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Claire: Le job qui a changé ma vie – Chapitre 2




Je suis rentrée chez moi un peu déboussolée mais je voulais vite me reprendre. J’ai ouvert la boîte dans laquelle j’avais mis les 1500 euros reçus quelques jours plus tôt, j’y ai ajouté l’enveloppe que Philippe m’avait donné avant que je ne quitte l’hôtel particulier et j’ai machinalement recompté: 5500 euros en tout. Je n’avais jamais eu autant d’argent ni à la banque ni en liquide.

J’ai croisé mon reflet dans la glace du salon, je me suis imaginée entendre mes propres reproches. C’était moins glauque que de faire le trottoir ou de se présenter à une chambre d’hôtel sans savoir ce que l’on allait trouver derrière la porte mais cela revenait au même: Je venais de me prostituer et je m’apprêtais à en faire mon activité principale. J’ai crié en me fixant dans le miroir: "Et alors !"

J’étais belle depuis toujours et à quoi cela m’avait-il servi à part à me croire tout permis, ne pas avoir d’amis et même plus de contact avec mes parents ? J’allais enfin en faire quelque chose, qui à défaut d’être utile ou valorisant m’offrirait un peu de confort.

J’ai béni le jour ou j’ai répondu à la petite annonce qui allait changer ma vie et je me suis écroulée dans mon lit.

Le lendemain matin, je me suis levée de bonne humeur, ni traumatisée ni honteuse et sans douleurs physiques malgré l’intensité de mon entretien d’embauche de la veille.

Je suis sortie assez tôt pour faire les courses. Pour la première fois depuis que je vivais seule, j’ai rempli le caddie sans recalculer dans ma tête le total à chaque nouvel article. Je n’ai pas comparé le prix des filtres à café pour prendre les moins chers et je n’ai pas eu l’impression de faire un écart en prenant des yaourts aux fruits de marque plutôt que leurs équivalents pâteux premiers prix.

Je suis rentrée chez moi tout ranger, mon frigo avait rarement été aussi plein. Mes derniers doutes sur ma nouvelle orientation professionnelle ont accompagné les sacs plastiques du supermarché au fonds de la poubelle.

J’ai réfléchi à la meilleure façon de m’organiser: j’allais toucher pas mal d’argent en espèces. Trop en garder chez moi était dangereux, trop en déposer à la banque sur mon compte risquait d’attirer l’attention. Philippe m’avait d’ailleurs déconseillé de le faire.

Il y avait évidemment l’option toujours tentante de tout claquer tout de suite mais j’avais trop galéré les mois précédents pour faire cette erreur. Je voulais retrouver un mode de vie normal mais mon but était surtout d’accumuler un petit pactole pour plus tard. J’ai identifié plusieurs cachettes dans mon appartement qui me serviraient au début mais il faudrait trouver autre chose si le montant augmentait rapidement.

Je suis allée au cinéma l’après-midi puis je me suis baladée dans Paris. J’ai bu un verre de vin blanc à une terrasse en souriant: Pour la première fois depuis deux ans je vivais sans crainte du lendemain.

J’ai dîné chez moi de quelques légumes puis j’ai un peu regardé la télévision sans vraiment m’intéresser. J’ai quitté le salon vers 22h15, je me suis déshabillée et je me suis regardée dans la grande glace de ma chambre: j’ai observé mes seins, ma taille fine, mes cuisses puis je me suis tournée, j’ai admiré mes hanches et mes fesses courtes mais bien rondes. Je me suis promis de m’offrir totalement, d’accepter tout ce qu’on me demanderait.

Je suis restée nue sous ma grosse couette, je le faisais rarement mais ce jour là j’en avais eu envie. J’aurais cru avoir du mal à m’assoupir quelques heures avant de prendre mes nouvelles fonctions mais j’ai dormi comme un bébé et le lendemain c’est enjouée que j’ai rejoint lhôtel particulier.

Philippe m’a accueilli. Il m’a montré ma chambre et mes tenues. Il y avait plusieurs uniformes, des tenues de soirées qui me semblaient magnifiques, deux tiroirs de sous-vêtements à ma taille et une quinzaine de paires de chaussures absolument ravissantes. J’ai repéré les Louboutin que j’avais pour l’entretien. Il y avait au moins 3 autres paires de la même marque.

Philippe m’a laissée m’habiller avec la tenue de femme de ménage qui était préparée pour moi sur me lit: jupe à volants ridiculement courte, haut moulant agrémenté d’un petit tablier et de dentelles aux épaules. La tenue était blanche et noire comme on s’y attend pour parfaire la caricature.

Je devais associer un soutien-gorge et un porte-jarretelles ainsi que des bas mais pas de petite culotte. J’ai enfilé tout ça puis dans une pièce prévue pour cela, la coiffeuse et la maquilleuse se sont occupées de moi. Une fois apprêtée parfaitement, je me suis mise debout et regardée dans la glace: avec mes bas et leurs attaches visibles en haut de mes cuisses ainsi que mon maquillage élégant mais plutôt lourd, on aurait dit une actrice de film de cul prête à aller tourner une scène. Je me suis demandé si "Monsieur" allait profiter de moi immédiatement.

Philippe m’a fait revenir dans son bureau.

— Lui" Voila, on y est. Vous allez commencer".

— Lui: "Je vous l’ai déjà dit mais c’est le plus important alors je vais me répéter. Il n’y a que Monsieur qui puisse vous demander des faveurs. Il vous offrira à ses visiteurs mais toujours en sa présence et c’est toujours lui qui mènera le jeu"

— Lui: "Quand il y a des invités, si l’un d’eux vous fait des avances, restez courtoise mais éconduisez-le. Pour ce type de services, vous n’êtes qu’aux ordres de monsieur".

— Lui: "Parfois, il y a des réceptions avec pas mal de monde. Les mêmes règles s’appliquent. Si un invité ou un des employés vient vous dire que Monsieur l’a autorisé à profiter de vous, ce sera faux. Il vous donnera toujours des ordres directs. Est-ce bien clair ?"

— Moi: "Oui, parfaitement. Je n’obéis qu’à Monsieur pour tout ce qui concerne mes attributions intimes".

— Lui: "Vous avez compris".

— Moi:"Et si quelque chose dégénère ?"

— Lui: "Il y a un système de caméra dans toute la résidence et il y a du personnel de sécurité. Monsieur apporte une attention particulière à ses 3 hôtesses. Dans tous les cas, si quelqu’un s’en prenait à vous, vous seriez secourue en moins de deux minutes".

— Lui: "Et quoi qu’il arrive, si vous criez ’code rouge’, le personnel de sécurité intervient dans les mêmes délais et vous raccompagne à votre chambre. Cela s’applique même si vous êtes avec Monsieur. Il a été parfaitement clair avec les équipes de sécurité sur ce point. Il veut que ses trois hôtesses se sentent dans un environnement parfaitement sécurisé et qu’elles puissent s’échapper de toute situation qui dépasserait leurs limites"

C’était rassurant d’entendre cela. Il m’a ensuite indiqué d’aller faire les poussières dans le salon d’attente attenant au bureau de Monsieur. Il recevait du monde ce matin.

— Moi: "Et je prends quoi comme produit ? Je veux dire pour les poussières".

Philippe a souri largement.

— Lui: "Vous croyez vraiment que vous êtes là pour faire le ménage ? … Allez prendre un plumeau dans la pièce d’entretien, dites juste bonjour aux personnes que vous verrez dans le salon et faites vaguement les poussières. Monsieur a besoin que vous perturbiez un peu les deux hommes qui viennent négocier un contrat avec lui. Je vous ai regardé quand vous êtes entrée, vous n’avez pas besoin d’en rajouter, votre présence suffira".

J’allais remplir ma première mission et j’étais amusée de la tournure que cela prenait. Je suis allée récupérer un plumeau puis je me suis dirigée vers le salon d’attente. Il n’y avait personne pour le moment mais j’ai tout de même commencé à faire semblant de faire les poussières.

Dix minutes ont passé puis j’ai entendu la grande porte d’entrée s’ouvrir et enfin la voix de Philippe et deux autres, inconnues, ont résonné.

J’ai entendu leurs pas se rapprocher. Je me suis mise de l’autre côté de la pièce tout en continuant de m’activer juste avant que la porte ne s’ouvre.

— Philippe: "Asseyez vous, je vous en prie. Monsieur va vous recevoir".

Il se sont assis d’abord sans me voir puis je leur ai lancé un bonjour.

Ils ont levé les yeux vers moi pour me répondre et ont marqué un temps d’arrêt en me voyant dans cette tenue. Je me suis retournée pour continuer mon ménage en sentant leurs regards toujours sur moi.

Amusée par ce petit jeu, je me suis penchée en avant pour passer le plumeau sur une commode. J’ai senti le bas de mes fesses se dévoiler et le regard des deux hommes scruter mon petit cul.

L’un a fini par se ressaisir.

— Le type: "Loïc, je pense qu’il faut mettre en avant l’intérêt de ce placement dès les 2 premières années par rapport à d’autres options qui ont pu lui être proposées".

Ils ont continuer à parler même si je sentais que de temps en temps, ils ne pouvaient sempêcher de porter un regard vers moi.

Cela m’amusait et j’ai eu envie d’en faire un peu plus. Je me suis rapprochée à trois mètres d’eux et j’ai essayé datteindre un des spots muraux avec mon plumeau. Je me suis mise sur la pointe des pieds et j’ai levé mes bras. J’ai senti les volants de ma jupe remonter jusqu’au haut de mes fesses me laissant pour quelques secondes le cul à l’air, mon porte-jarretelles lui servant d’écrin.

Je ne suis pas restée comme cela longtemps, j’ai vite repris une position moins équivoque en portant mon attention sur un autre endroit plus accessible.

La porte du patron s’est ouverte.

— Monsieur:"Bonjour, entrez. Désolé pour cette attente"

L’un des deux types en costume n’a pas réussi à me quitter des yeux et l’autre suait à grosses gouttes.

Je suis restée dans la pièce quelques minutes puis Tatiana, la jolie blonde, est entrée dans la même tenue que moi avec un plateau, plusieurs tasses de café et des gâteaux.

Je l’ai trouvée encore plus belle que la première fois ou je l’avais vue. Je lui donnais 26 ou 27 ans. Elle faisait plus femme que moi qui avait des traits juvéniles pour me rappeler que 2 ans auparavant j’étais encore lycéenne.

J’ai frappé puis tenu la porte pour que Tatiana fasse le service dans le bureau. Les deux types ont

échangé un regard ahuri en la voyant se mouvoir autour d’eux et les frôler avec le haut de ses cuisses dénudées ou les froufrous de sa tenue de soubrette. Elle en a rajouté juste comme il fallait pour que n’importe quel homme normalement constitué meure d’envie de la culbuter dans l’instant.

Quand elle est sortie, elle m’a soufflé " Viens, c’est bon, on peut repartir".

Elle m’a guidé vers un petit salon décoré de façon très girly. Elle m’a expliqué qu’il y avait un interphone pour nous prévenir quand on avait besoin de nous et que c’était ici que nous devions attendre quand il n’y avait rien à faire.

J’étais contente d’enfin pouvoir parler avec une des filles. Je lui ai demandé où était Talia, elle m’a expliqué que comme nous ne travaillions que 4 jours par semaine chacune, il était assez rare qu’on soit là toutes les trois en même temps.

Je lui ai également demandé depuis combien de temps elle travaillait ici. Cela faisait 15 mois, 9 pour Talia. Celle que je remplaçait était restée 6 mois. En général Monsieur finissait par se lasser ou alors la fille partait après avoir mis de côté la somme qu’elle s’était donné comme objectif.

— Moi: "Et toi Tatiana ?"

— Tatiana: "Je resterai aussi longtemps qu’il voudra de moi. J’ai été escort pendant un temps. Je peux te dire que tu es mieux ici et pourtant je compare avec des agences de Luxe."

J’ai hésité mais j’ai posé la question à laquelle je n’avais pas encore de réponse.

— Moi: "Et il faut souvent… Enfin je veux dire, on doit beaucoup… "

— Tatiana: "Tu veux savoir combien de fois par jour tu vas devoir baiser ?"

— Moi: "Je… oui, c’est ça en fait"

— Tatiana: "Finalement pas tant que cela vu ce qu’on est payées. Des fois, il peut y avoir une semaine complète ou tu ne fais rien de sexuel… et tu es payée quand même. Par contre si un soir, il dîne avec 8 potes et qu’il te dit de tous les laisser te sauter, il faut dire ’Oui Monsieur’ et te faire tringler avec le sourire"

— Moi: "8 mecs ?!!!"

— Tatiana: "C’est pas la question. Mais tu comprends le principe: ce n’est pas un bordel donc il ne te demande pas d’écarter les jambes 10 fois par jour. Par contre, tu gagnes un salaire de folie donc il attend que tu sois complètement soumise, complètement docile. S’il te dit de faire un truc, même si ça te semble dingue, tu ne cherches pas à comprendre: "Oui Monsieur", tu souris et tu le fais."

— Tatiana: "Si tu es féministe, tu n’es pas a la bonne adresse !".

— Tatiana: "A l’entretien, tu as été parfaite… mais il faut être comme cela tout le temps et tu verras, ce n’est pas si facile."

Je n’en doutais pas une seconde.

— Moi: "Elles étaient comment les autres filles à l’entretien ?"

— Tatiana: "Elles ne t’arrivaient pas à la cheville. Franchement tu as assuré. Par contre, je te le redis, il faudra que tu sois aussi bonne tout le temps"

— Moi: "Oui, oui je comprends. De toute façon j’ai envie que ça se passe bien. Je ferai ce qu’il faut".

Elle m’a fait un clin dil et nous avons rigolé toutes les deux.

Nous avons continué à discuter puis nous avons été appelées pour déjeuner. Nous avons rejoint une grande table avec Philippe, les 3 majordomes, le chauffeur du patron et une "vrai" femme de ménage. Tout le monde a été gentil avec moi me demandant d’où je venais, si je commençais à me retrouver dans le bâtiment, etc. Il n’y a eu aucune allusion déplacée y compris de la part des majordomes qui m’avaient pourtant vue en action puisque j’avais même sucé l’un deux pour mon entretien.

Tatiana m’a expliqué plus tard que les consignes étaient strictes et qu’à la moindre allusion à nos fonctions, le fautif était viré sur le champ. Cela nous rendait les choses beaucoup plus simples même si c’était évidemment de la pure hypocrisie.

Jévitais tout de même de croiser le regard de Yohan, celui à qui j’avais offert mes lèvres et qui m’avait fait jouir avec les vibromasseurs. Me retrouver à table avec lui restait pour moi assez perturbant.

Tatiana et moi avons reçu des portions plutôt plus petites que les autres et sans sauce ainsi qu’un fruit au lieu du dessert. Nous n’étions pas là pour grossir, d’ailleurs Philippe m’avait fait monter sur une balance le matin et j’avais compris que le chiffre ne devait pas augmenter. C’était une petite contrainte de plus mais dans le contexte, ce n’était pas plus surprenant que le reste.

Nous sommes retournées dans le salon après le repas. Philippe m’a appelée pour me dire de me changer pour un tailleur pantalon et de le rejoindre au rez-de-chaussée.

Il m’a emmenée dans une salle qui ressemblait à un casino miniature: table de poker, billard, roulette, un bar et des fauteuils clubs. Il m’a présenté Gilles, un trentenaire qui travaillait dans un vrai casino et me donnerait des cours 2 heures par jour pour m’apprendre à m’occuper d’une table.

Philippe m’a dit que je devais être prête pour une partie de poker qui se déroulait la semaine suivante.

Je savais déjà jouer au poker, je n’étais donc pas inquiète, le rôle de croupier ne me semblait pas très compliqué. Gilles m’a expliqué que nous avions des machines pour la plupart des tâches et m’a montré comment les utiliser.

Il y avait celle pour battre les cartes que je connaissais déjà mais surtout 2 autres pour le début et la fin de partie. Un appareil permettait de compter les billets et un autre faisait la même chose pour les jetons.

Cela permettait de faire facilement les conversions quand les joueurs arrivent, repartent ou rachètent des jetons en cours de partie. C’était la partie qui peut être la plus impressionnante à cause des sommes à manipuler. Il m’a expliqué qu’il fallait se concentrer sur les actions à effectuer avec les machines et leurs séquences afin de ne pas être perturbée par l’éventuel montant des transactions.

Nous avons fait plusieurs répétitions. J’ai un peu galéré au début mais à la fin de la séance, j’étais déjà plus à l’aise. Gilles m’a dit "à demain" sans rien laisser transparaître; je me suis demandée s’il avait connaissance de touts mes attributions.

J’ai retrouvé Tatiana après m’être de nouveau changée en soubrette. Il était presque 18 heures quand l’interphone a retenti: " Monsieur vous demande dans son bureau; toutes les deux".

Nous sommes descendues, Tatiana a frappé à la porte. Monsieur nous a fait signe de nous mettre chacune d’un côté de la pièce. Je ne savais pas trop comment me comporter, j’ai donc copié l’attitude de ma collègue: bien droite, les mains dans le dos, élégante et un discret sourire sur le visage.

J’ai regardé ses jolies jambes, mises en valeurs par les bas et la jupe courte. On distinguait aussi une poitrine plus volumineuse que la mienne. Tatiana avait un visage et un corps parfaits, c’était une vrai bombe.

— Monsieur: "Tatiana, appuyez vous contre la cheminée et cambrez vous".

Elle s’est retournée et a posé ses avant-bras sur le rebord blanc de la cheminée. Elle a écarté un peu ses jambes puis elle a cambré son dos dévoilant un fessier magnifique dans cette pose indécente.

— Monsieur: "Claire, approchez vous d’elle."

J’ai rejoint la jolie blonde alors qu’elle tournait son visage vers notre patron.

— Monsieur: "Caressez ses fesses"

Un peu gauche, j’ai passé ma main sur le cul de Tatiana. Elle avait la peu très claire, douce et chaude. Son sillon fessier était profond. Elle avait vraiment un super cul !

— Monsieur: "Claire, comment vous trouvez votre collègue ?"

— Moi: "Tatiana est vraiment une très belle femme: élégante et sexy. Vous avez très bon goût".

— Monsieur: "Vous êtes lesbienne ou bi ?"

— Moi: "Non Monsieur mais cela ne m’empêche pas de voir à quelle point Tatiana est magnifique."

Il m’a laissé la caresser doucement encore quelques minutes. L’ambiance dans la pièce avait changé.

— Monsieur: "Claire, envoyez lui quelques fessées"

Je ne savais absolument pas comment m’y prendre. J’ai tourné autour de Tatiana, elle en a profité pour me souffler: "Il faut que tu y ailles franchement, qu’on entende claquer".

J’ai envoyé une première claque qui n’a pas fait de bruit puis j’ai de nouveau levé la main et fait tomber une seconde fessée, plus forte cette fois. C’était mieux: un bruit de fracas a résonné et Tatiana a poussé un "Han" en se mordant les lèvres. J’ai recommencé une fois puis une autre puis encore. Tatiana gémissait à chaque coup en lançant un regard de braise à notre patron. Elle était douée !

J’ai arrêté et j’ai recommencé à caresser le cul que je venais de faire rougir mais Monsieur m’a fait signe de frapper de nouveau.

La pièce a résonné plusieurs fois puis après la 8eme claque, j’ai été interrompue.

— Monsieur: "Tatiana: mettez vos mains dans le dos".

Ma collègue s’est exécutée, se cambrant encore un peu plus et ne laissant plus que son visage en appui sur le rebord de la cheminée. Sans que notre boss ait besoin de le demander, elle a également écarté encore un peu plus ses jambes.

Monsieur m’a fait signe de continuer; la pièce s’est de nouveau emplie du mélange des gémissements de Tatiana et des claques sonores que je lui assénais.

— Monsieur: "Vous pouvez nous laisser Claire".

Je suis sortie du bureau étourdie et je suis retournée à notre petit salon en manquant de percuter un des majordomes en chemin.

Tatiana m’a rejoint 45 minutes plus tard, légèrement décoiffée et le maquillage un peu en vrac, surtout le rouge à lèvres.

— Moi: "Alors, vous avez fait quoi ?"

— Tatiana: "Je l’ai sucé d’abord et puis il m’a fait d’autres trucs"

— Moi: "Et comment… enfin je veux dire…"

Tatiana m’a coupée.

— Tatiana": Je sais que c’est ton premier jour et que tu es forcément curieuse mais on a une règle avec Talia: Dans ces cas là, quand une de nous revient, on la laisse tranquille et on ne lui demande pas de rapport détaillé. "

Elle avait parlé sèchement et jai compris à quel point j’avais été stupide. A sa place, je n’aurais eu aucune envie de lui expliquer en détail ce que je venais de faire: deep throat ou pas, est-ce que j’avais avalé, etc. C’était déjà suffisamment pénible de revenir et de savoir que tout le monde est au courant qu’on vient de se faire baiser.

— Moi: "Pardon. Je suis conne. En plus tu as été super sympa avec moi aujourd’hui"

— Tatiana: "C’est rien. Juste, quand je reviens de… enfin tu vois quoi, il ne faut pas trop me parler. Tu me laisses tranquille le temps qu’il faut".

Elle a filé à sa salle de bain et est ressortie calmée quinze minutes plus tard.

Une voix a retenti dans l’interphone: "Mesdemoiselles, le service est fini pour aujourd’hui".

Tatiana m’a dit qu’elle rentrait chez elle. Elle ne travaillait pas le lendemain, en revanche Talia serait là. Elle m’a montré le planning accroché à un mur: Comme Philippe me l’avait dit j’étais de service deux jours consécutifs puis j’avais deux jours de repos avant de revenir encore deux jours.

Travaillant le lendemain, je devais dormir sur place mais Tatiana m’a expliqué que le message que nous avions eu à l’interphone signifiait qu’on n’avait pas besoin de nous pour la soirée. Je pouvais même sortir en passant par la sortie de service si je voulais.

J’ai salué Tatiana puis je suis allé dans ma chambre me changer et mettre des vêtements plus passe-partout: un jean et un pull moulant. J’ai mis la tenue de soubrette dans le bac à linge sale de la salle de bain comme on me l’avait expliqué puis je me suis dirigée vers la cuisine. J’ai prévenu que je dînerai à l’extérieur et je suis allée vers la sortie de service.

J’ai croisé le chauffeur du patron qui mettait ses gants. Le boss devait avoir une soirée à l’extérieur; c’était pour cela qu’il n’avait plus besoin de nous. J’ai fait un tour dehors et bu un cocktail de fruits dans un bar lounge en écoutant la musique qui passait. J’ai dédaigné 2 mecs qui ont tenté de m’aborder, trop absorbée par mes pensées. Après l’entretien, je m’étais imaginée que Monsieur userait de moi de manière intensive. Je me rendais compte que ce n’était pas le cas même si je n’étais pas dupe: il y aurait évidemment des moments beaucoup plus éprouvants que ce que j’avais connu aujourd’hui.

J’ai été étonnée de voir ma montre indiquer 23 heures. Mon esprit avait vagabondé plus longtemps que je ne l’avais imaginé. Je suis rentrée à la résidence et je suis allé directement dans ma chambre me doucher puis me coucher.

Le lendemain, j’ai pris le petit déjeuner avec les autres employés à 8h30 puis je suis allé doucement me préparer. J’ai mis le tailleur pantalon que j’avais utilisé la veille comme me l’a demandé Philippe. Je débutais par mon cours pour le casino. Je suis tout de même passé entre les mains de la coiffeuse et l’esthéticienne en même temps que Talia qui venait d’arriver. Elle m’a fait un clin dil: nous discuterions plus tard, il fallait être discrètes devant les 2 jeunes femmes qui s’occupaient de nous.

J’ai passé un peu plus de deux heures avec Gilles qui m’a expliqué la distribution des cartes et la gestion des mises en vue de la prochaine partie de poker. Cela a passé très vite: rapidement il fut 13 heures.

J’ai quitté Gilles que je reverrais 3 jours plus tard puis je suis allé mettre la tenue de soubrette avant d’enfin rejoindre les autres pour déjeuner. Nous avons parlé de tout et de rien puis je suis retournée à notre petit salon avec Talia.

— Talia: "Alors ton premier jour ?"

— Moi: "Ça c’est très bien passé. Tout le monde a été sympa et Tatiana m’a bien aidé. Elle m’a expliqué plein de choses".

— Talia: "T’as pas encore… ?"

— Moi: "Non, Monsieur m’a juste fait mettre des fessées a Tatiana".

Talia a explosé de rire et moi aussi.

— Talia: "Tatiana n’aime pas trop discuter des détails. Si tu as des questions un peu trash, tu peux me les poser, ça ne me choquera pas"

— Moi: "Et bien en fait, je me demandais: Qu’est-ce qu’il aime nous faire ou nous voir faire avec d’autres ?".

Talia m’a regardé avec un air moqueur. Je l’aimais bien, elle était amusante.

— Talia: "Vu ce qu’il nous paie, il ne veux pas juste nous faire des bisous dans le cou. Ce qu’il t’a fait faire pour ton essai, c’est ce qui l’intéresse le plus".

— Moi: "Tu veux dire à la fin ?"

— Talia: "Non, l’ensemble. Ce sera toujours hard. Il n’y aura pas de petite baise tranquille en missionnaire".

— Talia: "Et pour te répondre clairement: oui, il veut très souvent de l’anal."

— Talia: "En fait, soit c’est juste une pipe soit c’est plus et alors ce sera chaud pour ton cul presque à chaque fois ."

Comme Philippe me l’avait dit dès le départ, les exigences étaient élevées…

— Talia: "Mais comme tu as du le voir déjà, ce que Monsieur nous demande n’est pas trop fréquent. Il ne t’appelle presque jamais plus d’une fois dans la journée pour du sexe".

— Talia: "A part quand il y a des soirées. Dans ces cas là, ça peut être plus dur. On est que trois donc je te laisse visualiser le tableaux s’il a une douzaine d’invités".

J’ai rougi sans savoir quoi dire.

— Talia: "Mais ne stresse pas trop, ça n’arrive pas très souvent."

Talia s’est levée. Elle a fait quelques pas pour se détendre. Elle était magnifique: des jambes longues et musclées, un cul d’enfer et un visage de poupée. C’était la plus belle black que je n’avais jamais vu.

— Moi: "Tu sais pourquoi la fille avant moi est partie".

— Talia: "Elle s’appelait Séverine"

— Moi: "Brune j’imagine ?"

— Talia: "Oui. Apparemment, il y a toujours une blonde, une brune et une fille typée".

— Talia: "Séverine n’y arrivait plus vraiment. Et Monsieur, ça ne lintéresse pas de tringler une fille qui fait la gueule"

— Moi: "Il l’a jetée du jour au lendemain ?"

— Talia: "Non, pas vraiment mais de toute façon, c’était chiant d’être avec elle, même pour Tatiana et moi. Séverine aurait du arrêter elle-même si ça devenait trop dur. C’est plus sympa d’être avec toi. Pour l’entretien, t’étais à fonds, c’était marrant."

— Moi: "T’as trouvé ça marrant mon entretien !?"

— Talia: "Ce n’est pas ce que je veux dire… Mais tu étais parfaite, il était forcé de te prendre. N’importe quel mec rêverait du plan que tu étais en train de faire… et puis t’es vachement sexy. T’as un truc en plus. Tout le monde l’a vu dès que tu es entrée"

— Moi: "Vous êtes vraiment belle toi et Tatiana… Je veux dire je suis hétéro mais vous êtes super jolies".

Talia a rigolé.

— Talia: "Il vaut mieux qu’on te plaise. A l’occasion il nous demandera sans doute de faire quelques trucs".

Encore une fois, j’ai rougi comme une gamine.

— Talia: " De toute façon, il n’y a pas de mystère: si on est là, c’est qu’on est des bombes !"

L’interphone a résonné. "Talia. Monsieur vous demande dans la bibliothèque".

La blackette a arrêté de parler. Elle s’est levée, a rajusté ses vêtements puis elle a contrôlé son allure dans la glace. Elle est sortie en me laissant à peine le temps de lui dire "à tout à l’heure".

J’en ai profité pour lire une partie du livre sur le poker que Gilles m’avait laissé. Je devais surtout travailler à identifier rapidement qui avait gagné. C’était finalement un peu plus difficile en tant que croupier qu’en tant que joueur. J’étais perturbée par une curiosité malsaine qui m’empêchait de totalement me concentrer. Je n’arrivais pas à ne pas penser que Talia devait être en train de faire l’amour quelques mètres plus loin.

Elle est revenue quasiment une heure après. J’avais retenue la leçon de la veille, je l’ai laissée se servir un grand verre d’eau puis sasseoir 10 minutes sans rien dire. Elle est ensuite allé à la salle de bains. Une fois revenue, il lui a encore fallu quelques minutes puis elle s’est remise à me parler mais sans mentionner ce qu’elle avait fait.

Un peu plus tard. Philippe est passé nous voir et nous a demandé de nous placer dans le grand hall d’entrée. Nous avons pris les plumeaux et vaguement commencé à faire les poussières. Le carillon a sonné et Philippe est venu ouvrir à un groupe de trois hommes. J’ai reconnu Jeff qui avait activement participé à mon recrutement ainsi que 2 autres hommes.

Jeff est passé à côté de Talia puis de moi comme si de rien n’était mais les deux types ont halluciné en nous voyant astiquer le mobilier en porte-jarretelles.

Ils ont disparu dans les bureaux puis Talia est venue près de moi.

— Talia: "La plupart des journées se déroulent comme ça. On passe la plupart du temps tranquille dans le petit salon, on fait un peu les potiches et il nous appelle une fois. C’est cool quand même !"

Nous avons continué de faussement briquer le hall puis au bout de 20 minutes Jeff a raccompagné les deux visiteurs et il est retourné dans le bureau du boss. Philippe nous a ramenées dans le salon, il était 17h30. Je me demandais à quelle heure je finirais. Talia m’a dit qu’il n’y avait pas de règles et elle a ajouté: "Tu as un salaire de ministre. Tu n’es pas aux 35 heures !"

Vers 18h. L’interphone a retenti. "Claire. Monsieur voudrait que vous le rejoigniez dans son bureau".

J’ai retouché mon maquillage, ajusté mes bas puis je suis sortie du petit salon pour aller là ou on m’attendait. Mon cur battait à toute vitesse. Je me doutais que cela allait sans doute être ma "première fois". J’ai toqué à la porte du bureau.

"Entrez".

— Moi: "Bonjour, Vous m’avez fait appeler Monsieur".

Puis surmontant le trouble de me retrouver dans la même pièce que Jeff, je me suis tournée vers lui. Il était assis dans un des fauteuils et je l’ai salué également.

— Jeff: "Bonjour".

— Monsieur: "Bonjour Claire. J’imagine que vous vous souvenez de mon ami Jeff"

— Moi: "Oui Monsieur"

— Monsieur: "Vous vous rappelez ce qu’il faisait la dernière fois que vous vous êtes vu".

J’ai essayé de ne pas rougir.

— Moi: "Il me sodomisait Monsieur"

— Monsieur: "Je crois que vous lui aviez fait une requête"

J’étais mortifiée mais il fallait jouer le jeu.

— Moi: "Oui Monsieur"

— Monsieur: "Et quelle était cette requête ?"

— Moi: "A votre invitation, Je lui avais demandé de m’enculer brutalement"

Mon boss gardait son sérieux malgré cette discussion pour le moins décalée.

— Monsieur: "Avant votre arrivée, Jeff me faisait part de sa frustration. Il est vrai que je l’avais interrompu pour confirmer votre recrutement."

— Monsieur: "Je comprends son désarroi et je pense qu’il faudrait réparer ceci. Qu’en dites vous ?".

— Moi: "Je suis à votre disposition Monsieur".

— Jeff: "Tu l’as bien choisie celle là !".

— Monsieur: "Enlevez votre uniforme et votre soutien-gorge"

— Moi: "Oui Monsieur"

J’ai enlevé mes vêtements. Jeff s’est déshabillé également et il s’est installé dans le grand canapé.

— Monsieur: "Jeff, tu préfères quoi ?"

— Jeff: "Ça fait des jours que je rêve de son petit cul…"

— Monsieur: "Vous avez entendu Claire ?"

— Moi: "Oui Monsieur"

— Monsieur: "Laissez vous faire".

— Moi: "Oui Monsieur"

Je ne portais déjà plus que mon porte-jarretelles, mes bas et mes chaussures. Jeff m’a amené prés d’un des murs. Il m’a fait appuyer mes avant-bras sur la paroi à hauteur de mon visage puis il s’est collé dans mon dos. Il a posé ses mains sur mes hanches puis il a fait lentement remonter ses doigts le long de mon corps. Je n’ai pu m’empêcher de frissonner. Même si j’étais payée, l’érotisme de la scène était réel.

Il a empaumé mes seins et les a malaxé doucement. J’ai tourné la tête vers mon patron et je l’ai fixé sans rien dire laissant Jeff me pétrir et serrer mes tétons. Il m’a caressé plus longtemps qu’un homme ne l’aurait fait dans un rapport normal mais cela ne m’a pas dérangée. Je n’étais pas perturbée d’être à la merci de mon patron et de son ami. Pour être honnête, tout cela ne m’était pas désagréable. Je crois que le fait d’en rajouter des caisses, que mon patron se prenne pour un dictateur au milieu de sa cour et que j’envoie 20 "oui Monsieur" à la minute ajoutait une dimension comique à tout cela et m’empêchait de penser à ce que ma condition pouvait avoir de dégradant.

Oui, j’allais me faire sauter d’ici quelques minutes mais sur la globalité de la journée, est-ce que j’aurais été mieux dans un Mac Do’ à faire des frites pendant 8 heures avec un petit chef qui m’engueule pour que j’aille plus vite ? Pas sûr !

Je sentais son érection s’amplifier et son souffle était plus fort. Il a lâché mes seins et m’a fait écarter les jambes puis me cambrer. Il s’est mis à genoux derrière moi et il a glissé une main entre mes cuisses pour caresser mon clitoris. Il a marqué un temps d’arrêt en se rendant compte que j’étais trempée mais il n’a pas fait de remarque.

Il a commencé à caresser mon bouton en même temps qu’il enfonçait son visage entre mes fesses.

Mon patron s’est installé dans un fauteuil à deux mètres de moi et il n’a cessé de me regarder pour scruter les réactions sur mon visage.

Jeff s’y prenait bien. Il barbouillait ma rosette et ma raie de salive et enfonçait régulièrement sa langue dans mon anus tout en excitant mon clitoris avec une réelle maîtrise. Si je m’étais laissée aller, j’aurais sans doute gémi de plaisir. Pour l’heure je me contentais de souffler sensuellement; j’appliquais les consignes de Talia: restez relativement discrète quand le patron nous offre à ses invités pour pouvoir plus nous lâcher quand il nous baise lui-même.

A force de me faire des cochonneries avec sa langue, mon partenaire avait fini par totalement assouplir ma corolle. J’étais un peu rassurée pour la suite.

Jeff s’est écarté de moi et il a placé un pouf au milieu de la pièce. Il m’y a amené et m’a fait m’installer dessus à 4 pattes. Mon boss a pris une chaise et s’est installé perpendiculairement à moi, à à peine un mètre.

— Monsieur: "Claire, je vous conseille de prendre sa queue en bouche pour la lubrifier"

— Moi: "Vous avez raison Monsieur"

Jeff s’est placé devant moi. J’ai entrouvert les lèvres. Il a placé sa main derrière ma tête pour me maintenir et il a poussé sa bite tout doucement en moi. Je n’ai pas compris tout de suite ce qu’il voulait faire. Il a continué à progresser et quand j’ai eu un premier mouvement de recul en le sentant frôler ma luette, il m’a maintenue plus fermement pour poursuivre sa pénétration inexorable. Il m’a pénétrée jusqu’au bout ne s’arrêtant qu’en sentant mes lèvres retroussées contre son ventre.

— Monsieur: "Salivez sur sa bite. N’ayez pas peur".

De toute façon, je ne pouvais pas faire autrement. J’ai bavé abondamment, toussé deux fois, dégluti et j’ai eu un haut-le-cur avant qu’il ne me libère.

Il a sorti sa queue de ma bouche aussi lentement qu’il l’y avait mise. J’avais fait ce qu’on me demandait, elle était dégoulinante de salive.

Jeff a tourné autour de moi, je sentais la chaleur de son corps contre ma peau même s’il ne me touchait pas encore tant il était prêt.

— Monsieur: "Posez votre visage contre le tissu et attrapez vos fesses à pleines mains".

— Monsieur: "Écartez bien vos fesses et cambrer vous. Offrez vous Claire ".

— Monsieur: "Parfait."

J’avais fait tout ce qu’il demandait, je tendais mon cul au maximum, prête à me faire empaler. J’avais de l’appréhension évidemment mais aussi de l’excitation.

— Monsieur: "Vous vous rappelez de vos mots exacts lors de votre entretien"

— Moi: "Oui Monsieur".

— Monsieur: "Je suis sûr que Jeff a très envie de les réentendre".

Il a posé son gland sur ma corolle à ce moment.

J’ai plongé mon regard dans celui de mon patron avant de répéter les mots déjà prononcés quelques jours plus tôt: " S’il vous plaît, défoncez moi le cul. Ne me ménagez pas" .

J’ai senti Jeff agripper mes hanches fermement. Il a poussé sa queue en moi forçant mon cul et m’arrachant un premier cri. Ensuite il s’est extrait de nouveau avant de replonger entre mes fesses et de faire 5 vas et viens jusqu’à pénétrer une dizaine de centimètres dans mon rectum.

J’ai crié et grimacé la bouche grande ouverte. Monsieur ne me quittait pas des yeux et semblait apprécier le spectacle.

Jeff m’a de nouveau extrait sa queue du fondement puis l’y a replongé brutalement, j’ai froncé les sourcils en poussant un gémissement plaintif mais personne n’est venue me secourir.

A partir de ce moment, il s’est mis à me besogner en rythme tout d’abord sans s’enfoncer plus loin que là ou il en était puis en progressant régulièrement à chaque poussée.

Mes gémissements sont devenus grognements. Je sentais l’excitation de mon partenaire dont les mains cramponnées à ma taille suaient de plus en plus.

Je serrais les dents en essayant de ne pas fermer les yeux pour toujours fixer mon patron. Il semblait s’amuser de mon combat.

Jeff était vraiment bien équipé. Mon cul qu’il forçait à s’écarter autour de ma colonne me brûlait et j’avais l’impression qu’il n’arriverait jamais à me pénétrer en totalité. Pourtant, enfin, j’ai senti son ventre toucher mes fesses. Je ne m’étais jamais sentie aussi pleine de la queue d’un homme.

J’ai poussé quelques "Haa Aie" quand il a manuvré au fonds de moi. Trop heureux de me sodomiser aussi profondément, il ne ressortait quasiment plus, se faisant plaisir en ondulant dans mes entrailles.

C’était intense, vraiment intense. Je me sentais grimacer mais je ne pouvais rien y faire.

— Monsieur: "Vous appréciez toujours de travailler pour moi ?"

— Moi: "Haaa ! Oui Monsieur"

Je crois que Jeff s’est mis à bander encore un peu plus. La pression sur mes chairs intimes s’est faite plus forte. J’ai bavé et gémi plaintivement.

— Monsieur: "Vous en voulez encore ?"

— Moi: "Haaa ! Oui, Haaaa. Pour vous Monsieur"

J’ai senti Jeff reculer mais à peine après avoir dégagé quelques centimètres, il s’est de nouveau rué en moi faisant claquer mes fesses bruyamment. Puis il a recommencé, il me prenait aussi profondément que violemment. Il a semblé adorer cela et malgré mes gémissements paniqués, il a continué à me baiser de cette manière.

Cela a duré plusieurs minutes qui m’ont paru une éternité puis il s’est bloqué au fonds de moi sans que je sache si c’était pour prolonger son plaisir ou me donner un peu de répit.

Monsieur me fixait toujours. J’ai essayé de recomposer mon visage.

— Monsieur: "Vous appréciez ce que Jeff vous fait ?".

— Moi: "Je…. je vois que cela vous plaît alors cela me convient… Haaa.".

— Monsieur: "C’est effectivement très plaisant. Vous allez encore vous faire enculer un petit moment"

— Moi: "Bien Monsieur"

Jeff m’a remise debout et il m’a amenée contre le mur, là ou il m’avait caressée au départ. Il m’a écartée le jambes. Je me suis cambrée de moi même et je l’ai sentie de nouveau poussé son gland entre mes fesses. Il m’a pénétrée dans un bruit gras. J’ai tourné mon visage grimaçant vers mon patron pour qu’il ne rate rien de mes réactions.

La position debout modifiait pour partie mes sensations. Cétait peut-être également l’angle avec lequel Jeff me pénétrait qui était un peu différent. Entre mes longues jambes et mes talons, mes fesses étaient un peu trop haute pour lui et il ne pouvait plus me pénétrer aussi profondément que sur le pouf.

C’était une légère accalmie même s’il ne me ratait pas pour autant.

Il a profité de cette position pour prendre mes seins à pleines mains. Je l’ai senti s’activer plus furieusement entre mes fesses: il était dans u

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