Bonjour/Bonsoir, pour ceux et celles qui n’aurait pas lu le premier chapitre, vous pouvez lire ce récit sans problème, même si je vous recommande vivement d’en lire le début. Il n’est peut-être pas aussi intense que ce qui va suivre mais, il a le mérite de donner l’ambiance et de faire monter la tension. Sinon, faites-vous plaisir avec cette histoire, comme j’ai eu plaisir à la revivre.
Je ne pensais même pas à protester en la suivant. Pendant ma douche, elle était allée se mettre en lingerie sexy. Et pas de la lingerie mignonne comme Emily portait à l’occasion… ça non ! Elle avait la totale. Elle était habillée d’un corset noir qui ne faisait que mettre encore plus en avant sa poitrine compressée dans un soutien-gorge, noir lui aussi. Sa jupe courte constituée entièrement de ceintures était également noire, comme le reste de ses vêtements. Elle était très courte et laissait voir des fesses rebondies et mises en valeur par les ceintures serrées.
Et quelles jambes ! Je le savais qu’elle faisait du sport ! Ses bas noirs tenaient tout seuls et étaient décorés de motifs spiralés. Et pour finir, sans être un fétichiste dans l’âme, elle avait aussi une paire de gants noirs et la paire de bottes assorties en latex.
Au moment d’entrer dans sa chambre, Alexandra se retourna vers moi. En jouant avec la boîte de capotes, elle répéta son offre, avec une mise en garde, si jamais je voulais faire machine arrière : « Ben, si tu passes cette porte, tu n’en ressortiras pas vierge. Tu m’as fait comprendre tout à l’heure que tu en étais conscient. Et maintenant que tu es dégrisé, j’aimerais te l’entendre répéter. Que tu m’affirmes que c’est vraiment ce que tu veux !
Oui Alexandra ! Je veux vraiment le faire ! »
Ma queue devait lui donner un bon aperçu qu’il n’y avait pas de retour en arrière possible, non ? D’ailleurs, je pensais avoir définitivement dépassé ce stade-là au moment de la fellation. Pourtant, elle continua comme si je ne savais vraiment pas dans quoi je m’engageais : « Très bien… très bien. Tu feras donc tout ce que je désire… et tout ce qui m’excite ?
Tout ce que tu veux ! Répondis-je très sûr de moi.
Toute la nuit ?
Oui, toute la nuit ! Et même jusqu’au matin. Rajoutais-je par vantardise en franchissant le pas de sa porte et en collant mon érection à son corps.
Oula, oui, je vois ça ! Dit-elle d’un ton moqueur. Mais avant d’en arriver là… tu vas t’allonger sur le lit et je vais t’attacher…
Quoi ? »
Avec la boite de capotes, elle me fouetta d’une petite claque sur la bite tout en me vrillant les yeux d’un regard noir avant de répliquer : « C’est quoi que tu ne comprends pas dans faire « tout ce que je désire » ?
Je…
Tu rien du tout Ben, ou alors tu te casses ! »
Elle avait brisé mon élan mais pas mon envie. Apparemment la panoplie latex n’était pas là uniquement pour faire jolie. Je me disais que j’allais avoir droit à la totale pour une première et qu’elle avait l’air de savoir ce qu’elle faisait. Je décidais donc de jouer le jeu et d’aller m’allonger dans le lit sans un mot.
Le visage d’Alexandra se radoucit et elle alla jusqu’à me mettre une petite fessée au moment où je passais devant elle. Avant de m’allonger dans le lit, elle retira la couette en disant qu’on allait avoir trop chaud sinon. Pour le moment, j’étais bien, ayant encore l’effet rafraîchissant de la douche. Je la crus sur parole en prenant la position souhaitée.
Elle sortit alors des cordes pour m’attacher les poignets et les chevilles aux pieds du lit. A leur présence, j’aurais peut-être dû tiquer mais je n’y prêtais pas plus attention tant j’étais excité. Je formais un X géant et les attaches, sans me faire mal, étaient suffisamment serrées pour empêcher la moindre tentative de fuite.
Je ne savais pas quoi faire ou penser… Je n’avais jamais été aussi dure de toute ma vie. Alexandra me fixait avec un regard qu’Emily n’avait jamais eut pour moi. Me sentir en position de faiblesse n’était pas spécialement mon délire… par contre, sentir son excitation, son désir pour moi, ça me rendait dingue !
Ça me rendait d’autant plus dingue qu’elle en profitait. Elle me faisait mariner et ma queue palpitait désespérément dans le vide. Puis, sans aucun avertissement, elle me tourna le dos et se désintéressa de moi complètement.
Elle sortit de la chambre et après un temps qui me parut interminable, elle revint avec un gode et une sorte de bouteille à bec de canard à la main. Avec un calme et une assurance que j’étais loin d’avoir devant la tournure des événements, elle s’installa en face de moi. Elle posa la bouteille à plat sur le lit et commença à s’amuser avec le jouet en le faisant passer tout le long de son corps, comme si elle se caressait avec.
Elle le fit passer dans son cou des deux cotés, puis elle le descendit le long de sa clavicule jusqu’à aller se titiller la pointe des seins avant de redescendre plus bas. Elle le fit tourner trois fois autour de son nombril avant de survoler sa jupe et d’arriver à mi-cuisse.
Là, elle me regarda comme si je venais de l’interrompre et s’adressa à moi : « Tu préférerais sans doute que je m’occupe de toi ? Je sens que tu en a envie, Ben chéri. Ça doit être mon sixième sens… ou ta queue qui s’agite contre ma cuisse… »
Alexandra se réinstalla pour se mettre à genoux entre mes deux jambes attachées. Elle fit alors semblant de pencher sa tête vers mon sexe avant de se redresser et de m’annoncer : « Tu sais quoi ? On va faire un petit jeu. Je ferai tout ce que tu voudras avec ma bouche… mes lèvres… ma langue… si tu me montres ce que tu veux… avec ça ! »
Elle me montrait le gode et je n’étais pas sûr d’avoir tout compris jusqu’au moment où elle avança le jouet vers ma bouche. Je commençais à tourner la tête mais, dans ma position, ce n’était pas comme si j’avais une autre option. Et puis j’avais eu le choix de partir avant, non ? Alors, autant pour assumer jusqu’au bout, autant par provocation, j’ouvris grand les mâchoires en la regardant bien en face et commençait à prendre en bouche le gode.
Le goût du silicone n’était vraiment pas génial mais les traces d’odeurs d’Alexandra m’excitaient énormément. Je me disais qu’elle avait dû s’en servir de nombreuses fois devant ses pornos et qu’il était imprégné de ses sécrétions intimes.
De temps en temps, elle me faisait des mimiques sur ce que je devais faire et je reproduisais ses instructions silencieuses : je prenais en bouche, je léchais le long de la hampe, puis seulement le bout, avant de devoir le reprendre en bouche le plus loin possible, puis je refaisais des allers-retours et ainsi de suite. Si elle avait l’impression que mes dents griffaient, que le gode ne coulissait pas assez, elle me mettait une petite tape sur la queue en me disant d’ouvrir plus grand.
Je n’avais vraiment pas l’habitude d’ouvrir la bouche aussi grand et aussi longtemps et je commençais à avoir mal aux mâchoires. Après en avoir averti Alexandra et voyant que j’avais fait un maximum d’efforts devant ses exigences, elle m’accorda une pause.
Elle me donna à boire un verre d’eau et je faillis m’étrangler dans ma précipitation à étancher ma soif et de par la fatigue de ma mâchoire inférieure. Pendant un bref instant, j’eus l’impression d’avoir avalé quelque chose de travers.
Ensuite, pour me remercier, ou peut-être juste pour honorer sa parole, elle me fit exactement ce que je venais de faire sur l’objet phallique. C’était divin ! Elle avait de la technique et une fois de plus je me demandais pourquoi. Suçait-elle ce gode comme je venais de le faire quand elle était toute seule ? De sa part, ça ne m’aurait pas étonné. D’ailleurs je me disais que plus rien ne pourrait me surprendre venant d’elle.
Arriva le moment où je me tortillais dans tous les sens pour essayer de retenir ma jouissance mais, attaché comme je l’étais, je ne pouvais pas faire grand chose. Prévenue, Alexandra ne s’arrêta pas pour autant, elle n’avait pas l’air d’écouter et je n’arrivais pas à insister tellement c’était bon.
A peine dix secondes plus tard, je me répandais dans sa bouche. Elle eut comme un petit hoquet avant de revenir à la charge avec sa tête. Je remarquais qu’elle savourait. Elle n’avait ni avalé précipitamment, ni recraché mon sperme comme l’aurait sans doute fait Emily. Au contraire, elle avait l’air de s’en délecter avec un air de profonde luxure et de provocation en me regardant droit dans les yeux.
Elle recracha mon sperme sur mon membre et le ravala plusieurs fois de suite avant de venir m’embrasser avec. Je n’étais pas très emballé mais, une fois de plus, je me laissais emporter par l’ambiance. Elle m’avait prévenu et je n’allais pas en mourir. Ou alors plusieurs fois et seulement de ma petite mort.
On partagea ma semence durant un long baiser langoureux. Je ne savais pas quoi en penser : j’aimais ou pas ? Elle ne me laissa pas le temps de m’appesantir là-dessus, car elle mit fin à cet échange. Puis, elle se rapprocha sensuellement de moi, sa langue lécha mon cou pour remonter ensuite vers mon oreille et elle me murmura : « Avale, maintenant. Tu peux pas savoir à quel point ça m’excite le sperme dans la bouche d’un mec… »
En repensant au genre de films qu’elle regardait, j’en avais une petite idée. Je mis un point d’honneur à le faire en la fixant dans les yeux. D’ailleurs, elle commençait aussi à s’exciter comme m’indiquait sa main qui s’agitait lentement sous sa jupe.
Ses mouvements étaient amples, à la limite d’être exagérés, hypnotisant. C’était comme si le déhanchement de son poignet réveillait un truc en moi. Et, sans m’en rendre compte, le truc en question se mit à rebander dur. C’était la troisième fois de la soirée et ça me rendait fou ! Fou de désir.
Alexandra me sourit en constatant que ma queue reprenait du poil de la bête mais, au lieu d’aller plus loin, en enlevant ses vêtements par exemple, elle se ressaisit et se redressa. Le moment où elle allait enfin se laisser aller s’était envolé. Et merde !
Mon expression de mécontentement dû se voir, car elle se pencha vers moi et vers mon oreille avant de me chuchoter : « Ben, Ben. Si tu crois que j’en ai fini avec toi, tu te trompes. Sois patient ! Je t’ai fait jouir deux fois et toi aucune. Ton tour viendra, crois-moi ! »
Je me détendis à l’annonce de cette promesse avant de me raidir à nouveau. Elle venait de prendre mon boxer qui était par terre et venait de le craquer dans un déchirement sur le devant, au niveau de la queue.
Elle eut l’air satisfaite et me regarda en souriant à une blague qu’elle seule pouvait comprendre avant de me mettre le sous-vêtement percé sur la tête. Je ne voyais plus rien. Du coup, je compris la présence du trou qui me permettait de respirer plus confortablement.
Je sentis qu’elle se penchait à nouveau vers mon oreille et d’une voix langoureuse, Alexandra me susurra : « Je vais te faire des choses que jamais aucune Emily n’accepterait de te faire. A la fin de la nuit, tu n’auras aucune envie de revenir vers elle ou n’importe qu’elle autre coincée du cul ! »
Le ton de sa voix et ses promesses me mettaient le feu à tout le corps. Elle effleurait ma poitrine avec la sienne en se penchant vers mon autre oreille avant d’ajouter : « Et si tu te dégonfles, rappelle-toi juste que c’est moi qui décide… depuis qu’un certain inconscient a décidé de franchir le seuil de ma porte… »
Sur ces paroles de mise en garde, Alexandra descendit du lit. Elle enlevait apparemment ses vêtements et c’était une douce torture de savoir que ce spectacle tant attendu et si proche restait inaccessible.
Elle finit son strip-tease solitaire et finit par revenir sur le lit entre mes jambes écartées. Elle me releva le bassin avec un coussin. Puis, je sentis son souffle à mon entrejambe et avant d’avoir pu protester contre une troisième sucette, elle me lécha les couilles en remontant dans l’aine. Ça me procura une sensation délicieuse de contraction, à la limite du supportable, comme avec des chatouilles. Puis, elle prit mes boules en bouche, une par une et joua avec pendant un bref instant tout en caressant mes jambes avec ses mains.
J’avais toujours le boxer sur la tête, la respiration assez rauque, quand elle réussit à me surprendre une nouvelle fois. Au lieu de repartir dans le sillon de l’aine, elle descendit plus bas. Beaucoup plus bas !
Alexandra m’écartait les fesses et s’appliquait à me faire une feuille de rose. Je commençais par me tortiller et essayais de protester. Pour moi, c’était un endroit sale et tabou. Pourtant, je n’eus pas mon mot à dire. Elle en avait décidé autrement et après m’avoir dit de me calmer, elle me rappela brutalement ma condition en m’enfonçant le gode dans la bouche. Puis, sur un ton qui n’acceptait aucune protestation, elle ajouta : « Garde ça en bouche et tiens-toi tranquille, petite salope… ou j’te jure que je vais te l’enfoncer jusque dans la gorge ! »
Puis… je me mis à bander comme un dingue ! Une érection comme je n’en avais jamais eu. Je ne savais même pas pourquoi. Sa menace ? Sa domination sur moi ? Qu’elle m’ait insulté de petite salope ? Son désir sexuel aussi intense que le mien, si ce n’était pas plus ? Ou alors, tout simplement, qu’elle avait recommencé à me lécher l’anus en faisant rentrer de plus en plus loin sa langue ?
Je trouvais ça étrange. Jamais, jamais, je n’aurais pensé aimer être fouillé par là. Sa langue explorait chaque partie de mon anatomie intime. Je ne me débattais plus pour me soustraire à cette caresse, au contraire je venais la rechercher avec avidité.
Après avoir entendu un bruit mouillé, elle ajouta un doigt recouvert de gel à son exploration. Je voulais lui demander ce qu’elle me faisait. Je n’arrivais même pas à articuler le premier mot de ma phrase, tellement les sensations était nouvelles et intenses. Il y avait aussi le gode qui prenait toute la place dans ma bouche et j’avais un peu peur de ce qu’elle pourrait me faire si je le laissais tomber.
Je ressentais des sensations incroyables : des chatouilles qui me faisaient me contracter, suivies de chaleurs intenses qui me détendaient d’un coup. Mon sexe, complètement plaqué à mon ventre, bandait si dur que j’en avais mal. Je prenais mon pied avec ce qu’elle me faisait et c’était vraiment dur de rester tranquille. Heureusement, mes liens m’aidaient un peu.
Soudain, Alexandra s’arrêta et se mit à rire. Je ne voyais pas ce qu’il y avait de drôle, d’ailleurs, je n’y voyais rien. Elle se releva et sortit du lit. Puis, elle fit glisser ses doigts comme une caresse sur mon bas-ventre tout en enlevant mon gode de l’autre main.
Avant que j’ai pu lui poser la moindre question, elle me donna ses doigts à sucer en les enfonçant presque de force dans ma bouche ouverte. Elle me demanda alors d’une voix sensuelle : « Tu aimes ? C’est le goût de ton sperme mon chéri. Tu viens de mouiller comme une vraie petite salope. Ça t’as plu… mon doigt au cul, hein ? »
Je ne savais pas quoi répondre. Ça ne pouvait pas être vrai, j’étais encore bandé à fond. Cependant, j’avais ses doigts en bouche et leur goût me prouvait bien qu’elle disait la vérité. Ces caresses et massages m’avaient carrément shooté. C’était vraiment différent d’une jouissance classique et pourtant j’avais eu un orgasme. Un orgasme anal ou juste un surplus de pré-sperme ?
Pendant mes réflexions, elle avait continué ses allers-retours sur ma langue. Soudain, elle suspendit son geste et se pencha vers moi pour me souffler à l’oreille : « Tu te débrouilles bien Ben… vraiment bien. Tiens, ta récompense pour m’avoir excitée ! Tu me la gardes bien en bouche, hein ? Je vais aller boire quelque chose et me rafraîchir un coup. »
Alexandra avait enlevé ses doigts et me fourrait un morceau de tissu dans la bouche. Puis, elle retira le boxer de ma tête. Mes yeux n’eurent pas le temps de s’acclimater à la lumière ambiante qu’elle était déjà partie, me laissant en plan.
Petit à petit, je vis sur le lit ses habits un peu éparpillés partout, ainsi que la bouteille et la boîte de capotes. Puis, je remarquais qu’il manquait sa culotte, celle-ci était dans ma bouche. Elle avait un goût assez prononcé, grisant. Elle ne sentait pas comme Emily, elle avait une odeur plus fauve, plus envoûtante aussi.
La lumière du couloir projetait l’ombre d’Alexandra sur le pas de la porte. En voyant cette silhouette nue, découpée sur le sol, je réalisais qu’elle était de retour. Une fois de plus, elle me faisait mariner mais je m’en foutais royalement. Je me disais que j’allais bientôt ne plus être puceau et que ce n’était plus qu’une affaire de minutes, si ce n’était de secondes.
Alexandra referma la porte et resta hors de vue. A la limite de ma vision périphérique, elle se pencha vers moi. Je ne pouvais voir que sa tête et avec quelques contorsions, le haut de ses seins. Elle remarqua mon manège et me sourit avant de me révéler : « Ben, je suis très contente de toi. Tu es pas mal foutu… tu es endurant… et surtout, surtout, tu es une gentille petite salope bien obéissante. Et c’est ça qui m’excite le plus chez toi… tu sais où est ta place. »
Je l’écoutais en me disant qu’elle ne m’avait pas vraiment laissé le choix, alors que ma queue me montrait bien qu’elle avait raison, que j’étais plus que consentant. Alexandra reprit alors : « Maintenant, je vais te faire une faveur. Tu vas pouvoir me rendre la pareille. Je vais t’enlever ma culotte et tu vas t’appliquer. Je veux un préliminaire qui me fasse exploser dans ta bouche ! C’est compris ?
Sur cette déclaration, elle m’enleva sa culotte sans attendre. J’en profitais pour reposer mes mâchoires et retrouver la liberté de gesticuler ma langue. Je reçus une claque sonore sur la joue comme ma réponse tardait à venir et je lui répondis précipitamment par l’affirmative : « Aie, mais oui, put…
Ben, ce n’est pas très sexy un mec qui fait sa mauviette et qui insulte. Tu veux une autre baffe ?
Non, non. Ça ira.
Tu vois ! Quand tu veux, tu peux. Obéir sans délai, ce n’est pas si compliqué ! Essaye de ne pas l’oublier pour ce qui va suivre. Et n’oublie pas à quel point tu as aimé le goût de ma culotte. Elle en est toute trempée, la pauvre… mais j’aime ça… ça m’excite…tiens regarde… »
Alexandra passa rapidement une jambe par-dessus ma tête et je me retrouvais en face à face avec… une bite bien tendue qui se balançait juste sous mes yeux. Elle était plus grande que la mienne ! En tout cas, en mode zoom à deux centimètres de mon visage, c’était mon impression. Et elle avait un gland énorme !
J’avais du mal à ne pas loucher dessus et décidait de regarder Alexandra dans les yeux pour voir si elle n’allait pas exploser de rire, comme si tout ça n’était qu’un canular. Mais non, elle me fixait d’un regard pénétrant et elle attendait.
Alexandra avait une queue. Et pas une petite en plus ! J’étais en état de choc et j’imaginais être dans un rêve. Un rêve surréaliste ! Comme pour me tirer de mes pensées, Alexandra m’ordonna sur un ton de commandement : « Arrête !
Arrêter quoi ? »
Je n’avais rien dit d’autre, pourtant elle ne se laissa pas abuser et reprit : « Arrête de penser ! Arrête d’avoir des idées à la con ! Arrête de ne pas être toi… et laisse-toi porter par le moment. Laisse-toi faire et donne-moi le contrôle ! Tout à l’heure, tu as sucé un gode, tu as goûté à ma culotte ! Et à ce qu’il y avait dedans ! Et tu as aimé ça ! Alors, Ben chéri, tu vas me donner du plaisir, tu vas me prendre dans ta petite bouche, en me montrant à quel point tu aimes ça…
Je sais pas Alexandra. Tu es très attirante, c’est juste que je n’ai jamais été attiré par les…
Par les quoi ? Les mecs ? Tu viens de dire attirante et pas attirant, non ? Si tu a peur que ça fasse de toi un gay, je vais te rassurer tout de suite Ben. Tu n’es… pas… gay ! Tu es à la limite bitophile, voir un petit soumis bi curieux comme ton père mais…
Quoi ?Tu racontes n’impor… »
Je reçus une bifle de sa queue en plein visage ! Le geste en lui-même ne m’avait pas fait si mal que ça, il m’avait juste surprit et elle en profita pour continuer : « Tu ne m’interromps pas… Ou je te bâillonne avec le gode de ton père. Et oui, le gode vient de son chevet ! Et la bouteille de gel aussi ! Et si tu ne me crois pas, il y a encore tout un tas d’accessoires là-bas qui prouve ce que je dis. »
Alexandra laissa passer un petit moment après cette tirade, le temps de reprendre son souffle et son calme. Moi, je restais silencieux, n’osant pas la contrarier d’avantage. J’étais aussi perplexe sur l’image de mon père et de ma mère. Qu’est-ce qu’ils foutaient dans… ?
Ramené à la réalité par la queue d’Alexandra qui se balançait devant mes yeux, j’essayais de trouver quelque chose à dire pour sortir de cette impasse. Mais son balancement presque hypnotique et son odeur, plus forte que celle présente sur sa culotte, me firent à nouveau perdre tout repère dans mes pensées, mes certitudes.
Esclave de mes sensations, Alexandra en profita pour me mettre le bout de son gland sur les lèvres, très doucement, comme si elle voulait me caresser avec. Puis, pour me détendre, elle répéta : « Ça ne fait pas de toi un gay Ben. On s’amuse là… tu m’obéis et c’est tout. Tu te laisses faire… laisse-toi aller ! »
Je cédais quasi instantanément et me mit à la sucer sans m’en rendre compte. Elle faisait des allers-retours dans ma bouche. La chaleur et la douceur de son membre ainsi que l’odeur bien plus prononcée que sur sa culotte me firent oublier toutes les conneries que je venais de dire ou de penser.
Alexandra avait raison. Et une fois de plus, mon sexe était d’accord avec elle. Sucer une bite n’était pas désagréable du tout une fois qu’on arrêtait de se poser des questions à la con. C’était même bien meilleur qu’un gode, ça ressemblait plus à une énorme fraise rouge qui me mettait l’eau à la bouche.
Sauf que la fraise d’Alexandra durait encore et encore. Et que sa queue avait l’air de ne pas vouloir arrêter de grossir. Je ne m’étais pas rendu compte que si j’étais arrivé à la prendre complètement en bouche, c’était parce qu’elle avait débandé pendant notre petite conversation. Là, j’avais beau essayer de la sucer, du mieux que je le pouvais, elle était vraiment énorme pour ma petite gueule.
Son gland était surtout très prononcé. Une fois sa bite bandée à fond, je ne pouvais que la sucer du bout des lèvres et la lécher avec ma langue si je ne voulais pas la toucher avec mes dents. Bref, ce qu’elle m’avait conditionné à faire tout à l’heure avec le gode. Je l’entendis alors gémir d’une façon très féminine et elle commença à me limer les lèvres. Elle me prit par les cheveux d’une main et me baisa la tête au sens propre en me donnant des encouragements, tantôt dégradant, tantôt humiliant.
Je m’en foutais, tout ce qu’elle proférait comme obscénités m’excitait d’avantage. Je me laissais faire comme elle le voulait sans me poser plus de questions sur les femmes à queue. Que la queue soit d’origine ou un simple jouet attaché à un harnais, il n’y avait aucune différence. Tout ce qui comptait à cet instant, c’était son plaisir à elle. Et quand Alexandra se mit à geindre de façon plus appuyée en se branlant de façon frénétique sur mes lèvres et en m’ordonnant précipitamment d’ouvrir grand la bouche, je l’ouvris sans réfléchir.
La seconde avant sa jouissance me parut incroyablement longue et la surprise au moment du premier jet me fit fermer les yeux instinctivement. Je ressentis juste les giclées chaudes fuser dans ma bouche avec le bruit saccadé de sa branlette. Ses gémissements, pendant qu’elle jouissait, me faisaient me sentir bien. Je n’avais pas joui mais elle l’avait fait pour nous deux. Son désir comblé était mon plaisir.
Alexandra caressa le bout de son gland sur ma langue et d’une voix relaxée et envoûtante me demanda d’avaler. Je bus son jus par à coup, petit à petit. La consistance était loin de me plaire, comme pour mon propre sperme mais je lui trouvais meilleur goût que moi. Elle dut voir ma difficulté à tout boire car elle ajouta presque aussitôt : « Fais-le pour moi Ben… bientôt tu n’y penseras même plus. Tu verras ! Avale-tout… comme ça… voilà. »
En pressant sa hampe de bas en haut, elle récupéra une dernière goutte que je nettoyais sans qu’elle ait eu à le demander. Je savais juste que c’était ce qu’elle voulait. Son air ravi et son sourire magnifique me prouvèrent que j’avais bien deviné.
Après un petit soupir de satisfaction, Alexandra reprit : « Tu m’as bien vidé. Et t’as encore mouillé comme une petite salope. Bon, tu vas me faire une feuille de rose, le temps que je me remette à bander. Tu vois ce que c’est, hein ?
Oui oui. Répondis-je avec fougue.
Tant mieux, parce que j’adore les feuilles de roses. »
Elle me tendit un verre d’eau avant de commencer, que je bus plus lentement ce coup-ci. Puis, elle s’installa à califourchon sur ma tête. Ses fesses, sans être impressionnantes, était bien développées. Le résultat de nombreuses séances de sport, sans aucun doute. Ses globes fessiers s’écrasèrent autour de ma tête et elle frotta sa raie, entretenue et imberbe, sur mon visage jusqu’à trouver la bonne position. Elle était parfaitement propre et l’odeur de sa sueur m’électrisa encore plus. Je retrouvais les sensations procurées par sa culotte, puissance 10.
Elle me donna le signal d’une petite tape sur ma queue qui la fit gigoter dans tous les sens et commença à faire de petits vas et viens sur mon visage. Je léchais, je suçais, je faisais rentrer ma langue en essayant d’aller le plus loin possible. Bref, j’essayais de reproduire ce qu’elle m’avait fait plus tôt, du mieux que je le pouvais, compte tenu que j’étais toujours attaché et que, de temps en temps, elle m’étouffait délibérément avec son cul.
Elle semblait prendre son pied, quand tout à coup, elle bascula un peu en avant et reprit le doigtage de mon anus. Elle m’inséra le premier doigt sans problème grâce au gel encore présent, puis elle essaya de m’ouvrir plus en grand avec un deuxième. Elle finit par y arriver et je me sentis vraiment envahi.
C’était comme une intrusion et sans être désagréable, la sensation était loin d’être confortable. Ça m’empêchait de me concentrer sur ce que je faisais. Pourtant, elle réussit à m’assouplir un peu plus encore. A force de gel et de patience, elle finit par faire coulisser ses deux doigts sans aucune résistance de la part de ma rondelle.
A partir de ce moment-là, j’ai encore « éjaculé ». Je ne contrôlais plus rien, ça coulait tout seul comme du pré-sperme. C’était en continu et même si je n’avais pas de jouissance à proprement parler, le plaisir était bien là. Elle alla jusqu’à me mettre un troisième doigt ! Heureusement que ses fesses me bâillonnaient, parce qu’avec mes bruits de gorge, entre le râle et le gémissement, j’aurais peut-être pu réveiller mon petit frère.
Puis, elle se leva et avec assurance me présenta sa bite. Je me mis à sourire inconsciemment, sans doute à cause du décalage entre elle et sa queue. Ou alors était-ce le sentiment de fierté d’être la cause de son excitation ? Je ne savais pas et je m’en foutais royalement.
Sans un mot, elle s’absenta une fois de plus en me laissant en plan. Très vite, elle revint avec une balle rouge reliée à deux lanières de cuirs et un rouleau de papier absorbant. Un peu rouge de honte en pensant où elle l’avait trouvé, je me dis que je ne savais pas grand chose de la vie si mes parents avaient pu me cacher quelque chose d’aussi énorme. Tout en m’installant le dispositif autour de la tête, elle m’expliqua qu’elle ne voulait pas courir de risques, vu comme j’étais « réceptif » à la pénétration annale.
A ce moment-là, je redescendis sur terre et compris qu’elle parlait de m’enculer. Pour de vrai ! Pas seulement deux trois doigts mais sa queue toute entière ! J’eus comme une boule au ventre. Ça allait trop loin pour une première fois ! Elle en demandait trop et j’essayais de trouver des arguments dans ma tête pour stopper le jeu, tout en ahanant des stops et temps mort dans mon bâillon.
Une nouvelle fois, Alexandra me surprit en réussissant à calmer mes peurs et appréhensions d’un coup, juste en me disant : « Ben, je vais te laisser quelques secondes pour faire ton choix. Soit tu te dégonfles comme Emily et tu retournes à la case départ avec tous ceux qui n’oseront jamais. Soit tu me fais confiance et tu me donnes ta virginité. »
Tout en continuant de parler, elle fit le tour du lit en marchand avec lenteur et sensualité, comme une danse hypnotique. Après une courte pause de quelques secondes, elle ajouta : « Mais attention aux conséquences ! Moi, je ne perds pas mon temps avec les deuxièmes fois. Si tu hoches la tête pour dire non, je serai ta babysitter pour tout le reste du week-end avec interdiction de revoir Emily. »
Elle laissa deux secondes s’écouler avant de reprendre : « Si tu hoches la tête pour dire oui… alors tu verras et tu vivras ta vie de façon plus… intense. Bien plus intense que la plupart des gens. Alors… ? Tu choisis quoi ? »
Tout ce qui me passa par la tête fit comme un tourbillon. Le sentiment d’être un hypocrite comme Emily. La peur de l’inconnu. L’excitation aussi. Le porno gay, qui devait être du porno trans tout compte fait. L’envie de lui montrer que je valais mieux qu’Emily aussi.
Finalement, ma tête bascula de haut en bas et Alexandra rajouta avec un petit sourire : « C’est bien ce que je pensais ! Je vais te détacher maintenant. Par contre, tu vas garder le bâillon ! Juste au cas où tu serais trop bruyant. Il ne faudrait pas réveiller ton petit frère, hein ? »
Elle me fit un clin d’il moqueur et me détacha les jambes. Le sang se remit à circuler normalement dans mes pieds et je sentis des fourmis un peu partout, le temps de les faire bouger un peu. Pendant ce temps, Alexandra défit les deux derniers liens et je pus me mettre assis et masser mes poignets.
Cependant, elle ne me laissa pas beaucoup de temps pour me réhabituer à ma liberté retrouvée. Elle me fit sentir son impatience en me plaquant sur le ventre. Là, je réalisais pour le coup qu’elle cachait bien sa force. Limite intimidé, je restais en position allongée à attendre la suite. Elle me prit par les hanches et me ramena à elle. Je me retrouvais alors à quatre pattes, le sexe entre les jambes. Celui-ci était partagé entre l’excitation et l’appréhension et ne savait pas s’il devait bander ou non.
Je tournais vivement la tête vers Alexandra quand j’entendis un bruit de déchirure. Elle venait de prendre une capote et je la vis rouler un condom sur sa bite. En me fixant droit dans les yeux d’un air calme et apaisant, elle m’expliqua sur le ton de la plaisanterie qu’elle n’avait aucune raison de douter de ma virginité mais qu’elle préférait éviter les salissures. Elle me mit de la triple épaisseur de papier juste sous mon cul et mon sexe qui, même s’il était relégué au second plan continuait de couler.
Ensuite, elle m’expliqua ce qu’elle allait me faire, en me donnant des précisions et des détails, comme de pousser plutôt que de contracter. Tout en me rassurant, elle refit entrer ces doigts un par un dans mon cul et me branlait de l’autre main. Enfin, dans cette position, j’avais plutôt l’impression qu’elle me trayait.
Le cul relevé et offert, elle débuta la pénétration avec un maximum de lenteur et sans à coup. Je sentis l’intrusion, je sentis mes muscles se tendre et malgré les avertissements, je commençais à me contracter en retenant ma respiration pour ne pas crier. Mais, comme chez Alexandra, c’était la taille de son gland et non la tige qui était impressionnante, je finis par avoir trop mal et hurlais en me plaquant sur le lit pour échapper à la pression de sa pointe, la tête dans les coussins.
Comme si cette souffrance n’était pas suffisante, Alexandra me mit une fessée retentissante. Sans aucune raison apparente et avec zéro remord dans le regard ! Je lui gueulais presque dessus en essayant de me redresser. Vaine tentative… avec mon bâillon en bouche et sa main qui me re-plaqua illico au matelas, j’avais plus l’air d’un enfant en train de piquer une crise.
Elle réduisit à néant ma petite colère en m’expliquant avec une contenance impassible que comme je n’avais pas suivi les consignes, c’était normal d’avoir mal. Que c’était entièrement de ma faute. Qu’il fallait tout reprendre à zéro. Et que ma fessée, en plus d’être bien méritée, avait eu pour effet de me faire oublier la douleur au niveau de mon cul. Puis, pour me montrer qui commandait, elle relâcha la pression entre mes omoplates et exigea ma « soumission » avec une série d’ordres.
Il n’y avait plus de contraintes physiques et pourtant, à aucun moment je ne pensais à me rebeller. Je dus : me calmer, m’allonger complètement, mettre mes bras le long du corps et écarter mes fesses des deux mains au maximum. Après lui avoir obéi, elle se frotta le gland sur ma rondelle et ensuite sa tige. Elle me lima sur toute sa longueur sans me pénétrer. Puis, elle me cracha dans la raie pour lubrifier avec sa salive, un peu froide au début, avant de refaire glisser sa queue dans ma raie. C’était peut-être humiliant et dégradant mais, après la douleur, c’était surtout très bon. Je me détendis petit à petit et me mis à écarter un peu plus les fesses tout en accompagnant ses mouvements.
Voyant ma réaction, elle ricana en me disant de ne pas être trop pressé. Que ça ne m’avait pas réussit le coup dernier. Puis, elle remit du gel sur ma rondelle et appuya le bout de sa queue lentement jusqu’à la crispation de mes sphincters. J’eus droit à une nouvelle fessée, moins violente mais une bonne claque quand même. Elle s’y reprit à quatre fois avant d’y arriver…
A chaque fois, j’avais l’impression d’être écarté en deux. Quand elle réussit enfin à passer, j’eus une très bonne sensation sur le moment, comme une délivrance. Mon cul emprisonna enfin son gland et avala au moins deux centimètre de sa queue avant de s’apercevoir qu’il ne pouvait pas se refermer complètement. L’inconfort était toujours là, pourtant, il commençait à y avoir autre chose, comme une bouffée de chaleur et l’impression d’avoir le cur qui tambourinait, comme pour s’échapper de ma poitrine.
Puis, elle s’allongea sur moi et je sentis ses gros seins qui s’aplatissaient dans mon dos. Elle commença à pousser son sexe à l’intérieur de mon cul, le plus loin possible, toujours lentement. Je ne sentais pas grand chose, vu que le reste de sa queue avait un diamètre plus raisonnable que son gland. Et puis mon anus était lubrifié à fond avec tout le gel et la salive que j’avais reçu. Je ressentais pourtant sa présence, elle me remplissait le cul de plus en plus avec sa grosse queue. Ça poussait et pas dans le sens normal.
Elle se pencha alors vers mon oreille et me chuchota : « Ça y est Ben, tu n’es plus puceau. Maintenant… pour le reste de tes jours… tu es ma petite salope ! Mon sexe de 20 cm est presque entièrement à l’intérieur de ton trou de petite salope. Tu vas voir… cette nuit… toute cette nuit… tu vas découvrir des choses que jamais ton ex-petite-copine n’aurait pu t’apporter ! »
A ce moment-là, je ne pensais même pas à la reprendre sur le terme « ex-petite-copine » ou « ma petite salope ». Avec la queue d’Alexandra qui commençait gentiment à me pistonner, ce qui aurait pu se passer avec Emily me paraissait très loin, voir une illusion. Là, ce que je ressentais, c’était intense, c’était vrai. Son gland venait s’écraser au fond de moi et me faisait limite mal. Heureusement, sa hampe compensait largement. Elle venait frotter sur quelque chose, c’était comme si elle arrivait à me branler de l’intérieur.
Au bout de quatre cinq allers-retours, elle dut remarquer mon inconfort car elle changea de position. Elle me rampa un peu dessus pour se hisser sur mon dos. Ses seins frottèrent mes omoplates au passage et sa bite était en train de ressortir, à la limite d’être tendue en arrière. Du coup, sa queue me pénétra moins profondément et se retrouva en position perpendiculaire à mon cul pour le pilonner bien à la verticale. Et elle ne s’en priva pas !
Point P ? Massage prostatique ? Je n’en savais rien à l’époque, par contre, ce que je savais, c’était que c’était carrément mieux que n’importe laquelle de mes branlettes. Et putain, ça ne s’arrêtait pas ! C’était du non-stop ! En-dessous de moi, la triple épaisseur de papier absorbant était déjà humide par endroit.
Alexandra continuait de me pilonner de haut en bas. Son gland venait frapper ma prostate en l’écrasant, puis sa hampe glissait de toute sa longueur dessus. Et quand elle revenait tout en haut, la corolle de son gland venait buter contre mon anus qui ne pouvait s’empêcher de se contracter en réponse, comme pour la retenir prisonnière. Puis, on recommençait une nouvelle fois avec un nouveau tour de manège. Le grand huit des sensations interdites !
Je criais dans mon bâillon et ce n’était plus de la douleur. J’essayais d’extérioriser toutes ces sensations qui m’envahissaient et que je ne comprenais pas. Je les subissais, je les vivais à fond en une longue et délicieuse torture qui n’en finissait pas.
Alexandra m’écrasait un peu sous son poids et me tenait par les poignets. Elle me chuchotait aussi tout un tas de trucs à l’oreille, dans le genre trash-talking comme dirait les anglophones. Elle n’avait pas l’air de s’épuiser dans cette position qui dura de longues minutes.
Soudain, sans me prévenir, elle décida de nous faire basculer sur le côté. Je regardais mon entrejambe et vis une coulée de sperme relier mon sexe au papier absorbant. Elle reprit son rythme et ma queue se mit à gigoter dans tous les sens, menaçant de plus en plus de mettre du foutre partout sur le lit. Alexandra n’avait pas l’air de s’en préoccuper, elle était bien trop concentrée à me limer tout en maîtrisant mes membres agités par le plaisir.
L’exercice n’eut pas l’air de lui convenir, car elle arrêta deux secondes, le temps de me repositionner. Elle réussit à me tendre les deux bras, les mains prises entre les barreaux de la tête du lit. Elle pouvait ainsi me les contenir plus facilement d’une seule main, puis elle reprit par un pilonnage en règle.
Je compris la finalité de cette pause quand je sentis sa deuxième main venir me branler. Elle s’y prit d’une manière complètement différente de ce que j’avais l’habitude. Lente et ferme, je ne me voyais pas pouvoir jouir à ce rythme-là. En faite, la cadence était plus étudiée pour accompagner ses coups de queues.
Et pourtant, à force de me ramoner, de me branler et de m’insulter, le tout en même temps, je me sentis partir pour ma troisième éjaculation de la soirée. La troisième mais la première en terme d’intensité ! Une intensité qui continua à se propager encore une dizaine de secondes, le temps pour Alexandra de se déhancher de plus en plus vite et de plus en plus fort dans mon cul jusqu’à jouir elle-aussi.
Elle se vida les couilles dans mon cul pendant une éternité. A proprement parler, elle se répandit dans la capote et pourtant, j’avais vraiment l’impression d’être sa « petite salope » comme elle disait. D’être comblé par son désir et son plaisir.
Après ça, il y eut comme un moment de calme après la tempête. J’avais mal un peu partout. A ma bouche grande ouverte, à mes bras trop tendus, à mes couilles, comme si elles avaient trop travaillé durant cette soirée. Mais je me sentais bien… vraiment bien.
Ma babysitter me caressait de partout. Je sentais aussi sa poitrine en sueur s’écraser contre moi et avec sa bouche, elle se mit à me mordiller le lobe de l’oreille avant de me chuchoter : « Alors ! C’était comment pour une première fois ? Dis rien ! J’ai déjà la réponse… »
Et elle me tendit sa main couverte de mon sperme devant mon visage avant d’ajouter d’une voix assez perverse : « Tu crois qu’on en a fini ? Tu crois que ma main va se laver toute seule ? »
Elle voulait remettre le couvert ! Je ne savais pas si je pourrais survivre à un second round. C’était vraiment très intense, même si je n’avais pas fait grand chose. Pourtant, quand elle avança sa main vers ma bouche, je ne refusais pas et on enchaîna avec une autre séance tout aussi intensive.
Combien de temps cela dura ? Longtemps sans doute. Ce fut seulement après avoir joui une dernière fois et elle aussi, que je m’aperçus que le soleil se levait derrière les volets. Elle se colla dans mon dos et m’enserra dans ses bras tout en me massant doucement les couilles et la queue d’un air endormi et possessif. Je finis par m’engouffrer dans un sommeil de plomb où plus aucune sensation ne parvenait à m’atteindre.
Quand je rouvris les yeux encore très fatigué et la tête toute cotonneuse, il était déjà presque midi à mon réveil. D’ailleurs, j’étais dans ma chambre… couché dans mon lit… complètement nu. Mon anus me tirait un peu, surtout après ce que j’avais pris hier soir entre les fesses. Pourtant, ce n’était pas normal, non ? J’aurais dû avoir beaucoup, beaucoup plus mal.
Du coup, j’avais peut-être rêver… un rêve comme il faut en plus ! L’alcool, la rupture d’Emily et le film porno d’Alexandra avait peut-être… mais non ! C’était bien trop réel ! Avec des moments où j’étais parfaitement sobre.
Pourtant, ma queue et mon cul était propre. J’avais aussi une érection matinale, comme si mon sexe n’était pas fatigué d’hier soir. En me redressant et en m’habillant tout me sembla normal, y compris l’odeur de la sauce bolognaise venant de la cuisine. Alexandra ne pouvait pas être autre chose qu’une babysitter modèle. Je devais avoir eu une sorte de fantasme chelou…
En allant voir en bas, je fis un petit détour par sa chambre pour être sûr. Idem, tout semblait normal. Aucune trace de capote, de sex-toy ou de sperme. Tout était nickel, comme s’il ne s’était rien passé hier soir. Alexandra avait dû m’entendre depuis le rez-de-chaussée, car je l’entendis alors m’appeler : « Ben ! Vient manger ! »
Quand je suis arrivé dans la cuisine, elle me faisait face, avec un sourire tout ce qu’il y a de plus normal. C’était bien la seule chose ! Elle portait juste un tablier qui serrait sa poitrine au point d’en faire déborder ses seins sur les côtés. Et sa queue était carrément dressée comme un piquet, la toile du tablier faisant comme une tente tout autour. Elle était nue en-dessous et déjà excitée !
Sans me laisser le temps de me ressaisir, elle ajouta : « Tu te doutes bien que si tu veux manger aujourd’hui… tu vas d’abord devoir me finir les restes d’hier soir. Je parle bien sûr du reste de saucisse… »
Voilà pour ma première fois. J’aurais pu vous raconter ce qui c’est passé dans cette cuisine, mais vous imaginez bien que le reste de mes vacances a beaucoup ressemblé à mon dépucelage : surprenant, intense et carrément exceptionnel. Je sais qu&r