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Gwendoline, le loup-garou et moi – Chapitre 2




Il va sans dire que nous espérons que le loup-garou tiendrait ses promesses et reviendrait nous voir.

C’était fin août et il faisait moins chaud que le mois précédent mais nous étions sur la terrasse , la chatte à l’air en attendant patiemment minuit. J’avais congédié les gardiens. Nous étions seules.

–  J’suis chaude là, je mouille déjà !

–  Déjà ? Pourvu qu’il vienne !

–  Trop envie de ce mec, c’est géant. Depuis un mois j’ai pas vu grand chose et en tous cas rien de semblable.

Et elle se caressait déjà le clito, s’arrachant de petits gémissement en se contorsionnant sur son transat.

Le temps nous paraissait bien long. Il faisait très sombre. J’entendis minuit sonner au cartel du grand salon, avec un peu d’avance sans doute, et je regardai mon portable. Il restait quelques secondes.

Et puis il fut devant nous arrivant d’on ne sait où en un bond gigantesque qui nous fit un peu peur malgré tout.

–  Salut les filles. Vous m’attendiez à ce que je vois !

–  Et comment !

Notre réponse fut unanime et toute les deux nous nous précipitâmes vers lui pour venir nous coller contre son corps puissant et toujours aussi impressionnant et porter immédiatement la main à son gros paquet.

–  Hmmmm ça sent bon la femelle en chaleur. Ça sent la chnèque. Vous êtes chaude les filles, hein ?

Nous étions déjà occupée à lui peloter les couilles, à caresser son vit tendu qui mouillait déjà et à titiller son méat de nos doigts pour en lécher le suc. Nous respirions sa forte odeur quand Gwendoline poussa un léger cri de surprise.

–  Oh ! c’est quoi ça ?

Je me penchai pour regarder derrière Maxime, notre loup-garou, en même temps qu’il se retournait.

–  Ça ? Ce sont des loups !

Quatre magnifiques bêtes grises étaient assises, nous regardant fixement de leurs yeux presque phosphorescents.

–  Des loups ? Des vrais ? Dis-je.

–  Ben oui, des vrais !

–  Mais, je veux dire pas comme toi, pas des loups-garous ?

–  Non non, de vrais loups!

–  Mais…mais c’est dangereux.

–  Penses-tu ! Rien du tout. Je suis là ! Il faut savoir que les loups-garous sont maîtres-loups.

–  C’est à dire ?

–  Ils commandent aux loups. Les loups nous obéissent au doigt et à l’il !

–  Ah bon ?

–  Absolument.

— Et c’est sans danger ?

–  Si je leur demande d’aller se jeter dans un ravin, ils vont le faire sans hésiter.

–  Et pourquoi ils sont là ?

–  Ben j’ai pensé que comme je n’ai qu’une bite et que vous êtes deux…

–  Non, tu penses qu’ils…

–  Bien sûr. Ce sont quatre jeunes mâles qui font bien leurs 60 kilos déjà mais et qui sont puceaux. Dans une meute c’est le mâle dominant qui s’accouple. Ici le mâle dominant c’est moi, mais je suis partageur.

–  Et on ne craint rien ?

–  Non. Comme je suis avec vous, ils vous sont entièrement soumis. Laquelle des deux essaie ?

……

–  Allez les filles….

–  Ben…. euh

J’vous assure, c’est sans danger, ils sont très bien montés et en général, les loups sont endurants. Aller les garçons, montrez vos quéquettes à ces dames.

Et aussitôt, comme de gentils toutous, ils levèrent leurs pattes antérieure et nous montrèrent des bouts rouges en train de sortir de leur fourreau et prendre de belles proportions.

–  Ah Gwendoline, je vois que c’est vraiment toi la plus salope. T’as envie d’essayer. Tiens mets toi à qutre pattes sur le transat là… Ouais. Tiens… prends celui-là.

Et aussitôt, un mâle la grimpa.

–  Ombeline, aide le loup à saillir ta copine voyons !

Je passai ma main sous le ventre du monstre, saisi la pine qui palpitait entre mes doigts et l’aidai à trouver le chemin de la vulve ou elle s’enfonça au grand plaisir de Gwendoline.

–  Aller, à ton tour maintenant.

Je me mis à quatre pattes aussi. Maxime comprit mon appréhension aussi demanda-t-il au loup de me prendre doucement.

L’animal vint renifler mon cul et je sentis le souffle sur mes fesses puis il cola son museau contre moi et se mit à me lécher. Puis il monta sur moi fébrilement, me griffant au passage et m’arrachant un cri. Maxime déposa sa pine sur la blessure. Je sentis la mouille et la douleur disparut. La semence du loup-garou était un baume puissant, un onguent miraculeux qui guérissait les plaies faites par les animaux.

Pendant que Maxime insérait son sexe entre le ventre du loup et mon dos pour calmer ma blessure, l’animal avait trouvé mon orifice et y était entré en douceur. Il était au fond. Du liquide s’écoulait et la base de sa verge enflait en me dilatant fortement. L’impression était délicieuse. Je me mis a souhaiter lécher cette grosse queue et, à l’instant même, comme si ma demande avait été transmise de mon cerveau à celui de Maxime et de Maxime à l’un des quadrupèdes, il en vint un se coucher devant moi, sur le dos m’offrant une grosse tige rouge à bouffer. Je n’hésitais pas longtemps, j’aspirai vigoureusement cette bite animale au goût très fort en profitant bien de celle qui se délestait sans interruption de son jus dans mes entrailles.

Gwendoline, elle, toujours couverte par un mâle vigoureux qui n’épargnait pas ses mouvements, pompait frénétiquement l’énorme pieu de notre loup-garou qui semblait encore plus à son avantage que la première fois.

Faut-il rappeler que nous communiquions par télépathie, ce qui procure le double avantage de gagner du temps et que le partenaire comprenne les désirs sans qu’on ait besoin de trouver les mots pour les formuler, tout en parlant même avec un bon gros pieu dans la bouche.

–  Alors les filles, ils vous plaisent mes copains ?

–  Trop ! Répondîmes-nous unanimement.

–  C’est de la bonne queue  ?

–  C’est clair, dur gros…. mais ça ne vaut pas la tienne.

–  Mais c’est mieux qu’un homme ?

–  Plus long, plus ferme, plus foutreux, mais moins mobile. Dit Gwendoline qui précisa qu’elle se ferait bien prendre ainsi plusieurs fois par jour.

–  Dommage que tes potes ne puissent pas nous dire ce qu’ils en pensent. Précisai-je.

–  Moi, je le sais. Ils vous prennent pour des louves et celui qui te grimpe est satisfait de perdre son pucelage. Il trouve que tu es trop bonne et que tu te comportes très bien sous lui. Quant à celui que tu suces, il ne savait pas qu’une femelle pouvait faire ça. Cela lui fera drôle quand je le ramènerai dans la meute…. d’ailleurs, il faudra que je parte plus tôt pour les reconduire.

–  La vache! qu’est-ce qu’ils sont endurants ! Increvable les mâles !

–  Ah oui, les filles, vous en avez bien pour vingt minutes chacune. Il faut que vos genoux soient solides.

–  T’inquiètes, dis-je. On va tenir.

–  Et puis c’est surtout ma chatte qui doit tenir, dit Gwendoline, et de ce côté là, elle est inépuisable.

Paradoxalement, ce fut le loup que je suçais qui éjacula en premier en me surprenant car, comme il ne cessait de cracher sans cesse de petits jets de sperme, je ne fis pas attention au flot qui se préparait et qui m’arriva d’un coup au fond de la gorge.

C’était onctueux et chaud. J’appréciai. Gwendoline voulut en connaître le goût et la texture et, aussitôt le quatrième animal se mit au garde à vous devant elle, ce qui me permit de récupérer Maxime qui, chauffé à blanc, déchargea presque aussitôt sur mon visage.

–  Oulala… mais tu en as plus que la dernière fois !

–  Tu trouves?

–  Regarde, j’en suis couverte. Et, tout en parlant, je passais mes doigt sur mes yeux pour libérer mes paupières du jus qui les recouvrait.

–  J’en veux, j’en veux hurla Gwendoline.

Alors maxime alla se faire décrasser le nud dans sa bouche avide qui avait de quoi se satisfaire. La surabondance de l’éjaculation avait couvert le gland, mi animal mi humain, d’une épaisse couche de foutre qui s’alimentait encore d’un filet qui coulait régulièrement du méat.

Comme si l’ardeur sexuelle de ma meilleure amie était communicative, les loups semblèrent s’exciter davantage et celui qui me saillait se mit à pousser de plus en plus fort. Ses rapides coups de reins me propulsaient en avant; Tout son poids retombait sur mon corps. Sa bite palpitait de plus en plus vite en moi et déversait, me semblait-il, des quantités de semence de plus en plus abondantes. Enfin, il se bloqua et éjacula comme une cataracte; mon orgasme atteint son paroxysme. Je jouis sans aucune retenue.

Le loup mit quelques minutes à se débloquer. Quand il se dégagea, un flot chaud et visqueux s’échappa de mon trou et ruissela sur mes cuisses.

Viens te faire bouffer la chatte par ta copine.

La demande de Maxime me surprit et ne m’enchanta guère. On n’avait jamais fait de plan gouine toutes les deux. Mais Maxime me montra qu’il pouvait nous donner des ordres comme aux loups, sans possibilité pour nous de résister. Contre ma volonté donc, je m’approchais de Gwendoline qui avait toujours un pénis dans la chatte et qui, elle, ne demandait pas mieux que de me brouter le minou pour en recevoir le sperme.

Maxime relâcha sa pression mentale en me laissant le choix d’accepter ou de m’y contraindre par la force.

J’acceptai finalement, cédant plus à l’excitation sexuelle qu’à toute autre considération, m’allongeai devant ma pote et écartai les cuisses. Elle se mit aussitôt, avec voracité, à me raviner le trou et eut le museau barbouillée de jute en un rien de temps.

J’étais occupée à gober les gros roustons du loup-garou dont le sexe dressé très dur dégoulinait sans interruption en baignant les burnes dans une sauce dont la viscosité recouvrait mon palais.

Gwendo me faisait un bien immense. Sa bouche et sa langue exploraient tout mon sexe. Au moment où le loup juta en elle, son plaisir fut tellement intense que son délire entre mes jambes l’amena jusqu’à trouver mon trou du cul et à le lécher, ce que je laissai faire ayant perdu tout contrôle de la situation.

Mais Gwendo n’en avait pas eu assez. Sitôt la chatte vide, sitôt la chatte remplie! Elle vint s’allonger sur le sexe de Maxime que je laissai avec dépit. Elle s’empala sur le gros zob et commença à rouler des pelles au loup-garou ce qui était vraiment particulier compte tenu de la longueur de sa langue et de sa taille, de l’immensité de sa gueule et de ses dents. On avait littéralement l’impression qu’il allait la bouffer. Il était obligé de se pencher pour l’embrasser étant plus grand que nous.

Ils se couchèrent. Ainsi, la moule pleine d’un vit palpitant, elle offrait sa rondelle à un animal qui bandait furieusement. Malgré sa hauteur, le loup eut du mal à la saillir car il fallait qu’il la grimpe par derrière alors qu’elle chevauchait Maxime ce qui était difficile, ses pattes arrières touchaient à peine le sol et il était comme projeté à chaque fois que le loup-garou, dont la force était herculéenne, donnait un coup de queue plus fort que les autres, ce qui les faisait tous bondir et arrachait à Gwendo un cri perçant.

En dehors de ces hurlements qui jaillissaient quand Maxime se déchainait, Gwendo poussait des petits "ha ha ha ha ha" saccadés qui témoignaient de son plaisir inextinguible.

Du reste, j’étais moi même comblée par les coups de bite de mon mâle qui me poussait avec la régularité d’un métronome et qui me faisait jouir plus qu’aucun homme ne l’avait pas, grâce à la taille se son sexe qui m’emplissait entièrement bien sûr, mais aussi de sa douceur, de sa dureté, de sa régularité et de ses mouvements légers mais ininterrompus à chaque fois qu’il lâchait une dose de pré-sperme dans ma chatte.

Ma place était vraiment très excitante car je pouvais me faire fourrer tout en regardant la scène du démontage de Gwendo; et c’était vraiment quelque chose à voir.

Malgré sa boule très dilatée, notre Loup-garou arrivait à sortir sa bite de la chatte qui avait dû s’y faire et acquérir une élasticité peu commune, libérant à chaque fois des flots de foutre.

J’eus un orgasme puissant qui accéléra le mouvement du loup dont je sentis le sperme s’éjecter avec puissance . Il se libéra très vite.  Et je pus m’approcher du trio. Gwendo pignait toujours. Je caressai les énormes roustons de Maxime, tout mouillés.

Puis, à son tour, le Loup de Gwendo déchargea. Elle gueulait comme une folle. On aurait pu l’entendre à 500 m. Heureusement, il n’y avait pas un chat à la ronde.

Mes doigts étaient gluants de jute  qui se divisait en longs fils dessinant des courbes avant de se rompre. Je les contemplai et les suçai avidement. Pourquoi cela me paraissait-il si bon ?

Le loup qui couvrait ma pote mit du temps à se détacher. Quand il l’eut fait,Maxime empoigna la fille par les hanches et la souleva puis la redéposa à terre. Il plaça alors son sexe entre ses seins.

L’ai-je déjà dit, mais Gwendo a des seins vraiment énormes, une vraie paire de très gros nichons; jamais je n’en ai vu de plus gros et, quand nous sortons en boîte, ils nous valent un franc succès. C’est un véritable piège à bites. Gwendo rabat les mecs comme elle veut et elle partage avec moi. Il suffit qu’elle mette un t-shirt, qui n’a pas besoin d’être moulant et qu’elle se mette à danser pour faire mouvoir cet imposant attirail et faire tourner aussitôt les mecs autour comme des mouches autour du miel.

L’aréole est gigantesque et le téton quand il est gonflé a presque la taille de l’extrémité de mon petit doigt. Alors imaginez ! Cette montagne de chair d’où émerge un pic rouge vif !

Je me campai sur  un transat, écartai mes cuisses pour offrir ma vulve au glouton léchage d’une bête missionnée par Maxime à cet effet et, tout en profitant de la langue rapeuse qui m’arracha un orgasme clitoridien en en rien de temps, je contemplai cette branlette espagnole hors du commun.

Le loup-garou avait fléchi ses jambes pour mettre son pieu à bonne hauteur et tous ses muscles contractés par l’effort ressortaient. Ses mains gigantesques d’où émergeaient ses griffes broyaient les énormes mamelles autour du sexe tendu à mort et les mains de Gwendo qui paraissaient très frêles caressaient les avant-bras ou les cuisses du monstre qui, pliant son cou en arrière, tendait son museau vers le ciel, grognant lentement avec un son très rauque son plaisir.

La queue allait et venait au rythme voulu et irrégulier projetant en l’air toutes les deux ou trois secondes, tel un geyser de sexe, un jet de semence qui s’élevait en hauteur et retombait aléatoirement sur le visage ou sur les seins, tantôt à droite, tantôt à gauche, puis s’égoutait lentement avant qu’une autre couche vint la compléter.

En quelques instants la pauvre fille en fut couverte. Le sperme, clair encore, s’agglutinait entre les nichons, lubrifiant le sexe qui venait s’y retremper sans arrêt et alimenter l’onctueux nappage qui s’épanchait de plus en plus.

Parfois, Maxime se haussait un peu, permettant à ma copine dépravée de pomper l’extrémité du dard jusqu’à se remplir la bouche. Quand c’était fait, le dard reprenait son va-et-vient entre les roploplos pendant que la salope bavait lentement le foutre entre ses lèvres et le mélange, rendu plus fluide par la salive, recouvrait le menton, descendait dans le cou à moins que quelques larmes, plus épaisses ne s’accrochassent un instant sur le côté avant de basculer dans le vide et s’écraser mollement sur la poitrine.

Le faible éclairage permettait cependant d’admirer le contraste entre la peau très blanche et la bite très rouge. Ayant sans doute trop appuyé sur les seins, Maxime y avait enfoncé une griffe et une larme de sang y avait coulé avant de se mélanger au sperme en un petit filet rouge décoloré.

Ce fut long. Sur ses genoux, Gwendoline fatiguait. Elle s’allongea donc et, pressant elle-même ses seins autour du membre toujours aussi majestueux et vivant, elle permit à Maxime d’arriver au bout.

Jusque là, il s’était contenté de grogner mais, à l’approche de l’orgasme, il se libéra.

–  Alors, il est bon mon jus… t’as vu comme elle fournit ma pompe ? T’en n’as jamais vu autant de foutre hein salope ! T’en veux d’autre hein ! Tu vas en avoir, ouvre la bouche et redresse-toi ! Ombeline, approche !

J’obéis. Il se mit debout face à Gwendoline et lui éjacula en pleine face. J’étais juste à côté. La crème était surabondante, très épaisse. Gwen avait fermé ses paupières qui étaient recouvertes de gelée comme le front ou le nez. La bouche ouverte servait d’entonnoir à cette douche impressionnante.

Je dus sucer cette bite encore palpitante qui continuait de dégorger lentement un filet épais et légèrement salé. Puis il me fallut frotter mes seins contre ceux tout poisseux de ma copine et je dus aussi lui lécher les tétons.

–  Ah les filles, vous êtes vraiment deux belles salopes. Surtout toi Gwen. T’aime le sexe hein ! Je reviens dans un mois ?

–  Quel dommage que tu ne puisses pas venir me prendre et me baiser tous les soirs. 29 jours c’est  trop long. Si tu te métamorphosais plus souvent, je t’épouserais !

–  Hélas, seuls certains loup-garous peuvent se transformer à volonté !

–  Ah bon ! Lesquels ?

–  Ceux qui pénètrent une vierge pendant  leur métamorphose, juste avant minuit.

–  Et après, ils se transforment tous les jours ?

–  Seulement la nuit mais à l’heure qu’ils choisissent, sauf les nuits de pleine lune où la métamorphose  a lieu quoi qu’il arrive mais on peut débuter dès  le coucher du soleil ! Mais il faut absolument que la fille soit vierge.

–  Hélas, nous ne le sommes plus dis-je…

–  J’ai une idée dit Gwen.

–  Tu me fais peur, repris-je.

–  Reviens ici dans un mois et je crois que…

–  A quoi penses-tu Gwen ?

–  Rien, rien… j’ai une idée

–  Ok les filles, dans un mois mais la fille doit être pucelle… et j’essaierai d’avoir une autre surprise pour vous

–  Ok, dans un mois, mais ailleurs, précisai-je, car les gardiens vont finir par se méfier.

Nous primes donc juste le temps de fixer le lieu du prochain rendez-vous. Gwen donna aussi son téléphone à Maxime pour qu’il la rappelle même dans son état normal. Mais il ne voulut rien promettre par peur de se dévoiler, puis il s’en alla avec sa meute.

Quand il fut parti, Gwendoline lança.

–  Dans un mois il l’aura son coït avec une vierge et il sera à moi tous les soirs…

A suivre

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