« Axal, Axal, réveilles-toi, on est arrivé… »
Tu ouvres les yeux et me regardes, apeuré.
« Déjà ? » me dis-tu C’est vrai que cette journée est passée vite finalement, trop vite…
Et pourtant, elle avait si mal commencé pour moi ; mais je ne pouvais pas me douter que j’aille te croiser sur mon chemin…
Comme chaque jour, je dois prendre la route pour le travail. Comme chaque jour, je dois m’enfiler des heures et des heures de route, avec pour seule compagnie la radio. En plus des heures, c’est toi que j’ai enfilé.
800 Km m’attendent aujourd’hui ; un peu de compagnie me ferait du bien ; d’autant qu’à l’hôtel hier soir, je suis tombé sur un porno à la télévision, de quoi se soulager d’une tension, oui, mais de là à gicler tout seul comme un con sur un écran, j’ai passé l’âge. Non, ce qu’il me faut, c’est de la chair fraîche, un petit gars bien chaud qui voudrait partager avec moi un bon moment de plaisir ; j’aime bien ça, faire durer le plaisir, le faire monter chez mon partenaire, le voir vibrer, puis se blottir dans mes bras après avoir giclé.
Ça commence mal, un peu vieux le gars qui tend le bras, enfin, mon âge quoi. Je veux de la jeunesse, mon sexe la réclame. Déjà 50 km de parcouru, et pas de jeune mâle en vue ; je commence à désespérer.
Enfin, je te vois sur le bas-côté ; on ne peut pas te louper, tu portes un T-shirt jaune et un short rouge ample. Tu es sur le bord de la route ensoleillé, tu tends ton bras, mais ça n’est pas lui que je regarde ; c’est ton beau visage d’angelot ; jamais je n’aurais pensé que tu étais un tel diable avec un homme !
Aussitôt que je te vois, mon cur s’affole ; je freine brusquement et me gare sur le bas côté. Je te regarde dans le rétroviseur t’approcher de la voiture. Mon regard se fixe sur ton short… non, Xavier, arrête de rêver, c’est juste un auto-stoppeur ; tu vas juste de rincer lil pendant tout le trajet et puis gicler comme un con tout seul dans la forêt une fois que tu l’auras déposé !
Tu ouvres la porte passagère, c’est encore ton short que je regarde, puis, tu t’abaisses : « bonjour ! » me lances-tu avec un grand sourire.
« C’est sympa de vous être arrêté ; ça fait une heure que j’attendais au soleil, je n’en peux plus ! ». Moi aussi, je n’en peux plus. Ce visage, ce corps, je crois que mon cur va lâcher. J’ai l’impression d’avoir le plus beau jeune mâle de la planète à mes côtés.
« Monte, je t’en prie, il y a de place pour deux dans cette voiture, et puis, tu seras toujours mieux qu’en plein soleil. Moi, c’est Xavier, et toi . » « Axal », me dis-tu avec toujours ton large sourire, avant d’ajouter : « je sais, ça fait étrange, mes parents voulaient mélanger 2 prénoms… »
Mais quel con, je ne t’ai même pas demandé où tu allais comme ça ! J’ai redémarré la voiture en trombe, de peur que tu ne veuilles descendre après avoir vu la bosse qui se dessinait au niveau de mon entrejambe. Car dès que je t’ai vue, mon sexe a donné des signes de réveil évidents. Mon gland, bien enfermé dans son prépuce ne demanderait qu’à sortir de sa cachette si mon pantalon ne le retenait pas. Je me suis endormie le sexe trempé par le PRE sperme et depuis que tu es dans la voiture, j’ai la sensation étrange et agréable de mouiller mon slip. Ta présence à mes côtés m’électrise ; ton corps dégage une odeur suave, celle de ces jeunes mâles qui respirent le sexe par tous leurs pores. C’est l’été, tu viens de passer une heure au soleil, la sueur perle sur ton visage.
Volontairement, je ne monte pas trop la climatisation de la voiture ; non, je veux sentir ton odeur de petit mec qui excite mes sens. Je te propose à boire pour te rafraîchir, tu acceptes ; tu bois dans ma bouteille ; tu mets tes lèvres sur ma bouteille, celle-là même où je pose mes lèvres ; dans ma tête, c’est comme un baiser que je te dépose, comme mon sexe que je t’offre tendu et qui laisse couler dans ta gorge la sève que tu as fait monter en lui.
Oh putain, il faut que j’arrête avec ces images ; ma queue s’affole ; mon gland frotte sans arrêt dans mon prépuce, je suis trempé, et les trépidations de la voiture n’arrangent rien.
Et toi, tu en rajoute en me tendant la bouteille. « Vous avez soif ? », me dis-tu. « Tu peux me tutoyer, tu sais », que je te réponds, avant de porter goulûment à ma bouche la bouteille dans l’espoir de goûter un peu de ta salive.
Finalement, cette journée s’annonce plutôt bien. J’ai le plus beau jeune mec de la terre à mes côtés. Je suis sur la route, la bite trempée d’excitation. Ton odeur m’électrise, et toi Axal, tu es détendu, tu semble heureux d’avoir trouvé un compagnon de route.
Où est-ce que je dois t’emmener n’a aucune importance finalement ; les chemins pour le plaisir sont nombreux et je crois bien que nous allons en découvrir certains ensemble…
Avec la climatisation baissée, il fait de plus en plus chaud dans cette voiture. Ma bite est tendue, autant qu’elle peut l’être dans mon pantalon. J’ai les tétons électriques ; ils frottent sur ma chemise et cela augmente mon désir. Et puis toi, à croire que tu le fais exprès, à chaque fois que je passe une vitesse, ma main frôle ta jambe, parfois te touche le genou. Tu écartes un peu les cuisses et j’ai l’impression de sentir l’odeur de ton sexe à chacun de tes mouvements. Il fait chaud, je bois de large gorgée d’eau, histoire que l’envie de pisser me fasse passer l’envie de gicler. Tu t’étires pour te détendre ; ton t-shirt se soulève et laisse entrevoir ton nombril.
Oh Axal, arrête, c’est de la provocation là. Hum, que j’aimerais passer ma main autour de ce nombril, puis plonger plus bas, suivre cette petite ligne de poil qui conduit jusqu’à ton sexe de petit mec ; atteindre tes couilles et les caresser doucement ; sentir ton sexe gonfler.
Oh non, vite de l’eau, j’ai soif, j’ai surtout envie de baiser, de te baiser, de sentir ta bite, la sucer et m’approcher de ton cul et d’y enfoncer mon pieu !
Arrête Xavier, arrête, tu vas finir par jouir dans ton slip ; concentres-toi sur la route, regarde droit devant toi et boit de l’eau. Au fur et à mesure que ma vessie se remplit, la pression de mon sexe redescend ; sauf que j’ai mouillé mon slip de PRE sperme et que l’odeur qui s’en dégage risque d’envahir la voiture. Je te propose encore à boire et tu ne dis pas non. En levant ton bras, je devine quelques poils sous tes aisselles…vite, faut que je boive encore !
« Tu as quel âge, » dis-je, histoire de penser à autre chose que ta bite. « 18 ans tout ronds !, c’est mes premières vacances en auto-stop ; pour tout dire, vous, enfin, tu es le premier à m’embarquer… » c’est une allusion, c’est en tout cas ce que j’ai envie de croire et je bande de plus belle avec la vessie qui me fait mal.
Coup de bol, mon patron m’appelle. Il me demande si la route est bonne (Oh que oui, elle est bonne la route, et mon passager aussi!). Nous discutons boulots pendant quelques minutes ; cela a le mérite de calmer les ardeurs de mon sexe qui ne demande qu’à sortir pour atterrir dans ta bouche. Le patron a besoin d’un numéro de téléphone ; mon agenda est dans la boîte à gants…côté passager. Je tends le bras vers le clapet, mais sans le faire exprès, j’effleure ton short de ma main et je touche ton sexe ; il est mou, moi je trique sec. Je balbutie un « pardon », mais je n’en pense pas un mot. J’aimerais m’attarder dessus, le sentir prendre du volume sous mes caresses tandis que tu approcherais ta main de mon entrejambe et que tu te saisirais de mon jock humide.
Là, tous les deux, dans un moment d’égarement, on se laisserait aller à des caresses voluptueuses. J’approcherai ma bouche de la tienne et tu n? embrasserais fougueusement. Ta langue mélangée à la mienne, nous sentirions le plaisir monté et dans un râle commun, nos bites cracheraient leur foutre en même temps, recouvrant nos mains d’un liquide suave et chaud. Nous porterions cette semence à notre bouche afin de nous enivrer de ce nectar.
« Allo, Xavier, tu es toujours là ! », me demande mon patron. « Heu, oui, pardon, je, heu, je ne trouvais pas le numéro que tu me demandais »
Toi, pendant ce temps, tu es resté stoïque ; comme s’il ne s’était rien passé ; il ne s’est d’ailleurs rien passé, en tout cas rien d’intentionnel…pas encore.
Nous échangeons encore quelques minutes avec mon patron avant de raccrocher. Mon agenda à la main, je vais pour le remettre dans la boîte à gant ; en le faisant exprès cette fois, j’effleure ton short de ma main et je touche ton sexe ; il est dur, massif, tendu, prêt à sortir de son carcan. Je peux deviner sa forme au travers de ton short. Toi, pendant ce temps, tu restes stoïque, comme s’il ne se passait rien. Je bande encore plus, ma bite va gicler tout seul à ce rythme, vite de l’eau, il fait chaud !
Regarde la route, Xavier, et rien que la route ; ça va passer. Axal a juste bandé parce que je l’ai touché une première fois sans faire exprès, voilà tout. Oui mais voilà maintenant que tu passes ta main dans ton entrecuisse, tu me la montres, humide et tu me dis « il fait vraiment chaud aujourd’hui, regarde, je suis trempé ! » J’ai envie de prendre ta main, de la sentir, sentir l’odeur qui se dégage de ton corps. Tu bandes encore et tu ne sembles pas vouloir le cacher. Ça te plaît même que je le vois, hein, ça t’excite, mon petit gars. Tu soulèves ton T-shirt pour t’essuyer le front ; je vois ton corps de gamin, tes tétons dur et fier. Tu me demandes s’il y a encore de l’eau dans la bouteille. T’inquiète, si la bouteille est vide, j’ai un réservoir plein à te faire goûter si tu veux. Tu continueras à t’agiter comme ça un bon moment ; moi, je fais celui qui ne voit pas, craignant que si je t’approche, tu me rejettes.
Je te passe la bouteille. Vas-y, boit mon garçon, boit, tu pisseras mieux. Et justement, après une heure de route, tu me demandes si on peut s’arrêter car tu as un besoin pressant. Ah si tu savais, moi aussi, j’ai un besoin pressant, celui de te foutre à poil, de te mettre à quatre pattes et de te prendre comme un chien ; de te sentir giclé sans que tu te touches tellement je t’aurais pris comme une chienne.
« On va s’arrêter maintenant avant l’autoroute alors, regarde là, il y a un petit bois, et puis d’ailleurs, moi aussi, il faut que je pisse.», dis-je
J’engage la voiture sur un petit chemin et m’arrête un peu à l’écart de la route. Je stoppe le moteur et sors du véhicule le premier.
Alors que je vais un peu plus loin pour pisser, tu me suis et t’installes juste à côté de moi. Tu baisses ton short, je vois ton slip. Tu y plonges ta main et tu sors ta bite, une bite merveilleuse, une bite de petit gars. Tu ne bandes plus et je découvre un long prépuce qui recouvre ton gland. Sans prendre la peine de te décalotter, tu pisses là, juste à côté de moi. Moi qui n’en peux plus, je suis à côté d’un mec qui me montre ostensiblement sa bite pendant qu’il pisse. Je sors également ma queue et tente de te cacher mon érection. Tu pisses et je vois ton sexe qui laisse échapper ce liquide jaune et chaud. Tout ce qui vient de toi m’excite ; j’aimerais recueillir cette pisse dans ma bouche, toucher ton prépuce de ma langue et boire ta pisse chaude. Je voudrais que tu me pisses sur la queue tandis que je me masturbe.
Tu termines de pisser en te secouant la bite ; ton prépuce fait des vas et viens et je reçois une goutte d’urine sur la main droite, celle qui tient ma bite en érection, cette érection que je tente de te cacher.
« Tu pisses pas ? » me dis-tu tout en te caressant le sexe devant à moi, ton sexe qui commence à gonfler doucement.
« Ce n’est pas l’envie qui m’en manque avec tout ce que j’ai bu, mais là, vois-tu Axal, c’est une autre envie que j’ai et c’est de ta faute… » dis-je. Ça y est, c’est dit, j’attends de voir comment tu réagis à présent. Et je ne vais pas tarder à sentir ta réaction. Tu t’approches de moi jusqu’à effleurer ma main avec ta queue qui laisse apparaître à présent un gland rougeoyant de désir.
« Je peux peut-être t’aider » me dis-tu, et tu t’empares de ma bite que tu approches de la tienne. Nos deux glands se touchent, ça m’électrise. Tu les frottes l’un contre l’autre tellement je suis mouillé.
« Oh Axal, c’est bon, vas-y doucement, je suis trop excité et j’ai peu de jouir trop vite » Tu ralentis la cadence ; je cherche ta bouche, je veux ta langue, c’est encore meilleur que je ne l’avais imaginé. Nous restons enlacés comme ça de longues minutes, nos deux sexes collé l’un à l’autre, sur le bord d’une route où passent quelques voitures ; mais plus rien n’existe à l’extérieur ; il n’y a que nous deux est le plaisir partagé.
Puis, tu lâches mes lèvres et je te vois glisser devant moi jusqu’à la hauteur de mon sexe que tu engouffres en un instant. Le plaisir est intense. Là aussi, je te demande de faire doucement, je veux savourer ce moment. Quel plaisir immense de voir un jeune mec qui vous regarde dans les yeux tandis qu’il vous suce, qu’il fait des va-et-vient sur votre bite gonflée, prête à exploser.
Sauf que là, l’envie de pisser se fait plus pressante. « Axal, attends deux minutes, faut que je pisse cette fois » je me dégage de ton étreinte divine. Et là, je vois que tu enlèves ton T-shirt, ton short, ton slip. Tu es totalement nu face à moi dans ce petit bois, à genoux, disponible.
« Pisse moi dessus Xavier, vas-y, pisses moi dessus ! » et tu te caresses frénétiquement en attendant que je m’exécute.
La queue raide, je n’en peux plus, mais je suis tellement excité que je ne sais pas ce qui va sortir de ma bite, du sperme ou de l’urine. Finalement, je te satisfais et un jet d’urine puissant s’échappe de ma bite tendue, pisse qui vient terminer sa course sur ton visage angélique et heureux. Tu ouvres la bouche pour mieux la boire. Tu t’en couvres le corps et la bite. Tu te branles avec ma pisse et moi, tellement j’ai bu, je ne peux m’arrêter de pisser. La vue de ce spectacle m’excite au plus haut point ; d’une main je dirige mon jet de pisse sur toi, de l’autre, je me caresse les tétons ; c’est trop bon.
Ça y est, le jet s’arrête enfin. Ma bite devient molle, fatigué, comme après avoir éjaculé. Toi, tu savoures cet instant de pisse, tu te caresses le sexe en faisant sortir de ta bouche ma pisse que tu avais conservée.
« T’aime ça la pisse Axal, hein . Tu l’aimes ma pisse ? » que je te demande alors que mon sexe commence à reprendre du volume. « Oh oui, je l’adore ta pisse, ça me fait kiffer, Xavier. Tu m’en redonneras dis? » « Tant que tu veux, mon amour, mon beau petit mec ; je crois qu’on est parti pour une bonne journée de baise, hein Axal. Et ce que je veux maintenant, c’est ça ! »
En disant ces mots, je m’abaisse vers toi, t’allonge sur le ventre et engouffre dans ma bouche gourmande ton jock couvert de ma pisse. Je te suce doucement tout en me caressant ; je veux que notre plaisir dur toute la journée…on a tellement de choses qui nous attendent encore tous les deux…
« Hummm, Xavier, c’est tellement bon… « « Et ça n’est que le début, Axal…
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Axal:
Après tout le plaisir que tu mas donné, je dois te rendre la pareille ;)
Tu mas fait tellement de bien, je dois te rendre tout le plaisir que tu mas donné, je vais commencer par vérifier si ton cul est bien ouvert en y mettant 2 doigts. Mais au moment où je les mets dans ton cul, tu as un mouvement de bassin et tu semble surpris, pour ma part, je le suis encore plus, tu es vierge du cul, je nen reviens pas, un homme aussi beau, sexy et qui adore le sexe, ne connais pas le plaisir anal, mais là surement donner des tonnes de fois, je dois y remédier.
Alors je commence à jouer avec ton cul, tu sembles aimer, mais tu protestes un tout petit peu alors je tembrasse à pleine bouche, tu ne peux plus parler, tu es concentré sur mes doigts qui bougent dans ton cul et ma langue dans ta bouche. De mon autre main, je te pince les seins, je joue un peu avec ta queue.
Je pense que je tai assez dilaté le cul. Ces maintenant le temps de le mouiller. Je lâche ta bouche pour venir te sucer un peu avant de descendre plus bas et de commencer à licher ton cul. Il est si bon, je nen reviens pas. Tu as le cul dun dieu! Je me retiens de ne pas gicler tout de suite tellement jaime lodeur et le gout de ton beau cul.
Je laime tellement, je rentre ma langue dans ton cul et je joue avec tes couilles.
Tu adores, je tentends gémir de plaisir plus haut. Je crois que tu est assez dilaté et mouillé pour recevoir plus de doigts. Je remonte de ton cul et je prends dans ma bouche tes couilles pendant quelques minutes, je joue avec dans ma bouche. Puis, je monte un peu plus et je gobe ta grosse queue en entier dun coup et je la mets bien profondément dans ma gorge.
Pendant que je fais ça, je tai inséré 4 doigts dans ton cul et je joue maintenant avec en faisant des va-et-vient tout en te suçant bien profondément. Tu as lair daimer, mais maintenant, jai envie de te prendre bien profondément dans ton cul encore vierge. Je te demande la permission.
Tu acceptes et je commence à pousser mon gland contre louverture humide et relax de ton cul, tu sembles te crisper un peu en sentant le début de mon gland dans ton cul, alors je me penche vers ton visage et tembrasse pleinement pendant de longues minutes.
C’est ce que javais besoin pour prendre possession de toi, jai maintenant ma queue bien nichée au fond de toi. Tu apprécies beaucoup, parce que ta queue est sur le point de gicler et que tu me demandes de bouger tellement tu trouves ça bon. Je ne refuserai jamais la demande de mon amour. Si tu me demandes de bouger alors je vais bouger. Je rentre au fond de ton cul complètement, puis je ressors et je rentre de nouveau dun coup.
À chaque mouvement ton cul se resserre un peu et tu gémis encore plus. Moi je sens quil ne me reste pas beaucoup de contrôle de moi-même avant que je veuille te posséder pendant de très long moment;) alors pour ralentir le rythme, je ne sors plus, je ne fais que de doux va et vient dans ton cul et je mordille tes seins. Tu aime bien.
Tu comment à te toucher la queue, tu aurais envie de jouir, mais je ne veux pas que tu gicles tout de suite et moi non plus dailleurs alors je te dis que je vais arrêter et quon reprendra tout sa plus tard. Pour le moment, allons boire quelque bouteille deau, jai encore envie de ta pisse. On est sur le bord de la route cacher par ton véhicule, nu sur lherbe à toucher le cul et le pénis de lautre avec tendresse, échangeant des baisers de temps à autre.
Tout en buvant énormément deau. Après 6 bouteilles deau chacun, on remballe. On remonte dans ton véhicule. Tu viens pour te rhabiller et je ten empêche te disant plus tard, pour le moment on va faire le voyage nu ok . Tu réponds par laffirmative deux fois. Une fois avec ta voix, lautre avec ta queue qui reprend de la vigueur. Dans le véhicule, tu tassis, mais moi non, je me mets entre tes jambes. Tu as accès à toutes les pédales et moi jai assez de place pour être confortable.
Je te dis que je vais te sucer durant tout le trajet et pour mettre mes dires en action, je te prends en bouche immédiatement. Après quelques minutes que tu conduis, tu as envie. Tu me le fais savoir un peu davance avant de lâcher toute ta pisse dans ma gorge. Javale le tout. Jadore ta pisse.
Elle est tellement bonne. Aucun mot ne peut décrire à quel point elle est délectable. Je commence, après une heure de pipe la pisse bue, à avoir envie moi aussi.
Je te demande ce que je dois faire et tu me dis de pisser dans les bouteilles vides. Ce que je fais jen remplis 3 facilement. Enfin, je suis vidé dun peu de ma vessie. Je te propose alors de boire une bouteille avec moi. Tu acceptes et tu commences à boire un peu de ma pisse. Moi, je cale une des bouteilles immédiatement et je recommence à te sucer. Ce fait maintenant 3 heures de route.
On est presque la nuit. Je te propose daller dans un motel. On se dirige vers le plus proche. Quand tu commences à défaire ta ceinture.
Je comprends que tu veux aller louer une chambre, alors je mhabille en quelques secondes et je te dis que je vais y aller. Tu ne comprends pas trop mon empressement, mais tu vas voir, plus tard tu me remercieras.
Je sors et vais à la réception. Quand je demande une chambre, je demande la plus petite possible. Avec un lit simple et des petites toilettes avec douche coincée. Le réceptionniste me regarde bizarrement, mais ces pas graves. Il finit par moffrir une chambre qui correspond à tout ce que jai demandé.
Je retourne te voir et te dis que nous allons dormir dans la chambre 16 au bout. Tu thabilles frugalement et tu me suis. Quand tu passes le seuil de la chambre, tu comprends tout.
Un lit si petit quon va devoir être en cuillère, une toilette minuscule, donc je vais devoir te servir durinoir et une douche très petit. Juste assez pour que deux personnes y entre et y fassent des choses pas très catholique ;)
Je te dis alors que jai loué pour 4 jours. On a maintenant 4 jours de sexe et damour pour nous. Je te dis de me suivre dans la douche. On va commencer maintenant. Dans la douche, je me colle contre toi et je te demande de me laver la queue, le dos et les fesses, ainsi que mon cul. Quand tu viens pour me laver le cul, je te dis non, pas avec tes mains. Avec ta queue. Ramone mon cul bien sensuellement. On continue la douche, mais tu mencules bien et doucement. Jadore, je vais gicler alors je me retiens et pisse à la place. Ce fait une heure où tu me ramones le cul. Il est tard. Joffre de te laver le corps avec ma langue et mes mains, je commence par nettoyer ta queue qui sort de mon cul, puis tes couilles en allant vers ton cul que je liche pendantes quelques minutes, je remonte et mordille et suce tes seins, puis je tembrasse longuement. On sort de la douche, nu et on se couche, tu me prends le cul en cuillère et on sendort comme ça. Le lendemain matin, je te réveille en te faisant une gorge profonde. On va samuser;)