Au matin, Lucie était un peu boudeuse quand elle vint apporter son petit déjeuner à Pierre.
— « tu es encore en forme ce matin ? » s’enquit-elle en posant le plateau du petit déjeuner sur la table à carte.
— « tu le sais bien ! » répondit Pierre en souriant et en voyant Lucie se pencher pour passer sa main sur son torse.
Cette fois la main saisit directement le sexe déjà raide de Pierre et commença à le branler. Mais, loin de s’arrêter là, Lucie ouvrit complètement le sac de couchage et s’enfonça profondément dans la couchette jusqu’à ce que sa tête parvienne à la hauteur de la bite dressée entre ses doigts.
— « pourtant tu t’es bien amusé hier soir » dit-elle avec un air de reproche tout en léchant le gland.
Pierre frémit autant de la caresse que de la remarque (ainsi ils avaient été découverts avec Mina ?).
— « mais tu sais je peux faire aussi bien » dit alors Lucie en embouchant le sexe jusqu’au fond de la gorge.
La tête de Lucie montait et descendait sur le sexe de Pierre. Elle branlait en même temps la base du manche et enroulait langoureusement sa langue autour du gland. Pierre pensa qu’effectivement elle avait de la pratique et que c’était bien agréable de se faire réveiller de cette façon ! Comme le bassin de Lucie était à sa hauteur il commença à caresser ses fesses puis, passant la main sous le long t-shirt qui les couvraient découvrit sa nudité. La coquine avait prémédité son coup mais Pierre ne s’en plaignait pas. Il commença à caresser la jeune fille puis la fit venir au-dessus de lui en 69. Pendant qu’elle continuait à faire aller et venir ses lèvres le long de son chibre en cadence il commença à passer la langue sur les lèvres humides. Lucie écarta les genoux et se baissa autant qu’elle pouvait pour faciliter la manuvre. Pierre pouvait faire venir sa langue profondément dans le sexe de la jeune femme qui émettait des gémissement à chaque fois que la langue découvrait un nouveau repli de sa chatte. Par moment elle libérait le sexe pour gémir un peu plus fort et le parcourir du bout de la langue avant de le réenfourner complètement dans sa bouche. Pierre ajouta ses doigts aux caresses de sa langue en venant caresser le clitoris tendu puis en parcourant les hanches pour venir faire une légère caresse entre les fesses jusqu’à l’anneau plissé qui se contracta sous l’effleurement. Il continua un moment des caresses légères de son doigt avant de tenter de l’enfoncer dans l’anus qui semblait s’être habitué à être ainsi lutiné et prêt à le recevoir. Mais Lucie sursauta et se retira en jetant un « Non pas là ! Je l’ai jamais fait !» qui ne souffrait aucune discussion avant d’engloutir à nouveau le sexe qui palpitait dans ses doigts. Pierre s’abstint de poursuivre ses desseins sodomites de peur de ne pas profiter pleinement de la bouche qui le suçait. A force de patience et de caresses il finit par donner une orgasme tout en douceur à Lucie qui le remercia en accélérant sa fellation jusqu’à recevoir en bouche l’offrande de son sperme. Elle se retira pour revenir vers lui et il la vit déglutir sa semence avec un regard de défi.
— « hier soir avec Mina on a discuté. On s’est dit que ça serait bête de se faire la gueule. Alors on a décidé de te partager et même Sophie est d’accord. Tu vas passer une croisière de rêve avec nous trois ! » dit-elle en déposant un rapide baiser sur ses lèvres.
Pierre resta stupéfait et sans voix tandis que Lucie rejoignait les autres filles sur le pont. Ainsi, elles avaient résolu le dilemme qui le tenaillait hier en choisissant la solution la plus simple mais aussi la plus inattendue et la plus agréable pour lui ! Et tout en mangeant son petit déjeuner, il ne pouvait s’empêcher de comparer Mina et Lucie. Physiquement d’abord, ils les appréciaient toutes les deux, quant à leur leur science amoureuse, ou du moins fellatoire, car c’est la seule pratique qu’il avait connue avec elles., il ne saurait les départager. Si Lucie était dans le pompage, Mina était plus dans le léchage et la dégustation façon sucre d’orge ou cornet de glace. Mais à la fin elles avaient toutes les deux aimer recevoir son offrande dans la bouche et tout avaler, ce qui ne lui était arrivé que rarement jusqu’à présent. Qu’en serait-il dans la partie sexe proprement dite ? Et quant à Sophie, c’était visiblement la plus timide des trois mais pourtant Lucie avait bien dit qu’elle serait de la fête elle aussi Pierre ne pouvait s’imaginer qu’il en aurait la confirmation dans la journée !
Étant arrivée la veille à l’entrée du golfe à mi marée montante vers 19 heures, la marée devait à nouveau être haute vers 11 heures du matin. Pour pouvoir naviguer dans de bonnes conditions et sortir du golfe en profitant à nouveau de courants portants (sortir contre le courant relevant de l’exploit compte tenu de la force des courants), il fallait partir en fin de matinée. Ayant pris la météo qui s’annonçait une nouvelle fois idéale pour continuer leur périple avec un vent toujours de Sud-Ouest et un franc soleil, Pierre sortit pour faire préparer l’appareillage. « direction Groix ! Qui voit Sein voit sa fin, qui voit Groix voit sa joie dit le dicton !» lança-t-il en remontant sur le pont. Les filles étaient tout sourire et applaudir. Tout au long des manuvres elles se montraient plus chattes que la veille multipliant frôlements des corps et sourires enjôleurs.
La sortie du golfe fut à nouveau un moment de plaisir nautique absolu. Le paysage était différent de la veille tout en étant le même grâce à un éclairage différent et une hauteur d’eau différente. Des roches qui affleuraient hier la surface de l’eau étaient maintenant englouties sous les flots. Sortis du golfe, ils mirent le cap sur le passage de la Teignouse pour longer ensuite Belle Ile et rejoindre l’ile de Groix où ils allaient arriver le soir grâce au vent favorable. Ils passèrent la Teignouse en milieu d’après midi. Lucie et Mina décidèrent d’aller faire une sieste (leurs exploits de la veille et du matin les avaient elles épuisées ? Pensa Pierre in petto).
Sophie resta seule sur le pont avec Pierre. Ils discutaient de tout et de rien tout en s’occupant de la conduite du bateau quand Sophie qui était en short et t-shirt vint s’asseoir tout contre Pierre en lui demandant de lui montrer à nouveau comment tenir la barre. Pierre enroula son bras gauche autour des épaules de Sophie qui se blottit un peu plus contre lui et prit sa main pour la poser sur la barre du bateau. Bientôt, Sophie posa sa jambe droite sur la cuisse gauche de pierre, ouvrant largement le compas de ses cuisses, son pied pendant entre les jambes de Pierre et elle lui dit avec un regard mutin :
— « tu sais, je suis timide mais je ne suis pas une oie blanche. Il n’y a pas de raison que seules Lucie et Mina profitent de toi ! »
Pierre sourit et se pencha pour poser ses lèvres sur les siennes. Il s’ensuivit un long baiser fiévreux pendant lequel Pierre profita de sa position pour envelopper le sein gauche de Sophie dans sa main. Il fut surpris de constater qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge comme à son habitude et sentit rapidement le téton de la jeune fille s’ériger sous ses doigts. Tout en poursuivant son baiser, Sophie passa une main entre leur deux corps et vint branler à travers le tissus du short le sexe du garçon qui s’était rigidifié. Sentant la main de la jeune femme sur son sexe, Pierre fit descendre la main qui caressait le téton de Sophie le long de sa hanche et remonta sous le short jusqu’à atteindre la fourche des cuisses. Il constata avec ravissement qu’elle n’avait pas mis de culotte non plus et que son minou semblait totalement épilé. Il commença à caresser sa fente qui dégoulinait sur ses doigts.
Tout à coup, Sophie mit fin à leur baiser et s’écarta. Vivement, elle se précipita sur la braguette du short de Pierre pour l’ouvrir et en extirper sa verge tendue. Presque dans le même temps elle fit glisser son short et vint s’asseoir sur les cuisses de Pierre, la queue du garçon coincée entre ses cuisses jointes et le gland frottant sur le haut de sa fente. Les mouvements du bateau assurait l’excitation des deux protagonistes sans qu’ils aient à bouger. Pourtant parfois, Sophie relevait le bassin pour mieux sentir le glissement du chibre tendu contre sa chatte. Et puis, d’un coup elle releva un peu plus les fesses et s’embrocha jusqu’à la garde en poussant un gémissement.
— « oh putain ! c’est vrai que tu es plutôt bien monté comme me l’ont dit les filles » s’exclama-t-elle en sentant le sexe masculin repousser ses chairs intimes et écarteler son conduit vaginal.
Elle goûta la présence dans son sexe de l’organe masculin gonflé à bloc puis commença de petites rotations du bassin qui, associées aux mouvements du bateau, lui permettait de sentir la bite visiter tous les replis de son sexe. Radieuse elle se tourna vers Pierre et lui dit :
— « comme ça je vais beaucoup mieux apprendre. Tu as vu ça rentre tout seul ! »
Et en plus, elle a beaucoup d’humour se dit Pierre qui sentait son sexe délicieusement malaxé par les parois intimes de la jeune femme. Il lâcha la barre lui laissant ainsi la direction du voilier et libérant ses mains pour caresser les rondeurs de Sophie. Celle-ci alternait gloussements quand ses mains la chatouillaient un peu et halètements ou gémissements quand un mouvement plus fort du bateau faisait bouger le sexe qui était planté en elle. Au bout d’un long moment, Sophie sentit un besoin impérieux de se faire jouir sur le sexe de Pierre. Elle commença à aller et descendre sur la bite en poussant des petits cris de plaisir puis, au moment de sa jouissance, elle s’enfonça plus fort au point que le gland heurta sa matrice ce qui déclencha simultanément sa jouissance et celle de Pierre. Elle perçut avec ravissement les longs jets de foutre percuter le fond de sa chatte et la remplir divinement. Les deux nouveaux amants restèrent prostrés quelques instants pour cuver leur jouissance simultanée puis Sophie se releva avec un bruit mouillé quand le sexe de Pierre sortit de sa matrice, suivi de longue trainées de sperme qui coulèrent le long de ses cuisses.
Sophie se pencha sur Pierre pour poser sa bouche sur ses lèvres et lui murmura : « la prochaine fois je te suce car il paraît que tu as un bon goût ! » et elle descendit dans la cabine. Pierre se dit que vraiment ces filles étaient surprenantes. Non seulement, elles avaient convenu de se le partager mais en plus, elles partageaient des informations intimes sur leurs relations avec lui !
Tout se passa bien et sans encombre jusqu’au petit port de Groix dans lequel il ne trouvèrent pas une place au ponton mais à une tonne ancrée au milieu de l’aire d’évitement des bateaux. Ils restèrent donc à bord pour la soirée et organisèrent la journée du lendemain. Lever, manuvre pour aller au ponton. plein d’eau et ravitaillement dans la ville avant le départ pour Concarneau où ils arriveraient dans la soirée.