madeleine.

Depuis un moment, elle ne se plaignait plus et son bassin venait au devant de mon sexe qui lui ramonait le cul dilaté par ma poutre.

-Que tu es serrée, je vais te pilonner a mort et te faire jouir comme une chienne !!!

Elle commençait à prendre du plaisir.

-Je n’aurais jamais crû que mon petit trou pouvait absorber un tel monstre, je n’ai même plus mal et ça devient même agréable !!!!!! Tu peux aussi me faire jouir par le cul ? !!!

J’accélérais la cadence, visitant parfois sa chatte avant de réinvestir le trou du cul dilaté sans aucun effort.

Elle remuait de la croupe pour m’encourager pendant qu’Henriette en profitait pour lui doigter la chatte.

-Ooouuii ! Je mouille ! Oui éclate-moi le cul!!! Ooooh ouiiii !! Plus fort, continue oooh ouiiiiiiii !!! !!!!!!

Des jets de cyprine giclaient de sa chatte pendant que je la bourrais encore plus fort avec des « han »de bûcheron.

Elle a jouit plusieurs fois sous les coups de mon gourdin qui la forait à fond.

Je serrai les dents, abouté à ses fesses et libérai au fond de l’intestin mon foutre.

 J’éjaculai agrippé aux hanches charnues, m’épanchant maintenant à longs jets dans ses boyaux

en plusieurs giclées de sperme chaud et épais.

Faute de chatte, j’avais rempli son autre trou.

Henriette, toujours aussi vicieuse, se précipita dès que j’eu déculé pour recueillir ma semence qui sortait du cul de Madeleine à chaque contraction de son sphincter et sans aucune gêne en fît profiter la « novice » qui l’était peut-être encore au niveau religieux mais plus pour ce qui est du sexe.

Les semaines qui suivirent furent pour moi un enchantement car en ce temps là beaucoup d’ecclésiastiques ne respectaient pas le vux de chasteté ou alors d’une drôle de manière.

La plupart des moniales et même des surs vinrent constater par elles-mêmes les dires qu’elles trouvaient exagérés de leurs consurs adoubées par le « Maître Défricheur ». C’était le surnom qu’elles m’avaient donné.

Et ce qui devait arriver arriva, je fus convoqué chez la mère supérieure.

Mais là, c’est une autre histoire

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