Quand je descendis, Nat était partie, elle avait semble t’il un rendez vous ailleurs.

Durant le trajet en voiture, j’eus beau questionner Amélia, elle ne me dit rien. Nous arrivâmes devant une grande maison assez jolie.

Je restais un peu en retrait et muette tandis qu’Amélia ouvrit la porte avec un trousseau… j’avais enfin compris!

Nathalie m’avais parlé la veille du job estival d’Amélia, "femme de ménage" d’un vieux "vicelard".

Je fis malgré moi une moue, baiser avec mon oncle ou mon père qui sont des quadras sexy c’est une chose, mais faire des trucs avec un vieux…pouah!

Amélia me fit entrer.

-Je fais le ménage ici, mais il y a certain avantages, si tu fais des petits plaisirs au vieux il te donne du cash!

J’avais du mal

-quoi comme "petits plaisirs" exactement?

-t’inquiètes tu vas voir c’est plutôt fun!

On monta à l’étage, le "vieux" était en train de regarder la télé.

En fait c’était un homme d’une soixantaine d’année, joufflu et à l’air jovial, le genre qui ferait fureur en costume de père noël.

Dés qu’il vit Amélia il se leva, et la serra dans ses bras, visiblement ravi de la voir

-Oh mais qui est cette superbe jeune fille? dit il en me regardant avec attention

-C’est ma cousine Aurélia Monsieur Boilandrin

-oh oh comme c’est cocasse, Aurélia et Amélia, c’est ravissant…vraiment ravissant.

Il semblait me déshabiller du regard quand Amélia reprit

-Ma jeune cousine à un besoin d’argent

-Oh oh vous les jeunes, pressés et toujours fauchés!

-Justement elle se demandait si elle ne pourrait pas elle aussi accomplir de menus travaux en échange d’un peu d’argent

-Amélia je ne suis pas sure que…

-Oh regardez là, jeune enfant, tu es timide?

Je comprenais pourquoi Nathalie le surnommait le "vicelard», sous des dehors bon enfant il avait le regard pervers qui croit que son âge autorise tout…

-Ma cousine peut paraître timide mais elle en sait plus qu’il n’y parait.

Elle fit un clin d’oeil graveleux qui finit de conclure l’affaire tacitement.

-Bon je repasse dans 2h, je dois aller faire des courses.

Comme l’éclair Amélia avait filé me laissant seule face au "vicelard", il me dit de manière directe.

-30 euros pour toi si tu regardes un film avec moi, assises sur mes genoux.

Il avait l’air plutôt inoffensif et ça semblait de l’argent facile vite gagner. J’haussais les épaules et demanda l’argent d’abord

-hum prévoyante…j’aime ça douce Aurélia.

Il me déposa l’argent au creux de ma main, je glissais l’argent dans mon sac et vint m’asseoir sur le grassouillet petit vieux.

Il appuya sur la télécommande, et apparut à l’écran 16/9éme un porno japonais bien trash, avec des gang bang, et des scènes ou des lycéennes se faisaient piégées dans des métro bondées et pelotées et pénétrer par de vieux pervers.

La respiration du vieux s’accéléra et je sentis poindre sous ma cuisse une grosseur qui n’avait rien à voir avec un gentil bourrelet. Il posa sa main sur mon sein …je me relevais d’un coup en disant

-hey! 30 euros pour restée assise à regarder un film!

En rut à l’évidence il attrapa son portefeuille

-combien pour te caresser les seins? 20 euros?

-30!

-et la fente?

-non

-50 alors pour les deux?

J’avais beau trouver ça dégradant, la position de force dans laquelle je me trouvais m’excita beaucoup et je finis par jouer le jeu non sans déplaisir.

-va pour 50 mais rien qu’avec les mains! Et pas de pénétrations

-il sorti fébrilement un billet de 50 que je m’empressais de ranger dans mon sac. Je repris ma place sur ses genoux.

Ses mains parcouraient mon polo, me palpant les seins, il soufflait dans mon cou en répétant "ils sont groos.humm gros!"

À l’écran une fille venait d’être piégée par son père semble t’il et il avait bien l’intention de la prendre de force. Ses images associées aux palpations que me faisait subir le vieux Boilandrin, me mit assez vite dans l’humeur.

-retire ton haut!

Pendant que j’enlevais mon polo, il avait ses mains qui étaient descendus vers mon entre cuisse, il caressait frénétiquement ma peau, remontant rapidement vers ma culotte, il posa les doigts quasiment sur mon clitoris, ce qui me fit gémir (malgré moi). Semblant voir que j’y prenais aussi du plaisir notamment au contact de ma culotte toute mouillée, il bougea les doigts me masturbant totalement au travers de ma culotte.

— tourne-toi, je veux avoir tes magnifiques seins face à moi.

J’étais alors dans une position qui, s’il n’y avait pas eu ma culotte et son pantalon, aurait été idéale pour qu’il me prenne.

Il regardait comme halluciner ma poitrine. Il attrapa délicatement entre son pouce et son index un de mes tétons et joua avec en les pressant doucement.

De derrière moi, venait les bruits du film porno, les pressions sur mes tétons et la bosse que je sentais contre ma culotte étaient très enivrant.

-bouge moi tout ça…

Et me voilà à califourchon sur ce vieux en grande forme en train de sautiller sur lui faisant allégrement rebondir mon opulente poitrine.

Chaque mouvement m’enfonçait un peu plus sur sa bosse.

J’étais sur le point d’ouvrir son pantalon et de m’empaler moi même sur sa queue quand il dit:

-Combien pour te baiser ?

-baiser ? Demandais je dubitative.

-oui…

Il semblait presser

-il ne me reste plus que 120 euros, est ce que ça ira?

Excitée sexuellement plus intellectuellement par la notion sous jacente de prostitution, j’acceptais d’un hochement de tête.

— A quatre pattes vite!

Je me plaçais à quatre pattes, il ouvrit son pantalon, plaça un préservatif avec célérité et se plaça derrière moi…décala ma culotte.

Je le sentis frôler l’entrée de mon vagin, mais il se colla à mon anus…il voulait me sodomiser… je n’avais pas compris que c’était à ça qu’il faisait référence.

-non pas là….pas à sec!

Il pesa de tout son poids, et força l’entrée de mon cul. Écartant largement mes fesses. Il entra lentement, puis se mit à me besogner avec vigueur.

-Ahhh salope d’aguicheuse…tu pensais pas que le vieux te sodomiserais hein….ouiii cris pour moi, petite putain…

Cette surprise, et ces mots salasse, me firent avoir un premier orgasme, de petits jets de cyprine coulèrent de mon entre jambe, mais le vieux était loin d’être rassasier… il continuait en beuglant

-quelle salope, tu aimes te faire prendre comme une chienne, salope…tu vas voir…

Il éructait carrément, en salivant tant que je sentis pas mal de postillon se déposer sur mon dos en myriade. Ses doigts s’enfonçaient dans mes hanches, quand il donna un dernier coup de rein je ne pus m’empêcher d’avoir un autre orgasme. Je retombais à plat ventre, le vieux en moi. Tout essoufflé il coulissa son chibre hors de moi

-putain quelle baise! En tant normal je ne donne que 50 euros à Amélia pour la prendre comme une chienne mais toi tu vaux bien ce que je t’ais promis… Tu me finis!

Dit il en me présentant sa pine couverte de son vieux sperme. Je me relève, prend mes 120 euros de son porte feuille.

-On en reparlera quand tu seras de nouveau créditeur mon beau! Vous direz à Amélia que je suis retournée à la maison prendre une douche qu’elle ne s’inquiète pas.

Je pris mon sac et repartir chez mon oncle plus riche d’une bonne baise et de 200 euros.

A peine arrivée je filais sous la douche.

-c’est pas quelque chose que je ferais tous les jours quand même…mais bon…

À suivre…

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